Pour votre plus grand bonheur, j'ai corrigé les plus grosses fautes d'accords et d'othographes!


Chapitre 1: Esclave!

Il y a bien longtemps, à l'époque de l'empire romain et des gladiateurs, l'empereur Marc Aurèle interdit les jeux du cirque qu'il considérait comme un massacre gratuit.

Loin de là, Méhyt était une jeune servante d'une caravane de chamelier, perdue au milieu du désert. Elle avait huit ans quand sa mère l'avait vendue à des vieux chameliers.

Pendant six ans, elle déjoua toutes les tentatives de caresses de ces peaux fripées, qui la dégoûter rien qu'au contacte. Elle n'était pas maltraitée, mais elle n'était pas heureuse.

Un soir, elle avait réussi par tromper la vigilance des vieillards, et avait profité de la couverture de la nuit pour s'enfuir avec un chameau.

Une fois en ville, elle fut réduite à la mendicité.

Un jour, dans les rues étouffantes de Philae, un groupe d'homme accosta l'enfant. A leur tenu, elle reconnu tout de suite des prêtres du dieu Anubis. Ils l'emmenèrent avec eux au temple. Ils la nourrirent, lui donnèrent des vêtements propres et ils la mirent devant un cadavre. Ils lui montrèrent comment inciser, vider les organes et remplir de coton l'intérieur du ventre.

C'est ainsi qu'elle appris tout les rites complexe de la momification et de l'art de se servir d'un couteau.

Son doigter fin avait acquis une petite renommer de la région, aussi faisait-on appel à ses services dans d'autres villages.

C'est ainsi, qu'à dix-sept ans, la jeune fille se retrouva à traverser le désert avec une caravane qui apporter des marchandises dans une ville isolé. Le sable à perte de vue et le soleil plus brûlant que jamais.

Méhyt n'aimait pas le désert, encore moins depuis que l'eau était rationnée.

Le soir, quelques chameliers et leurs femmes lécher les roches, refroidit par la nuit, leurs donnant des impressions de fraîcheur.

Un soir, une grosse femme vint lui annoncer qu'ils arriveraient à destination dans deux jours. Méhyt fut surprise. Depuis le début du voyage, on ne lui avait quasiment pas adressé la parole. Les femmes des chameliers chuchotaient entre elles quand elle voyait la jeune fille. Méhyt savait bien qu'elles ne l'aimaient pas, peut être qu'elle leur faisait peur ou peut être étaient-elles jalousent que leurs maris la lorgnent. Son métier d'inciseuse et son physique peu commun ne lui attirait pas des faveurs. Contrairement aux autres filles de son âge, elle était plus grande que la moyenne, mince, mais solide, et sa plus grande particularité était ses cheveux. Blond comme le sable du désert.

Elle n'ont rien à m'envier, elle sont presque toutes plus jeunes que moi…

Les mercenaires qui accompagnaient la caravane pour protéger les marchandises, installèrent le bivouac.

En quelques minutes, les tentes furent montées.

Méhyt s'installa dans la tente des femmes, et elle s'endormit vite après une journée de marche sous le soleil.

Les étoiles éclairer faiblement la vallée. Méhyt fit un mauvais rêve qui la tira du sommeil.

L'obscurité était totale. Mais elle sentit. Cette odeur un peu de fer, de sueur et de peur. Elle reconnut l'odeur de sang.

Ses sens étaient en alerte. Elle entendait la faible respiration de ses voisines, quand, un bruit étouffer lui parvint. Elle secoua la personne la plus proche et murmura d'une voix étrangler:

- Vite, on se fait attaquer!

La remarque réveilla les autres compagnes. Il y eut un mouvement de panique, mais Méhyt leur intima de se taire. Un chamelier poussa un cri plus puissant quand une lame lui trancha la gorge. L'alarme était donnée.

Des bruits de combat se firent entendre. Elle jeta un bref coup d'œil à l'extérieur. Les brigands étaient plus nombreux, plus entraînés et surtout plus féroces. Seul les quelques mercenaires leur opposèrent une véritable défense, mais elle fut de courte durée.

Méhyt pria intérieurement, car elle savait que le carnage ne s'arrêterait qu'une fois qu'elles auraient été violées. Dans ce moment, toute la tension accumulée pendant le combat s'échapper. Elle s'était munie d'un petit poignard d'incision. A présent, elle les entendait entrer dans chaque tente du campement.

Soudain, un grand homme, le visage voilé et une grande barbe entra dans la tente. Les femmes poussèrent des hurlements de terreur. Le brigand s'empara de la femme la plus proche et l'entraîna dehors.

Là, Méhyt n'entendit que les hurlements de la victime que les hommes pénétraient avec violence. Elle essaya de maîtriser les tremblements qui la secouaient. Toutes les femmes étaient comme paralysées. Quand les hurlements de la femme se calmèrent, un autre assassin nocturne entra.

-" Qui est Méhyt l'inciseuse?"

La jeune fille sursauta à l'appel de son nom. Toutes les femmes regardèrent dans sa direction. Elle se leva, la jambe flageolante et dite d'une voix qu'elle espérait assurer:

- C'est moi, que me veux-tu ?

L'homme la dévisagea et il s'approcha d'elle. Son odeur chaude de sueur et de sang souleva le cœur de Méhyt lorsqu'il l'attrapa par le bras. Elle ne se débattit pas et il l'entraîna hors de la tente. Là, il l'emmena vers celui qui semblait être le chef. Il ressemblait aux autres hommes, sauf que sa barbe était teinte au henné rouge.

- Tu es bien jeune pour une inciseuse, déclara l'homme à la barbe rouge en la toisant de haut en bas. "Je m'appelle Assim, et j'ai besoin de tes talents pour embaumer notre chef qui est mort voila trois jours... Si tu le fais, nous te laisserons en paix."

Méhyt réfléchis rapidement, analysant la situation. Si elle obéissait, elle serait en sécurité, et peut-être bientôt libre.

- « J'accepte ».

A l'aube, les guerriers levèrent le camp et attachèrent les prisonniers par le cou. Les vieillards et les cadavres furent abandonnés sur place, en proie aux charognards qui rodaient dans le désert. Ils marchèrent une journée durant.

Les chameliers survivants et les femmes regardaient Méhyt d'un œil mauvais. Ils pensaient qu'elle les avait donnés au brigand. Elle n'avait pas tenté de se défendre, et les brigands la traité presque en amie. Jamais ils ne l'a croirait innocente. Elle devrait faire attention, car ils n'hésiteraient pas à la tuer, ou seulement la lacéré avec les ongles et l'a laisser à demi vivante dans le désert. Méhyt frissonna rien qu'à cette pensée.

Dans la soirée, ils arrivèrent dans les montagnes du désert ou étaient installés un campement près d'une oasis. Là, un guerrier l'emmena dans une tente à l'écart du campement.

L'odeur à l'intérieur était suffocante. Les miasmes du cadavre et les mouches envahissaient la tente.

Méhyt sortit son matériel. Elle ne connaissait pas tous les rites de l'embaumement, mais sa survie en dépendait. Elle s'apprêtait à enfoncer la lame dans la chair quand le nouveau chef arriva dans la tente, suivit de quelques guerriers. Ils s'assirent en tailleur fixant le cadavre des yeux. Méhyt commença en incisent le ventre. Elle retira les organes un à un. Elle dus faire plusieurs pauses devant la puanteur du cadavre. Tous les guerriers sortirent, à moitié malade, seul le chef resta. Probablement une marque de bravoure de sa part.

Méhyt n'y trouva aucune marque de courage, car les gaz dégager par la chair en décomposition était souvent toxiques et il s'exposait à une asphyxie rapide. Elle travailla toute la nuit, à la lueur d'une lampe à huile. Le chef, resta lui aussi. Son visage était pâle, probablement était-il au bord de l'évanouissement devant la puanteur cadavérique. Elle avait retiré plusieurs organes dont le cœur, le foie et les viscères quand elle déclara qu'elle devait dormir.

Il la conduisit dans sa tente. Il lui lia les mains et les poignées pour éviter qu'elle ne s'enfuie et elle se coucha sur une natte. Assim s'installa à coté.

Méhyt était trop fatigué pour ce rendre compte qu'il la regardait. Elle ne tressaillit pas quand sa main rugueuse vint sous sa tunique lui caresser la peau, les seins. Puis il souffla la lampe à huile et s'endormit à son tour, laissant la jeune fille en paix.

Le lendemain, une main la secoua brutalement, la tirant du sommeil. La matinée était bien avancée. Assim lui délia les poignets et les chevilles.

Elle allât chercher de quoi manger. Quelques dattes, une galette et de l'eau et se remis au travail. Elle ne retira pas le cerveau, ne sachant pas le faire, et personne n'était là pour la surveiller. Elle finit de retirer les poumons et bourra la momie de lin mélanger à de la laine de chèvre. Elle recousu avec précision la peau. Elle avait bien travaillé, on voyait à peine la légère entaille sur le ventre. Assim vint la voir dans l'après midi. Méhyt lui dit qu'à présent, il fallait laisser sécher le cadavre au soleil pendant plusieurs jours. Il restât interdit devant la momie, effleurant la peau pour vérifier qu'on l'avait bien ouverte.

- Bien, tu as bien travaillé. Je dois emmener les esclaves dans une ville non loin d'ici, je te rendrais ta liberté là-bas.

Trois jours plus tard, les prisonniers furent attachés et emmenés à travers le désert.

Ils marchèrent cinq jours jusqu'à une petite oasis où était déjà rassembler une grande caravane. Il y avait des chameaux blancs, des lions, d'autres esclaves,...
Assim allât parler à un petit homme gras, dégoulinant de sueur. Il arriva vers les esclaves. Il tata les cuisses, les épaules, regarda les dents comme si ils n'avaient été de simples bêtes. Il choisit une dizaine d'esclaves et regardât vers la direction de Méhyt et murmura quelques choses à l'oreille d'Assim. Son visage resta impassible, mais ses yeux s'allumèrent d'une lueur malsaine. Il lança un ordre à deux guerriers qui attrapèrent la jeune fille par les bras. Elle cria et se débattit.

Au fond d'elle, Méhyt avait toujours sus qu'Assim ne lui aurait jamais rendu sa liberté.

Méhyt, ma grande, garde la tête froide.

Alors que les deux brigands la traîner, elle s'empara d'un de ses poignards et le planta entre les côtes d'un homme. Il lâcha prise. Elle en profita pour décocher un coup de pied dans le bas ventre de l'autre guerrier et elle attrapa le poignard à la lame recourbé qu'il avait à sa ceinture, lui trancha les veines du poignet.
Déjà, plusieurs guerriers c'était regrouper autour d'elle, menaçant de la tuer au moindre moment d'inattention. Méhyt sentit sa fin proche, au moins aurait-elle le mérite de mourir en défendant sa vie. Assim s'avança dans le cercle, un sourire carnassier aux lèvres. Il ordonna aux hommes de baisser leurs armes.

Méhyt profita de cet instant d'inattention pour se jeter sur lui, prête à lui planter la lame dans le ventre. Le brigand fut plus rapide et lui attrapa les poignets. Prise de fureur, elle bondit et le mordit à la gorge. La morsure arracha un grognement de douleur à l'homme. Méhyt mordait de toute ses forces, et très vite, elle eut le goût du sang dans la bouche. Soudain, quelques chose la saisie à son tour à la gorge, l'arrachant de la chair avec brutalité. Assim, la tenait d'une main ferme et la soulevait de plusieurs centimètre au dessus du sol. La jeune fille suffoquer, se débattre et trépigner.

Je ne veux pas mourir !

Sa tête commençait à tourner, les images se firent plus floues, ses oreilles bourdonnaient. Elle atterrit lourdement sur le sol quand le guerrier lâcha prise. Il s'accroupie près de la jeune fille:

- Espèce de garce, tu a de la chance que mon ami Valerius ait offert 200 cesters rien que pour toi, sinon, tu serait déjà morte.

Inconsciente, là jeune fille fut entraîné à l'écart et on lui donna de l'eau à boire. Quelques heures plus tard, la caravane partit, laissant derrière elle le bivouac des brigands.