Depuis le début, il me traite ainsi. Il est tellement absent, que c'est comme s'il n'existait pas.

Rien ne va plus quand les jeux sont faits

Il s'exténue puis voilà qu'il s'endort satisfait

Oh pauvre trésor

Il pourrait quand même un peu faire attention à moi. Je suis la déesse de l'Amour, pardi.

Fier de son coup convaincu de ses atouts majeurs

Moi j'en baille encore

Et Arès n'est pas mieux. Même pire, dans la mesure du possible.

La nuit je m'ennuie

Je danse et j'oublie

L'envie me poursuit

À quoi tu joues

Tant pis je mise tout

Alors, je me défoule sur les autres. Demi-dieux, dieux, déesses et mortels. Eux, qui sont si chanceux. Je suis tout le temps seule. Les autres dieux me croient artificielle.

J'aimerais tellement retrouver quelqu'un comme Tristan, le père de ma petite Piper.

Rien ne va fort j'en perds la raison

J'dépense à tort pour m'offrir enfin le grand frisson

Je veux le jack pot

Il se pavane quand je me languis

Brelan de dames a souvent finir seul la partie

Sonnons la révolte

Je suis le plus maudite en Amour, en fin de compte. J'aime Héphaïstos, même si personne ne semble le remarquer. Je souhaite seulement qu'il me regarde.

Faire la paix ce serait beau

J'veux plus rester sur le carreau

Marre de plaire à des zéros

Je veux toucher le bon numéro Au lieu de ça, il veut nous piéger, Arès et moi. De plus, ce dernier croit que je l'aime ! Quel idiot !

Je veux toucher le bon numéro.

Alors, les soirs où je suis triste, je vais espionner mon petit mari à sa forge