Disclaimer : Rien, du monde d'Harry Potter ne m'appartient... et ne m'appartiendra jamais... seul l'histoire est à moi et quelques personnages qui sont de mon cru.

Note : Avant de lire cette fic, veillez lire : L'Éveil du Main Part1: ShadowDancer et Nécroman, par moi... sinon, vous ne comprendrez pas grand chose à cette fic...

Je sais... je sais... je suis très, mais TRÈS en retard. Je n'ai aucune excuse... syndrome de la page blanche... aucune motivation... et autres problèmes hors de mon contrôle.

Cette version de mon chapitre n'est pas encore corrigé, donc pitié, on ne me tue pas.

J'espère que vous l'aimerez... Bonne lecture...

Valérius

L'Éveil du Malin II

L'éveil des Damnés

Chapitre 1 :

Harry et Ahéris apparurent dans un champ de maïs. Harry regarda aux alentours et ne vit rien.

« Tu es certaine que nous sommes au bon endroit ? » questionna Harry.

« Je sais quand même où mes parents réside… souffla quelques peu dépitée la jeune femme. Nous ne sommes pas loin de la résidence. Un petit dix minutes de marche et nous serons arrivés. »

« Pourquoi ne simplement pas être arrivé devant la maison ? » demanda Harry.

« C'est un quartier moldu seulement… répondit la jeune femme avant d'ajouter. Et il n'est pas poli d'apparaître chez les gens non plus. »

« Je vous suivrai donc belle dame, car je suis un étranger dans cette contrée. » dit Harry en prenant la main d'Ahéris.

Ahéris et Harry se rendirent à la route qui était à quelques mètres de leur position et marchèrent une douzaine de minutes avant que la jeune femme ne s'engage dans l'entrée d'une maison de banlieue très banale. Harry qui n'avait pas lâché la main de sa fiancée suivit et ils se retrouvèrent sur le pas de la porte où Ahéris frappa. Il fallut une vingtaine de secondes avant que la porte s'ouvre sur un homme qui faisait près de 1m80 à la chevelure noire, mais qui commençait à devenir de plus en plus grisonnante tout comme la barbe taillé qu'il arborait. Il portait une paire de lunette et avait les yeux pers. Harry put observer plus longtemps l'homme, car sa fiancée s'était jeté à son cou en s'écriant « papa ! » ce qui confirma l'identité de l'homme au Survivant. Le père et la fille se séparèrent après quelques instants d'accolade et Ahéris fit les présentations.

- « Papa, je te présente, Harry Potter, mon fiancé et oui c'est vrai… dit-elle alors que son père prenait une air sceptique. Et Harry, voici mon père, Carl Déry.

« Bonjour M. Déry, heureux de pouvoir enfin faire votre connaissance. » salua poliment Harry en serrant la main de Carl.

« Je suis moi aussi enchanté de faire la connaissance de celui qui a su dompter notre chère fille adorée. » répondit Carl avant de les invité à entrer dans la maison.

Avant qu'Harry n'est pu observer l'intérieur, un femme vient les rejoindre et embrassa Ahéris en signe de bienvenue.

- « Et bien, tu dois être Harry Potter… dit la femme. Je me nomme Lucie, je suis la mère de cette jeune femme, elle pointa Ahéris du doigt. Et Je suis enchantée et heureuse de faire ta connaissance… surtout après tout ce que nos amis britanniques nous ont comptés à ton sujet… »

« Vous savez, les rumeurs à mon sujet sont plus souvent qu'autrement fausses et erronées… » dit Harry.

« Que de fausse modestie… Allons… tu es quand même une célébrité pour ta nation et celles de bien d'autre en Europe. Tu as participé et remporté le fameux Tournoi des Trois Sorciers, mais tu n'as pas participé au Tournoi de Duel, c'est dommage, quelqu'un comme toi aurais pu gagner haut la main. » dit Lucie.

« Mme Déry, coupa Harry. Je n'ai rien fait d'extraordinaire, j'ai simplement été très chanceux et je ne voulais pas trop pousser ma chance… »

« Allons… Allons… protesta la mère de la jeune femme. Avec le portrait que mes amis britanniques m'ont fais de toi… »

« Maman ! coupa Ahéris. Laisse tomber tous les ragots que tu as entendus, car les personnes qui t'ont parlé de lui ne le connaisse pas et se basent sur les rumeurs fausses répandues par les médias. »

« Ta fille a encore raison… » dit Carl pour couper court à la conversation.

Ahéris profita de cette porte ouverte par son père pour entraîner dans les couloirs de la maison jusqu'à une porte qu'elle ouvrit et entra dans la pièce avec Harry avant de la refermer. Le jeune homme regarda la pièce qui était peinte en bourgogne avec un petit bureau, une commode où l'on pouvait voir des cadres et de nombreuses photos qui représente souvent des jeunes gens et il pouvait voir de temps en temps Ahéris sur certaines photos. Il fut tiré de son inspection de la pièce par Ahéris qui se plaça en face de lui et l'embrassa.

« Désolé pour ma mère. Elle confère trop de crédibilité aux rumeurs et aux ragots. » dit la jeune femme.

« Pas de problème… ce n'est rien… et surtout ce n'est pas la première fois que ça arrive non plus, dit Harry avant de changer de sujet. Alors, où sommes-nous ? »

« Dans notre chambre… » lui répondit Ahéris en sortant ses bagages de sa poche et leur redonna leur taille sur le lit qu'Harry venait d'apercevoir.

Harry posa ses valises à côté de celles de la jeune femme et d'un mouvement de baguette, il leur rendit leur taille originelle.

Ils rangèrent quelques vêtements dans la commode et le garde-robe avant de retourner voir leurs hôtes. Les parents étaient dans le salon et discutaient. Ils interrompirent leur discussion à l'arrivée des jeunes. Ahéris entraîna Harry et prirent place dans le divan libre.

« Alors, comme ça vous nous cachiez votre relation. Là, je ne te reconnais pas et puis, tu n'étais pas avec un certain Jonathan aux dernières nouvelles ? » demanda Carl pour ouvrir la discussion.

« Effectivement, avant j'étais avec Jonathan, mais nous avons eus de nombreux différents après le temps des fêtes. » dit Ahéris.

« Et comment as-tu rencontré Harry ? » demanda Lucie.

« Et bien, mon ancien maître, car j'ai terminé ma formation à la fin de l'été, désolé de ne pas vous avoir prévenu plus tôt, et Harry sont des cousins éloignés. Avant de finir ma formation, Dorian m'a demandé d'enseigner un peu de mon savoir à Harry et depuis septembre, j'ai enseigné à Poudlard. » commença à expliquer Ahéris.

« Après les fêtes, de nombreuses délégations d'autres pays sont venus à Poudlard. Jonathan était lui aussi présent. Il fallut quelques jours avant que de la discordance naisse entre Ahéris et Jonathan. » poursuivit Harry.

« Durant quelques semaines Harry et moi avons été enfermés de force, par un démon et deux anges. Lors de ces périodes de captivités, nous avons appris à nous connaître. Lors de notre dernier séjour forcé, nous nous sommes embrassés, expliqua la jeune femme. À partir de se moment, ma situation avec Jonathan se détériora et Harry et moi nous ne nous parlions pas. »

« Enfin, continua le Survivant. Je la fuyais plus qu'autre chose, jusqu'au jour où elle m'attendait et nous nous sommes expliqués. »

« Et là, Jonathan et Dorian se sont pris la tête au cours de la même après-midi. Nous sommes arrivés au milieu du conflit et il provoqua Harry en duel. » informa Ahéris.

« Bref… nous nous sommes battus et j'ai vaincu… » termina simplement Harry.

« Et bien… c'est très plaisant d'avoir un prince charmant qui prend soin de toi… » dit la mère à sa fille.

« C'est une bonne chose pour ma fille d'avoir trouvée quelqu'un comme toi. » affirma Carl.

« Et depuis quand êtes-vous fiancé ? » demanda Lucie.

« Depuis le 13 février… » répondit Harry.

« Il va falloir que vous commenciez à penser à une date pour votre mariage et ainsi que tous les préparatifs pour cet événement. » dit la mère de la jeune femme avec une excitation non dissimulée.

« Et bien… dit Ahéris. La date a déjà été fixée. Ce qui surprit les parents. Nous avons même déjà commencés les préparatifs depuis un bon bout de temps. »

« Déjà ? Mais… c'est pour quand ? » questionna Carl.

« Un triple mariage le 22 août, mais un petit mariage privé avec une réception grandiose après. » répondit Ahéris.

« Et quand comptais-tu nous prévenir ? » demanda la mère qui était quelques peu mécontente d'être laissé de côté.

« C'était justement le but de notre visite et aussi de passer un peu de temps avec vous. » dit la jeune femme.

Le couple continua à discuter avec les parents de Ahéris jusqu'au repas. Harry apprit que le père était un sorcier qui avait préférer suivre la vois de la psychologie moldu et est maintenant professeur à l'université, alors que la mère était médicomage spécialiste dans les problèmes reliés aux effets des sorts sur le cerveau. Il apprit aussi que sa fiancée avec une sœur aînée, Julie, qui terminait ses études en Enchantements supérieurs. Julie serait présente plus tard dans la semaine.

Lorsque l'heure du repas arriva, ils se mirent à table et Lucie servit un rôtie qu'elle avait préparé. Ils poursuivirent la discussion au court du repas.

Lorsqu'ils furent bien repus, Ahéris proposa à Harry de lui faire visité sa ville natale. Ils rencontrèrent, lors de leurs promenades, quelques vieux amis, moldus et sorciers, de la jeune femme. Elle leurs présenta Harry et annonça leur futur mariage.

C'est ainsi que se passa le temps jusqu'au jeudi, car c'est le jour de l'arrivée de Julie.

La sœur de sa fiancée arriva après le dîner, alors qu'Harry et Ahéris venaient de s'installer devant la télévision et venaient de commencer à visionner un film par cette journée pluvieuse.

Ahéris arrêta le film et alla à la rencontre de sa sœur.

« Julie, dit Ahéris en s'approchant de sa sœur. Je suis heureuse de te revoir. »

« Bonjour à toi aussi, répondit sa sœur sur un ton indifférent qui refreina les ardeurs de Ahéris. La grande Ahéris daigne rendre visite à son humble famille. »

« Je vois que tu m'en veux toujours de mon admission au Monastère, alors que tu n'as pas pu y aller toi. » dit Ahéris

« Non, cracha Julie. C'était moi qui aurais du aller au Monastère, pas toi. »

« Ce n'est pas de ma faute s'ils m'ont choisis. » répliqua Ahéris alors qu'Harry arriva près d'elle.

Julie regarda Harry et porta son regard sur sa sœur avant de le ramener sur le jeune homme.

« Et c'est qui ce pauvre type paumé. » cracha Julia.

« C'est mon fiancé, répondit Ahéris avant qu'Harry n'ouvre la bouche pour répondre. Nous sommes ici pour passer un peu de temps avec maman et papa et aussi pour dire que notre mariage aura lieu au mois d'août. »

« Et comment s'appel le bâtard ? » demanda-t-elle.

« Harry Potter… » répondit le Survivant.

« Harry… Potter… dit Julie soudain pensive. Se nom me dit quelque chose… Potter… Potter… Comme dans le Clan Potter ? »

« Il semblerait que ce soit le Clan que je dirige… enfin d'ici quelques semaines… » répondit Harry.

Julie commença à perdre quelques couleurs. « Merde… pourquoi faut qu'elle se trouve toujours quelque chose de mieux que moi… Et merdre… je vais devoir les caresser dans le sens du poils, pour que je puisse entrer au Centre de recherche en Enchantement que possède les Potter… Hé… merde… J'aimerais être à sa place… au bras d'un si bel homme… mais surtout riche et puissant. Bon… au moins, je vais pouvoir tirer profit de la situation… » pensa Julie en souriant.

Harry avait capté tous les pensées de sa belle-sœur, alors que sa fiancée n'avait pu que distinguer qu'un fragment de pensées. Elle se dit qu'elle demandera à Harry ce qu'a pensé sa sœur.

« Bon, nous nous allons te laisser et retourner à notre film. » dit Ahéris en quittant la sœur et entraîna Harry.

Une fois qu'ils furent seuls, elle lui demanda ce que sa sœur pensait et Harry lui répondit en répétant ce que Julie avait pensée. Ahéris ne répondit rien en sachant très bien que Harry voulait lui même régler se problème, elle mit donc le film en route et s'installèrent confortablement dans le divan.

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Le reste de la semaine se passa presque sans friction entre les deux sœurs qui s'arrangeaient le plus possible pour ne pas être en présence de l'autre. Ahéris et Harry allèrent à une soirée que des amis moldus avaient organisés pour eux.

Ils firent un barbecue où ils mangèrent et discutèrent autour des nombreux hamburgers et des nombreuses bouteilles de bières qui furent bus.

La soirée se termina autour d'un feu où les discussions avaient peu à peu laisser place à la musique. Harry était aller chercher sa guitare et avait joué quelques morceaux avec un des amis qui avait lui aussi amené sa guitare.

Le samedi arriva rapidement. Ils se levèrent à quatre heures du matin pour quitter la résidence des parents de la jeune femme. Ils dirent au revoir à tous qui s'étaient levés et se rendirent au quartier général de l'Ordre du Phénix où ils devaient rencontrer les autres vers dix heures.

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Les élèves quittaient le train et allaient à la rencontre de leurs parents. Ils étaient heureux de pouvoir partager avec eux l'expérience de cette année scolaire peu commune.

Dorian était assit sur le toit du train et regardait les jeunes débarquer et retourner avec leurs parents. Il vit Drago et sa mère se saluer avec politesse et détachement craignant les allégeances de l'autre. Il les vit quitter rapidement le quai en transplanant. Dorian n'avait pas encore prévenu le jeune serpentard de son intention de lui offrir un petit entraînement comme pour les autres.

Son regard se porta alors sur Neville et sa sœur qui discutaient avec les parents du jeune homme. Ils étaient tous heureux et ça se sentait. Ils auraient un peu de temps pour faire légèrement connaissance avant que le couple rejoigne les autres pour l'entraînement. Dorian vit les parents de Neville prendre les jeunes et transplaner.

Après le départ de sa sœur et de son petit ami, il continua son inspection du quai avant de tomber sur les Weasley. Arthur était venu seul chercher les deux derniers enfants à Poudlard. Dorian remarqua que son beau-père avait quelques peu changé depuis son départ de Poudlard. Il était habillé de manière plus chic et très sobre et il semblait aussi plus sur de lui. Le jeune homme remarqua aussi une demi-douzaine de sorciers qui semblaient surveiller les environs. « Des gardes du corps. Bonne idée, mais il devrait diversifier et ne pas prendre que des sorciers. » pensa-t-il en sautant en bas du toit du train et se dirigea vers les Weasley. Il ignora les parents et les élèves qu'il croisa et fit de même avec les gardes du corps qui le regardèrent suspicieusement.

Il arriva en même temps que M. et Mme Granger qui allèrent voir leur fille qui était avec Ron. Arthur vint le saluer et lui demanda s'il venait passer quelques temps au Terrier. Ginny appuya fortement la proposition de son père, car elle voulait y retourner et ne pas se séparer de son homme. Dorian accepta la proposition plus pour faire plaisir à sa fiancée que par politesse. À peine venait-il d'accepter, les parents d'Hermione les rejoignirent.

« Et bien, jeune homme, dit M. Granger. Nous nous revoyons enfin. »

« Ça fait effectivement un petit moment, dit Dorian. Depuis le Grèce… »

« La Grèce ? » dit Arthur.

« Oui, ce jeune homme et Harry se baladaient dans les rues d'Athènes l'été dernier et nous les avons croisés. » répondit Mme Granger.

« Nous avions à nous y rendre pour affaire… » dit simplement Dorian avant qu'un garde du corps ne vienne murmurer quelques paroles à l'oreille de M. Weasley.

Arthur réunit tout le monde et ils quittèrent le quai. Du côté moldu, Hermione et Ron se dirent au revoir et se promirent de s'écrire et ils se séparèrent. La griffondore alla avec ses parents alors que les Weasley, Dorian et les gardes du corps se rendirent aux deux voitures qui attendaient. Arthur entra dans la première voiture avec son fils, alors que Ginny et Dorian allèrent dans la seconde. Arthur ordonna à ses gardes du corps de monter dans la première voiture et de laisser sa fille seule avec son fiancé. Cet ordre déplut aux gardes qui ne pensaient qu'à la sécurité de la famille.

« Mon Seigneur, dit l'un des gardes. Croyez-vous qu'il soit sécuritaire de laisser mademoiselle votre fille seule sans protection et avec un jeune homme ? »

« Ma fille est très bien protéger avec ce jeune homme. » répondit Arthur.

« Bien mon Seigneur » dit le garde avant d'entrer dans la voiture qui se mit sur la route du Terrier.

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Drago et sa mère venaient de transplaner devant le domaine familial. Devant eux s'élevait un énorme portail en fer forgé où l'on pouvait voir le blason de la famille qui représentait un Magyar à pointe et un Norvégien à crête.

« À vous l'honneur mon fils. » dit la mère du jeune homme.

Drago posa les mains sur le portail et poussa pour ouvrir l'accès du domaine. Il entra et referma le portail avant de s'engager dans l'allée et ils marchèrent la distance qui les séparait du manoir en silence. Drago s'efforça de percevoir les pensées de sa mère. Bien qu'il ne fût pas capable de percevoir quelque chose de clair, il avait réussi tout de même à entrevoir une idée des pensées de sa mère et ce qu'il perçut le rassura et le fit se détendre.

Ils arrivèrent devant la double porte du manoir ancestral des Malfoy. Il poussa la porte et entra dans le hall. Son regard fut attiré par six petits elfes de maison qui se présentaient devant eux. Drago leur donna ses bagages et se rendit dans la grande salle, point central du manoir.

Cette pièce circulaire d'un rayon d'environ cinq mètres s'ouvrait sur toutes les autres parties du manoir. Le plafond était très haut, car du troisième étage, on pouvait voir se qui se passait dans la grande salle.

Il traversa sa pièce, mais il s'arrêta soudainement au centre de la salle. Son regard se porta sur le sol de marbre et regarda attentivement les arabesques de la mosaïque qui était dessinée, depuis des siècles, sur le sol. Certains symboles lui semblèrent familiers.

C'est alors qu'une folle idée le prit. Il courut à l'escalier et grimpa les marche jusqu'au troisième étage et regarda le sol de la grande salle.

« Seigneur dieu… souffla Drago en réalisant enfin pourquoi certains symboles lui étaient familiers. Le sol de la salle était un pentagramme d'invocation, probablement créé par François Malfoy lui-même. J'ai trouvé ! » cria-t-il alors à sa mère qui était restée en bas ne comprenant pas les actions de son fils.

La mère était perplexe et se questionnait sur le sens des paroles de son fils. Elle le regarda redescendre à toute vitesse. Elle vit son fils appeler un elfe de maison pour qu'il lui ramène l'une de ses valises. Alors qu'il attendait le retour de l'elfe, il s'affaira à déplacer les quelques meubles qui étaient dans cette salle. C'est lors du déplacement d'une petite table, il remarqua que le mur portait lui aussi des symboles d'invocations.

« Drago, pouvez-vous me dore ce que vous faîtes ? » demanda Mme Malfoy.

« Je fais ce qui aurait dû être fait depuis des siècles et des siècles par notre famille, répondit Drago alors que l'elfe revenait. Mary, tu vas me vider toute cette pièce. Je veux que tous les meubles et tableaux disparaissent de cette salle en moins de cinq minutes. »

J'aimerais tout de même comprendre » poursuivit Narcissa.

« Vous comprendrez mère... vous comprendrez lorsque j'aurai terminé. » dit Drago en sortant de la valise amenée par Mary, la rapière familiale.

Il installa l'arme à sa hanche gauche et regarda les elfes de maison travailler. Une fois que tout avait disparut, il étudia quelques instants les symboles démoniaques et les runes.

Il dut avoir recourt à plusieurs moment, à certains ouvrages que son père lui avait donné et aux livres que Dorian lui avait prêtés Narcissa regarda son fils consulter de nombreux ouvrages qu'elle savait noirs et maléfiques. Elle préféra suivre les conseils de son fils, d'attendre et de voir se qui va se passer. Elle vit soudain son fils fermer le dernier livre et d'un geste de la baguette, il retourna les livres dans sa valise.

« Mère, je vous demanderais de venir ici. » demanda Drago à l'autre bout de la pièce.

Narcissa vint le rejoindre et se plaça dans derrière son fils dans un cercle fait de runes et autres de symboles.

« Je vous préviens mère, dit Drago. En aucun cas, vous ne devez quitter le cercle qui nous entour. »

Sans attendre la réponse de sa mère, qui était trop surprise par les gestes de son fils, il commença une incantation. Narcissa vit s'illuminer l'énorme pentacle de la grande salle circulaire et elle remarqua le même phénomène sur les différents symboles et runes sur les murs. Drago chanta la formule d'invocation que formaient les symboles et runes pendant une dizaine de minutes avant qu'une flamme énorme surgisse au centre du pentacle. Dans la flamme, un être de six mètres se forma.

Drago regardait, émerveillé, le démon qu'il identifia comme un Seigneur Balar. Cinq minutes plus tard, la flamme disparut laissant l'être dans le pentacle.

Le démon de six mètres, aux grandes ailes noires, à la peau écailleuse couleur des ténèbres avec une tête munie de deux énormes cornes et d'une gueule aux dents pointues. Ses mains étaient munies de griffes qui peuvent aisément éviscérer un homme. La créature braqua son regard rougeoyant sur Drago, un rictus mauvais se forma sur le visage du démon.

« Ainsi, petit mortel, tu oses prétendre à ma puissance. » dit le démon.

« Tu as été le serviteur de mes ancêtres et de notre famille durant de nombreuses années avant que celle-ci ne sombre dans d'abjectes pratiques, dit d'une voix dure et froide Drago. Aujourd'hui, je vais rétablir le pacte que nous avions. »

« Petit Malfoy, dit le démon. Crois-tu être en mesure d'ordonner et de rétablir l'honneur de ta famille. »

« J'ai suivit une formation bien différente de celle que la famille pratiquait depuis près de mille ans, dit Drago qui retira se chemise et tourna sur lui même. Je ne porte aucune marque démoniaque pourtant j'ai deux démons à mon service, mais aucun n'égal ton pouvoir. »

« Aucun démon n'égal ma puissance. » dit la créature maléfique en s'approchant le plus de Drago et sa mère.

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Narcissa fut pétrifiée par la vision de cette créature. Son fils venait de faire apparaître cette monstruosité dans leur manoir. Elle écouta l'échange ne pouvant rien faire d'autre. Elle fut très surprise d'apprendre que le démon était, il y a très longtemps, un être de la Famille Malfoy…

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Drago prit sa rapière et dégaina. Le démon sembla amusé par se geste.

« Restez là mère, dit Drago en s'avançant. Je vais montrer à se démon, que le sang des Malfoy coule dans mes veines. »

« Haha ! Je vais te faire souffrir, te tuer et faire de toi mon serviteur. » dit le démon.

Drago pénétra dans le pentacle du démon.

« Jamais un Malfoy ne s'agenouillera devant quiconque. » rugit Drago avant de prononcer quelques paroles qui firent réagir la lame qui s'illumina.

Le démon fit apparaître son arme, une épée à sa taille à la lame enflammée. Il abattit sont arme sur Drago qui leva la sienne. La mère du jeune homme poussa un hurlement lorsque l'épée arriva sur son fils. Lorsque les lames se touchèrent un flash lumineux éblouit la mère de Drago qui fut obliger de fermer les yeux sous l'intensité lumineuse.

Elle attendit quelques secondes avant d'ouvrir les yeux. Elle vit que la lame du démon était bloquée par un bouclier translucide qui émanait de l'arme et qui entourait son fils.

Le démon recula de quelques pas abasourdit par ce qui venait de se produire.

« Incroyable… murmura le démon avant de sourire à nouveau. Je n'avais pas sentit ça depuis des siècles… Jeune Malfoy… Tu échauffes mes sens et mon sang est en ébullition, dit le démon avant de mettre un genou au sol. Vous êtes bien le descendant de François et vous avez regagné l'honneur de votre famille. Veillez pardonnez mon écart, mon Prince. »

« Je savais que je pouvais te faire entendre raison, dit Drago. Maintenant scellons à nouveau nos destinés. »

Le démon s'ouvrit les veines du poignet droit.

« Moi, Zaphariel, dit la Bête des Enfers, maître-démon le plus puissant depuis la chute du Grand Belzébuth, Empereur des Enfers, je lis ma destinée avec celle de Drago Lucius Malfoy, l'un des Princes de France et celle de ta Famille qui devra rester en digne. » prononça le démon.

« Moi, Drago Lucius Malfoy, Prince de France, lis mon destin et celui de ma Famille à toi, Zaphariel, Bête des Enfers. » répondit Drago en s'entaillant le poignets droit à son tour.

« Mon Prince, dit Zaphariel. Vous n'avez qu'à prononcer mon nom et je me présenterai à vos côtés. Le démon se releva et fit disparaître son arme. Je vous fais grâce des protecteurs que votre Famille a perdus lors de la perversion de François. »

Drago retourna vers sa mère qui était toujours figée et tremblait légèrement.

Le démon incanta un sort qui fit apparaître un Magyar à Pointe énorme dans la salle circulaire.

« Voici Louis, le dragons des Malfoy, l'un des trois protecteurs, » dit le démon qui était à l'étroit tout comme la bête qu'il venait de faire apparaître.

Le dragon porta sa tête près de Drago et renifla un peu avant de se tourner vers le démon qui lui dit quelques mots en draconique avant de ce dernier ne fasse disparaître l'énorme reptile dans une gerbe de flamme.

« Je l'ai seulement envoyé à l'extérieur, car nous sommes trop à l'étroit pour le dernier protecteur. » expliqua le démon.

« Vous n'aviez pas dit que j'en avais trois ? » demanda Drago.

« Je suis le premier protecteur de la famille Malfoy, Louis est le second. » répondit Zaphariel.

« Très bien, alors rencontrons le dernier. » dit Drago.

Le démon recommença le même manège que pour le dragon. Après un certain moment, il vit apparaître un être de Feu devant lui. L'élémental se plaça face à Drago après avoir fixé Zaphariel et il s'inclina devant le jeune homme.

« Mon Prince, je suis Pyross, Être de Feu et protecteurs des Malfoy durant six cents ans, avant que nous quittions la Famille attendant le retour d'un héritier digne. » dit l'élémental.

« Je suis heureux de pouvoir reconstruire l'intégrité totale de mon Clan. » dit Drago.

« Si vous permettez, mon Prince, dit Zaphariel. Nous allons propager la nouvelle de notre retour dans le Clan Malfoy. »

« Faite… faite… dit le jeune homme. Vous viendrez me dire comment ça c'est passé. »

Le démon s'inclina et disparut. Pyross fit une révérence et fut enveloppé par les flammes qui le transportèrent ailleurs. Une fois que les deux créatures eurent quittées, Drago se conjura un fauteuil et si laissa tomber. Il posa sa rapière sur ses genoux et passa une main dans ses cheveux avant d'essuyer les perles de sueurs qui étaient sur son front.

Narcissa vint se placer devant son fils et posa une main sur la joue du jeune homme.

« Ton père aurait été fière de ce que tu as fait. » dit Narcissa avec une pointe d'amertume dans sa voix.

« Je ne le crois pas mère… dit Drago en souriant. Il serait fort enragé de savoir que j'ai réussi à ramener les protecteurs, car plus jamais les Malfoy ne s'écraseront devant un autre Clan, un égal et surtout devant un Seigneur des Ténèbres. »

La mère du jeune homme se mit à genou devant lui et prit ses mains dans les siennes, elle capta le regard de son fils.

« Se pourrait-il que vous tourniez le dos au Seigneur des Ténèbres ? » questionna Narcissa avec une lueur d'espoir qui brillait dans ses yeux.

« Il vaut mieux pour ma santé qu'il en soit ainsi, sinon ma belle Cythèla va me tuez, ainsi que Dorian, répondit Drago en se relevant et en aidant sa mère à en faire autant. Allons mère, venez, il faut que je vous raconte mon année scolaire. »

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Ginny dormit le voyage de King Cross jusqu'au Terrier. Sa tête reposait sur l'épaule de son fiancé qui discutait, mentalement, avec Aritanaë sur certains faits divers et problèmes avec la Famille. Alors qu'il échangeait avec le coualt, il tenait une main de la jeune fille qu'il caressait inconsciemment. Il avait le regard fixe et vitreux, car son esprit venait de prendre possession du corps du coualt pour régler un problème.

Plus tard, alors qu'ils arrivaient au Terrier, la jeune fille s'éveilla tranquillement. Elle dirigea son regard vers le paysage qui défilait. Ginny regarda ensuite le jeune home à ses côtés. Elle sut, avec son don, que Dorian n'était pas totalement dans son corps. Elle se redressa et monta à cheval sur les genoux de son fiancé. Elle rapprocha son corps de celui du jeune homme et elle passa ses bras autour du cou de Dorian, elle plongea son regard dans le sien. Elle le sentit reprendre place dans son corps. Elle ne lui laissa pas le temps de réintégrer complètement son corps qu'elle posa ses lèvres sur les siennes. Ginny sentit les mains de son homme se poser sur sa taille et s'immiscer sous son gilet pour caresser le bas du dos ce qui la fit frissonner.

Lorsqu'ils se décolèrent, quelques minutes plus tard, Ginny fit un petit sourire angélique.

« Nous somme sur le point d'arriver mon amour. » dit Ginny en restant sans la même position.

« Nous devrions demander à Namour de nous rejoindre dès maintenant alors… » dit Dorian.

« Allez… contact Maly et demande lui de dire à mon ptit bébé de venir me rejoindre. » dit Ginny.

Dorian s'exécuta. Il ne fallut que quelques secondes pour que le Tigronix apparaisse à l'endroit où se tenait Ginny. La jeune fille quitta les genoux de son fiancé pour retourner s'asseoir pour s'occuper, cajoler et caresser le Tigronix. Dorian regarda à l'intérieur et vit au loin le Terrier. Il sentit une douleur au niveau du cœur. « Un petit paradis d'amour qui les protèges un peu du monde extérieur... Mais il va falloir qu'Arthur investisse un peu dans la construction d'un manoir. » pensa Dorian alors que la voiture arrêtait devant le Terrier.

Dorian vit Ginny se précipité a l'extérieur avec Namour qui la suivait. Pour sa part, il sortit tranquillement et regarda les alentours. Il perçut du mouvement près de lui. Il se déplaça rapidement sur la droite et agrippa ce qui était près de lui. Sa main se referma sur la gorge d'une personne qui émit un glapissement étranglé.

En moins de cinq secondes, Dorian fut entouré par les gardes d'Arthur, leurs baguettes levées. M. Weasley essaya des les arrêter, mais le chef des gardes le força à entrer pour sa protection, ce qui attira l'attention des autres Weasley présent dans la maison, mais ils furent tous retenus à l'intérieur. Ils virent le chef ordonner à Dorian de lever les mains, mais il ne bougea pas, tenant toujours le garde invisible.

« Il est très impoli de s'en prendre à un invité. » répliqua Dorian en resserrant sa prise sur la gorge du garde.

Dans la maison, Ginny saisit rapidement Namour et l'utilisa pour sortir de la maison. Elle apparut non loin de l'entré de la maison surprenant les deux gardes de la porte. Namour se plaça face aux gardes pour les empêcher de retenir la jeune fille qui se dirigea vers les autres gardes qui pointaient leurs baguettes sur Dorian. En marchant vers eux, elle les interpella.

« Je vous ordonne de ranger vos baguettes maintenant, dit la jeune Weasley en se plaçant au côté de Dorian et elle avait bousculé, au passage, deux gardes qui avaient tenté de la retenir. Si vous ne le faite pas, vous le regretterez. »

« Mademoiselle, je vous demande de vous éloignez de cet individu pour votre protection. » dit le chef des gardes.

« Vous êtes que de sombres crétins, cracha Ginny. Vous ne lisez jamais les journaux et vous ne vous tenez pas au courant des affaires interfamiliales ? »

« Il en va… » commença le chef avant d'être coupé.

« Ça SUFFIT ! » dit une voix puissance.

Ginny vit alors son père venir les rejoindre et il avait l'air furieux.

« Mon seign… » voulut protester le garde.

« Il suffit ! dit froidement Arthur. Le fiancé de ma fille est toujours le bienvenue ici. Arthur fit un sourire rayonnant à sa fille qui semblait très fière de lui. Il s'adressa ensuite à Dorian. Excusez les manières de mes gardes… Enfin, ils ne connaissent pas tout encore. »

« Ce n'est rien Arthur, dit Dorian en relâchant sa prise sur le garde qui put enfin respirer. Mais je te conseil de ne pas simplement prendre des sorciers dans ta garde. »

« Nous ne pouvons faire confiance à aucune créature magique. » protesta un garde.

« Au contraire… dit Ginny en prenant la main de Dorian. Leur loyauté sera plus forte que celle entre deux sorciers. »

Arthur fit signe aux jeunes de rentrer, alors qu'il resta avec les gardes. Il attendit d'être rejoins pas tous les gardes avant de prendre la parole.

« Lorsque je donne un ordre, je veux qu'il soit exécuté, dit M. Weasley. Je veux que vous ailliez confiance en moi et mes décisions. »

« Mon Seigneur, dit le chef des garde. Pourquoi faîtes-vous confiance à se jeune homme et que vous lui portez une oreille attentive lorsqu'il parle ? »

« Soyez simplement heureux que César ne m'ait pas demandé réparation. » dit Arthur avant de retourner à l'intérieur laissant les gardes tétanisés par les derniers propos de leur Seigneur.

À l'intérieur, Molly accueillit sa fille et son futur genre à sa manière en les prenants dans une embrassade qui surprit Dorian.

« Maman dit Ginny lorsque sa mère relâcha Dorian. Où sont les autres ? »

« Les jumeaux ferme leur magasin, Charlie devrait arriver d'ici peu tout comme Bill et Fleur qui vont revenir de France pour le souper, répondit Molly. Pour l'instant, montez vos bagages. Le repas sera prêt dans une heure. »

Elle chassa donc les jeunes de la cuisine. Ginny entraîna Dorian à l'étage et l'amena à sa chambre. Elle ouvrit la porte, entra rapidement avant de la refermer au nez de Dorian. Il dut attendre un bon cinq minutes avant que ka jeune fille ne daigne lui ouvrir la porte, avec un sourire innocent sur le visage. Dorian soupira désespérément avant d'entrer dans la pièce

La chambre avait été agrandit par les soins de sa fiancée. Sur les murs, il vit de nombreux posters de quidditch et de différents groupes de musique. Il remarqua que le lit avait lui aussi été métamorphosé pour être plus grand et plus confortable. Il fit le tour de la pièce et il remarqua un bout de tissu dépasser de dessous le lit. Lorsqu'il le ramassa, il remarqua la montagne de vêtements cachée sous le lit.

« Là, je te reconnais mieux… » rigola Dorian en balançant sous les yeux de la jeune fille l'une de ses petites culottes.

La jeune Weasley lui arracha le vêtement et le mit dans un tiroir, en pestant contre sa mère qui, contrairement à son habitude, n'avait pas fait le ménage de sa chambre au courant de l'année scolaire. Dorian la regarda faire, alors qu'il sortit ses valises, ainsi que celle de Ginny, avant de leur rendre leurs tailles.

Ginny, après avoir rangée, le vêtement, alla ouvrit la porte à Namour qui se plaignait sur le pas de la porte.

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Neville et son père venait de transplaner dans leur maison suivit de près par sa mère et Graciela.

« Bienvenue au Manoir Londubat. » dit Franck à Graciela qui s'était rapprochée de Neville.

« Nev, va montrer à cette charmante jeune fille où est sa chambre et fait lui faire le tour du Manoir, lorsque vous aurez terminé, nous mangerons. » dit Alice.

Neville et Graciela montèrent à l'étage et se rendirent dans la chambre du jeune homme.

« Bien que mes parents ne seront probablement pas en accord, mais nous partagerons la même chambre… dit le jeune homme avant d'ajouter rapidement. Enfin, si tu le veux… »

« Allez… Allez… dit Graciela en entrant dans la chambre du griffondor. Allons voir notre chambre… »

La chambre de Neville est de taille moyenne avec de nombreux pots de plantes sur le sol, le bureau et la commode. Une grande fenêtre permettait l'entrée de la lumière pour les plantes. La chambre était peinte d'un blanc immaculé.

Ils se débarrassèrent de leurs bagages et Neville fit faire le tour à Graciela et allèrent rejoindre les adultes pour le souper.

« Alors, comment vous êtes-vous connus ? » demanda Alice.

« Et bien, commença Neville. Nous nous sommes rencontrés la première fois lors du bal de la St Valentin. Vers la fin de la soirée, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai demandé à Dorian, son frère, si je pouvais l'invité à danser. Et contrairement aux autres qui ont tentés une approche de Ciela, il me laissa faire. »

« À partir de se moment, il fut la première personne, autre que mon frère, sa fiancée et Harry. Par la suite, il me prit en 'charge'. Mon frère a dû éloigner de nombreux élèves entreprenant et lorsqu'il ne pouvait le faire, Neville m'aidait sur ce point là. » expliqua Graciela.

Les parents de Neville écoutèrent attentivement l'histoire et l'évolution de la relation entre leur fils et sa petite amie.

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Le cri de Mme Weasley, qui les appelait pour le souper, rapatria Ron, qui dévala les marches, ainsi que Ginny qui était montés sur le dos de Dorian suivit de Namour.

Dans la cuisine se tenait toute la famille au complet, même Percy était présent, malgré des réticences, avec Pénélope Deauclaire. Bill était accompagné de Fleur, alors que Charlie, pour sa part, était accompagné d'une jeune femme aux cheveux bruns coupés court et aux yeux d'un bleu quasi irréel.

« Allez… allez… tout le monde à table, dit Molly. Pour une fois que nous avons tout le monde présent en même temps. »

Alors que les jumeaux se placèrent le plus près possible de Dorian, Ron alla se placer près de son père, Bill, Charlie et Percy, alors que leurs douces moitiés s'installèrent ensemble.¸

Dorian jeta un regard suspicieux aux jumeaux qui s'étaient installés à sa gauche. Il les délaissa du regard, pour regarder Ginny à sa droite, mais il déposa sa main sur son verre pour empêcher Fred d'y mettre quelque chose. Sa fiancée sourit en voyant ses frères essayer de piéger Dorian, mais c'était sans compter leur mère qui avait vu son fils tenter de faire une farce à son futur gendre.

« Fred ! cria Molly. Tu ne peux pas arrêter de faire des farces insipides. Si je te revois tenter un autre tour pendable et c'est aussi valable pour toi George, ajouta Molly en faisant sentir au second jumeau qu'elle ne l'avait pas oublié. Je vous ferai regretter ce tour et tous les autres que vous avez fais auparavant. »

Les jumeaux avaient bien perçus l'irritation de leur mère. Ils s'enfoncèrent le plus possible sur leur chaise, se faisant le plus petit possible.

Leurs frères et sœur rigolèrent ouvertement de la colère de leur mère que les jumeaux venaient de s'attirer, mais ils s'arrêtèrent rapidement après un regard noir de leur mère.

Le repas, par la suite, se passa au rythme des discussions, d'affaires familiales pour les hommes, alors que du côté des femmes, elles parlèrent du mariage de Bill et Fleur qui aura lieu la première semaine de juillet.

Arthur mit ses fils au courant des nombreuses affaires que la famille initiait, compagnies et entreprises achetées, placements boursiers autant moldu que sorcier, des affiliations de clan et famille de moindre importance et des appuis qu'il avait pu avoir dans plusieurs mondes.

Bill s'intéressa plus au côté financier, Percy à la gestion et aux relations interfamiliales, alors que Charlie c'était plus les relations avec les clans de créatures magiques qui l'intéressait et Ron c'est plus de côté milicien qui l'attirait. Il restait seulement les jumeaux qui n'avaient pas trouvé un sujet qui leur plaisait plus que les autres.

« Alors, nous avons acquis quatre compagnie moldues, une pétrolière, une en électronique et deux en pharmaceutiques, bien que je ne puisse dire ce que tout ce charabia veut bien dire… » dit Bill.

« Se sont trois domaines très payant dans le monde moldu, dit Dorian. Le pétrole est une matière qui est à la base de plus de 70 de tout ce que le monde moldu fabrique. L'électronique est au centre de la vie de toutes familles des pays riches, téléviseur, téléphone, radio, consoles de jeux et j'en passe, énuméra le jeune homme. Et la pharmaceutique c'est le développement du monde médical moldu, ce qui est aussi très lucratif. »

« Exactement, dit Arthur. Bien que ces quatre compagnies aient grugés énormément nos fonds de départ, les retombées seront colossales. De plus, nous avons aussi réussi à intégrer quelques grandes familles moldus qui possèdent des entreprises plus modestes que les quatre grosses multinationales, mais qui, néanmoins, rapportera un bon pourcentage sur leur profit brute en retour du soutient magique et financier que nous leurs offrons pour que leur entreprise prospère. »

« Ça c'est du côté moldu, mais dans notre monde ? » demanda Percy.

« Et bien, c'est beaucoup plus simple, répondit son père. Nous avons pu rattacher plusieurs familles et petits clans, mais, pour la plus part, c'est part le goût et l'appât du pouvoir qu'ils peuvent acquérir en se liant avec une famille des Vingt, surtout depuis la rumeur sur le mariage entre Ginny et Dorian. »

« Des pics assiettes avides de pouvoir et de richesse. » dit Charlie.

« C'est le monde des Vingt, dit Dorian. Le pouvoir rend les hommes hypocrites et avares de plus de pouvoir… »

« C'est pour ça que je veux que vous, mes fils, appreniez à ne pas tomber dans le vice du pouvoir et à gérer les hommes qui voudraient tirer de nous de plus en plus, simplement par avarice. » dit-il à ses fils.

« Je ne penses pas que nous tomberons dans se vice, dit Ron en jetant un regard noir à Percy. Certains ont eus la leçon. »

Les regards convergèrent vers Percy..

« Et les créatures magiques, comment ça se passe avec eux ? » demanda Charlie pour dissiper le malaise.

« Bien, nous sommes en négociation avec trois clans elfiques, nous avons ralliés un clan mineur de vampires, mais nous essayons auprès d'un autre plus important, informa Arthur. Nous avons aussi une alliance fraîchement faite avec un clan petit de Célestes et nous venons de prendre contact avec un groupe de Norvégiens à Crête sauvage, par l'entremise de Myska. »

« Comment fais-tu pour les communications avec les dragons ? » demanda Charlie très curieux.

« C'est assez simple, je me suis procuré un pendentif de Kalach… » dit Arthur.

« Un pendentif de Kranash… papa… » corrigea Ginny qui avait délaisser quelques instants la discussion avec les autres femmes.

« Oui, c'est ça, enfin, un objet qui me donne la possibilité de communiquer avec des animaux. » poursuivit Arthur.

« Wow ! s'exclama Charlie. Ça doit être génial se truc et surtout coûter une vrai fortune. »

« En fait, il ne m'a rien coûté, dit Arthur. Un petit cadeau de la par de Snicks et Aritanaë. »

« Et se sont qui ces deux gars là ? » demanda Ron

« Deux coualts. Snicks est un des protecteurs du Clan Potter, alors que Aritanaë un des miens. » répondit Dorian.

« Tu pense qu'il me serait possible d'en avoir un ? Disons qu'avec mon travail ça serait un énorme avantage. » demanda Charlie

« Ça ne devrait pas être difficile, répondit Dorian. Donnes-moi un peu de temps et tu en aura un. »

« Je peux en avoir un moi aussi ? » demanda Ron.

« Oui… tu en auras un… surtout si tu veux être capable de suivre le petit entraînement estival. » dit Dorian.

« Attend ! dit Ron. C'est quoi ton histoire d'entraînement estival ? »

« Oh ! Tu n'étais pas au courant, dit Dorian en prenant un air surprit. Harry et moi, nous avons prévu de passer la fin du mois de juin et tout le mois de juillet en formation continuellement, sans pose bien sûr. »

« Quoi ? » s'exclama Ron qui s'attira un regard noir de la part de sa mère et de sa sœur.

« Bah… fait pas cette tête là… Tu vas revoir Hermione plus rapidement c'est tout. » dit Ginny.

« Mouais… c'est bien petit bien pour un gros mal… » soupira Ron.

Le repas dura encore et encore animé par les diverses discussions.

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Alors que le Terrier était totalement endormit, Dorian quitta le lit et se transporta à l'extérieur de la maison. Il fit sursauter les deux gardes qui étaient de surveillance.

« Bonsoir messieurs. » dit simplement Dorian.

« Bon… bonsoir, César. » bégaya très stressé Edward, le chef des gardes.

« Relax… je ne suis pas ici pour réparation, dit Dorian ce qui détendit l'homme. Je suis simplement passé pour te dire un mot. Il se rapprocha de l'homme. La prochaine fois, gardes-toi de ne pas écouter ton seigneur, parce que tu lui doit ton travail, la sécurité et il est le chef de ton Clan, alors respect le et sert le avec honneur et loyauté. »

« Bien, César. » dit Edward en s'inclinant légèrement devant Dorian.

« Et bien sûr, cela vaut aussi pour tous les autres membres importants de la famille, continua le jeune homme. Fait passer le mot pour moi. »

Les deux hommes s'inclinèrent, alors que Dorian retourna dans la chambre de sa fiancée qui ne c'était pas éveillé. Il se glissa doucement sans le lit en faisant attention à ne pas réveiller l'occupante.

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Ginny était plongée dans un merveilleux rêve, mais elle en fut tirée par Dorian qui lui offrait la manière qu'elle préférait avoir son réveille. Elle sentit les mains de son fiancé lui caresser le ventre très doucement, alors qu'il lui embrassait le cou. Elle ne put retenir un petit gémissement de bonheur qui fit stopper Dorian.

« Allez, on se lève, il est cinq heure du matin e nous avons un entraînement aujourd'hui. » lui chuchota-t-il à l'oreille.

« Veux pas me lever… se plaignit paresseusement Ginny. Veux rester ici et profiter de ton corps toute la journée… »

« Tu en profiteras à ma manière. » dit Dorian avant de sortir du lit.

Ginny grogna, mais suivit tout de même les directives de Dorian et quitta le lit. Elle enfila ses vêtements d'entraînement et cinq minutes plus tard, elle suivit Dorian à l'extérieur de la maison sans faire de bruit. Namour les suivit et ils se retrouvèrent tous dehors où ils saluèrent les gardes et firent un petit jogging matinal de deux heures. À leur retour, un peu d'étirement avant de passer à table et après de poursuivre l'entraînement.

Lorsqu'ils entrèrent dans la cuisine, ils virent Mme Weasley entrain de cuisiner un copieux déjeuner.

« Où étiez-vous ? » demanda-t-elle lorsque les deux adolescents entrèrent dans la pièce.

« Deux heures de jogging, répondit sa fille. Ça commence bien une journée. »

« Je te crois, tu sembles en pleine forme et très joyeuse. » répliqua sa mère en remplissant généreusement les assiettes des deux jeunes.

« Ah ! Ça c'est plus grâce à mon réveil matin personnel ! » dit la jeune fille se qui fit grogner Dorian.

« Et qu'avez-vous l'intention de faire aujourd'hui ? » questionna Molly.

« Et bien, entraînement physique pour Ginny pendant que je veux réparer mon armure que les hommes de Rogue mon bousillée. Ensuite, je dois aller chercher quelques personnes et nous rejoignons tous Harry en soirée à Grimmault place avant de nous rendre au Monastère pour s'entraîner sans une salle temporelle, revenir pour le mariage de Bill et retourner dans la salle jusqu'à la fête de Harry. » dit Dorian

« Donc, on ne vous verra pas beaucoup. » constata Molly.

« Vous auriez pu venir, mais Arthur ne peux pas se permettre de quitter et vous demeurez la seule à pouvoir s'occuper des préparatifs pour le mariage. » dit Dorian.

« C'est vrai ça ! dit Ginny. Tu es la seule en qui j'ai confiance pour s'occuper du mariage. »

« Je vois, dit Molly songeuse. Je vais avoir un été plutôt chargé. »

Bill et Charlie entrèrent dans la cuisine et prirent place. Leur mère mit rapidement beaucoup de nourriture dans leurs assiettes.

« Bonjour à vous deux. » dit Ginny, alors que ses deux frères entraient dans la cuisine.

« Salut… » dit Bill.

« Tu es beaucoup plus matinale que dans mes souvenirs… » dit Charlie

« Ce n'est pas de ma faute, dit Ginny. Monsieur voulait absolument faire du jogging, mais j'aurais préférée faire la grâce matinée. »

« 'Grâce matinée' ? dit septique Charlie qui fixait Dorian. Tu es sûr ? »

« Oui, pourquoi ? Tu as d'autres choses à me proposer de faire ? » demanda innocemment Ginny

« Fait comme si je n'avais rien dit. » répliqua Charlie avant d'engloutir un œuf entier.

« Tu t'es fait avoir ! » rigolèrent les jumeaux qui venaient d'entrer dans la cuisine et ils prirent place.

« Laissez Ginny tranquille et manger. » dit Mme Weasley.

Dorian avait préféré garder sa langue lors de l'échange entre les membres de la famille. Lorsque Molly mit fin à la joute verbale entre les enfants, elle quitta la cuisine pour aller réveiller Ron.

« Alors Gin, tu vas faire quoi aujourd'hui ? » demanda un des jumeaux.

« Faut demander à Dorian, c'est lui qui décide. » répondit la jeune fille.

« Alors, dit le second jumeau à Dorian. Votre programme. »

« Entraînement et si vous voulez savoir ce que ça veut dire, vous viendrez voir. » répondit Dorian.

Molly redescendit en compagnie de Fleur, Seras et de Ron qui était encore passablement endormit. Le déjeuner se passa dans le calme et la bonne humeur. Ginny et Dorian furent les premiers à finir de manger. Ils quittèrent la table et se rendirent à l'extérieur.

« Alors, on travail sur quoi ? » demanda Ginny, alors que Namour alla s'étendre dans l'herbe.

« Commençons avec ce que tu préfères le plus. » dit Dorian en souriant.

« De la danse ! s'exclama la jeune fille qui trépignait de joie et sauta au cou de Dorian, alors qu'une ombre vint déposer le un radio et des CD. Tu es vraiment un amour, mon ptit Dodo. »

« Je sais… je sais… soupira Dorian en déposant la jeune fille et mettant un CD. Mais, se sera court, car nous devons passer au maniement de l'épées. »

Ginny transforma le sol en plancher de bois, parfait pour la danse. Dorian vint la rejoindre et ils dansèrent sur de nombreux morceaux pendant une heure.

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Les Weasley ainsi que Fleur et Seras, encore dans la cuisine, entendirent la musique s'élever. Intrigués, ils se levèrent de table et sortirent de la maison pour tomber sur la cadette de la famille dansante avec Dorian.

« Wow ! s'exclama Fleur. Ils ont dû talent ces deux-là. »

« C'est vraiment magnifique de voir ma fille danser si bien. » dit Molly.

Ils regardèrent encore quelques instants avant de retourner à l'intérieur. Ron fut le premier, suivit des jumeaux et de leurs frères aînés. Les femmes restèrent un peu plus longtemps, mais finirent par rentrer.

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Après l'heure de danse, Dorian arrêta la musique, au grand déplaisir de Ginny. La jeune fille alla prendre ses deux épées courtes dans sa chambre, alors que son fiancé lui préparait deux gardes animés comme ennemie pour Ginny.

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Alors que Ginny et Dorian dansaient, M. Weasley avait réuni ses fils et s'occupèrent de gestion financière, contacts sorciers, moldus et avec des créatures magiques.

« Je pense que je dois vous donnez des responsabilités au sein de notre Clan, dit-il à ses fils alors qu'ils étaient tous réunis dans le salon. Alors, dites moi dans quel domaine voulez-vous vous retrouver ? Enfin, sauf toi Bill, car tu es l'héritier et tu devras toucher à tout. »

« Moi, dit Charlie, j'aimerais bien être des relations avec les créatures magiques. »

« Et moi, c'est les relations interfamiliales qui m'intéresse. » dit Percy

« Est-ce que c'est possible de se faire une genre de milice, parce que c'est ce qui m'intéresserait, la stratégie militaire. » dit Ron, alors que son père approuva.

« Et vous les jumeaux ? » demanda Arthur.

« En fait, nous… » commença l'un d'eux.

« … ne savons pas vraiment… » poursuivit le second.

« … quel serait notre domaine. » termina le premier.

« Enfin, réfléchissez-y et vous nous tiendrez au courant de votre décision. » soupira leur père.

Arthur profita de l'avant-midi et de l'après-midi pour exposer, très en détail, les affaires entamées par la famille.

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Mme Weasley, Fleur, Pénélope et Seras, la petite amie de Charlie, discutèrent des derniers arrangement pour le mariage de Bill et Fleur.

Lorsque la musique cessa, elles virent Ginny entrer et monter rapidement à l'étage pour en redescendre avec ses deux épées courtes. Elles quittèrent la table de la cuisine pour voir Ginny retourner auprès de Dorian qui se tenait devant deux armures magiquement animées. Elles virent le jeune homme s'éloigner de Ginny qui se positionna, alors que Dorian activait les gardes animés qui attaquèrent Ginny qui se défendit et contre-attaquait férocement ses adversaires.

Alors que la jeune fille se battait contre les gardes animés, Dorian s'arma d'un marteau, conjura un enclume et travailla sur son armure trouée.

C'est ainsi que les deux adolescents passèrent leur matinée et l'après-midi.

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Harry et Ahéris arrivèrent dans le salon du 12 Grimmault Place. Le Survivant regarda l'heure affiché sur l'horloge.

« Bon, il est 10h30 et… dit Harry qui communiqua, mentalement, avec Dorian. Et nous avons jusqu'en fin d'après-midi avant que les autres n'arrivent. Que faisons-nous ? »

« Et bien, dit la jeune femme, nous pourrions allez faire un tour au manoir Potter, j'aimerais bien voir de quoi à l'air notre maison. »

« Comme tu le veux. » répondit Harry en les transportant dans maison mère du Clan Potter.

Alors que les deux jeunes venaient de quitter le QG de l'Ordre, les deux derniers maraudeurs et leurs compagnes entrèrent dans le salon et n'eurent pas le temps de les retenir.

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Ils arrivèrent dans un grand Hall qui avait des proportions gigantesques.

« Emperator, dit un homme qui apparut devant eux et qui s'inclina légèrement. Comptez-vous rester longtemps ? »

« Non, malheureusement Hector, répondit Harry. Je nuis seulement venu pour faire le tour du manoir avec ma fiancée, ce que je n'ai pas eut le temps de faire la dernière fois. »

« Bien Emperator, si vous permettez, je vous servirai de guide, proposa Hector avant d'ajouter, à l'intention d'Ahéris. Veuillez excuser mon impolitesse Milady, je ne me suis pas présenté à vous. Je suis Hector Lomoë, intendant du manoir depuis mille ans. »

« Mille ans ? » dit Ahéris un peu surprise.

« Effectivement, votre altesse, je suis un vampire au service des Potter depuis mille ans, plus aussi deux cents ans au service des Griffondor » répondit Hector.

« Ha… je vois… » dit Ahéris alors que l'intendant les invita à le suivre.

Ils passèrent la journée à visiter le manoir qui était, en réalité, un château. Harry présenta Ahéris aux quelques membres du Conseil familial Potter qui étaient présent. Ils prirent leur dîner avec eux et firent plus ample connaissance.

Vers 16h30, ils retournèrent au QG et la première chose qu'ils virent fut Drago et Cythèla dans un exercice buccal qui occupait toutes leurs capacités mentales.

« Ils ont d'l'air heureux de se retrouver ces deux là. » dit Ahéris se qui attira l'attention de tous les personnes présente, sauf les deux concernés.

« Bon, nous avons tout le monde réuni, nous pouvons maintenant nous rendre au Monastère pour nous enfermer pour près de deux mois, en temps réel, d'entraînement, qui sera coupé d'une pause pour le mariage de Bill. » dit Dorian.

« Combien il se passera de temps pour nous ? » demanda Cythèla.

« Les deux mois équivaudrons à deux années. » répondit Harry.

« Quoi ? » dirent Ron, Hermione, Neville et Drago.

« Les deux mois seront pour nous deux ans… c'est la beauté des salles temporelles. » dit Ahéris.

« On ne peut pas avoir un été normal ? » soupira Ron.

« Ça va être très intéressant, protesta Hermione. Pense à tout ce que nous allons apprendre… »

« Allez, rassemblez-vous et prenez vos affaires. » coupa Dorian pour ne pas laisser le couple commencer une nouvelle joute verbale.

Alors qu'ils rassemblaient leurs affaires, Sirius, Remus accompagnés de Tonks et Jennifer transplanèrent dans le salon.

« Aha ! dit Sirius en pointant Harry du doigt. Vous êtes allé où se matin ? »

« Heu… au manoir… » répondit Harry.

« Non, mais ça ne se fait pas ça, arriver chez les gens et partir sans même leurs dirent 'bonjour' » protesta sa marraine.

« Désolé, dit Harry. Je n'ai pas pensé que vous étiez ici. »

« Ce n'est pas grave, mais, dit son parrain. J'aimerais savoir où vous allez comme ça. »

« Hé bien, dit Neville. Il semblerait que Harry et Dorian aillent prévu un entraînement surprise pour nous. »

« Un entraînement…dit Tonks pensive. Est-ce que je peux venir moi aussi ? demanda-t-elle. Parce que ça serait bon pour moi un peu d'entraînement avec un myrmidon… »

« Ouais ! dit Sirius enthousiasme. Ça pourrait être amusant. »

« Il n'y a pas de problème, sauf que vous ne viendrez qu'à la seconde partie de l'entraînement. » dit Dorian.

« Pourquoi ? » demanda Sirius.

« Les niveaux de maîtrises de la magie est trop différents, dit Harry. Votre maîtrise est trop élevée à comparer à celle des autres et nous ne voulons pas faire cinq entraînements différents. »

« Cinq ? » dit Remus.

« Un pour Harry, un pour Ginny, un autre pour Ahéris et un dernier pour les autres, dit Dorian. Se sont ceux prévus. Si en plus, nous devons en rajouter un pour vous… »

« Ça va devenir dur pour les profs. » termina le loup-garou.

« Exact ! » dit Harry.

« Je crois que nous n'avons pas le choix, dit Sirius. Alors, quand commencera la seconde partie ? »

« Après le mariage de Bill et Fleur. » répondit Ginny.

Les jeunes dirent au revoir et plièrent bagages avant que Dorian ne les transporte devant le Monastère.