Les aléas du Passé

Disclaimer L'univers et les personnages tel Harry et les autres appartiennent à JKR et à elle seule. Les personnage que moi j'apporte sont ma propriété. Cette histoire est à but de divertissement et ne sert aucun but lucratif .

Petite précision: mon histoire se déroule après la fin du tome 5 et il n'y aura aucun parallèle avec le tome 6!

Chapitre 1: Promesse sous les étoiles

Il fait nuit, par la fenêtre on peut voir que rien ne bouge dehors. L'obscurité simplement brisé par les lampadaires et les étoiles qui luisent dans ce ciel d'été recouvrent le monde d'une chape de mystère. A la fenêtre rien ne bouge, tout semble endormis et pourtant si on y regarde bien on peut voir qu'a travers une des vitre de l'étage de cette petite maison, si tranquille, si conventionnelle, si normale, qu'une forme ne semble pas endormis et observe le ciel tristement.

La forme n'est en fait qu'un être humain, un jeune sorcier nommé Harry Potter. Comme les nuits précédentes depuis la mort de Sirius, Harry lutte pour passer des nuits tranquilles. Sa cicatrice au combien célèbre ne cesse de l'élancer; rien d'alarmant bien sur mais juste cette légère sensation comme si elle voulait lui montrer qu'elle était toujours là. Mais comment pourrait-il oublier ca présence. Comment pourrait-il oublier pourquoi il a cette cicatrice et tout ce qu'elle lui a apporté. La mort de ses parents, devoir vivre chez les Dursley, ne pas connaitre les joies de l'enfance innocente, devoir supporter chaque secondes de chaque journées et chaque nuits la présence de Voldemort et surtout avoir perdu une fois de plus une famille qu'il pensait avoir retrouvé.

La mort de Sirius lui revenait sans cesse chaque fois qu'il fermait les yeux. L'image de Sirius traversant cette arche ... ce miroir ... ce ... il ne savait même plus comment il pouvait qualifier cette monstruosité qu'il lui avait ravie son parrain et comme à chaque fois qu'il se remémorait cette scène les larmes lui montèrent aux yeux mais ces yeux triste d'un vert si pur furent vite remplacer par une fureur indicible car comme a chaque fois qu'il repassait cette scène en boucle dans son esprit il ne pouvait évité de revoir le sourire qui ornait le visage de cette femme. Oh qu'il la haïssait, même plus que Voldemort si cela lui était possible mais bien sur Voldemort restait en tête au classement car il était à l' origine de tout.

Regardant ca montre Harry pus voir qu'il n'était que 22h45. Il s'était décidé à rester éveiller car étant aujourd'hui le 31 Juillet il savait que ses amis lui aurais, comme d'habitude, envoyer des hiboux pour son anniversaire et c'est ainsi qu'il scrutait patiemment le ciel dans l'attente des oiseaux.

Retournant sur son lit il prit le vieil album de photo que lui avait donné Hagrid et commença à le parcourir mais rapidement il sombra dans le sommeil accablé par la fatigue qu'il accumulait depuis le début des vacances.

Sombre et oppressant. Il se trouvait dans un cachot humide avec pour seule sorti une porte en fer lourde et ancienne; pas une fenêtre, pas un soupirail. Impossible de dire où il se trouvait. Dans le couloir à l'extérieur on pouvait simplement entendre un bruit de goutte tombant sur une dalle de pierre. Tout dans l'air exsudait une impression de douleur et de terreur

Un bruit de chaine un léger mouvement au fond de la cellule laissa entrevoir une forme enchainé au mur. Humain c'est tout ce qu'on pouvait dire. Cette personne avait les bras enchainés solidement bras écarté en croix mais il était impossible de distinguer autre chose.

Soudain un bruit étouffé de pas résonna dans le couloir. Un pas encore lointain; quelqu'un approchait ou plutôt un petit groupe approchait. A ce bruit la personne enchaîné se releva difficilement laissant échapper un grognement douloureux pour son corps meurtri. Les pas résonnait de plus en plus fort dans le couloir se rapprochant inexorablement au moins trois personne s'approchait mais l'écho brisant le silence les faisaient paraître des centaines.

Les pas s'arrêtèrent devant la porte puis le silence se fit soudainement encore plus oppressant que précédemment. Un petit tintement se fit entendre; quelqu'un cherchait une clé dans un fouillis métallique.

-"Allons Queudver dépêche toi je n'ai pas de temps à perdre, fit une voix sinistre, froide et sifflante.

-"Ou.. oui Maître, répondit une voix effrayée

Après un court moment le bruit d'une vielle serrure que l'on débloque troubla le silence pesant puis une lumière vive dissipa les sombres ténèbres laissant apparaitre a l'entrée de la cellule deux hommes accompagné d'une femme. Voldemort s'avança dans la pièce en écartant Queudver sans ménagement puis il fut suivit par Bellatrix Black qui jeta au passage un regard de dégout envers Queudver.

Sans attendre Voldemort se tourna vers le prisonnier. Il s'agissait d'un homme ou du moins il ressemblait a un homme son physique était celui d'un homme vigoureux d'une trentaine année si ce n'était ses yeux d'un gris hypnotique et remplis d'une profonde sagesse. Ses cheveux, qui lui arrivait au milieu du dos, devait à l' origine avoir la couleur que jette un coucher de soleil sur un champ de blé en fin d'après midi d'un été superbe mais pour le moment ils étaient sales et emmêlés. Son visage bien que marqué par la fatigue et la douleur montrait une farouche détermination à faire face a Voldemort.

Il était vêtu simplement d'un pantalon en lambeaux et les parties visible de son corps n'était que douleurs. De nombreuses plaies plus ou moins profondes marquaient son corps mais cette vision de cette homme enchainé le corps couvert de blessure le faisaient paraitre encore plus fier et courageux comme le sont les héros des vieux contes et légende. Seule chose qui attirait l'attention ce fut un petit pendentif qu'il portait au cou. De près on pouvait voir qu'il s'agissait d'un magnifique cristal clair comme de l'eau pure avec en son cœur un éclat bleu comme un ciel limpide. Le cristal était taillé en forme de goutte d'eau complètement lisse, pas la moindre petite arrête. Le cristal était accroché à une petite chaine en argent pur et le pendentif donnait un air de pureté et de beauté princière au prisonnier.

Avec un rictus amusé et non moins terrifiant Voldemort pris la parole

-"Alors Céragos! Ces deux jours de réflexion t'ont-ils été profitables? Tu sais pertinement que refuser de coopérer ne te sauvera pas, je peux toujours aller chercher ce que je veux ailleurs

Le prisonnier lança un sourire amusé a Voldemort mais sont regard restait neutre

-"Alors pourquoi ne pas aller les chercher ailleurs! Vous savez parfaitement que jamais je ne trahirais le serment. Et ce n'est pas en me torturant que ...

-ENDOLORIS "

Le nommé Céragos laissa échappé en hurlement de douleur tandis que ses jambes ne le portait plus. Seulement retenu par les chaines de ses poignet dont un filet de sang commença à couler sur ses bras car les fixations des chaine sur les poignets lui écorchait la peau.

Le sort une fois fini Céragos se remit difficilement sur ses jambes et lança un regard de haine à Voldemort. Celui rabaissant délicatement sa baguette reprit la parole

-" Ne joue pas les malins tu n'es pas en mesures de le faire. Je te répète la question et si tu me réponds correctement alors je pourrais te libérer de tes souffrances! Où se trouve "Illusion"? Il me serait très utile pour éliminer les cafards qui peuplent cette planète!

-Je ... je vous le redis alors! Auprès de son gardien ... auprès de mon Maître ... auprès des Eterniteras.

-Et où se trouvent-ils?

-Vous ne le saurez pas de moi ! De toute manière cette puissance est hors de votre portée

-Et pourquoi donc?

- ...

-REPOND!

- ... Maître, ce fut Bellatrix qui pris la parole, Il ne parlera pas Maître et il est devenu dangereux de le garder peut-être que nous ...

-ENDOLORIS, Bellatrix s'effondra sous la douleur, Je n'ais pas besoin que tu me dises ce que je dois faire Bellatrix!

-Ou ... oui Maî...tre! "

Puis baissant de nouveau sa baguette Voldemort regarda le prisonnier avec fureur devant son silence

-" Tu ne veux pas parlez, très bien alors meure en étant stupide! AVADA KEDAVRA"

Le puissant sort lança sa lumière verte et mortelle dans la pièce et se dirigea vers le prisonnier qui se tenait droit le regard résolut et fier. Juste avant que le sort ne le frappe ses lèvres bougèrent comme s'il murmurait des paroles que ses trois bourreau ne pure entendre. Puis le sort le toucha et il s'affaissa doucement comme la mort le prenais mais un détail clochait, son pendentif avait disparut.

Harry se réveilla brusquement en sueur les mains plaqué sur sa cicatrice brulante comme un tisonnier chauffé à blanc. Reprenant difficilement son souffle il resta là assis dans l'obscurité à attendre que la douleur disparaisse. Après un bon quart d'heure la douleur fut suffisamment apaisée et il put enfin se détendre, il regarda l'heure; 3h du matin. Alors seulement il put se rappeler les évènements, il avait du s'assoupir et feuilletant son album. D'ailleurs il trainait par terre où il avait du tomber quand Harry s'était réveillé. En le ramassant il se remémora son rêve ou plutôt sa vision. Que signifiait tout ceci? Qui était ce Céragos et qu'était cet illusion que Voldemort recherchait? Une illusion, pourquoi chercher une illusion ... une illusion n'est pas réelle d'où son nom d'illusion donc pourquoi se mettre a la recherche de quelque chose qui n'existe pas?

Mais Harry doutait fortement qu'il s'agisse d'une illusion au sens commun du terme sinon Voldemort ne s'y intéresserait pas! De plus cela avait l'air d'être quelque chose renfermant une grande puissance "De toute manière cette puissance est hors de votre portée " les mots de Céragos résonnait encore dans son esprits.

Il se rappela aussi Bellatrix et la voir se tordre de douleur lui réchauffa un peu le cœur se promettant à lui même de lui payer pour Sirius. Puis le visage de Céragos s'imprima dans son esprit. Un homme fier, fort et courageux qui a subit d'innommables tortures et mort en faisant face et en s'affichant clairement contre Voldemort tout comme son parrain, une autre victime de plus.

Regardant dans le vide Harry se jura de tout faire pour arrêter Voldemort, l'empêcher de commettre d'autre atrocité

Ce fut à ce moment précis qu'Harry remarqua qu'Hedwige était légèrement agité dans sa cage en regardant par la fenêtre, et en suivant son regard, il remarqua alors les hiboux qui attendaient patiemment qu'il leur ouvre la fenêtre.