Titre : Tous mes vœux de Bonheur …
Disclaimer :
ben jusqu'à preuve du contraire je reste une tortue
donc…..
Genre :
euh…ben c'est un mini one shot …
Couple :
euh… si vous en voyez un je veux bien vous vendre les droits (qui coûtent pas cher) de ma fic.
Note :
j'ai encore jamais vu de fic qui parle de la mort des perso
« avant » de devenir Shinigami … donc …
Note bis
: celle la je sais que personne va la lire mais bon c'est po
rave…..comme je suis une ch'tite tortue qui a eu le courage de
sortir de sa carapace pour publier, une petite review se serait po de
trop (attaque zieux de tortue battue no jutsu).
Le jeune homme
soupira.
Décidément,
c'était une bien sombre semaine à l'hôpital
général de la ville de Tokyo.
Il avait
malheureusement dû ajouter aux « registres noirs »
(comme tous les internes aimaient appeler le registre des décès)
trois nouveaux noms. Et voilà qu'en ce dimanche 3 novembre
1994, à 23h45 minutes, il devait y ajouter un nouveau nom.
Le jeune homme
soupira.
Punaise,
c'était qu'un gosse celui là … à peine dix
ans … les trois autres étaient tous plus ou moins âgés.
Pas que leur mort était moins grave … mais elles
l'attristaient moins … il se disait qu'ils avaient tous les
trois plus ou moins vécus leur vie … qu'en trente cinq,
quarante ans d'existence, ils avaient eu le temps de vivre … mais
à dix ans … on a juste eu le temps d'ouvrir les yeux sur
le monde, de s'en créer un, ou juste d'en rêver …
Le jeune homme
soupira.
Le gosse avait
pas eu de chance. Au mauvais endroit, au mauvais moment …
Quand même
c'était le comble pour un premier de la classe sans histoire
de se retrouver au milieu d'un règlement de compte entre
deux gangs rivaux.
Six balles
dans le corps : deux à l'abdomen, deux à la
jambe gauche, une à l'épaule, une près du
cœur.
Le gamin avait
aucune chance de s'en sortir, même avec les meilleurs
médecins de tous Tokyo. Il avait perdu trop de sang, les
points vitaux avaient été touché, il n'y avait
rien à faire quand le gosse était arrivé aux
urgences. Mais le jeune médecin ne pouvait s'empêcher
d'avoir sur les lèvres un goût amer de défaite.
Dix ans,
c'était trop jeune pour partir … on avait le temps de
rien. Il espéra juste vaguement que si un autre monde
existait, le gosse puisse réussir à y être
heureux.
