Écrit dans le cadre du cercle de lecture du FOF/FOC. Pour davantage d'informations, n'hésitez pas à demander.
Amour puéril, amour pour ma Rose
S'accrochèrent furtivement au ciel
Caressèrent une à une les étoiles
Dans le désir de figer le moment
Le regard ancré dans le bonheur
Sourire qui vacille, puis revient
Elle est là, il l'y sent sans l'y voir
Une bouffée d'amour l'enveloppe
Protéger sa Rose des cruels desseins
Aimer l'homme est une faible comparaison
La Rose ne trompa pas, ne déçoit pas
Aimer l'homme est puéril
Son regard n'appartient qu'à sa Rose
Douleur tortueuse surpassant les larmes
Point de haine dans cette déception
Un regard qui se perd dans la lumière sombre
La Rose n'est plus, disparut
Savoir laisser s'éloigner sa Rose
Savoir l'aimer à distance
Savoir préserver son souvenir
Savoir rêver son bonheur
L'homme ne peut aimer l'image disparut
Mais je peux aimer le souvenir de ma Rose
L'enlacer derrière les étoiles qui la dissimulent
Et lui dire qu'elle est tout pour moi
