Petit avant goût de la traduction de « Two Devils », le Sebtana de Cheaplittlewhore. J'ai adoré cette fic en Anglais, et avec l'autorisation de son auteur, je l'ai traduite en Français. C'est ma première traduction, donc si vous trouvez des incohérences ou des phrases maladroites/mal dites par rapport au texte d'origine, n'hésitez pas à me le signaler !
Santana sentait son monde s'écrouler autour d'elle.
Jetant un œil à son téléphone pour la huitième fois de ces cinq dernières minutes, elle sentit son cœur sombrer encore davantage quand qu'elle s'aperçut que Brittney n'avait ni appelé, ni envoyé de texto.
Qu'elle ne s'était toujours pas précipité pour lui dire qu'elle avait fait une bêtise.
Santana s'était écroulée, dos contre son casier, et avait glissé lentement au sol, enroulant ses bras autour de ses genoux. Elle voulait juste s'assoir sur se sol dégoutant, recouvert de germes, d'eau et de vieux produits pour cheveux collant, et pleurer pour se soulager.
L'écho d'un bruit de pas la réveilla. Elle se releva, tentant de se rendre présentable pour son visiteur.
Et s'il c'était Brittney ?
Santana leva des yeux pleins d'espoir vers le nouvel arrivé; espoir qui fut cependant détruit après qu'elle ce fut aperçu qu'il s'agissait de Sebastian Smythe, le Warbler, debout devant elle.
« Qu'est-ce que tu fais ici ? » Demanda Santana, tentant de garder sa verve habituelle-même si le son de sa voix brisée résonnait à ses oreilles.
« Quoi, je ne peux pas aider une amie ? dit Sebastian en levant les sourcils.
- Premièrement, tu ne peux pas être ici, c'est le vestiaire des filles, répliqua Santana en levant les sourcils à son tour. Deuxièmement, nous ne sommes pas amis, et, troisièmement, tu n'es pas à l'école ici. »
Sebastian s'appuya contre le casier voisin, avec son éternel air confiant sur le visage.
« Et bien, tu aimes les filles, et elles t'ont laissée ici. Je préfère les bites, mais je ne suis pas du genre à refuser du sexe de qualité quand il est offert, même si c'est avec une femme », sourit-il.
Santana leva les yeux au ciel.
« Mais sérieusement, continua-t-il. Je pensais qu'on était ami. Et les amis aident les amis.
- On a fait un duo, répliqua Santana. Et ça n'explique toujours pas pourquoi tu es ici. »
