Bonjour et bienvenue sur ma nouvelle fiction, Dies Irae! Si vous recherchez le bonheur, vous pouvez partir. Seul le malheur et la mort seront présent.
Titre: Dies Irae
Disclamer: Les personnages de Dark Link et Ganondorf ne m'appartiennent pas.
Musique: Hmmm... Peut_être la série "Benzene" d'Owata-P.
Bonne lecture à tous.
Le fouet fendit l'air, un claquement sec se fit entendre. La femme, assise au sol les jambes écartées, ne cessait d'hurler de douleur. La sueur lui collait ses cheveux blancs au visage, autrefois si souriant. De ses yeux bleus si clairs coulaient de nombreuses larmes.
Face à elle, l'homme tenait le bout de cuir qui la faisait souffrir depuis le début de son calvaire.
Son tortionnaire avait les cheveux roux et coupés courts, ses yeux dorés ne laissaient apparaître que haine et mépris. Sa peau étrangement verdâtre était recouverte d'une solide armure, et une cape d'un rouge profond y était attachée.
Il leva l'arme au-dessus de sa tête et cria:
"Tu le sors, ton bâtard de gosse, ou je dois encore t'aider?"
La blanche poussa à nouveau un hurlement. Le rouquin vit une tête sortir du vagin de la future mère. Il attendit que les bras soient visibles avant de l'arracher au sexe de la femme. Il sortit son épée de son fourreau, et trancha le cordon ombilical. De son pouce, il essuya le visage du nouveau-né qu'il examine.
Contre toute attente, il était magnifique. Ses cheveux, d'un blanc nacré éclatant, était soyeux rien qu'à l'oeil nu. L'homme fut étonné de voir que l'enfant avait déjà ouverts les yeux, d'une couleur écarlate surprenante.
Le rouquin écarquilla les yeux. C'était comme si... Comme si il l'avait déjà vu. Il ne saurais dire où, cependant.
Non... Ce gosse n'aura pas le même destin que les autres. Il ne s'occupera pas des pires corvées.
Il caressa les cheveux du bébé tout en murmurant:
"Dark Link..."
La mère tendit les bras et quémanda d'une voix gémissante:
"Mon bébé... Donnez-moi mon enfant..."
L'homme aux yeux dorés lui jeta un regard méprisant.
"Tu devrais être fier de lui! Son avenir sera différant de celui des autres!"
Il resserra la main sur le pommeau de sa lame qu'il leva en l'air. Il l'abbatit sur la femme qui hurla:
"Soyez maudits, Ganondorf!"
There's a cold dark corner
in the back of my room,
it speaks to me
and says I'm coming for you.
As I lie on my bed
in the fetal position,
my eyes are closed
hoping and wishing.
Maybe that one day
my dreams will come true,
that I don't have to be here
so down and blue.
The corner keeps talking
about how I'm going to die,
all I can do
is lie there and cry.
As the corner gets closer
and takes me in,
my soul starts to burn
as so does my skin.
My bones shall lie there
turning to dust,
my bed surrounding
nothing but rust.
Source du poème: Family Friend Poems
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