SEVERUS
CHAPITRE 1 : Libéré?
La nuit est là, le froid s'installe
Sa bulle autour de lui, il marche
On peut voir son visage pâle
Son maître l'appelle, il marche
Il marche vers une grande bâtisse
Et s'arrête devant la porte
Celle-ci s'ouvre sur une métisse
Mains tremblante: elle est presque morte.
L'homme la pousse et entre dans la salle.
Un homme à terre, agonisant
On peut entendre son dernier râle
Voir la tâche sombre de sang.
Le maître éclate de rire et
Puis regarde le nouveau venu.
Il avance la main serrée
L'homme attend sa mort, très tendu.
"Endoloris" grince le maître.
L'homme tombe à terre en se tordant
De douleur, sans laissé paraître
Il avale: sa bouche est en sang.
Le monde devient blanc et flou
Peu à peu, il tombe dans les pommes.
On transporte son grand corps mou
Dans un cachot, ils le laissèrent.
Pendant des jours, des semaines de
Cris et de tortures, l'Homme mourrait.
Il le voulait: s'éloigner d'eux
Et mourir, enfin libéré.
Son corps couvert de brûlures,
Des pustules ornaient son torse
Et ses jambes, de coupures.
Un garçon blond vint et amorce
L'ouverture du cachot de l'Homme
Il le détache et le relève.
Par les souterrains, les hommes
sortent de cette bâtisse où crève
Ceux qui refusent les ordres
Ils avancent vers le pré où
On voit des balais débordaient
Des herbes et ils s'envolent mais où?
A Poudlard en sécurité
A Dumbledore c'est assuré
Son espion a manqué d'être tué
Il était là pour le sauver.
CHAPITRE 2 Sauvé?
Et puis, l'astre du jour dans le ciel s'éveille
Et éclaire la terre de son rayon vermeil
L'homme ouvre enfin les yeux, sourit finallemant,
Le vieu monsieur à son chevet attend.
"Je vous ai déçu" murmura Séverus
"Non, jamais! c'est moi qui t'es poussé, en plus
Tu as montré du courage plus que personne.
Je ne m'attendais pas à ce qu'il t'emprisonne.
"Il doit dormir et se reposer monsieur."
Fit l'infirmière et poussa le vieu
A la sortie et partit à ses travaux
Rogue ne distinguait plus le vrai du faux
Il délira encore sur sa vie passée
Se maudissant de ses actes insensés.
Il haletait et des gouttes tombaient le long
De son visage, une mèche glissait sur son front
Son coeur battait vite et il était brûlant.
Sa température augmentait lentement.
Ses yeux roulaient vite dans ses orbites
Révulsés, ils tournaient de plus en plus vite.
L'infirmière accourut, fit tout ce qu'elle put
Pour le calmer, mais tout son corps tendu
Le paralysait et empéchait la femme
D'exercer son métier. Il lui prit une larme.
CHAPITRE 1 : Libéré?
La nuit est là, le froid s'installe
Sa bulle autour de lui, il marche
On peut voir son visage pâle
Son maître l'appelle, il marche
Il marche vers une grande bâtisse
Et s'arrête devant la porte
Celle-ci s'ouvre sur une métisse
Mains tremblante: elle est presque morte.
L'homme la pousse et entre dans la salle.
Un homme à terre, agonisant
On peut entendre son dernier râle
Voir la tâche sombre de sang.
Le maître éclate de rire et
Puis regarde le nouveau venu.
Il avance la main serrée
L'homme attend sa mort, très tendu.
"Endoloris" grince le maître.
L'homme tombe à terre en se tordant
De douleur, sans laissé paraître
Il avale: sa bouche est en sang.
Le monde devient blanc et flou
Peu à peu, il tombe dans les pommes.
On transporte son grand corps mou
Dans un cachot, ils le laissèrent.
Pendant des jours, des semaines de
Cris et de tortures, l'Homme mourrait.
Il le voulait: s'éloigner d'eux
Et mourir, enfin libéré.
Son corps couvert de brûlures,
Des pustules ornaient son torse
Et ses jambes, de coupures.
Un garçon blond vint et amorce
L'ouverture du cachot de l'Homme
Il le détache et le relève.
Par les souterrains, les hommes
sortent de cette bâtisse où crève
Ceux qui refusent les ordres
Ils avancent vers le pré où
On voit des balais débordaient
Des herbes et ils s'envolent mais où?
A Poudlard en sécurité
A Dumbledore c'est assuré
Son espion a manqué d'être tué
Il était là pour le sauver.
CHAPITRE 2 Sauvé?
Et puis, l'astre du jour dans le ciel s'éveille
Et éclaire la terre de son rayon vermeil
L'homme ouvre enfin les yeux, sourit finallemant,
Le vieu monsieur à son chevet attend.
"Je vous ai déçu" murmura Séverus
"Non, jamais! c'est moi qui t'es poussé, en plus
Tu as montré du courage plus que personne.
Je ne m'attendais pas à ce qu'il t'emprisonne.
"Il doit dormir et se reposer monsieur."
Fit l'infirmière et poussa le vieu
A la sortie et partit à ses travaux
Rogue ne distinguait plus le vrai du faux
Il délira encore sur sa vie passée
Se maudissant de ses actes insensés.
Il haletait et des gouttes tombaient le long
De son visage, une mèche glissait sur son front
Son coeur battait vite et il était brûlant.
Sa température augmentait lentement.
Ses yeux roulaient vite dans ses orbites
Révulsés, ils tournaient de plus en plus vite.
L'infirmière accourut, fit tout ce qu'elle put
Pour le calmer, mais tout son corps tendu
Le paralysait et empéchait la femme
D'exercer son métier. Il lui prit une larme.
