Dirty Dancing
Remarques préliminaires (et elles sont nombreuses…) :
Ceci est ma première fic, et sûrement ma dernière (à non, il faut que j'écrive aussi la parodie Gundamienne du film Peau d'Âne…) Bon, en fait, je crois que je resterai en tout cas dans le genre de la parodie comique de films d'anthologie ! Ça vaut mieux !
En ce qui concerne le genre, comme dit plus tôt, c'est du comique-gros-délire, alors rechercheuses de guimauves baveuses, passez votre chemin, d'autant plus que je suis pas romantique pour un sou…Heureusement ta bêta est là et va faire du mélo-mielleux à souhait ! lol ! (Et maintenant, dis 10 fois d'affilée et super vite mélo-mielleux pour voir ???)
Pour finir, je vous demande votre pleine et entière indulgence, car cette chose que vous vous apprêtez à lire sera certainement d'un style plus que passable (à la limite de la pitié !) et ceci est dû au fait que je n'ai jamais écrit de ma vie et que je ne me prétendrais un bon écrivain pour rien au monde ! Oups, je m'aperçois que je vire dans le pompeux ! Faut qu'je fais gaffe ! (Don't worry, la faute est intentionnelle !).
Bonne lecture !!!!!
PS : Je tiens à dire que cette fic est co-écrite avec Kyralya (ma bêta !!! ha ha ha !!!! Quelle ironie !!!) Alors si vous la trouvez naze, prenez vous en à elle, parce que c'est elle qui m'a forcée (et toc !).Je tiens à protester ! J'ai juste fortement insisté !
Ah oui, un autre PS : (BON, TU VA LA COMMENCER CETTE DE FIC ?!?!?) Il est préférable de lire cette fic avec la BO de Dirty Dancing en fond sonore, ça aide à se plonger dans l'univers merveilleux de ce film somptueux (ne rigolez pas, on a toutes rêvé, à un moment ou un autre, que Patrick Swayze nous invite à danser !!!! )
Et ZOU, C'EST PARTI ! COMME AU CINEMA ! ("48 minutes pour vivre" …et bé, elle promet cette horreur !)
Disclamer : Je suis allée chez G-boy-Shop pour en acheter une paire, mais soit disant qu'ils y en avaient plus en stock et que la fabrication a été arrêtée... Du coup, on m'a dit que j'avais peut-être des chances d'en trouver sur le marché noir, mais personne ne garantissait de l'authenticité, mais quand j'ai vu qu'il circulait des Heero brushing-blond et des Wufeï coiffés en brosse, j'ai abandonné… Bilan, j'en possède toujours pas (mais je ne perds pas espoir…)
Blablabla : narration par le personnage principal, ici Duo (c'est mon préféré !!!! bave……)
Gnagnagna : notes complètement stupides et superflues de la béta…
(NDLR : …) signifie Note De L'auteuR. En gros, c'est moi qui parle.
I.PrologueC'était le plein été en 1963, tout le monde à cette époque m'appelait Duo, et ça m'amusait.
De la voiture du Docteur Maxwell, Duo contemplait le paysage magnifique qui s'offrait à ses yeux. Le vent qui passait par la fenêtre ouverte agitait les mèches de cheveux châtains qui lui tombaient sur le front. Assise à coté de lui, sa grande sœur Réléna se repoudrait le nez d'une main, se recoiffait de l'autre, tout en se mirant dans un miroir de poche et arrangeant sa robe rose. (1) À l'avant, Mme Maxwell indiquait la route à son mari. Si la voiture ne roulait pas aussi vite, on aurait pu entendre les petits oiseaux chanter dans ce paysage Danielle-Steelien (2). Sur RBN 98.5 (3), passait cet air très en vogue cet été là Big Boys don't cry des Four Seasons(4)
C'était avant l'assassinat du président Kennedy, avant l'avènement des Beatles. J'étais un fan du mouvement pour la paix, et mon père était l'homme le plus formidable du monde ! Nous allions passer des vacances à la pension Kellermann…
En effet, la voiture s'engagea dans un chemin surmonté d'un grand panneau où s'étalait sur toute sa largeur l'inscription : "Kellermann mountain House ".
Une fois celle-ci stoppée devant le luxueux bâtiment en pierre qui semblait être, selon toute vraisemblance, la réception, les Maxwell descendirent de voiture. Une activité intense régnait aux alentours. Des grooms portaient des montagnes de valises et de sacs, de grands panneaux publicitaires invitaient les clients de la pension à s'inscrire à tel concours de golf, de perruques, ou de pétanque, ou encore à venir rejoindre tel club de danse… En voyant toute cette agitation, Réléna ne put s'empêcher de lâcher un hurlement de désespoir, comme si on lui avait annoncé la fin du monde prochaine:
- Mais c'est affreux ! T'as vu ça Maman, j'aurais dû apporter mes chaussons de danse rose ! (5) Tu sais bien que j'veux devenir une chanteuse !! (6)
- Oui mais c'est pas grave, ma chérie ! T'en as emmené 23 paires. répondit sa mère avec patience (ou désintérêt peut-être …)
- Mais c'est les seuls qui allaient avec ma robe !
Dans un élan de compassion pour sa pauvre femme aux prises avec les jérémiades de sa fille, le Dr Maxwell intervint :
- Tu n'vas tout de même pas en faire une maladie. Y'a des choses plus importantes que les chaussures dans le monde : pays sous-développés, la guerre atomique par exemple !
- Des Bonzes qui se font brûler pour protester contre la guerre !!! en rajouta Duo sur un ton moqueur.
- Ferme-la Duo ! répondit Réléna piquée au vif.
Pendant cette rixe somme toute fréquente chez les Maxwell, un homme s'était approché en gesticulant :
- Docteur !
- Hé ! Max ! s'exclama aussitôt l'intéressé en se retournant sur son vieil ami.
L'homme avait la soixantaine bedonnante et portait un cigare à la main. Son teint rougeaud et son timbre essoufflé trahissaient qu'il avait dû passer sa journée à courir dans tout l'hôtel pour accueillir tous les nouveaux arrivants.
- Alors après toutes ces années, vous venez quand même me rendre visite dans mon petit paradis !
- Hahaha ! Alors, pas encore bon pour l'infarctus ?
- L'infarctus ? Oh, oui ! C'est vrai, si vot'père avait pas été là, ch'ré déjà six pieds sous terre…! dit M. Kellermann en se tournant vers les deux enfants Maxwell. Puis il rajouta au jeune homme blond qui le suivait en retrait :
- Bon alors Quatre, tu prends les sacs.
- C'est comme si c'était fait !
- J'vous ai gardé le meilleur bungalow pour vous et vos enfants, rajouta t-il.
Duo suivit le jeune blond derrière la voiture pour l'aider à décharger les nombreux bagages, dont la grande majorité appartenait à Réléna. Quatre lui adressa un remerciement chaleureux :
- Hé ! Vous êtes chouette ! Vous voulez bosser ici ?
Le directeur de la pension, soucieux de la qualité du séjour de ses amis, n'en finissait plus d'énumérer toutes les activités attrayantes que pouvait offrir son hôtel :
- Y'a un cours de meringué dans la salle principale, avec le meilleur professeur, un super champion ! C'était le bras droit de Fred Aster !
- Ce sont les premières vacances que mon mari prend depuis six mois ! Ménagez-le… supplia Hélène Maxwell en riant.
- Vous en faites pas ! On va l'requinquer.
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(1) Si si, en même temps et avec seulement 2 mains ! Qu'est ce que vous voulez, on remplace pas vingt ans d'expérience…
(2) et c'est parti, je commence dès la 4ième ligne à me pourrir toute seule les passages à caractère poétique… Ça commence vraiment très très mal…Mais non ! C'est bien, tu prends des libertés et en plus à caractère romantique ! J'en ai presque la larme à l'œil, "mon Bébé a tellement grandi qu'il sauvé la Chine !"
(3) "Radio Bonne Nouvelle, la radio de la vérité évangélique, à Biarritz !" Allez écoutez si vous pouvez (ou allez voir le site y'a que de la bonne musique : "Dieu m'a donné un cœur" par Jean-Patrick Lequesnois, l'évangile chanté par la chorale du couvent St André… Radio mythique qui nous a permis de bons fous rires ! mdr !
(4) Dans le film, c'est big girls don't cry mais c'était plus rigolos de mettre boys. Oui, parce que Duo est un mec… Et puis sa devise c'est "Boys don't cry"… M'enfin vous comprenez quand même ???!!! Euh, non, vois pas…Aieuh ! Je rigole !
(5) Véridique ! Vraiment dans le film !
(6) Véridique aussi ! Me demandez pas le rapport, j'ai toujours pas compris… C'est l'un des grands mystères de Dirty Dancing, comme le nom du bouquin que Robby veut prêter à Bébé (celui dans lequel il fait des notes dans la marge…)