V'savez, cette petite chose est ma première histoire française sur ce site. Elle est vielle et, comme dit le résumé, assez bizarre. Hien, on peut même appeler Roseline une Mary Sue.

Quelqu'un au coin de la chambre murmure faiblement. Fanficcer/TCF, l'auteur, le regarde :

--Quoi? Tu y crois vraiment, Gémissements?

Celui qui a parlé, lesouritgémit, hoche la tête.

Fanficcer le surveille d'un œil mi-clos, mais fini en concordant.

--Oui, tu as raison… Elle en est une… Mais qui suis-je à juger? Je savais pas que Préséa existait quand j'ai écrit l'histoire… Aussi ma faute, je sais, mais j'étais jeune et idiot(e)…

Gémissements montre les dents – maintenant, sa voix faible est devenue un cri.

--Tu sais bien qu'elle est une Mary Sue, TCF! Alors, finis cette intro et laisse les lecteurs à la voir pour vrai!

Fanficcer le dévisage – ça n'aime pas être dit(e) à quoi faire, et ça n'aime pas aussi que son personnage soit appelé une Sue.

--OK, alors, dit ceci, vous pouvez lire l'histoire maintenant. Et, parce qu'elle est vielle, j'aimerais si les commentaires parlaient de mon écriture française -- je sais maintenant que Roseline est une Sue…

Maintenant vous pouvez lisez mes idioties de l'année passée – si vous osez

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--Génis! Qu'est-ce que tu es en train de faire?

Génis essaya de barricader son travail en le recouvrant avec ses avant-bras. Sa sœur Raine était sérieuse comme toujours, sans doute, mais il ne voulut pas qu'elle visse ce qu'il faisait.

--C-c'est rien, Raine, Génis répondit faiblement. Il put sentir ses joues rougissant ; il essaya à protéger ses choses de plus, mais rien ne pouvait arrêter sa sœur aînée.

Raine tira les bras de Génis de son travail, ce qui révéla sa baguette magique du Nova. La baguette avait été séparée en deux morceaux dorés qui brillaient dans la lueur faible de sa chambre.

--Est-ce qu'il s'agit de Roseline? demanda Raine en riant. J'ai remarqué que tu lui parlais hier soir. Tu étais rouge comme une tomate.

Génis rougit de plus et hocha son tête, embarrassé :

--J'étais en train de fabriquer une nouvelle sorte qu'on puisse essayer ensemble.

--Je savais, jubila Raine, triomphante. Elle ricana, mais pas d'une façon méchante. OK, je vais te laisser travailler, mais si t'as besoin d'aide, tu dois seulement m'appeler.

Et, avec ça, elle partit. La porte pivota après sa figure ombragée.

Génis soupira avec soulagement. Il ne demanderait jamais, jamais, jamais à Raine l'aider quand il s'agissait de Roseline.

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--Qu'est-ce que Génis est en train de faire? Lloyd Irving demanda à sa meilleure amie, Colette Brunel, pendant qu'ils regardaient leur autre ami, Génis Sage. Il parle à Roseline toujours – je crois qu'ils s'aiment, continua Lloyd en fronçant les sourcils.

--Ils s'aiment, Colette affirma avec un petit sourire et un doux pouffement de rire. C'est trop évident.

Les deux amis regardaient les enfants de douze ans parlant ensemble. Génis écoutait tout ce que Roseline disait sans rien dire lui-même ; occasionnellement, il hocha la tête, mais pas plus que ça. Et pas sans raison – les joues des deux étaient déjà furieusement rouges.