Bonjour à tous! je suis Angel of Darks Wings! voici une fic qui vient de loin. C'est un ami qui m'en a donné l'idée. j'espère qu'elle vous plaira.
je tiens à dire que cette fic et une fix qui aprle de relation enter homme! Si le sujet vous choque ou vous dégoute je me demande ce que vous faites là! donc les homophobes... Au revoir, on n'a pas besoin de vous.
Plusieurs des eprsonnage ne sont pas à moi. Seulement l'histoire m'appartient! ET je ne gagne pas d'argent avec mes histoire!
En tout cas pas encore! lol
Pardon d'avance pour les fautes d'orthographes
Résumé: Dumbledore est devant son bureau. il regarde la lettre qu'il s'apprète à envoyer. Cette contient la clef qui pourrait les conduire à la victoire... Masi cette clef à un double tranchant!
Bonne lecture
Je suis né pour mourir...
Prologue
Toujours le même rêve, toujours les mêmes cris, les mêmes morts. Il connaît sa mission, il a été conditionné pour ça. Il a été entraîné pour tuer. Ses pouvoirs ont augmenté, il est l'un des plus grands sorciers jamais connus, et il va le tuer.
Le combat fait rage autour de lui, les hommes, les femmes, aussi bien que les créatures tombent sur-le-champ de bataille. Mais il n'a plus qu'un seul objectif. Le détruire coûte que coûte, enfin presque. Son but serait plutôt de le retrouver lui, de le faire revenir. Mais il ne sait toujours pas comment. Il ne sait même pas s'il est encore vivant. Mais il y arrivera.
Et puis il le voit enfin. Le combat commence. Terrible, vicieux, mortel pour un des deux.
Si l'un vit, l'autre ne peut que survivre. Il doit donc le tuer. Lui seul a ce pouvoir.
Le sort de mort est jeter sur le mage noir. Mais il n'est pas assez puissant pour tuer le puissant mage noir. Le bourreau s'approche pour donner le coup de grâce. Mais, il n'aura pas besoin de le faire. Lorsqu'il voit son ennemi de toujours, le mage noir lui dit dans souffle :
Souffre encore Potter, tu ne le retrouveras jamais…
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-Debout Harry !
Pas de réponse.
J'aimerais au moins voir à qui je parle ! Allez vieux ! Tu vas pas rester là toute ta vie !
Toujours rien.
Il frappa sur la couverture.
J'aimerais parler à autre chose qu'à une couette ! Merde HARRY !
Le rouquin tira la couette vers lui. Harry était recroquevillé sur lui-même le regard dans le vide.
Ron soupira et se dirigea vers son ami. Il le regarda un moment, puis s'assit sur le rebord du lit. Il voulut faire un mouvement pour le réconforté, mais la main d'Harry le repoussa violemment. Ron soupira de lassitude.
Je comprends ce que tu peux ressentir, je sais que c'est pas facile. Mais s'il te plaît, fais un effort. Ca fait trois jours que t'es là que tu manges pas, que tu bois presque pas. Et depuis que tu t'es réveillé on ne t'entend même plus parler. Harry réagit ! C'est pas le moment de se laissé abattre !
Mais Harry ne bougeait toujours pas. Son regard et son visage n'avaient pas changé d'expression. Aucune réaction de sa part.
Dans un excès de rage, Ron attrapa le bras son meilleur ami et voulu le tirer du lit de force. Harry ne l'entendit pas de cette oreille et repoussa violemment Ron grâce à sa magie sans baguette. Ron se retrouva plaqué contre le mur, essoufflé. Harry en profita pour remettre sa couette au-dessus de lui comme un dôme de protection face à l'horreur qui l'entourait.
Ron choqué par la réaction d'Harry sortie sans un regard en arrière.
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Plusieurs personnes c'étaient rassemblées dans le salon du 12 square. Il fallait trouver une solution au mutisme de Harry et le plus vite serait le mieux. Sirius, Severus et Remus étaient devenus le niveau trio infernale de Poudlard. Depuis que Sirius avait été ramené de sous le voile, leur amitié c'était renforcée. Grâce à une personne au combien cinglé, qui serait bon de ne pas nommer pour l'instant.
Bref ! Ils attendaient avec Hermione bien sagement, enfin presque, que Ron veuille bien revenir de sa visite habituelle chez Harry. Qui habitait l'étage au-dessus.
Enfin, habiter est un grand mot, puisque sa vie se limitait à rester dans son lit depuis qu'il était revenue de Sainte Mangouste.
Tout cela pour dire que tout le monde s'étaient concertés, et ils en étaient venus à la conclusion qu'une seule personne pouvait les aider. Ron n'était pas sur de cette décision. Mais alors pas du tout ! Mais, il était apparue que la seule personne capable de le faire réagir avait disparue, et qu'il fallait bien se rabattre sur la folle de service.
Il avait était décider qu'il fallait allé la chercher. La route était longue, et mieux valait y allez au moins à deux. Ron et Severus partirent donc la chercher.
Et pas n'importe où s'il vous plaît, dans une montagne reculée de la Chine.
Putain ! Y gèle dans son pays !
Théoriquement se n'est pas son pays Weasley.
Ne jouez pas avec les mots, s'il vous plaît !
Je ne joue pas c 'est la strict vérité.
Ben, voyons !
Le monastère où ils devaient se rendre apparue dans le brouillard épais.
Ils ont bien choisit leur coin tiens !
Weasley vous allez me faire le plaisir de la fermer !
Ron bougonna dans son pull. Forcément, il ne s'attendait pas à ce qu'il fasse au moins –8000 dans le coin. Alors il avait juste pris un pull. Un pull pas très épais d'ailleurs. Snape, lui semblait ne pas y faire attention, il s'en fichait plus qu'autre chose. C'est ce qu'il paraissait en tout cas.
Ils arrivèrent enfin devant la porte du monastère.
Plus imposant c'est impossible !
Monsieur Weasley dois-je vous rappelez que ce monastère est le centre de la magie blanche ! Bien sur que cet imposant ! Vous croyez quoi !
Je vous trouve sur les nerfs Snape !
Elle me rend toujours nerveux !
Sadique comme elle est, ça va lui faire plaisir !
Un peu de respect je vous pris ! elle connaît toute la magie et combat contre la mal, elle…
Oui je sais ! C'est une personne qui se bat pour nos vie à chaque instant. Ses pouvoirs dépassent l'entendements du commun des sorciers, récita –il. Je sais ce qu'elle est ! C'est bon !
La prochaine fois, je vous pends sur le pique de l'Himalaya Weasley ! Vous faite vraiment chier !
La seconde suivante, la porte de pierre taillée tourna sur ses gongs. Laissant apparaître un jeune asiatique, les yeux d'un bleu profond avec des cheveux noirs ébènes attachés en catogan. Une tunique blanche et bleue sur lui.
On vous reconnaît toujours de loin avec votre façon de vous engueuler vous ! leur lança t-il.
Severus et Ron baissèrent la tête honteusement. L'Asiatique rit de bon cœur.
Faite pas cette tête, je plaisante ! Elle savait que vous alliez venir !
Elle le savait, hurla Ron. Et elle…
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase, que Snape lui laboura copieusement le pied.
Le jeune sorcier retint un hurlement de douleur.
Seveurs avait encore frappé.
Le jeune Hakku, car c'est son nom, les emmena voir la personne temps recherchée. Ils la trouvèrent dans un jardin à la Japonaise, sous un cerisier. Comment pouvait-il poussé alors que dehors c'est l'hiver totale, on ne posera pas la question. Elle était dans la position du lotus, et sa magie gravitait autour d'elle, telle des lucioles. Sur son visage on pouvait y voir du calme, de la sérénité. Mais aussi ses origines. Métisse d'une chinoise et d'un européen, cheveux noirs corbeaux aux reflets roux sous le soleil chaud de l'été. Ils tourbillonnaient autour de son visage avec le vent magique qu'elle produisait. Lorsqu'elle sentit la présence de ses hôtes, elle ouvrit ses yeux en amandes qui avaient la fâcheuse tendance à hésiter entre le vert et le marron noisette.
Elle leur fit un sourire, s'étira et alla vers eux, ses longs cheveux flottant toujours autour de son visage.
Bonjour ! Alors quel est le problème ?
Ron faillit s'étrangler.
Tu te fous de moi ! Tu le sais très bien j'en suis sur !
Elle sourit sadiquement.
Oui je sais.
Et t'as pas bougé pour venir le voir ! Ou pour essayer de retrouver Draco !
Non, dit-elle simplement.
Tu n'es qu'une…
Sa phrase mourut dans sa gorge. La jeune femme l'avait fait muet d'un sort silencieux. Il lui avait suffit de le regarder une seconde à peine pour le faire.
Laisse dont se n'est pas grave, lui dit-elle. Severus se fera un plaisir de me dire ce qu'il veut de moi.
IL faut que tu viennes avec nous en Angleterre Yûko.
Pourquoi ?
Parce qu'il a besoin de toi.
Je ne peux pas.
Et pourquoi ?
Re sourire sadique.
Donne-moi une autre raison de venir et je viendrais… Je sais qu'il y a autre chose, et je veux l'entendre de ta bouche.
Severus se sentait désarmé face à elle, pourtant elle n'avait que 18 ans, le même âge que Potter, Weasley, Granger et Draco.
Alors pourquoi ?
Elle sondait l'âme c'est tout. Elle connaît tellement de chose en étend en même temps si jeune que ça en était déroutant. Presque effrayant.
J'ai peur qu'Harry soit tomber… enceinte.
Etait ce si dur à dire ?
Un gémissement sortit de la gorge de Ron. Apparemment on avait pas cru bon de le prévenir.
Yûko sourit, et leva le sort.
Alors là j'ai une bonne raison de venir.
Je vois pas en quoi ça change quelque chose qu'il soit enceinte ou pas ! ON N'AS PAS BESOIN DE TOI ! hurla Ron. De tout sauf de Toi ! Sale TORDUE !
J'estime que je n'ai pas besoin que tu me fasse la leçon, tu ne connais rien de ma vie Ronald, dit-elle calmement.
Moi j'estime que c'est de ta faute si Harry est comme ça ! Si t'avais pas mis ton grain de sel dans sa vie, il ne serait jamais mis avec la fouine et il ne serait pas dans cet état là ! C'EST DE TA FAUTE !
Ron n'avait plus aucune limite dans ses reproches. Il regarda un moment Yûko, qui ne bougeait pas d'un pouce. Rien de ce qu'il pouvait dire ne la touchait en tous cas en apparence, de cela il était certain. Il repris son souffle et repartie dans l'autre sens.
Une fois qu'il fut parti, Hakku regarda Yûko avec un sourire compatissant.
Ca va aller ? lui demanda t-il.
Elle esquissa un sourire.
Tu aurais du nous laisser le réprimander. Pourquoi, nous avoir demandé de ne rien faire ?
Etre télépathe ça aide.
Parce qu'il fallait qu'il me dise tout cela pour se défouler.
Même au dépend de ce que tu ressent maintenant ?
J'ai l'habitude.
Elle rentra dans le monastère droite et fière. Ne laissant transparaître aucune émotion.
Vous voulez boire quelque chose ?
Du saké me réchaufferais.
Hakku sourit.
Y a pas de saké ici !
Tu es sur ?
Hakku paru réfléchir un instant.
Tu sais, parfois Yûko me fait peur.
Severus fronça les sourcils.
Pourquoi ?
Depuis qu'on nous a interdit de…
Bougez vous les limaces ! Moi mes baguages sont prêtes ! s'écria Yûko qui arrivait presque en courant.
Elle avait tout entendu, les confessions sur l'oreiller allez fuser ce soir. Les interdits ne lui avaient jamais fait peur. Elle les braveraient tous sans exception. Pour une fois dans sa vie, elle voulait être égoïste.
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Quelques secondes plus tard, Yûko se trouvait devant la porte de la chambre de Harry. Elle souffla un grand coup, toqua à la porte et entra sans attendre la réponse.
Harry était toujours sous sa couverture. Il ne devait pas avoir bougé depuis les quelques minutes qui avait séparé son semblant de conversation avec son meilleur ami.
Il s'était juste endormi.
Yûko se faufila sous les couvertures pour le rejoindre.
Il était en position fœtal et avait les joues mouillées d'avoir trop pleurées.
Elle le regarda un moment dormir, attendant l'instant où il sentirait sa présence. Ce qui ne devait plus tarder. Quelques minutes plus tard, il ouvrit doucement ses grands yeux émeraude remplie d'une détresse à fendre l'âme.
Coucou, chuchota t-elle.
Coucou, murmura t-il d'une voix rauque.
Ils se regardèrent un moment dans les yeux, et puis :
J'étais heureux tu sais. Je l'étais vraiment. Pour la première fois de ma vie, je l'étais entièrement. Malgré la guerre avec lui j'étais bien et je voulais pas qu'il parte.
Yûko le prit dans ses bras comme on berce un enfant. Lui chuchotant des mots rassurants, tout pour le réconforter.
Elle avait décidé depuis longtemps d'aller chercher Draco mais même pour elle s'était une expédition dangereuse. Mais elle allait le faire. Pour lui et pour le monde.