Arrow - Cauchemars

N'arrivant pas à dormir, Quentin Lance, avait décidé de venir au repère, pour évité de tourner en rond dans son appartement, étant donner que Donna était rentré à Las Vegas récupérer le reste de ses affaires, ayant décider de s'installer à Stars City, au côté de sa fille et de son petit ami.

Quand il était entré au QG, il avait été surpris du spectacle qui s'offrait à lui, Les chaises, les dossiers, les tables, ... tout avait été littéralement retourné. Ne voyant personne, il avait prit une arme dans une des armoires et avait vérifié chaque recoin de l'Arrow cave. Il était finalement arriver au niveau des " chambres " et ce qu'il avait vu l'avait cloué sur place. Oliver Queen, ancien playboy milliardaire, rescapé de Lian Yu, maire le jour et justicier la nuit, était assis dans un coin de la pièce, genoux replié contre sa poitrine, ses bras entourant ceux-ci. Il avait été encore plus surpris quand il avait constater que le jeune homme était entrain de pleurer. Il lui avait fallut un moment avant de réagir. Il c'était approché de lui et c'était assis à ses côtés et poser une mains sur le bras du justicier. Il avait patienter pendant une bonne demi-heure avant que celui-ci ne décide enfin à parler.

- Je pensais que si je lui laissait du temps, elle finirait par revenir vers moi et me pardonner. Tout le monde me disaient de garder espoir, qu'elle m'aimait encore mais qu'elle avait besoin de temps. Alors j'ai espérer, mais maintenant, je sais qu'elle et moi c'est fini pour toujours. Que plus jamais je ne pourrais la serrer dans mes bras, l'embrasser, lui preparer ses plats préférés. Je ne pourrais plus jamais lui dire que je l'aime et à quel point je suis désoler de lui avoir menti au sujet de William. Je l'ai perdu pour toujours et c'est entièrement ma faute.

Quentin avait été étonné de l'entendre parler de cette manière. Il ne comprenais pas pourquoi le jeune homme, qu'il avait autrefois tant haïs, avait en une soirée cessé de croire au retour de la jeune femme dans sa vie. D'autant plus qu'il était certain que Félicity éprouvait toujours les mêmes sentiments envers Oliver. Alors pourquoi. Pourquoi perdre espoirs.

- Je n'arrivais pas à dormir, alors, j'ai réfléchir. Je me suis rendu compte que je ne m'était pas excusez de lui avoir menti. J'ai donc décidé d'aller la voir au loft et quand … quand je suis arriver, elle était devant l'immeuble. Elle … elle était avec un homme…. Ils … ils s'mbrassaient. J'ai … je suis parti en courant et je suis rentrer. Après je sais plus trop ce qui passé.

Quentin était étonné. Etonné que le jeune homme se livre à lui, mais encore plus d'apprendre que Felicity, la fille de sa petite amie, sortait avec un autre homme, si peu de temps après avoir rompu avec Oliver. L'homme qui l'avait rendu si heureuse et qu'elle avait failli épouser. Il ne comprenait pas comment la jeune femme avait pu passer si vite à autre chose. Même si pendant de longues années, il n'avait pas porté le jeune homme dans son coeur, il avait appris, au court de la dernière année écoulée, à le connaître. C'était un homme bon et aimant, même si il le montrait rarement. Il en venait même, par moment, à le considerer comme un fils, même si il ne l'avouerais jamais. Alors non, il ne comprennais pas la jeune femme, mais il était sur d'une chose. Il soutiendrait Oliver, même si il avait beaucoup d'affection pour la jeune femme.

Il se doutait bien qu'il ne dormait pas beaucoup et il suffisait de le regarder pour le constater. Etre maire de Stars City et Green Arrow lui laissait peu de temps pour dormir. Il était sur le point de parler quand Oliver reprit la parole.

- Plus on approchait du mariage, plus il m'était difficile de lui mentir. Le jour ou Dark à kidnapper William, j'avais prévu de lui dire toute la vérité le soir même. Mais il m'a devancé et elle m'a quitté. Depuis, j'ai l'impression de sombrer de plus en plus.

Il avait fait une pause de quelques minutes avant de reprendre.

- Si elle est heureuse avec lui, alors tant mieux. Je ne ferai rien pour essayer de la recupéré. Elle mérite tellemnt mieux que moi.

Lance qui était resté silencieux jusqu'ici, prit la parole.

- C'est la que tu as tort. Ces derniers mois, j'ai bien vu que tu avais changer et en bien. Tu m'as dit un jour qu'elle était ta lumière et qu'après tout ce que tu avais vécu, tu ne pourrais plus vivvre sans elle. Que tu attendrais qu'elle te pardonne, même si cela prendrait des années. Ne baisse pas les bras. Parce que même si tu l'as vu avec cet homme, au fond de moi, je sais qu'elle t'aime toujours. Alors bats-toi pour elle.

- Je n'en ai plus la force.

Ils continuèrent de parler pendant encore de longue minutes, mais voyant qu'Oliver était décidé à laisser tomber son amour pour la jeune femme, il décida de changer de sujet.

- Depuis quand n'as-tu pas dormi une nuit complète ?

- Je ne sais pas trop. Je crois que sa date de plusieurs mois.

- Felicity ?

- Probablement.

- Je croyait que tu ne faisait plus de cauchemars ?

- Je n'en fais plus.

- A d'autre Oliver. Tu es tellement fatigué que se n'est pas difficile de savoir que tu en fais de nouveau. Alors depuis quand ?

- …

- Depuis qu'elle t'a quitter, n'est-ce pas ?

- Oui.

- OK et qu'est-ce qui à changer depuis ?

- Comment ?

- Depuis environs 1 semaine tu sembles encore plus fatigué qu'avant. J'en conclu donc qu'il se passe autre choses.

- Je … je fais d'autre cauchemars.

- Différents de ceux que tu fais d'habitude ?

- Non enfin si mais c'est différent.

Lance était étonné que le jeune homme se livre autant, mais il savait qu'il en avait réellement besoin, sinon, il l'aurait déjà envoyer sur les roses depuis très longtemps.

- Différents en quoi ?

Ce dernier ne répondit pas. Il semblait se demander si oui ou non, il devait continuer à parler. Quentin était sûr qu'Oliver allait mettre un terme à cette discussion. Alors il insista.

- Différend en quoi, Oliver ?

Il hésita encore quelques secondes, puis repris la paroles.

- Ce sont toujours les mêmes qui reviennet. Lian Yu. Slade. Shado. Mon père qui se tue pour me permettre de rester en vie. Ma mère, qui se sacrifie pour nous sauver Théa et moi. La mort de Tommy. Dig, Théa, Laurel, Donna ou encore vous qui mourrez à cause de moi. Le plus souvent, je vois Flicity se faire torturer puis tuer sous mes yeux.

Il fit une pause avant de continuer.

- Il y a quelques jours, j'ai commencé à faire d'autre cauchemars en plus de ceux que je fais habituellement.

- Lesquels ?

- William.

- Ton fils ?

- Oui. J'en avais déjà fait avant, quand j'ai découvert son existence. Ils avaient durer quelques jours. Mais aujourd'hui, c'est différent.

- Au risque de me répété, différents en quoi ?

- Ils sont … si réels. J'ai l'impression que ce que je vois est la réalité, qu'ils se produisent réellement. Je sais que ses impossibles, mais c'est comme ça que je le ressent.

- Que se passe-t-il dedans ?

- William est enfermé dans une cave assez petite, il n'as rien pour s'occuper, et juste du pain et un bol de soupe pour manger plus une petite bouteille d'eau. Il reste seul toute la journée et il y a cette personne qui entre dans la cave et qui …

Oliver avait de plus en plus de mal à parler, mais il savait qu'il devait continuer.

- … cette personne le frappe à plusieurs reprise avant de lui dire que personne ne l'aime et qu'il va rester enfermé pour le reste de sa vie. William réponds à chaque fois que c'est faux, que son père viendras le chercher et qu'il iras vivre avec lui. La personne rigole et lui dis que son père ne viendras jamais parce qu'il est lui-même en train de mourir. La silhouette disparaît et William prend une photo sous sous oreiller. Et à chaque fois, il dit en parlant à la photo " Je sais que tu vas venir papa, parce que tu es Green Arrow ". Puis il se met à pleurer et je me réveille en sueur et complétement perdu.

- Tu n'en a parler à personne avant ?

- Non, vous êtes le seul à le savoir.

- Et je suis heureux que tu m'en ai parler. Tu as des nouvelles de William ?

- Pas depuis que j'ai demander à Samantha de l'emmener le plus loin possible de moi et de Stars City. Je … j'ai essayé de le retrouver il y a quelques jours. Mais même si je sais me débrouillé avec un ordinateur, je ne suis pas Félicity.

- Tu as trouver quelques chose.

- Absolument rien. C'est comme si ils avaient littéralement disparu.

Ils continuèrent un peu de parler et Lance réussi à le convaincre de contacter Lyla pour lui demander de faire des recherches sur son fils. Regardant l'heure, il remarqua qu'ils avaient parler pendant un peu plus de 2 heures. Il était maintenant plus d'une heure du matin et ils commencaient tout les deux à être épuisé. Le policier se leva et tendit une main au justicier pour l'aider à se mettre debout.

- Merci. Je veux dire, de m'avoir écouté. Merci beaucoup.

- Tu n'as pas à me remercier. Va te coucher maintenant, tu as besoin de te reposer.

- Je vais d'abord aller ranger le bazard que j'ai mis et j'irai me coucher ensuite.

- Va te coucher je m'occupe de tout ranger.

Voyant qu'il allait répondre, il ajouta :

- Ne discute pas.

- Merci.

1 semaine était passer depuis cette fameuse soirée, et tout le monde était étonné du comportement qu'Oliver et Quentin avait entre eux. Bien sur, personnes ne savait ce qu'il s'était passé. Ils avaient essayé d'avoir des détails mais aucun des 2 hommes n'étaient décidé à leurs parler. L'équipe avait donc renoncer.

Depuis quelques mois, et même si tout le monde faisait comme si tout allait bien, il y avait une tension entre les membres de l'équipe et Félicity. Personne ne comprennais comment la jeune femme, qui avait tant apporté à Oliver, avait pu quitter ce dernier. Ils ne comprenaient pas pourquoi elle refusait de lui pardonner. Il lui avait bien pardonner son mensonge, à elle, quand elle lui avait caché le fait qu'elle aidait l'équipe, alors qu'ils étaient censé avoir tout abandonner pour refaire leur vie à deux. Bien sur, le mensonge d'Oliver était bien plus conséquent, mais ils ne comprenaient pas pour autant.

Toute l'équipe était réunie : Dig, Théa,Laurel, Quentin, Donna, Curtis et son mari Paul – ce dernier était au courant depuis qu'Oliver avait insisté pour que Curtis le lui dise, ne voulant pas qu'il ai des problèmes de couple – et bien sur Oliver et Felicity. Ils parlaient de l'entrainement que suivaient Paul et Curtis quand un téléphone, posés sur la table, se mit à sonner. Théa le prit en main avant de lire le message. Elle resta figée suite à la lecture de celui-ci.

- Théa ?

- …

- Théa ?

Celle-ci ne répondit pas, mais se retourna vers Felicity, avança vers elle et, à la stupéfaction de tout le monde, la gifla. Elle était sur le point de lui en donnée une autre, mais Dig l'en empêcha, en l'éloignant de la jeune informaticienne. Théa avait l'air tellement furieuse, que personne ne comprit ce qui se passait.

- J'ignore pourquoi tu as eu une telle réaction, mais je ne te laisserais pas la giflée une deuxième fois.

- Pourquoi, elle ne mérite pas mieux pourtant.

- Mais enfin Théa qu'est-ce que je t'ai fait ?

- Ce que tu m'as fait ? Tu as brisé le coeur de mon frère, tout sa pour t'envoyé en l'air avec un autre homme. Voilà, ce que tu m'as fait.

- Quoi ?

Toute l'équipe était vraiment étonnée suite au paroles de la jeune femme. Felicity n'aurais jamais pu faire une chose pareil. Malgré tout ce qui c'était passer entre eux, elle aimait Oliver. Pourtant en voyant qu'elle ne réagissait pas, ils ne purent que croire la jeune Queen. Personne ne fut capable de prononcer un mot. Dig était resté figé de même que Laurel, Curtis et Paul. Donna avait porté ses mains à sa bouche. Quentin, lui, n'avait pas bougé d'un pouce. Ils se retournèrent tous vers Oliver. Celui-ci n'avait même pas sourcillé. Théa, trop furieuse, repris de plus belle.

- Tu n'es qu'une garce. Je te hais. Tu as fait croire à Oliver qu'il pouvait être heureux avec toi, tout en étant Green Arrow...

- Théa

- … Qu'il n'était pas obligé de choisir entre être heureux ou protégé la ville. J'espère au moins que tu as pris ton pied avec se type ...

- Théa

- … D'ailleurs avant que je n'oublie, il a hâte de te retrouver ce soir. Pour ma part, je prie pour que tu pourrissent en …

-THEA

Surprise, la jeune femme se retourna vers son frère, ainsi que tout les autres. Ce dernier, malgré le fait qu'il venait de crier, semblait calme. Trop calme.

- Ca suffit.

- Mais elle …

- J'ai dis, ca suffit.

Personne ne comprenanit la réaction d'Oliver. Il venait pourtant d'apprendre que la seul femme qu'il ai réellement aimé un jour, voyait un autre homme que lui. Cela faisait des mois qu'il espérait qu'elle lui pardonne son mensonge. Alors pourquoi restait-il si calme ? Comment faisait-il pour rester de marbre face à cette révélation.

Et puis, comme une évidence, la réalité les frappa de plein fouet. Sa fatigue, ses traits encore plus tirer depuis quelques jours, ses « absences » qu'il avait depuis plusieurs jours, … S'il n'avait pas réagit, c'était parce qu'il le savait déjà.

- Tu … Tu le savais, n'est-ce pas ?

Le jeune homme se tourna vers Quentin. Ce dernier lui fit un signe de tête, que tout le monde remarqua. Il se retourna vers le reste du groupe.

- Oui, Laurel. Je le savais.

- Depuis quand ?

- Une semaine.

- Pourquoi n'avoir rien dit ?

Oliver soupira et jeta un œil à Felicity. Celle-ci avait une expression horrifié sur le visage. Elle n'osait regarder personne. Il aurait voulu la prendre dans ses bras, lui embrasser le front en lui disant que tout se passerait bien. Mais il ne pouvait pas. Il n'avait plus le droit de le faire. Il fallait qu'il essaye de l'oublié, même s'il savait qu'il n'y arriverait jamais. Tout le monde avait bien remarqué son coup d'oeil, mais personne ne releva.

- Pourquoi n'avoir rien dit, Oliver ?

- Nous ne sommes plus ensemble. Felicity est libre de faire ce qu'elle veut.

Sur ses dernière paroles, il s'éloigna du groupe et commença sont entrainement sur le salmon ladder, mettant fin à la discussion.

Une demi heure plus tards, tout le monde c'était éloigné. Donna c'était enfin remise du choc et avait couru vers sa fille pour lui parler. Laurel avait rejoint son père pour discuté avec lui. Théa c'était refugié dans un coin. Curtis et Paul avait décidé de s'entrainer un peu – ils voulaient pouvoirs se défendre en cas d'attaque. Dig, quand à lui, après être rester seul quelques instants, décida de rejoindre Oliver pour avoir une discussion avec lui. Il patienta le temps qu'il finisse ses excercices. Quand ce dernier remarqua que son ami attendait qu'il termine, Oliver lâcha la barre et s'approcha de son ancien garde du corps.

- Je suppose que tu as plein de question à me poser.

- Plein, je sais pas. Mais des questions, oui.

- Je t'écoute.

- Comment l'as-tu découvert ?

- Je … il y a une semaine, j'ai réaliser que je ne lui avait pas présenter mes excuses. Tu sais que je suis un peu long à la détente.

Diggle lui sourit.

- Un peu ?.

Oliver lui sourit à son tour.

- Beaucoup. J'ai donc décidé d'aller la voir au loft. Quand je suis arriver au coin de la rue, je l'ai vu embrasser un homme. Je … je suis parti en courant et quand je suis arriver ici, j'ai laisser éclaté ma haine et ma colère et j'ai tout envoyé valser.

- Lance est au courant n'est-ce pas ?

- Oui. Il est arrivé peu de temps après mon pétage de plomb. J'ai fini par me confier à lui et il m'a écouté sans rien dire.

- Pourquoi ne m'as-tu rien dis ?

- Tu considères Felicity comme ta sœur et …

- Et tu es mon frère.

- Justement. Je ne voulais pas te mettre entre nous deux. Et vu que Quentin était là, j'avais quelqu'un à qui en parler.

- Je comprend, et je suis soulagé que tu ais pu en parler avec lui.

- Je suppose que Lyla t'as parler ?

- Elle m'a juste dis que tu lui avait demander un service. D'ailleurs à ce propos, elle à dit qu'elle passerait se soir pour t'en parler.

Le jeune homme n'eut pas le temps de répondre. Lance arriva près d'eux.

- Tu devrais leurs en parler, Oliver.

- Je sais pas si c'est une bonne idée.

- Alors dis-le au moins à John. Après tout, il est comme ton frère.

Oliver acqiesa et raconta en détails les cauchemars qu'il faisait au sujet de son fils. Son ami compris son besoin d'avoir des nouvelles de celui-ci.

Quelques minutes plus tôt.

Laurel était encore sous le choc des révélations qui venait d'être faîtes. Elle décida d'aller voir son père, qui visiblement, était déjà au courant au sujet de Felicity.

- Alors ?

- Alors quoi, Laurel ?

- Tu étais au courant, n'est-ce pas ? Je veux dire pour Felicity.

- Oui.

- Comment l'as-tu découvert ?

- C'est Oliver qui me la appris. Le soir où il l'a découvert, je n'arrivais pas à dormir, alors je suis venu ici et il m'as tout expliquer.

- Pourquoi n'avoir rien dis ?

- Ce n'était pas à moi de le faire. Si Felicity a voulu garder ça secret, c'est qu'elle avait ses raisons.

- Peut-être. Mais je t'avoue que je comprends pas comment elle a pu faire ça à Oliver. Je croyais qu'elle l'aimais et qu'elle avait juste besoin de temps.

Ils parlèrent encore quelques instants, avant que celui-ci n'aille rejoindre Diggle et Olivier.

Du côté de Théa, les choses n'avait pas changé. Elle était toujours aussi furieuse contre Felicity. Elle ne comprenais pas la jeune femme. Comment avait-elle pu faire une chose pareil à Oliver, alors qu'elle lui avait tant de fois répété qu'il pouvait être Green Arrow tout en étant avec elle. Elle ne lui en voulait pas de l'avoir quitté après avoir découvert pour William. Après tout, elle avait elle-même dit à Oliver de ne rien dire. Mais elle ne pouvait pas lui pardonner d'avoir un autre homme dans sa vie, seulement 5 mois après sa rupture avec Oliver. Elle s'en voulait également à elle-même d'avoir dit à Oliver de garder espoir. Celui-ci devait être, même si il ne le montrait pas, sûrement anéanti.

Curtis et Paul, après s'être entrainé un peu au combat, avait fini par laisser tomber, aucun d'eux n'arrivant à ce concentrer. Certes ils ne faisaient pas partie de l'équipe depuis longtemps, mais ils s'étaient vite attaché au membres de celle-ci. Ils savaient pourtant que la jeune femme était raide dingue du justiciers, sinon pourquoi aurait-elle accepté de l'épouser plusieurs mois plus tôt. Alors oui, toute cette histoire les perturbaient.

Donna avait repris ses esprits, au moments où Oliver avait avoué être au courant de la liaison de sa fille. Après l'éloignement d'Oliver, cette dernière était partie en courant, pour se réfugiée dans une des chambres que possédait le repère. Donna récupéra le téléphone de sa fille et parti rejoindre celle-ci. Quand elle arriva auprès de Felicity, elle ne put que constater l'état dans lequel elle était. Celle-ci était en larmes. La mère s'installa au côté de la jeune femme. Sa fille se blotti contre elle.

- Je l'ai perdu maman. Jamais il ne me pardonnera.

Elle éclata en sanglot en se serrant davantage conte sa mère. Celle-ci ne comprennais pas la réaction de sa fille. Pourquoi se mettait-elle dans un tel état, alors que visiblement, elle avait quelqu'un d'autre dans sa vie.

- Je ne comprend pas, Felicity. Tu sors pourtant avec un autre homme.

- Non. Jamais je n'aurais pu faire ça à Oliver.

- Pourtant Théa … le message.

- Ce n'est pas ce que tu crois, maman.

- Alors explique-moi.

- Quand j'ai découvert qu'Oliver m'avait menti au sujet de William, je lui en ai réellement voulu. Je ne savais pas si je pourrais ou non lui pardonner. J'ai donc pris la décision de le quitter, même si je l'ai très vite regrettée. Et 1 mois plus tard, j'ai voulu allé le retrouvé et lui dire que je l'aimais toujours, mais je ne l'ai pas fait.

Voyant que sa fille faisait une pause, Donna pris la parole.

- Pourquoi ?

La jeune femme ne répondit pas, mais se blotti un peu plus contre sa mère, perdue dans ses pensées. Donna voyait bien qu'il y avait quelque choses qui préoccupait sa fille, mais temps qu'elle ne se confierais pas, elle ne pourrais pas l'aidée.

- Parle-moi ma chérie, sinon je ne pourrais pas t'aidée.

- Il y a environs 4 mois, ma voiture était au garage, alors, suite à notre mission, Dig m'a ramenée. J'ai pris un bain et je me suis mise à penser à lui. J'ai réalisé que je l'aimais plus que tout et que je voulais passer ma vie avec lui. Je me suis rhabillé et j'ai quitter le loft pour aller le retrouvé. Jétait à quelques rues de l'appartement, quand je me suis retrouvée plaquée contre un mur. Ma tête à cogner contre ce dernier et je suis tombée à terre. L'homme à essayé de m'embrassé, mais je me suis débattue. Il m'a bloqué les poignets et il a … il a commencé à me … à me carresser. J'étais tétanisé. Et puis le visage d'Oliver m'est apparu et j'ai réussi à me libérée en utilisant les technique de défense qu'il m'avait apprises au court des derniers mois. Je suis partie en courant et arrivée au loft, c'était le plus près, je me suis enfermée à double tour et je me suis écroulée en pleurs contre le mur. Quand j'ai repris mes esprits, j'ai voulu appelé Oliver, je voulais le voir, me serrer contre lui, mais j'ai … je me suis dit qu'il serrait mieux sans moi.

- Quoi ? Mais enfin ma chérie, pourquoi avoir pensée une chose pareil ?

- Oliver a été blessé à de nombreuses reprise à cause de moi. L'agression que je venais de subir, me prouvait encore une fois que je n'étais pas capable de me protégée moi-même. Et je ne pouvais pas supporter l'idée qu'un jour il puisse être à nouveau bléssé, ou pire, mourir, en venant me sauvée.. Alors j'ai pris la décision de ne pas retournée vers lui.

- Mais enfin Felicity, tu sais qu'il t'aime plus que tout. Tu devrais aller le voir et …

- Je ne peux pas maman.

- Mais enfin ! Pourquoi ?

- Tu ne comprends pas. Je préfère rester loin de lui, plutôt que de le voir être bléssé et souffrir à cause de moi.

- Mais Felicity, il souffre déjà.

- Quoi ?

- Vivre chaque jour à tes côté sans pouvoirs être avec toi, est une véritable souffrance pour lui. Il t'aime tellement.

- Tu te trompes, maman. Il ne m'aime plus.

- Comment peux-tu penser une chose pareil ?

- Tu étais là, maman. Tu l'as vu et entendu après que Théa ait lu le message. Il n'a pas réagis et il a juste dis qu'on était plus ensemble, que j'étais libre de faire ce que je veux. Il ne m'aime plus.

- Ecoute-moi ma chérie. I jours, Quentin a insisté pour qu'Oliver vienne souper au soir. Il a longtemps refusé, mais tu commence à connaître Quentin, il a tellemnt insisté qu'Oliver a fini par accepté. A la fin du repas, j'ai reçu un appel d'une de mes amies de Las Vegas. Je suis allé dans notre chambre le temps de lui parler et quand je suis revenue au salon, j'ai surpris la fin de leur conversation. Quentin demandais à Oliver s'il n'avait pas changer d'avis te concernant. Oliver lui a répondu, que vu que maintenant tu étais heureuse avec un autre homme, et il ne ferais rien pour te récupéré, malgré le fait qu'il t'aimais toujours. Crois-moi ma chérie, il t'aime encore. Il t'aime au point de continuer de souffrir pour que tu puisses être heureuse.

Felicity était étonné des paroles de sa mère. Comment Oliver pouvait-il encore l'aimer alors qu'elle faisait tout pour ne pas lui montrer les sentiments qu'elle éprouvait toujours pour lui. Comment pouvait-il encore l'aimer alors qu'il était persuader qu'elle avait quelqu'un d'autre dans sa vie. Elle ne comprenais pas. Elle était perdue, complétement perdue. Sa mère lui laissa le temps de digéré ce qu'elle venait d'apprendre. Sur le visage de sa fille, passaient différente expressions. Au bout de quelques minutes, la jeune femme releva la tête vers sa mère.

- Qu'est-ce que j'ai fait, maman ? Je l'aime tellement. Jamais il ne me pardonnera tout ces mois de souffrances.

- Il te pardonnera ma chérie, parce qu'il t'aime.

Un autre silence se fit pendant de longue secondes, avant que Donna ne reprenne la parole.

- Parle-moi du message.

- Je ne sais pas qui me la envoyé, mais c'est surement une erreur.

- Tient, regarde.

Felicity prit son téléphone que sa mère lui tendait. Elle avait un autre message. " Désoler, j'était pressé et j'ai pas verifié le destinataire. Je voulais envoyé le message à ma sœur Felicia. Toute mes excuses, bonne soirée ". En voyant le nom de l'expéditeur du message, elle compris. Elle se retourna vers sa mère.

- J'ai compris.

- Compris quoi ?

- J'ai compris pourquoi Oliver pense que j'ai quelqu'un d'autre depuis 1 semaine.

- Je t'écoute.

- Après mon agression, j'ai été porté plainte. Le flic chargé de l'enquète était l'inspecteur Billy Malone. Quand il m'a demander si il fallait appelé quelqu'un, je lui ai répondu que non. Il n'as pas compris pourquoi, mais il a respecter ma décision. Toute les semaines, je l'appelait pour savoir si il avait du nouveau. Sa réponse était la même à chaque fois.

Mais il y a une semaine, il m'a appelé en me demandant de venir au comissariat. J'y suis aller et il m'a annoncer que le type avait été arrêter. Il est accusé de plusieurs agressions et de viol dans tout l'état. J'étais tellement soulagé. Ma voiture était de nouveau au garage, alors je lui demander si je pouvais utiliser le téléphone pour appeler un taxi, ma batterie était presque plate. L'inspecteur Malone avait fini son service, alors il a proposé de me ramener. J'avais eu une sale journée alors j'ai accepté. Quand on est arrivé, il est descendu de voiture pour me raccompagner jusqu'à la porte. Je lui avais dit que ce n'était pas nécessaire, mais il m'a répondu que c'était son devoir de flic. Quand on est arrivé devant celle-ci, il s'est penché vers moi et m'a embrasser. J'étais tellement surprise qu'il m'a fallu quelques seconde avant de réagir. Je l'ai repousser en lui disant que je ne pouvais pas, que j'aimais quelqu'un d'autre. Il a compris que je parlais d'Oliver et il s'est tout de suite excusez. Avant de partir, il m'a dit que si j'aimais toujours Oliver, je devais aller le voir et le lui dire. Ensuite, il est parti. Le reste du connaît.

- Le message c'était lui ?

- Oui, il s'est trompé de destinataire. Regarde.

Elle lui montra le télephone. Elles continuèrent de parler encore un peu et Donna finit par convaincre sa fille, d'aller parler avec Oliver. Curtis arriva au moment ou elle accepta.

- Désolé de vous déranger. Tout va bien Felicity ? .

Celle-ci avait encore les yeux légèrement rouge

- Je vais mieux, merci Curtis.

- Tant mieux. Hum, Oliver m'a demander de venir vous chercher. Il a quelque chose d'important à nous dire.

- On arrive.

Il reparti aussi vite qu'il était arriver. Felicity avait peur de retourner dans la pièce principal. Peur que ses relations avec ses amis ne changent. Certe elle n'avait rien à se repprochée, mais il pensait tous qu'elle avait quitté Oliver pour allez avec un autre homme. Quand Théa l'avait accusée, elle n'avait pas réagi, elle était resté figé, incapable de dire un mot. Elle n'avait donc pas pu leur dire que tout était faux, que c'était un malentendu. Sa mère finit par la faire revenir à la réalité. Elle se dirigèrent vers la pièce principal. Au moment d'y entrer, Felicity se figea en entendant la voix d'Oliver. Elle n'arriverait jamais à lui faire face, alors qu'il était persuadé qu'elle voyait quelqu'un d'autre. Voyant l'expression de sa fille, Donna prit sa main dans la sienne.

- Tout se passeras bien. Et si jamais quelqu'un te fais une remarque, il aura à faire à moi.

- Tu crois vraiment qu'il m'aime encore ?

- Oui, ma chérie, j'en suis sûr. Allez vient, il nous attendent.

Elles se sourirent, soufflèrent un bon coup et entrèrent mains dans la mains dans la pièce.

De longue minutes plus tard, toute l'équipe était à nouveau réunie. Dig était venu lui parler. Il lui avait dit que malgré tout ce qui se passait, il serait toujours son ami. Elle avait été soulagé de l'entendre. Laurel de son côté n'avait pas bougé à son arrivée, mais elle lui jetait de fréquent coup d'oeil. Tout comme Curtis et son mari. La réaction de Théa avait été tout autre. Felicity avait à peine franchit le seuil de la pièce depuis 5 minutes, que la jeune femme lui sautait déjà dessus. Elle allait recommencé à lui craché à la figure, mais Oliver, ayant anticipé la réaction de sa sœur, intervient avant qu'elle ne puisse craché son venin. Ce dernier s'interposa entre les 2 femmes les plus importantes dans sa vie, pendant que Quentin, qui était avec Oliver au moment de leur arrivée, venait s'installer au côté de Donna, qui tenait toujours la main de sa fille dans la sienne.

- Cesse de t'en prendre à elle, tu veux.

- Pourquoi tu continue de la défendre. Je vais finir par croire que tu aimes souffrir à cause d'elle.

- Tu sembles oublié un détails, Théa.

- Ah oui et lequel ?

- C'est moi qui lui ai caché la vérité, c'est moi qui l'ai fait souffrir. Alors arrête de t'en prendre à elle. Si elle est heureuse avec lui, tant mieux. Tu n'as pas à t'en mélée.

- Je ne te comprend pas Oliver, on dirais que tu ne l'aimes plus.

- Je l'aime toujours. Et c'est justement pour ça que je te demande de lui foutre la paix.

Tout le monde était étonné des propos du jeune homme. Ils avaient tous fini par se demander, si les sentiments de celui-ci envers la jeune femme n'avait pas disparu. Ils étaient tous à la fois soulagé et en même temps étonné. Il l'aimait toujours mais il acceptait la relation de la jeune femme avec un autre homme, parce qu'il voulait qu'elle soit heureuse. Felicity, quand à elle, était heureuse d'avoir entendu ce dernier avouer qu'il l'aimait toujours. Cependant elle ne dit rien, préférant lui parler en privée. Oliver se rendit compte de se qu'il venait de dire, au moment ou il termina sa phrase et il s'en voulait. Comment avait-il pu dire dire devant tout le monde qu'il aimait toujours la jeune femme. Tout ce qu'il voulait c'est qu'elle soit heureuse, et visiblement elle l'était avec cet homme. Voyant que le silence qui s'était installé depuis quelque minutes persistait, et pour évité à Oliver d'avoir à s'expliqué, Quentin décida de prendre la paroles.

- Si tu leur disait la raison pour laquelle tu nous a demander de nous réunir.

Oliver se tourna vers lui et lui lança un regard de remerciement. Il acqiesa ensuite et demanda à tout le monde de s'installé autour de la grande table ronde. Curieux, mais n'oubliant pas pour autant les révélations du jeune homme, ils obéirent et allèrent s'installer.

- Bien. Ce que j'ai à vous dire n'est pas facile pour moi. Et vous savez que je ne suis pas du genre à me confier. Mais dans la mesure où j'ai demander un service à Lyla, et qu'elle va bientôt arriver, Quentin et Dig m'ont convaincu de vous en parler. Dig est au courant depuis seulement 1 demi-heure et Quentin depuis 1 semaine.

Voyant qu'il avait l'attention de tout le monde, il reprit.

- Ok, je me lance … Comme vous le savez tous, je fais des cauchemars depuis mon retour de l'île.

- Je croyais que tu n'en faisait plus.

- Ils ont recommencé depuis quelques mois.

Toute l'équipe avait bien compris que ses cauchemars avaient recommencé suite à sa rupture avec Felicity et celle-ci se sentit vraiment mal en le découvrant. Mais heureusement, personne, pas même Théa, ne fit de commentaire.

- Il y a … il y a deux semaines environs, j'ai commencé à en faire d'autres. Chaque fois les mêmes, à quelques détails près. Et il … il concerne William.

Oliver se retourna vers Felicity. Celle-ci lui fit un signe de tête et dans un léger sourire, lui dit.

- Continue.

- William est enfermé dans une cave. Il n'a rien pour s'occuper et ses repas se composent d'une tranche de pain avec un bol de soupe et une bouteille d'eau. Il est seul toute la journée, sauf au moment où on lui apporte à manger. C'est chaque fois la même personne qui vient, mais elle est floue et je ne sais pas de qui il s'agit. Après avoir déposer le plateau repas sur le sol,… elle … elle frappe William à plusieurs reprise en lui disant que personne ne l'aime et qu'il restera enfermé toute sa vie. William lui répond à chaque fois que c'est faux, que … que son père l'aime et qu'il viendra le chercher pour vivre avec lui. La personne éclate de rire et lui dit que ce ne sera jamais le cas, car il est lui-même en train de mourir. Ensuite elle s'en va et William se met à pleurer en allant vers ce qui lui sert de lit. Il prend une photo sous son oreiller, c'est une photo de moi, et il … il répète la même phrase à chaque fois.

Oliver fit une légère pause, perdu dans ses pensés. Puis il reprit.

- " Je sais que tu vas venir papa, parce que tu es Green Arrow ".

Tout le monde était surpris parce qu'il venaient d'entendre. Ils comprenais qu'Oliver puisse faire des cauchemars de son fils, après tout quels parents n'en ferait pas. Mais ils étaient surtout étonné des paroles que le petit semblait dire à chaque fois. Il savait qui était Oliver, mais surtout, il gardait espoir que son père vienne le chercher. Laurel fut la première à parler.

- Oliver, je comprend que se cauchemars te hante, après tout il s'agit de ton fils, mais je suis sur que se ne sont que des cauchemars.

- Elle n'a pas tord. Et puis comment William pourrait-il savoir que tu es son père et Green Arrow ?

Oliver se retourna encore une fois vers Felicity. Elle lui sourit à nouveau et prit la parole.

- Oliver a fait une vidéo qu'il a confié à Samantha, juste avant qu'ils ne quittent Stars City. Mais je croyais que tu lui avait dit de ne pas la lui donner avant ses 18 ans ?

- C'est exact. Mais ses cauchemars sont tellement différents des autres, ils sont si … si réels. Au début, je pensais aussi que c'était de simples cauchemars, mais plus j'en fait, plus j'ai la certitude qu'ils sont vrai.

Il s'interrompit et les ragarda tous. Il ne savait pas trop si il le croyait ou non, mais une chose était sur pour lui. Son fils était quelque part, en danger et il ferait tout pour le retrouver. Même si il devait se débrouiller tout seul. Même si sa lui prenais des semaines, des mois. Même si il devait tout abandonner. Il ferait tout pour retrouver son fils et s'assurer qu'il aille bien.

- Ecouté, je ne vous demande pas de me croire. Je veux juste que vous sachiez, j'ai déjà commencé des recherches, mais je n'ai rien trouvé. Mais je vais tout faire pour le retrouvé, même si ça me prend du temps au point de devoir abandonner mon poste de maire et mon rôle de justicier. Je ne vous demande pas de m'aider, mais je devais vous le dire.

- On t'aidera à retrouver ton fils, Oliver. Surtout si tu es persuader qu'il est en danger.

Ils acquiesèrent tous et Oliver les remercia. Un léger silence s'installa, chacun perdu dans leurs pensées. Au bout de quelques minutes, Félicity se leva, se dirigea vers les ordinateurs et revient vers eux avec sa tablette.

- Qu'est-ce que tu as trouver ?

- Qu'est-ce que sa peut te faire ?

- Pour l'amour de Dieux Théa.

Cette dernière allait répliqué, mais le regard que lui lança son frère, lui fit comprendre qu'elle ferait mieux de se taire. Ce dernier se retourna vers la jeune informaticienne.

- Felicity, tu n'es pas obligé de …

- Ecoute Oliver, il ne s'agit pas de toi, ni de moi. Mais de ton fils. Un petit garçon qui est probablement térorrisé par ce qu'il est en train de vivre. Alors laisse-moi t'aider à le retrouvé.

- Merci.

Elle lui fit un autre sourire, ceux qu'il aimait tant, avant de lui redemander ce qu'il avait trouvé. Il allait répondre quand un bruit de talons se fit entendre. Lyla franchit la porte. Elle salua tout le monde, et se dirigea vers son mari, pour l'embrasser. La jeune femme se retourna ensuite vers le justicier.

- Je suis désolée de ne pas avoir pu venir plus tôt. Mais j'ai eu un problème à l'agence.

- Ne t'en fait pas. J'ai pu leurs expliquer la situation en attendant.

- Et vous en étiez où ?

- Oliver allait dire à Felicity ce qu'il avait trouvé.

Oliver raconta ce qu'il avait découvert. A savoir très, très peu. Après avoir quitté Stars City, Samantha et William étaient retourné à Central City. Ils avaient pris un vol en direction de Washington. Après, plus rien. Lyla avait pris le relais, mais elle n'avait rien trouvé non plus si ce n'est une chose.

- Je trouvais bizare le fait de ne pas trouvé de trace d'eux à Washington, je me suis donc renseigné auprès de l'aéroport. Samantha Clayton a bien réservé 2 places pour elle et son fils, mais ils n'ont jamais embarqué. J'ai essayé de trouver autre chose, mais rien. Je suis désolé de ne pas pouvoir t'aider d'avantage.

Oliver la remercia pour son aide. Si il avait encore un doute avant, il était à présent sur et certain que son fils était en danger. Sinon, comment expliqué qu'une agence comme l'Argus, n'avait rien trouvé. Ce n'était vraiemnt pas normal. Ils parlèrent tous encore un peu avant qu'Oliver ne leurs disent de rentrer chez eux se reposer. Ils protestèrent disant qu'ils pouvaient avancé dans les recherches, mais la semaine avait été longue pour tout le monde et ils étaient tous fatigués. Oliver leurs souhaita une bonne nuit et parti dans se qui lui servait de chambre depuis maintenant 5 mois.

Il ferma la porte et s'appuya contre celle-ci et se laissa glissé au sol, ses larmes commençant à couler le long de ses joues. Il resta dans cette position pendant quelques instant avant de se relever et de se dirigé vers sa salle de bain. Il se dévéti, mit la douche en route et se glissa sous l'eau sans se préoccupé de la température de l'eau. Il laissa l'eau détendre un à un ses musles, bien plus tendus qu'il ne le pensait. Il finit par sortir de la douche et enroula une serviette autour de sa taille. Une fois dans sa chambre, il mit un caleçon puis un bas de training. Il s'allongea sur son lit et tenta de dormir. Une demi-heure plus tard, n'arrivant pas à dormir, et malgré la fatigue qu'il ressentait, il se leva et toujours en pantalon de training et, torse nu, remonta au QG, pour continuer ses recherches. Il fut étonné de voir qu'il y avait encore de la lumière. Qui pouvait bien être encore là. Il entra dans la pièce et fut surpris de constater que la personne encore présente, était Felicity. Il s'immobilisa. Que faisait-elle encore ici ? Malgré l'herure, son petit ami devait sûrement l'attendre. Cette pensée lui fit bien plus mal qu'il ne le pensait. Depuis qu'il l'avait vu en train d'embrasser cet homme, il était briser de l'intérieur. Il l'aimait encore tellement. Il profita du fait d'être seul avec elle, pour pouvoir l'observé. Elle portait une robe bleu ciel, avec une ceinture de tissus blanche, assortie à ses chaussures à talons. Elle avait laisser ses cheveux détaché, ce qu'il préfèrait. Elle était tout simplement magnifique. Elle était tellement concentré sur ses ordinateurs, qu'elle n'avait même pas remarqué sa présence. Il profita donc pour l'admirer encore un peu. Au bout d'un moment, il se racla la gorge pour signaler sa présence.

Elle se retourna et fut surprise de le voir encore debout, mais encore plus encore en constatant qu'il était torse nu. Elle ne l'avait plus jamais vu dans cette tenue, depuis leur rupture. Elle l'admira une seconde avant que son regard ne s'arrête sur une une chaine autour de son cou. Chaine où pendait sa bague de fiançaille, qu'elle lui avait rendue à deux reprise. Il l'avait garder sur lui tout ce temps. Elle comprenais mieux pourquoi, il ne retirait plus son t-shirt pour s'entraîner. Elle lui souri à nouveau. Son coeur, à lui, râta un battement.

- Oliver, je croyait que tu dormais.

- Pas moyen de trouver le sommeil.

- Pourtant, tu as l'air fatigué.

- Je le suis.

La jeune femme avait bien compris qu'il dormait mal depuis leur rupture et elle s'en voulait de le faire autant souffrir. Elle fut sortie de ses pensées par un bip émanant de l'ordinateur.

- Qu'est-ce que tu fais ?

- Les mises à jours se termine et je me suis dis qu'au lieu d'attendre sans rien faire j'allais commencé les recherches sur William et …

- Felicity.

- Oui.

- Rentre chez toi.

- Quoi ?

- Il est tard et ton petit ami doit sûrement t'attendre, alors rentre chez toi.

- Je n'ai pas de petit ami.

Oliver était à la fois étonné et en même temps soulagé. Etonné parce qu'il pensait qu'elle était heureuse. Mais en même temps, il ne pouvait pas s'empêché d'être soulagé de savoir qu'elle était à nouveau seule. Il était sur le point de lui dire qu'il était désolé pour sa rupture, quand elle reprit.

- Je n'ai eu personne depuis notre rupture.

- Quoi ?

- Je n'ai eu personne depuis toi, Oliver. Jamais je n'aurais pu te faire une chose pareil.

- Mais tu … je … je vous ai vu … je vous ai vu vous embrassé.

Oliver était sous le choc. Il les avait bien vu, il y a une semaine. Alors pourquoi, pourquoi lui mentait-elle ? A moins qu'elle lui disait la vérité, mais alors que c'était-il réellement passé se soir là ? Il était perdu, complètement perdus.

- Je vais tout t'expliqué, Oliver. Mais avant, il faut que je sache. Avais-tu l'intention de me parler de Willaim ?

- Comment ?

- J'ai besoin de savoir, Oliver. Avais-tu l'intention de me parler de William ?

- Oui.

- Quand ?

- Le soir même où tu l'a appris.

Voyant qu'elle attendait plus, il lui raconta tout depuis le début.

- Environs 2 mois avant que je ne parte sur le Gambit, Laurel avait commencé à me parler d'emmenager à deux, mais à l'époque, je n'étais pas du genre à me fixer. Et puis un soir, je suis allé à une fête, j'avais pas mal bu et j'ai fini par passer la nuit avec une fille. Samantha. 6 semaines plus tard, elle est venu me voir pour me dire qu'elle était enceinte. J'étais complétement perdu et térrorrisé. J'en ai parlé à ma mère le jour même. Elle m'avait dit qu'ils trouveraient une solution et qu'elle serais là pour m'aider, quoi qu'il arrive. 3 jours après, Samantha m'a appelé pour me dire qu'elle avait perdu le bébé et qu'elle partait vivre à Central City. J'étais à la fois soulagé et en même temps, je sais pas, je ne pouvais pas m'empêcher de me demandé qu'elle aurait été ma vie avec un enfant. Je crois au fond de moi, que je m'étais fait à l'idée d'en avoir un. 2 semaines plus tard, j'embarquais sur le Gambit. La suite, tu connais.

Il fit une petite pause, avant de reprendre.

- Quand Barry et moi on vous attendais à Central City, nous avons été boire un café au Jitters. Avec Barry, nous avons été bousculé par un enfants. C'était William. Il s'est excusé et j'ai ramassé sa figurine qu'il avait fait tomber. C'était une figurine Flash. Je me suis retourné vers Barry, nous avons rigolé et je l'ai rendue à William en lui disant de faire attention, que c'était précieux. Il m'a remercié et il est parti. A ce moment là, je ne savais pas encore qui il était, mais je n'ai pas pu m'empéché de le suivre des yeux. Quand j'ai reconnu Samantha, j'ai tout de suite pensé que cet enfant, qui venait de me bousculer, était peut-être le mien. Je suis resté planté là, jusqu'a ce que je reçoive l'appel de Théa, disant que vous étiez arriver. On vous a rejoint et après qu'on soit arriver à la ferme, je suis repartie presqu'aussitôt.

- Oui, je m'en rappel. Tu m'as dit que tu avais un truc à réglé.

- Je suis désolé. Mais je voulais savoir la vérité. J'ai chercher son adresse sur internet, et j'y suis allé. Plusieurs minutes après mon arrivée, ils sont sorti de la maison. William est monté dans la voiture et au moment de monter à son tour, elle m'a vu. Je lui ai fait signe et elle est venue me rejoindre. Je lui ai demander si c'était mon fils étant donné l'âge qu'il devait avoir et elle m'as répondu que non. Elle m'a dit qu'elle avait rencontrer sont père, peu de temps après son arrivée en ville. Je ne l'ai pas crue et puis William l'a appelé. Elle devait y aller. En faisant demi-tour, elle a fait tomber la casquette du petit. Je l'ai ramassé, et j'en ai profité pour prendre les quelques cheveux qu'il y avait dedans. Ensuite Barry à remonté le temps et …

- Attend, tu as dis quoi ? Barry à remonter le temps ?

- Oui. Il m'a dit qu'il avait fait un test pour moi et que William était bien mon fils. Tu as découvert la vérité, et tu m'as quitté, parce que je ne t'avais rien dit.

Voyant qu'elle allait parler, il reprit.

- Laisse-moi finir, stp.

Elle acquiesa.

- Il m'a également dit que trop bouleversé par notre rupture, j'avais foirer la mission et qu'on était tous mort. Il avait juste eu le temps de partir en courant et de remonté le temps. Après ça, je suis retourné voir Samantha et je lui ai dit que je savais que William était mon fils. C'est à ce moment-là que j'ai découvert que ma mère lui avait fait un chèque, pour qu'elle me fasse croire qu'elle avait perdu le bébé. Samantha ne voulait pas que son enfant grandisse au côté de ma mère, alors elle l'a accepté, mais elle ne l'a pas encaissé. Je lui ai dit que je voulais connaître mon fils, mais elle ne voulait pas. Je lui ai dit que j'avais changé, que je n'étais plus le sale type d'avant l'île. J'ai insisté et elle a fini par accepté que je vois William, mais à deux conditions. La première, il ne devait pas savoir que j'étais son père. La deuxième, personne ne devais connaître son existence. Je lui ai dis que j'avais quelqu'un dans ma vie, que je ne voulais pas lui mentir, mais elle n'a rien voulu savoir. Soit j'acceptais ses conditions, soit elle refusait que je vois mon fils. J'ai accepté, en me disant que je te dirais tout quand même. Je suis allé le voir et je suis resté avec lui pendant 1 bonne heure avant de devoir partir. On était sur le point de rentrer à la maison. Sur le chemin du retour, j'ai beaucoup réfléchi à la manière de te l'annoncer et puis une de tes phrases mes revenue en mémoire. On venait de revenir à Stars City et tu m'avais dit " je veux tout partagé dans ta vie, absolument tout ". Je me suis dit que je n'avais pas le droit de t'infligé une telle chose. Je ne voulais pas que tu souffres de la relation que j'aurai eu avec lui. Je ne voulais pas que tu te sente abandonnée. J'ai donc pris la decision de ne rien te dire. Par après, tout c'est très vite enchainer : vos enlèvement à toi, John et Théa, ma demande en mariage et puis la fusilade. C'est à ce moment-là, que j'ai réalisé que je ne pouvais plus te mentir. Mais quand le medecin, nous a annoncé que tu ne pourrais plus jamais marché, j'ai de nouveau fait marche arrière. Ça aurait été une épreuve de trop à ce moment-là. Et puis, il y a eu le cadeau de Curtis. Ce soir-là, je me suis jurer de te le dire après l'opération pour t'implanter la puce. j'ai voulu attendre quelques jours le temps que tu te remettes. Le jour où Dark à kidnapper William, j'avais prévu de tout te révélé le soir même. Mais il m'a devancé. La suite, tu connais. Voilà, tu sais tout maintenant.

Felicity essayait d'assimilé tout ce qu'elle venait d'entendre, mais tout ce qu'elle retenait, c'était qu'il voulait juste la protégé. Enfin d'une certaine manière. En voulant évité de la faire souffrir, il avait fait exactement le contraire. Cependant, il y avait une chose qu'elle ne comprenais pas. Pourquoi ne lui avait-il rien dit après Dark ? Quand elle lui posa la question, il lui répondit qu'il avait essayé à plusieurs reprise, mais qu'à chaque fois qu'il évoquais le sujet, elle s'éloignait de lui et il avait fini par abandonné. Elle se souvenait très bien de ses moments-là. Des qu'il commençais à en parler, soit elle changeait de conversation, soit elle trouvait une excuse bidon pour ne pas avoir à l'écouté. Elle porta les mains à sa bouche, en réalisant qu'elle ne lui avait laissé aucune chance de s'expliqué. Les larmes lui montèrent aux yeux, quand elle réalisa qu'ils avaient souffert tous les deux à cause d'elle.

- Hey, pourquoi pleures-tu ?

- Je suis désolée, Oliver. Je ne t'ai laissé aucune chance de t'expliqué. Si je l'avais fait, on n'en serais pas la aujourd'hui et nous serions marié et heureux.

- Quoi ?

- Je te dois, moi aussi, des explications.

- De quoi parles-tu ?

- Quand j'ai découvert la vérité pour William, j'ai vraiment eu mal. Je pensais vraiment que tu ne me faisait pas confiance, c'est pour ça que je t'ai quitter. Je me rends compte à présent, de mon erreur. Les premières semaines ont vraiment été horrible. Et puis, au bout d'un mois, on a eu une mission assez difficile et tu as été blessé au flanc gauche. J'étais morte d'inquiétude. Mais quand vous êtes revenus, et que Dig a dit que ce n'était rien de grave, j'ai été soulagé. Et puis on est tous rentré. Ma voiture étant au garage, Dig m'a ramené au loft. J'ai pris un bain et je me suis mise à réfléchir. Je me suis rendue compte à ce moment-là, que malgré ton mensonge, je t'aimais toujours et que ce serait toujours le cas. Je suis sorite de mon bain, je me suis rhabiller et je suis partie en direction du QG.

- Ne me dis pas que tu es partie à pied.

- Si.

- Mais enfin Felicity, tu sais ….

- Je sais, oui. Et crois-moi, je ne le ferai plus jamais.

Voyant qu'il allait lui faire une remarque, elle reprit la parole.

- J'étais à 10 minutes du repère quand j'ai … ne t'énerve pas d'accord … quand j'ai été agressé.

- Quoi ? Mais pourquoi ne pas me l'avoir dit ?

- On était en froid et on ne se parlait plus vraiment. Enfin bref, j'ai réussi à me libérée et je suis rentrée en courant au loft. C'était l'endroit le plus près. J'ai vérrouillé la porte à clé avant de m'éffondrer au sol. J'ai voulu t'appeler, mais ta blessure m'est revenue en tête et je me suis souvenue de toute les fois ou tu avais été blessé par ma faute. Je me suis dis à ce moment-là, que tu serais bien mieux sans moi et …

Elle ne put terminé sa phrase. Oliver venait de plaquer ses lèvres contre les siennes et l'embrassait. Elle lui répondit tout de suite, approfondissant même le baiser.

Ils mirent fin au baiser par manque d'air. Ils restèrent front contre front et elle garda les yeux fermé.

- Comment peux-tu croire un seul instant que je serais plus heureux sans toi.

- Oliver.

- Je t'aime Felicity. Je t'aimerais toujours. Mais sans toi à mes côtés, je ne suis rien, je survis à peine.

- Oliver.

Elle se rapprocha encore plus de lui et l'embrassa à nouveau.

- Je t'aime tellement, Oliver. Je te demande pardon. Pardonne-moi de t'avoir fait souffrir si longtemps.

Il l'embrassa à nouveau et le baiser devient vite passionné. C'était si bon de pouvoir, à nouveau, embrassé l'être aimé. D'être à nouveau dans les bras l'un de l'autre. Toutes les sensations d'autrefois, revenaient en force et la jeune femme commença à lui caressé le torse. Il la serra davantage contre lui, avant de s'éloigné légèrement d'elle.

Celle-ci grogna de mécontentement.

- Oliver.

- Je suis désolé.

Voyant une lueur de panique dans son regard, il reprit.

- J'en ai envie autant que toi, crois-moi, mais … mais j'ai besoin de savoir se qui s'est passé ensuite.

Soulagée, elle acquiesa et entrelaça leurs doigt.

- Le lendemain, je suis allé porté plainte pour agression. C'est l'inspecteur Malone, qui s'est occupé de mon dossier. Je l'appelais toute les semaines pour savoir si l'enquète avançait, mais à chaque fois la réponse était la même. Il n'avait rien. Et puis, il y a une semaine, il m'a appelé en me demandant de venir au commisariat. J'étais à 5 rue de celui-ci et vu que ma voiture était de nouveau au garage, j'y suis allée à pied. Quand je suis arrivée, il m'a annoncé qu'ils l'avaient arrêté. Il est accusé de plusieurs agressions et viol, à travers tout l'État. J'étais tellement soulagée. Nous avons parler encore un peu, avant que je ne lui demande si je pouvais empreinté son téléphone pour appelé un taxi. Ma batterie était presque plate et je n'avais pas mon chargeur. Son service étant fini, il a proposé de me ramener. Ma journée ayant été longue, j'ai accepté sa proposition. Si j'avais su ce qui se passerais, tu peux me croire, j'aurais refusée. Enfin bref. Quand on est arrivé, il m'a raccompagner jusqu'à la porte, malgré que je lui ai dit que ce n'était pas nécessaire. J'allais le remercié, quand il m'a embrassé.

Elle fit une pause et le reagrda droit dans les yeux. La lueur de souffrance qu'elle vit passer dans son regard, la bouleversa bien plus qu'elle ne le pensait. Si elle avait accepté d'écouté ses explications, il n'aurait pas souffert autant au cours des 5 derniers mois. Elle reprit.

- Quand j'ai réalisé ce qu'il était en train de faire, je l'ai tout de suite repoussé. Mais c'était trop tard, tu nous avais vu. Je lui ai dit que j'aimais quelqu'un et que jamais je ne pourrais lui faire une chose pareil. Il a tout des uite compris que je parlais de toi. Il s'est excusé et avant de partir, il m'a conseiller de tout te dire.

Elle refit une petite pause avant de reprendre.

- Le message de tout à l'heure, c'était lui. Il sait tromper de destinataire. Sa sœur, Félicia, est en ville pour 2 semaines. Le message était pour elle. Tiens, regarde.

Elle voulu lui donner son téléphone, mais il refusa.

- C'est bon, je te crois.

- Je suis tellement désolé Oliver, tout est de ma faute. Si je t'avais écouté, au lieu de te fuir, rien de tout cela ne se serais passer et nous ….

Il la fit taire en posant un doigt sur sa bouche et du bout du pouce, il lui caressa les lèvres en fixant celle-ci. Felicity laissa échappé un léger gémissement. Il releva les yeux vers elle. Elle les avait fermé et sa bouche était légèrement entrouverte. N'y tenant plus, il posa ses lèvres sur les siennes. Le baiser était doux et lent, contrairement à ceux de tout à l'heure. Felicity posa ses mains sur la nuque d'Oliver, pendant que celles du jeune homme entourait la taille de la jeune femme, pour la serré contre lui. Les lèvres d'Oliver quittèrent celle de la jeune femme pour se réfugié dans le cou de celle-ci, qui lâcha un gemissement de plaisir. Il y déposa quelques baisers, avant de lui murmurer.

- Je t'aime tellement.

- Je t'aime moi aussi.

Il releva la tête et la regarda droit dans les yeux.

- Est-ce que ça veux dire que tu me pardonnes ?

- Uniquement si tu me pardonnes, toi aussi.

- Je n'ai rien à te pardonner.

- Tu sais très bien que …

- Tu sais quoi ? On a qu'à dire qu'on se pardonne mutuellement.

Elle lui sourit et posa une nouvelle fois ses lèvres sur les siennes.

- En revanche, je te demande juste une chose.

- Je técoute.

- Promet-moi de ne plus jamais rien me caché. Je ne le supporterai pas encore une fois.

- Je te le promets. J'ai compris la leçon, cette fois-ci, crois moi.

Ils se sourirent et recommençèrent à s'embrasser. Le baiser devient vite à nouveau passioné et, n'y tenant plus, ils commençèrent à ce caressé. Le plaisir commençait à venir et ils n'avaient qu'une envie, ne faire qu'un à nouveau. Au bout de longues minutes de caresses, il voulu lui enlevé sa robe, mais elle l'en empêcha.

- Pas ici.

Elle lui prit la main et se dirigea vers la chambre d'Oliver. Une fois dans celle-ci et avant qu'ils ne recmmençent à s'embrasser, il lui demanda de lui promettre une chose à son tour. Devant son regard sérieux, elle paniqua légèrement. Il sourit et lui dit.

- Par pitié, change de voiture.

Elle éclata de rire avant de lui dire qu'elle en avait déjà achetée une nouvelle et qu'elle l'aurait lundi. Elle le poussa ensuite sur le lit et s'installa à califourchon sur lui .

Il retomba sur elle éssouflé et à bout de force. Il prit appuis sur ses avant-bras et la regarda. Ses cheveux était en bataille sur l'oreiller. Ses lèvres était encore gonflé de leurs baisers et ses joues étaient rouge. Sans oublié cette éclat de bonheur, mais surtout de plaisir dans ses yeux. Elle était tout simplement magnifique. Il l'embrassa sur les lèvres avant de descendre les siennes dans son cou. Il recommença à se mouvoir en elle.

- Oliver.

- Hum.

- A … Arrête.

- Pourquoi ? Tu n'aimes pas ?

Elle ne put que gémir suite à un nouveau coup de rein en elle.

- Tu es … tu dois … hum … seigneur … c'est si bon.

Il continua d'entrer en elle, lentement, la métant au supplice.

- Tu veux toujours que j'arrête ?

- Je … non, continue … Oliver.

Quelques minutes plus tard, il était allongé sur le dos, Felicity blottie contre lui, sa tête au creux de son épaule. Ils savouraient simplement le fait d'être à nouveau ensemble. Tout en lui caressant le torse, elle se releva légèrement, pour le regarder.

- Reviens à la maison.

- Quoi ?

- Je sais qu'on vient juste de se remettre ensemble. Mais maintenant qu'on s'est retrouvé, je ne veux plus passer de temps loin de toi. J'aimerais que tu reviennes au loft avec moi. Je veux pouvoirs me réveillé dans tes bras tout les matins. Je veux que tu continue de m'apprendre à cuisiner même si c'est perdu d'avance. Je veux que tout redevienne comme avant. Alors, je te le redemande. Veux-tu revenir vivre avec moi au loft ?

- J'emmenage quand ?

- Je t'aurais bien dit là, maintenant, tout de suite, mais vu qu'il est 2 heures du matin, je me contenterais d'un avant ce soir.

Il lui sourit et elle l'embrassa. Voyant qu'il était sur le point d'approfondir le baiser, elle abandonna sa bouche.

- Stop, on arrête.

- Mais …

- Pas de mais. Tu es épuisé et n'éssaye même pas de nier. Alors, maintenant fini les caresses et les câlins et on dort. En plus je t'avoue que je suis moi-même fatiguée.

Il acquiesa et l'embrassa une dernière fois, avant de la serrer un peu plus dans ses bras. Il ferma les yeux et pour la première fois depuis des mois, s'endormit au bout de quelques secondes. Felicity le regarda dormir pendant de lonngue minutes, avant de sombrer à son tour dans les bras de morphée.

Elle se réveilla, quelques heures plus tard. Elle regarda le réveil et constata qu'il n'était que 5 heures 30. Qu'est-ce qui avait bien pu la réveillée. Elle était pourtant bien au chaud dans les bras d'Oliver, ayant bougé durant leurs sommeil. Ce dernier était derrière elle, son torse collé à son dos. Quand un gémissement de douleurs lui parvint aux oreilles, elle se retourna doucement. Oliver. Il était en plein cauchemars et il commençait à remuer. Elle essaya de le réveillé, mais sans succès. Elle ne comprenais pas Avant, quand il faisait des cauchemars, il suffisait de le secouer et de lui parler, mais là, rien. Pas une seule réactions, si ce n'est celles en réponse à son cauchemars. Quand il prononça le prénom de son fils, elle compris. Il était retourné dans cette cave et voyait à nouveau son fils en danger. Elle ne put qu'essayer de l'apaiser, ce qui ne semblait pas fonctionné. Quelque instant plus tard, il se réveilla en sursaut, couvert de sueur et le regard complètement perdu et désorienté. Elle essaya de le calmer en posant ses 2 mains sur ses joues et en tournant son visage vers elle.

- Je suis là, Oliver. Regarde-moi. Tout va bien, c'est fini.

Il finit par se calmer, avant d'éclater en sanglot dans les bras de la jeune femme. Elle tenta encore une fois de l'apaiser.

- C'est fini, chut, calme-toi. Je suis là.

Il lui fallu de longues minutes avant de se calmer.

- On le retrouvera, Oliver. Je te promets qu'on le retrouvera.

Il acquiesa de la tête, mais resta blotti contre elle. Felicity les fit s'allonger, la tête d'Oliver contre sa poitrine. Il se serra contre elle. Cette dernière lui caressa le dos et fut soulagé de le voir se rendormir. Elle le veilla à nouveau, avant se sombrer dans les bras de morphé.

Quand elle se réveilla à nouveau. Elle regarda l'heure. 12 h 30. Elle ne pensait pas dormir si tard. Elle était bien plus fatiguée qu'elle ne le pensait. Oliver était toujours contre elle. La tête de ce dernier était passée de sa poitrine à son épaule durant son sommeil. Elle pu donc le regarder. Bien qu'il n'ait dormi que quelques heures, ses traits semblait moins tiré que la veille. Il semblait plus serein que cette nuit. Elle était soulagé qu'il n'ai pas refait de cauchemars. Elle le regarda dormir et finit par ce perdre dans ses pensées.

Quand il se réveilla une demi-heure plus tard, la première chose qu'il vit, fut le visage de Felicity. Celle-ci avait fini par changer de position, pour se mettre face à lui. Il répondit à son sourire par le sien.

- Bonjour.

- Bonjour.

Elle se pencha vers lui pour l'embrassé.

- Bien dormi ?

- Je n'ai pas dormi aussi bien, depuis longtemps.

Voyant le regard de sa petite amie s'assombrir, il l'embrassa tout en posant l'une de ses main sur sa joue. Elle répondit à saon baiser et se rapprocha de lui. Il bascula sur le dos et la serra dans ses bras. Elle colla sa tête à son épaule et sa main sur son torse. Elle le caressa un moment avant de prendre la bague et de la faire tourner entre ses doigts. Oliver la regarda faire et se demanda à quoi elle pouvait bien penser. Il n'eu pas à attendre longtemps.

- Tu crois que je pourrais la récupérée un jour ?

- C'est ce que tu veux ?

- Oui. J'aimerais oubliée la souffrance de ses 5 derniers mois, recommençée à zéro, être à nouveau ta fiançée. Mais je comprendrais que tu ne veuille pas. Après …Qu'est-ce que tu fais ?

Oliver c'était redressé et voyant son regard surpris et paniqué, il l'embrassa. Une fois assis, il porta ses mains à l'arrière de son cou et détacha la chaine. Il fit glisser la bague le long de celle-ci et posa la chaine sur la table de nuit. Il se retourna vers Felicity et tout en lui montrant la bague, lui demanda.

- Felicity Smoak, accepterais-tu de devenir ma femme ?

Cette dernière n'y croyait pas. Elle pensait qu'il lui faudrait un moment, un long moment, avant de vouloir à nouveau être son fiancé. Pourtant, là, maintenant, il lui redemandais de l'épousé.

- Sér … Sérieusement ?

- Je t'aime, Felicity. Et je crois qu'on a perdu assez de temps. Alors, oui, je suis sérieux. Félicity, veux-tu m'épouser ?

Elle se jeta dans ses bras et l'embrassa à pleine bouche. Quand elle recula, elle le regarda droit dans les yeux.

- Oui, Oliver. Je le veux tellement. Oui. Oui. Oui.

Il lui fit un énorme sourire, tout en lui passant la bague au doigt. Elle regarda sa mains pendant un long moment, avant de l'embrasser à nouveau. Il la rallongea, dos sur le lit, et reprit possession de ses lèvres. Leurs mains repartirent à la découverte du corps de l'autre.

Après avoir fait l'amour, ils étaits monté manger, heureusement qu'il y avait toujours de quoi se nourir, avant de redescendre. Ils avaient prit une longue douche ensemble, avant de s'éffondrer, épuiser, mais heureux, sur le lit. Oliver c'était rendormi et elle l'avait regarder dormir. A son réveil, Felicity, impatiente, lui proposa de préparer ses cartons, afin qu'il puisse rentrer au loft, ensemble. Les cartons furent vite près, le jeune homme n'ayant quasiment rien déballé depuis qu'il vivait ici. Ils venaient de terminer de monter les derniers boites, quand toute l'équipe arriva en même temps, excepé Thea. Ils se saluèrent tous. Ils remarquèrent vite les cartons, et questionnèrent Oliver.

- Qu'est-ce que tes affaires font là ?

- Je rentre chez moi.

- Quoi ?

- Attends, Oliver. Tu ne peux pas retourner sur Lian Yu.

- Je ne parle pas de l'Ile.

Il se tourna vers Felicity, et cette dernière vient se blottir dans ses bras. Voyant les expressions de surprise et d'incompréhension sur leurs visages, ils se sourirent avant de s'embrasser.

- Quand … comment …

- Je comprend pas. Vous étiez pourtant séparé, non ?

- Je croyais que tu avais un petit ami ?

- Vous pourriez peut-être nous expliquer.

- Expliquer quoi ?

Ils se retournèrent tous vers Thea qui venait d'arriver. Quand celle-ci, vit son frère avec Felicity dans ses bras, son regard se chargea de haine. Elle s'approcha, prête à s'en prendre à elle, une nouvelle fois. Oliver lâcha sa fiancée et se mit devant elle.

- Je peux savoir ce qu'elle fou encore là, celle-là.

- Celle-là, comme tu dis, a autant le droit d'être ici que n'importe qui d'autre. Et je te demanderais de lui parler autrement.

- Non mais tu te fous de moi, ou quoi ? A cause d'elle, tu souffre depuis des moi, tu survis à peine. Et elle pendant ce temps, elle s'envoie en l'air avec un autre homme. Ce n'est qu'une …

- Ca suffit Théa, tu es ma sœur et je t'aime. Mais je t'assures, que si tu continue de parler comme ça de la femme que j'aime, tu …

- Oliver, arrête.

Felicity empêcha le jeune homme de continuer sa phrase et posa une main sur le bras d'Oliver et une autre sur son torse.

- Ne dis rien que tu pourrais regretté.

Elle se retourna vers Thea. Celle-ci la regardait toujours avec mépris.

- Ecoute, Thea. Je comprend que tu m'en veuille, mais crois-le ou non, tu ne peux pas m'en vouloir autant que je ne m'en veux à moi-même. J'ai fait souffrir ton frère et je le regrette plus que tout. Et si je pouvais effacé ce qui c'est passer, je l'aurais déjà fait. Mais je le peux pas. J'aime ton frère, Thea. Bien plus que tu ne peux l'imaginer.

- Mais oui, bien sur. Tu aimes mon frère, mais tu t'envoie en l'air avec un autre. Tu te fiche de moi, c'est ça ?

La jeune informaticienne empêcha son fiancé de répliqué, puis reprit en regardant jeune Queen.

- Non Thea, je ne fous pas de toi. Mais si tu me laissait, nous laissait nous expliqué, tu comprendrais tout. Et pour information, je n'ai jamais eu de relation avec un autre homme.

Felicity se blotti à nouveau dans les bras d'Oliver. Thea allait répliquée, quand elle se figea. Felicity venait de poser sa main sur la joue de son frère, pour le calmer d'avantges. Celui-ci penchait la tête pour appronfondir le contact et embrassé la paume de sa main. Elle fixa le visage de ce dernier. Ses traits était moins tirer, il souriait et il semblait apaiser. Mais ce qui l'étonna le plus, fut le bonheur qu'elle put voir dans ses yeux.

- Ok, je vous écoute.

Ils acquiesèrent tout les deux et Oliver décida de commencé. Il reprit depuis le début. Sa nuit avec Samantha, le fait qu'elle lui avoue être enceinte pour ensuite lui dire qu'elle avait perdu le bébé et qu'elle partait vivre à Central City. Il raconta de quel manière il avait découvert qu'elle lui avait menti, mais surtout le fait qu'il ai un fils. Il leurs expliqua l'implication de Barry. Il leur parla ensuite, du rôle que sa propre mère avait dans l'histoire et des conditions de Samantha. Il raconta ensuite les raisons pour lesquelles il n'avait rien dit plus tôt à la jeune femme et son intention de le faire le soir même où Dark avait enlever William. Felicity prit le relais, quand il eu finit. Elle leurs raconta à son tour les raisons qui l'avaient pousser à rester éloigner d'Oliver. Son agression, la blessure de celui-ci et la peur de le voir mourir par sa faute. Ils avaient à peine fini, que Laurel posa une question à son ex.

- Pourquoi croyais-tu qu'elle avait quelqu'un ?

- Il y a une semaine, je me suis rendu compte que je ne lui avait pas présenté mes excuses. J'ai donc décidé d'aller la voir. Mais quand je suis arrivé au coin de la rue, je l'ai vu embrassé cet homme. Laisse-nous finir Thea.

- Ce soir-là, j'ai reçu un appel de l'inspecteur Malone, me demandant de venir au comissariat. Il m'a annoncer que mon agresseur avait, enfin, été arrêter. J'ai voulu rentré en taxi, ma voiture étant encore une fois au garage, mais il a insisté pour me raccompagner. Quand on es arrivé devant la porte de l'immeuble, il m'a embrassé.

- C'est à ce moment qu'Oliver est arrivé.

- C'est ça, Curtis.

- Je l'ai repouser dès que j'ai réalisé ce qu'il se passait, mais c'était trop tard, le mal était fait.

Oliver l'embrassa sur la tempe et elle ferma les yeux. Elle se dirigea ensuite vers Thea.

- Le message que j'ai reçu hier, venait de lui. Sa sœur, Félicia, est en ville pour quelques jours, il devait se voir. Il s'est simplement trompé de destinataire. Il m'a envoyé un message d'excuse peu de temps après. Je suis désolée Thea, je voulais simplement evité qu'il ne soit à nouveau blessé, ou pire, tuer à cause de moi. Je ne pensais pas qu'il souffrait autant. J'espère que tu pourras, un jour, me pardonner.

La jeune Queen comprit son erreur. Elle avait maltraitée la jeune femme de tout les noms, alors qu'elle ne voulait qu'une chose. Protégé l'homme qu'elle aimait. Les larmes lui montèrent au yeux.

- Je n'ai rien à te pardonner, au contraire. c'est plutôt à moi de te demander pardon. Ce que je t'ai dit hier, je le regrette sincèrement.

Felicity la prit dans ses bras, et lui murmura qu'elle n'avait rien non plus à lui pardonner. Après tout, elle voulais la même chose. Protégé Oliver. Quand elle se séparèrent, Thea se dirigea vers son frère. Ce dernier la serra à son tour dans ses bras et lui embrassa le front, avant de lui dire qu'il l'aimait.

Quelques instant plus tard, après avoir commandé le repas du soir au Big Belly Burger par téléphone, Felicity vient à nouveau se blottir contre Oliver, la main sur son torse. Trop concentrée sur ce que le couple venait de leurs expliquer, Donna ne remarqua que maintenant la bague au doigt de sa fille. Elle lâcha sa tasse de café qui s'écrasa au sol, en plusieurs petits morceau. Tout le monde se retourna vers elle, ne comprenant pas ce qui se passait. Quentin se rapprocha d'elle pour comprendre ce qui n'allait pas.

- Donna ?

Cette dernière, ne lui répondit pas. Elle resta encore figé encore quelques seconde, avant de prendre la parole.

- Felicity ?

- Maman ?

- Est-ce que c'est bien ce que je pense.

Elle fixa la bague et le couple compris de suite de quoi elle parlait.

- Oui maman. Oliver et moi sommes de nouveau fiancé.

Donna resta immobile à nouveau, avant de hurler de joie et de se précipitée vers sa fille et son futur beau-fils. Elle les serra dans ses bras, avant de les embrasser chacun leurs tour, sur la joue. Tout le monde se mit à rire quand elle commença à parler des préparatif de la fête de fiançaille. Sa fille dû intervenir pour la stopper. Oliver et elle ne voulaient d'une autre fête de fête, ils en avaient déjà eu une. Sa mère lui répondit dans un cris, que c'était pas plus mal et qu'elle aurait plus de temps pour préparer le mariage. Felicity après avoir essayé, en vain, de calmer sa mère, se dirigea vers Quentin. Arrivée près de celui-ci, elle lui posa un baiser sur la joue. Ce dernier la regarda étonné.

- Merci.

Voyant son incompréhension, elle ajouta.

- Vous avez aider Oliver. Vous l'avez soutenue quand il pensait que je sortait avec quelqu'un et quand il vous a parler de ses cauchemars. Vous avez été la pour lui, malgré votre passé à tout les deux.

- Il aurait fait la même chose si ça avait été l'inverse.

- Je le sais. Mais je tenais vraiment à vous remercié.

Elle posa à nouveau un baiser sur sa joue, avant de rejoindre Oliver. Quelques minutes plus tard, l'équipe aida le couple à ramené les affaires du jeune homme au loft, pendant que Laurel et Paul allèrent chercher leurs plat au BBB. Ils passèrent le reste de la soirée au l'appartement, à parler, à rire, …

Le lundi matin, après avoir déposé Felicity à Palmer Technologie, Oliver se rendit à la mairie. Tout ses employés se retournaient à son passage, étonné de le voir à l'heure mais surtout si souriant. Quand il arriva au bureau de sa secrétaire, il la salua avant de lui demander son programme de la journée. Elle lui répondit qu'il avait rendez-vous à 11 heures avec un inspecteur de police, au sujet de la lutte anti-crime. Il n'avait pas d'autre rendez-vous mais une réunion à 15 heures avec le conseil municipale de la ville. Il la remercia et entra dans son bureau. A peine assis, il reçut un message. Il pensa de suite à Felicity. Il attrapa son téléphone et lut le message qui venait éffectivement de la jeune femme. " Tu me manques déjà. Je t'aime ". Il lui répondit qu'elle lui manquait également et qu'il avait hâte d'être à ce soir. Il sourit en repensant à son week-end avant de secoué la tête et de se concentré sur ses dossiers. Il fut interrompu moins de 2 heures plus tard, par sa secrétaire. Son rendez-vous était arrivé. Quand la personne entra dans la pièce, il se leva et lui serra la main.

- Monsieur Le Maire.

- Bonjour. Inspecteur ?

- Malone, Monsieur. Inspecteur Billy Malone.

Quand ce dernier vit le regard d'Oliver s'assombrir, il comprit qu'il était au courant pour le baiser qu'il avait, en quelque sorte, volé à la jeune femme, une semaine plus tôt.

- Je vois que Felicity vous en a parler.

- De son agression, oui. Pour le baiser, elle n'a pas eu à le faire, je vous ai vu. Je pensais que vous étiez ensemble.

- Je suis sincèrement désolé. J'avais passer une très mauvaise journée et … à vrai dire je n'ai pas vraiment d'excuse, si ce n'est, que c'est une femme magnifique.

Là dessus, il ne pouvait pas le contre-dire.

- Ecoutez, si vous souhaitez que je laisse ma place à quelqu'un …

- Ce ne sera pas necéssaire. Commençons.

Ils parlèrent pendant un long moment des policiers que l'inspecteur pensait corrompu. Même si c'était tendu entre eux, ils restèrent professionnels. Ils étaient sur le point de se dire au revoir, quand Malone reprit la parole.

- Vous vous êtes remis ensemble, n'est-ce pas ?

- Oui. Et même si sa me coûte de devoir l'avoué, c'est un peu grâce à vous.

- Pardon.

- Disons que votre message à semer la zizanie. Mais ça nous à permis de parler. Et nous avons décidé de nous accordé une autre chance.

- J'en suis heureux. C'est une femme extraordinaire. Monsieur le Maire.

Oliver le salua à son tour et referma la porte derrière lui. Il retourna à son bureau et reprit la lecture de ses dossier pour être à nouveau interrompu par l'interphone.

- Oui Julia.

- Excusez-moi, Monsieur, mais mademoiselle Smoak est ici et …

Oliver n'écouta même pas la fin de sa phrase. Il se leva et ouvrit la porte de son bureau. Quand il la vit, son sourire s'aggrandit et il s'approcha d'elle pour l'embrasser. Le peu d'employé encore présent, furent encore plus surpris que le matin même. Mais ils comprenaient, enfin, d'où venait la bonne humeur de leur patron.

- Qu'est-ce que tu fais là ? Je croyais que tu avais un rendez-vous à midi.

- Annulé. Du coup, je me suis dis qu'on pourrait manger ensemble. Je suis passé prendre tes pâte préférées.

- Excellente idée. Suis-moi.

Il fit quelques pas, avant de se retourné vers Julia.

- A l'avenir, si je ne suis pas en rendez-vous ou en réunion, laisser-là entrer sans me prévenir.

- Bien sur, Monsieur.

- Merci Julia et bon appétit.

Il entra dans son bureau avec la jeune femme et, la porte à peine refermée, la plaqua contre le mur pour l'embrasser. Elle lâcha se qu'elle avait en main et les plaça sur la nuque de son fiancé. Ce dernier posa sa main sur la cuisse de la jeune femme, avant de la faire remonté sous la jupe. Sentant les doigts se rapproché de son sous-vêtement, elle stoppa le baiser et enleva la main baladeuse.

- Hey.

- Pas ici, Oliver. Imagine que quelqu'un entre.

Il s'écarta d'elle, lui prit la main et se dirigea dans un petit renfoncement se trouvant dans un des coin de la pièce.

Il la plaqua à nouveau contre le mur et la regarda droit dans les yeux.

- Personne ne peut nous voir ici.

- Dans ce cas, qu'est-ce que tu attends ?

Il fondit sur ses lèvres et replaça sa main à l'intérieur des cuisses de la jeune femme. Arrivé au sous-vêtement, il le fit descendre, ainsi que sa jupe, le long des jambes de celle-ci, et remonta ses doigts pour aller lui caressé son sexe. Il fut surpris de constater qu'elle était déjà humide. Il glissa alors un doigt en elle et entama un léger va et viens. Elle rejeta la tête en arrière et se mordit la lèvre pour évité de gémir. Il rajouta un deuxième, puis un troisième doigt et augmanta la vitesse. Il continua quelques instants avant de sentir les muscles de la jeune femme se ressérré autour de ses doigt. Il eut juste le temps de plaquer sa bouche contre la sienne, avant qu'elle ne vienne dans un cris étouffé. Il s'éloigna d'elle, retira ses doigt et les mit en bouche pour les lèchés. Felicity le reagrda faire, avant de défaire sa ceinture, d'ouvrir le bouton et de baiser la tirette. Elle passa sa main à l'intérieur, sous le caleçon, et commença à le caressé. Ce dernier se tendit et laissa échappé un gémissement de bien-être. Elle retira sa main, et celui-ci émit un grognement de frustation, et inversa leurs position. Il se retrouva dos au mur et elle lui baissa le pantalon ainsi que son boxer. Elle posa sa main sur le sexe dréssé de son fiancé et entama un léger mouvement de va et vient. Celui-ci grogna et la jeune femme décida de passer au chose un peu plus sérieuse. Elle se baissa et arrivé à hauteur de son sexe, elle posa le bout se sa langue dessus. Il se tendit et passa ses mains dans les cheveux de la jeune femme. Felicity fini par le prendre en bouche et les mains du jeune homme se crispèrent sur sa tête, alors qu'il grognait de plaisir. Elle continua de jouer un peu, avant qu'il ne la repousse doucement. Il la fit se revelée, inversa à nouveau la position et la souleva. Elle passa ses jambes autour de sa taille et d'une main, le guida en elle. Ils étouffèrent leurs gémissements dans la bouche de l'autre et il entama un va et vient assez rapide. Ils ne tardèrent pas à venir ensemble et il se libéra en elle, étouffant leurs cris dans la bouche de l'autre. Ils restèrent dans cette position encore un peu, reprenant leur respiration. Il se retira d'elle et la reposa au sol. Ils échangèrent un tendre baiser avant de se rhabillé.

Ils s'installèrent au bureau du jeune homme et mangèrent les plats que la jeune femme avait été cherché. Durant le repas, ils parlèrent de tout et de rien, ainsi que de l'inspecteur Malone.

- Au fait, comment es-tu venue ?

- J'ai emprunté le vélo de Curtis.

- Quoi ?

- Je plaisante. Je suis venue à pied.

Elle lui fit un magnifique sourire, avant de l'embrasser.

- D'ailleurs, à ce propos, tu pourrais me déposer au garage se soir, pour que je puisse récupérée ma nouvelle voiture.

- Bien sur, je viendrai te chercher vers 17h15. Ca te va ?

- C'est parfait.

Ils continuèrent un peu de parler, jusqu'à ce que la jeune femme dut partir. Il la raccompagna à la porte, l'embrassa et la laissa s'en allée.

Ce soir là, après avoir récupéré la voiture de la jeune femme, le couple décida d'aller faire des courses. Cette dernière ne sachant pas cuisiner, il n'y avait quasiment rien dans leur frigo. Après avoir ranger leurs achat, le jeune homme se mit derrière les fourneaux et leurs prépara des spaguetti carbonara. Plusieurs minutes plus tard, Felicity mit la table et en profita pour le regarder. Elle se rapprocha de lui par derrière et l'enlaça tout en posant

un baiser sur sa nuque, se qui lui donna des frissons dans tout le corp.

- J'avais oublié à quel point tu étais sexy quand tu cuisines.

Il rigola, retira la casserole du feu et se retourna.

- Javais oublié à quel point j'aime cuisiner pour toi.

Il l'embrassa et lui dit que c'était près. Ils passèrent à table et discutèrent de leur journée et Oliver lui raconta les rumeurs qu'il avait entendu sur eux en quittant son bureau et la manière dont tout le monde le regardait. Il lui expliqua même qu'un de ses hommes avait faillit s'étouffé avec son café en le voyant.

- Qu'est-ce que tu as fais ?

- Rien. Mais j'ai entendu la discussion qu'il avait avec un de ses collègue. Il était dos à moi, donc il ne m'a pas vu. Ce n'est que quand son ami lui a fait un signe de tête dans ma direction, qu'il s'est retourné et quand il a vu que j'étais là, il est devenu blanc d'un coup.

- De quoi ils parlaient ?

- De nous deux.

- Sérieusement ?

- Oui. Il disait que si il n'avait pas été marié et que si je n'avait pas une carurre si « imposante », ce sont ses mots, il aurait bien tenté sa chance avec toi.

- Comment as-tu réagi ?

- Je n'ai rien fait. Tout le monde nous regardait. Je crois même qu'ils ont tout crut que je n'avait rien entendu. J'ai continuer de faire la file pour mon café comme si de rien n'était et 2 minutes après je me suis dirigée vers la sortie. Quand je suis passé à coté de sa table, je lui demander comment allait sa femme. C'est là qu'il s'est étouffer avec son café. Il a fini par me dire qu'elle allait très bien. Je lui ai fais un sourire avant de sortir.

La jeune femme éclata de rire et il la suivit. Ils débarrassèrent ensuite la table et firent la vaiselle. La jeune femme s'installa ensuite dans le fauteuil, sa tablette entre les mains. Il la rejoignit et Felicity se blotti contre lui.

- Qu'est-ce que tu fais ?

- Je regarde si je trouve quelque chose sur William.

- Merci.

Elle lui fit un magnifique sourire et il la serra contre elle. Ne pouvant l'aider, il alluma la télé et après avoir zappé sur plusieurs chaines, il opta pour le film " White House Down ". Pour l'avoir déjà vu , il s'avait que ce film était génial, mais il n'arrivait pas à se concentrer. Il ne cessait de penser à William. En voulant le protégé de lui et de Stars City, il avait mis sont fils en danger. Il craignait ses cauchemars, mais en même temps, priait pour les faire. Il savait que le jour où il n'en ferait plus, William serait surement mort. Il ne le connaissait que très peu, mais c'était son fils, sa chair et son sang. Il ne supporterait pas de le perdre. Il prit alors une décission et décida d'en parler directement à sa fiançée.

- Je vais reconnaître William.

- Quoi ?

Felicity releva les yeux de l'écran et se tourna légèrement vers Oliver. Ce dernier semblait si determiné.

- Je vais le reconnaître. C'est mon fils, je l'aime et je veux pouvoirs le voir grandir, l'aider à faire ses devoirs, être là pour lui le jour où il commençera à s'interréssé aux filles. Je veux pouvoir le voir entré à l'université, devenir quelqu'un de bien. Je veux être présent à son mariage, être là quand il fondra sa propre famille. Je veux faire partie de sa vie.

La jeune femme ne répondit rien, mais au fond d'elle, elle était soulagée. Soulagée qu'il ai enfin accepté que son fils fasse partie intégrante de sa vie. Elle savait qu'il avait peur qu'il ne lui arrive quelques chose, mais si elle était bien sur d'une chose, c'est que William ne pourrait être en sécurité nulle part ailleurs qu'au côtés de son père.

- Je sais que je ne t'ai pas demander ton avis, mais je …

Felicity plaça un doigt sur la bouche d'Oliver pour le faire taire. Elle se redressa déposa sa tablette sur la table, se retourna et posa ses lèvres sur les siennes. Elle approfondit le baiser en lui demandant la permission de franchir le barrage de c'est dernières. Celui-ci le lui accodra sans aucune hésitation et leurs langue se rejoingnirent dans un ballet sensuel. Tout en continuant de l'embrasser, elle se mit à califourchon sur lui et plaça ses deux mains sur ses joues. Il passa ses bras autour de sa taille et la serra contre lui. Elle finit par mettre fin au baiser.

- Ecoute-moi bien, Oliver. William est ton fils et jamais tu entends, jamais je ne te demanderais de choisir entre lui et moi. Tu es son père et c'est normal qu'il fasse partie de ta vie. Et moi je te veux dans la mienne. Et si ça signifie y faire entré William, sache quand j'en serais très heureuse. Je serai toujours à tes côtés, quoi qu'il arrive. Parce que je t'aime.