Bonjour à tous ! Voilà, je me lance dans une nouvelle fic, qui cette fois se passe à notre époque. Et attention, avec notre Sanji national en personnage principal !

Rating : M pour violence et... YAOI !

Disclamer : Les personnages sont à Oda, comme d'habitude.

Ce premier chapitre sera un peu lent, parce que le décor est complexe et long à poser. Mais la vraie histoire commencera pour de bon au deuxième chapitre, alors soyez patients !

Bon, sur ce, bonne lecture !

Tokyo No Purizun

Chapitre 1 : Emprisonné

-Vas le chercher.

-Bien !

Kobby sortit prestement de la salle de jugement. C'était son premier jour de service dans la prison pour mineurs la plus connue du japon, et sa première mission venait de lui être donné. Le juge, Mr. Sengoku Gensui, lui avait ordonné de lui amener un adolescent enfermé ici depuis un mois pour qu'il puisse parler avec lui de ses fautes. Kobby frissonna. Un mineurs enfermé, ça ne devait pas être commode. Il traversa une bonne dizaine de couloirs, passa devant quelques vingtaines de portes qui le laissaient entrevoir par les barreaux des adolescents tous plus énervés et effrayants les uns que les autres, puis arriva enfin devant la cellule demandée. Il prit les clefs, les porta à la serrure en tremblant et avala sa salive avant d'ouvrir. Il eut une seconde d'égarement.

En entrant, il s'attendait à voir une brute épaisse couverte de tatouages qui se jetterait sur lui à la première ouverture, mais ce qu'il vit était totalement différent.

Au fond de la pièce, un adolescent qui devait avoir environ 17 ans attendait sur le lit. Il était svelte et sa peau, sûrement à l'origine d'un blanc pur, était couverte de bleus, mais pas de tatouages. Il avait des cheveux blonds sales qui retombaient sur son oeil gauche, des sourcils étranges qui finissaient en vrille aux extrémités, et une légère barbe mal rasée au menton. Il était assis, appuyé contre le mur et il avait ramené ses jambes contre son torse. La seule chose qui choqua vraiment Kobby, c'était que son regard était vide, totalement dépourvu d'émotion, on aurait presque dit un cadavre.

Il s'approcha d'un pas hésitant. Le jeune homme ne semblait pas être interpellé par sa présence, et il ne le regardait même pas. Le gardien aux cheveux roses s'éclaircit la voix.

-Le juge veux te voir. Je te prie de te lever de de me suivre.

Le jeune blond releva la tête vers lui, mais son expression ne changea pas. Il se leva et se posta devant le gardien. Kobby, qui put constater la différence de grandeur, perdit confiance en lui.

-Je... je dois te mettre des menottes. Mais ne t'inquiète pas, je te les enlèverait pour la séance.

L'adolescent ne dit rien en tendis ses poignets. Kobby lui passa les menottes en faisant attention à ne pas trop les serrer, sortit et amena le blond jusqu'à la salle de jugement. Avant de le laisser entrer, il lui retira les menottes délicatement et lui pria d'entrer. Alors qu'il passait la porte, l'adolescent se retourna.

-Eh, le nouveau, commença t-il toujours avec son expression blasée collée au visage.

-O...oui ?

-Laisse tomber. Si tu essaies d'être poli avec les détenus ici, tu risques vite de te retrouver encastrer dans un mur.

Puis, sans ajouter un mot de plus, il ferma la porte derrière lui.

L'adolescent se retrouva dans une grande salle devenue trop familière à son goût. Il s'avança lentement jusqu'à un bureau où était assis le juge.

-Assieds-toi, lui ordonna t-il.

Le blonds s'exécuta et planta son regard dans celui du juge.

-Alors ? De quoi est-ce que je suis encore accusé ?

-De rien, soupira le juge, je voulais juste te parler des vieux dossiers.

-Et c'est parti...

-Sanji Kuroashi. Il y a quelques mois tu as été accusé d'agression au couteau sur un adulte. Au cours de l'enquête, il a été prouvé que tu détenais une certaine quantité de drogue et que tu avais déjà participé à plusieurs cambriolages.

-Ouais et ? C'est pour me rappeler toutes les conneries pour lesquelles je suis ici que vous m'avez fait venir ?

-Non. Un rapport nous est parvenu hier. Il était dit que la victime de l'agression t'avais accusé à tort en guise de vengeance et qu'elle avait tout avoué sous la pression.

-...

-L'homme a aussi mentionné des mots dont la signification nous échappes. Comme par exemple : « black blood ». Tu peux nous éclairer ?

Le blond hésita.

-C'est en quelque sorte son nom de code... finit-il par dire.

-Il a aussi parlé de vengeance. Tu m'explique ?

-Bah pas grand chose. Vous savez je connais pas mal de personnes qui veulent ma peau sans aucune raison valable.

Le juge soupira.

-Sanji... j'ai beau cherché je n'arrive pas à savoir dans quel univers tu vis... raconte-moi s'il te plaît.

Un rictus se dessina sur le visage du blond.

-Mon univers ? Vous voulez savoir ce que je vis chaque jour ? Désolé, le vieux. Mais je pense pas que ce soit assez important pour vous. Ou plutôt je pense pas que vous avez envie de l'entendre.

-Comment ça ?

-Laissez tomber. On était pas sensé parler du rapport.

-Euh... oui. Alors, en gros, nous t'avons détenu jusqu'ici pour un crime que tu n'as pas commis. Pourtant, l'agression mise à part, tu as quand même commis des fautes assez graves. Malgré tout, cela fait 5 mois que tu es ici. Ta peine est écoulée, nous pouvons te relâcher.

Sanji ne réagit pas. Il aurait dû être heureux, mais il ne sourit même pas. Il dit simplement :

-Quand est-ce que je peux partir ?

-Demain. J'ai déjà tout arrangé, tu n'auras plus affaire avec la justice, sauf bien sûr si tu

recommence. Nous avons réquisitionné ta drogue, et tu as déjà payé l'amende pour le cambriolage.

-...

-Bien, tu peux disposer.

Sanji se leva, sortit et se fit reconduire à sa cellule sans le moindre mot.

N'importe qui dans cette situation aurait hurlé de joie. Après tout, c'était un sentiment compréhensible et justifié, mais pour le blond, ce n'était rien de plus qu'un sentiment oublié. Cela faisait longtemps qu'il avait décidé d'arrêter de ressentir des émotions. Dans la vie de tous les jours, les sentiments n'étaient pour lui qu'un handicape. Il n'avait que deux faiblesses : Les femmes, et la cuisine. Mais ce n'était que deux petites exceptions.

Une fois à nouveau enfermé dans sa cellule, il se coucha sur le lit et s'endormit, la tête vide.

Le lendemain, le gardien aux cheveux roses vint le chercher, et le conduisit jusqu'à la sortie de la prison. Sanji, un sac abîmé sur les épaules, remit pour la première fois depuis des mois le pied sur une terre libre. Il s'arrêta, soupira, puis partit sans se retourner.

Il marcha quelques minutes jusqu'à la ville la plus proche, c'est à dire Tokyo. Il déambula dans les rues de la cité. Il n'avait pas vraiment d'endroit précis ou aller, mais sa démarche était rapide et sûre. Au bout de vingt minutes de marches, il arriva dans un quartier sale et pollué par la drogue, l'alcool et le sang qui tachaient le sol et même parfois les murs. Il prit un escalier extérieur et monta jusqu'au dernier étage, où une porte rouillée l'attendait. Il l'ouvrit d'un coup de pied, et entra dans un appartement une pièce délabré et sombre. Il n'y avait dedans qu'un lit, une table basse, un évier, des toilettes et une armoire. Ce n'était vraiment pas du luxe, mais ça lui suffisait. Il s'avança, déposa son sac et s'assit sous la seule fenêtre qui éclairait la pièce. Il soupira.

Ça fait du bien d'être chez soi...

Chez soi... ce n'était pas vraiment chez lui, mais c'était le seul logement qu'il avait trouvé il y a de ça un an, quand l'argent lui manquait cruellement.

Le blond commença à avoir faim. Mais malgré les réclamations que lui faisait son ventre, il ne pouvait pas se permettre d'aller à l'épicerie. Cette fois, ce n'était pas un problème d'argent, c'était juste le risque de rencontrer des « problèmes » en chemin.

Et oui. Même si les rues de Tokyo paraissaient calmes, elles étaient actuellement en pleine guerre. Une guerre violente, qui passait presque inaperçue et qui pourtant prenait énormément d'ampleur sur la vie quotidienne des personnes concernées. Une guerre des gangs.

Et pas n'importe quels gangs, elle opposait les deux plus puissants de la ville. Le premier, le Black Blood et le deuxième, le Red Punch. Et c'était dans ce dernier que Sanji s'était retrouvé il y a deux ans de cela.

À présent, sa vie consistait à se faire agresser, se battre, parfois tuer et au plus souvent, voir des nakama se faire tuer. Les membres de son gang se réunissaient de temps en temps pour établir des stratégies, mais la plupart du temps, Sanji n'y participait pas. Pour lui, il lui suffisait d'essayer de survivre, et il pensait que chaque attaque lancée à l'ennemi ne faisait qu'empirer la situation. Pourtant, il n'hésitait pas à se lancer dans un combat à mort si celui-ci éclatait sous ses yeux.

Quand il avait intégré le gang, il avait besoin d'aide, et il pensait que ses nakama allaient l'épauler. Mais maintenant que la guerre avait commencé, il n'avait envie que d'une chose : prendre des distances. Les 5 mois passés en prisons lui avaient permis de faire une pause, mais maintenant c'était fini, et les problèmes n'allaient pas tarder à arriver.

Le blond réfléchit un moment à sa situation, puis décida d'aller se coucher. Il s'installa dans son lit encore habillé, et sombra dans un sommeil sans rêve.

Le lendemain, il fut brusquement réveillé par une série de coups de feu. Sa tête lui tournait, et il mit un moment à reconnaître l'endroit où il était.

'tain... je suis peine revenu et ils s'excitent déjà ?!

L'adolescent se leva, mit un blouson et sortit. À peine eut-il descendu les escaliers, qu'il dut se baisser à l'entente d'un nouveau coup de feu. Dans la rue d'en face, un homme courait après un autre, un pistolet à la main. Celui qui se faisait courser arriva dans la ruelle, et passa devant le blond. Celui-ci l'arrêta brusquement, le prit par le bras et l'entraîna dans une sorte de sous-sol. Une fois sûr que l'homme à l'extérieur n'était plus dans les parages, Sanji se retourna sur celui qu'il venait de sauver.

-Usopp, je peux savoir qu'est-ce que tu fous ici ?

Le dénommé Usopp resta figé quelques secondes.

-S... Sanji ?

-Hum ?

-Oh Bordel ! C'est à moi de te poser cette question ! Ça fait des mois qu'on t'a pas vu !

-Ouais ben comme tu peux le voir, je suis revenu.

-...et ?

-Quoi « et » ?

-Ben... t'étais où ?

-...

-... tu sais, même si tu ne veux pas, tu finira bien par devoir le dire lors du prochain rassemblement.

-Ouais je sais. Il est quand ?

-Normalement dans une semaine, mais je suis obligé d'avertir les autres de ton retour alors...

-Ok. Si jamais ils en organisent une à l'improviste, tu sais où me trouver. T'aurais pas une clope ?

Usopp sortit une cigarette de sa veste et la tendit à Sanji. Le blond l'alluma, tira une bouffée de fumée et sortit du sous-sol.

-Tu vas bosser ? Demanda Usopp ?

-...Ouais.

Puis l'adolescent s'éloigna, laissant le brun seul derrière lui. Il marcha jusqu'à une petite place, au bord de la-quelle se trouvait un restaurant. Sanji entra par une porte arrière et se dirigea vers les cuisines où travaillait une dizaine de cuisiniers. A fut-il rentré, que tous les regards se braquèrent sur lui, et toutes les voix s'éteignirent. L'adolescent observa la scène figé, puis un homme d'âge moyen s'avança et se planta devant lui.

-Ca fait un moment, Sanji.

-Ouais. Salut.

Le blond voulut s'installer à une cuisinière, mais l'homme l'arrêta.

-Ne crois pas que je ne sais pas où tu étais. J'ai eu des retours plutôt intéressants ton sujet.

-Désolé Zeff, mais j'ai du retard à rattraper.

L'homme frappa violemment sur la cuisinière, ce qui fit sursauter le cuisinier.

-Attends un peu, petit avorton. Si tu crois que je vais laisser travailler normalement un homme qui a fait des mois de prison, tu te trompes.

Sanji arqua un sourcil.

-Tu comptes me foutre dehors ?

L'homme soupira, se passa une main dans les cheveux et reprit calmement.

-Ecoute, Sanji... Tu n'as que 17 ans... ne voudrais-tu pas retourner au lycée ? Quand tu m'as demandé le poste, j'ai accepté. Mais un adolescent ne devrait pas déjà travailler à pleine temps !

-Oublie le lycée. Les études, ça coûte. Et ça fait un moment que mes vieux ont oublié qu'ils avaient un fils, alors je n'ai pas assez d'argent pour ces conneries.

-N'as-tu pas... une connaissance qui te prendrait en stage ou en apprentissage ? Je suis sûr que si tu cherches...

-Pour quoi faire ? La seule chose que je sache vraiment faire dans ce monde, c'est cuisiner.

Les cuisiniers qui les entouraient lancèrent un regard suppliant à Zeff. C'était vrai. La cuisine de Sanji était de loin la meilleur, et le restaurant avait presque fait faillite durant son absence. Un marmiton s'avança.

-Patron... Tu parles d'apprentissage alors... ne pourrions-nous pas le prendre comme apprenti ?

Zeff se mordit la lèvre. Sanji prit un aire ironique, et dit en souriant :

-T'as pas l'air d'avoir vraiment comprit. Ce que veut le vieux, c'est que je me casse. C'est vrai, après tout quoi de plus dégradant que d'avoir un scélérat parmi ses employés ?

-Sanji...

-C'est bon. Dis-le, j'ai pas envie de perdre du temps à chercher des autres solutions.

Le patron hésita, puis inspira un grand bol d'air et planta son regard dans les yeux du blond.

-Sanji, tu es viré.

-Et ben voilà ! Comme ça tout le monde est au clair ! Répondit Sanji avec un rictus sur les lèvres.

Les cuisiniers le regardèrent avec un air désolé, mais ne dirent rien. Ils observèrent l'ex-cuisinier prendre son sac, leur tourner le dos et sortir du restaurant en faisant un bref signe de la main.

Sanji alla s'acheter des cigarettes dans un kiosque proche de la place et alla fumer dans une ruelle vide*. Il s'appuya contre un mur, tira une bouffée et ferma les yeux.

Bon... J'ai plus qu'à demander aux autres si ils ont un boulot pour moi...

Le blond était perplexe à l'idée de ne pas travailler. Certe il aurait plus de temps libre, mais ça voulait aussi dire qu'il serait tout le temps exposé aux actions de l'autre gang. Soudain, des bruits de pas le sortirent de ses pensées. Il ouvrit les yeux, et aperçu Usopp qui venait d'entrer dans la ruelle.

-Usopp ?

-Re ! Il se passe quoi ici ?! J'ai été te chercher au restaurant mais quand je suis arrivé, tout le monde m'a regardé bizarrement.

-Ah ça... Laisse tomber, mais à l'avenir dis-toi juste que tu ne me trouveras plus là-bas.

-Ah...

-Alors ? Pourquoi tu me cherchais?

-J'ai dit aux autres que tu étais revenu, et ils demandent un rassemblement.

-Déjà...

-Tu sais, ce serait plus facile pour moi si tu t'achetais un portable ! J'aurais pas besoin de te chercher partout pour t'informer des réunions.

-...Trop cher.

-Mouais... Enfin bref ! Tu viens ?

-Je suppose que j'ai pas trop le choix.

Sanji suivit Usopp jusqu'au lieu de réunion, tout en étant l'affût du moindre bruit autour de lui. Le rassemblement fut long, et le blond n'écouta que la moitié de ce que ses nakama lui dirent. Il écouta distraitement le plan de la prochaine attaque contre Black Blood, qui devait avoir lieu très prochainement. Au bout d'une heure, les membres du Red Punch se séparèrent. Alors que le blond commençait à prendre le chemin de son logement, une main derrière lui tapota sur son épaule. Il se retourna, et ses yeux commencèrent à briller.

-Nami-swan ! Ça fait longtemps !

-Contente de te revoir, Sanji-kun !

Au plus grand bonheur de Sanji, la personne derrière lui n'était autre que Nami, une jolie rousse de caractère et toujours souriante. Le blond était aux anges. De tout son gang, Nami était celle qui lui avait le plus manqué. Pourquoi ? Tout simplement parce que c'était une femme, et que Sanji était amoureux de toutes les femmes du monde. Mais Nami était de loin celle qui ressortait du lot. C'était la seule fille voyou qui malgré ses actes, conservait toute sa finesse et sa féminité.

La manière dont les hommes de son entourage traitaient le femmes ne plaisait guère à Sanji. Ils avaient tendance à les mépriser, ou encore à s'en faire dix à la fois comme si elles étaient des moutons qui ne servaient que pour leur viande. Pour le blond, les femmes étaient des joyaux de la nature que les hommes devaient respecter et chérir. C'est en partie pour ça qu'il ne participait que rarement aux soirées, car ils savaient que les femmes là-bas n'étaient pour les hommes que des vides-couilles** ambulants.

Voulant faire preuve de galanterie, Sanji proposa de raccompagner la rousse jusqu'à chez elle, proposition qu'elle s'empressa d'accepter, un sourire angélique sur les lèvres. La jeune fille vivait chez ses parents, et Sanji, ne voulant pas lui causer de problèmes, s'en alla directement après l'avoir laissé devant son appartement. Alors qu'il approchait de son logement, il crut entendre une série de coups de feu au fond de la rue. Le blond pressa le pas. La nuit était tombée, et il commençait avoir froid. Des bruits de pas retentissaient dans l'allée, mais Sanji choisit de les ignorer et de tracer son chemin sans se retourner, le plus discrètement possible. Quelques minutes plus tard, il arriva enfin en vue des escaliers qui menaient à son appartement. Alors qu'il posait le pied sur la première marche, son attention fut attirée par un souffle haletant et hachuré qui provenait du mur d'en face. Sanji s'approcha, et aperçu, dans la pénombre, un homme assis et appuyé contre le mur. Le blond arqua un sourcil et scruta le corps plus scrupuleusement. C'est alors qu'il remarqua qu'une grande quantité de sang tachait son t-shirt. Mais une autre chose retint son attention.

Il a les cheveux... verts ?

À suivre...

*Au japon, fumer dans les rues est interdit. Des endroits spéciaux sont prévus pour les fumeurs.

**Désolé du terme, mais c'est comme ça que Sanji l'interprète.

Voilà voilà, merci d'avoir lu le chapitre jusqu'au bout, et rendez-vous au prochain pour plus d'action. En attendant, review ?