Note de l'auteure : Cette fic est un mélange du livre et du film le fantôme de l'Opéra. ne vous étonnez donc pas si vous retrouvé un peu des deux éléments dans cette histoire.
Ps: J'ai tenté de corriger le plus possible mes fautes d'orthographes alors si vous voyez que j'en fait beaucoup d'autre, prévenez moi! Merci!
Chapitre 1 : Le cauchemar de la Carlotta
- Je vous déclare mari et femme!
Le prêtre venait ainsi de scellé leurs deux cœurs et leurs deux âmes à jamais, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort les sépares. En l'honneur du mariage de leur second fils, le comte et la comtesse Chagny avaient fait reconstruire le fameux opéra populaire, tâche qui ne prit qu'un ans et demi seulement et ce malgré l'ampleur des dégâts causé par le fantôme de l'opéra. Ce curieux cadeaux de mariage allait permettre à la jeune cantatrice Christine et aux autres membres du personnelle, soit les deux anciens directeurs, Mme Giry et sa fille Meg et bien entendu la grande Carlotta, éternelle rivale de Christine, de reprendre leur carrière. C'est ainsi qu'après la remise à neuf de l'opéra nos deux éternels tourtereaux ce marièrent dans l'enceinte même du théâtre qui les avaient réunis sous les regards des nobles et des anciens habitués de l'opéra. Évidemment, l'opéra n'étend rien sans son célèbre fantôme, il va sans dire que celui-ci était revenu entre ses murs dans la plus grande discrétion toute fois. C'est ainsi que cacher dans l'ombre il assista le cœur en charpie au mariage de sa précieuse Christine et de ce chien de Raoul. Nombres de fois il aurait voulut sortir son lasso pour étrangler ce manant qui lui avait volé sont seul amour, mais il du s'y résigner! Après tous, il aurait beau tué tous les Raoul du monde, cela ne lui ramènerait point sa douce et bien au contraire ne ferait que l'éloigner d'avantage. Ne pouvant plus supporter la torture que lui procurait le spectacle il retourna à ses ténèbres résistant à ses envies de meurtre et de suicide.
Dans l'assistance, une autre personne regardait elle aussi le mariage d'un mauvais œil et n'en pouvant plus décida elle aussi de s'éclipser discrètement suivit de près par sa horde de domestiques et ses deux toutous adorés. La Carlotta était dans tous ses états et, arriver à sa chambre d'hôtel de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, elle ce mit à tout démolir! Comme cette salle petite chipie pouvait-elle être heureuse à ce point! DE QUEL DROIT pouvait elle être plus heureuse qu'elle! Elle détestait Christine! Ce n'était pas assez qu'elle épouse un vicomte il fallait en plus qu'elle lui vole sont titre de grande diva de l'opéra populaire! Qu'avait-elle fait pour mériter cela! Elle qui avait tous donné pour son publiques! Mais plus que tous, celui qu'elle détestait, celui pour qui elle ce réveillait la nuit pour mieux maudire, celui qu'elle détestait même davantage que Christine, c'était le fantôme! Cet être immonde venu tout droit de l'enfer pour voler la vie de son bien aimé, son seul amour et lui avait causé tant de tord…..elle lui souhaitait d'avoir brûler avec l'ancien opéra! Puis, par inadvertance, elle fit tomber un magnifique bibelot représentant une dame d'une grande beauté, souvenir d'enfance. Elle ce mit à hurler de plus belle de rage et de tristesse, même en penser ce monstre le portait du tord! Elle ce pencha pour ramasser les morceaux du précieux bibelot, des larmes de colère débordant de ses yeux.
- Qué pourrait-il m'arriver dé pire! S'exclama-t-elle de son accent espagnol(je met des (é) car c'est comme sa qu'elle le prononce).
Au même moment, comme pour lui répondre, on cogna timidement à la porte.
- QUOI! Hurla-t-elle
- Navré de vous dérangez madame….. Répondit timidement Perle sa domestique en entrant sur la pointe de pied comme une petite sourit qui voudrait éviter d'attirer l'attention d'un chat féroce et affamé….. Il y a pour vous une missive des plus importante qui vient d'arriver.
Carlotta s'empara de la missive brusquement et ce mit à lire. Soudain elle devient pâle comme la mort et perdit connaissance. La pauvre domestique paniquée se mit à hurler pour qu'on appelle rapidement un médecin pour sa maîtresse. S'en fut trop pour ses nerfs! La Carlotta venait de perdre son père et d'hériter de la garde d'un fantôme qu'elle n'avait pas vue depuis 5 ans.
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Christine était heureuse et fraîche comme une rose! Elle revenait d'un mois merveilleux de lune de miel avec son tendre Raoul et maintenant elle rentrait prête à répéter pour le tous premier spectacle donner en l'honneur de la réouverture de l'opéra. Mais il restait que depuis les fameux événement du « Fantôme de l'Opéra » elle était toujours très nerveuse quand à l'idée de retourner à l'opéra mais Raoul la rassurait en lui disant que quoi qu'il arrive il resterait toujours près d'elle et que de plus Erik était loin.
- Nous Sommes arriver! S'exclama Raoul enchanté.
- Christine releva la tête et remarqua que comme son époux le faisait remarquer, ils étaient devant les portes de l'opéra.
Le portier vient ouvrir la porte et aida Christine à descendre de la carriole. À peine avait t'elle posée un pied à terre qu'une voix familière l'appela.
- Christine! S'exclama Meg en sautant au coup de celle-ci. Comme tu m'as manqué!
- Tu m'as manqué aussi!
- Si tu savais tous ce qui c'est passé pendant ton absence!
- Allons! Nous ne somme partie qu'un mois, qu'as t'il bien pu arriver pendant ce temps là!
- Le père de la Carlotta est décédé!
- Au mon dieu! La pauvre elle doit être dans tous ses états!
- Tu l'as dit! Mais ce n'est pas tout!
Elles rentrèrent à l'intérieur suivit de près par Raoul qui portait des valises aider par l'un des portiers de l'opéra. Une fois à l'intérieur on pouvait voir les pauvres domestiques courir à droite et à gauche et les deux directeurs tentant tant bien que mal de calme une Carlotta hystérique.
- CÉ SALE PÉTIT MONSTRE VAS ARRIVER D'UN INSTANT À L'AUTRE! ET VOUS MÉ DÉMANDER DÉ MÉ CALMER! (Je vous rappelle juste comme sa que les « é » dans cette phrase ne sont pas des fautes, c'est son accent.)
- Enfin! Bella dona! Gémissait monsieur Firmin. Inutile de vous mettre Dans un tel état pour si peu…
- COMMEN OSEZ VOUS MÉ DIRE CELA! ELLE NÉ FAIT QUÉ MÉ CAUSER DES ENNUIS DÉPUIS LÉ JOURS DÉ SA NAISSANCE! C'EST LÉ DIABLE QU'ON MÉ DÉMANDE D'ÉLEVER!
- PRIMA DONA! Gémissait de plus belle les deux directeurs.
- Mais de qui parle t'elle demanda Raoul agacer par les cris perçant de la diva.
- De sa sœur! S'exclama Meg amusé.
- QUOI! S'exclamèrent Christine et Raoul. Carlotta à une sœur.
- Oui! Continua Meg. Une petite sœur d'environ 9 ans si j'ai bien comprit! La mère de Carlotta est décédée en accouchant d'elle, je crois qu'elle ne lui a pas pardonné. Si j'ai bien comprit elle ne ce sont pas vue depuis 5 ans et elle doit arriver aujourd'hui! C'est pour cela que les domestiques sont si pressés! Carlotta à beau ne pas apprécier sa sœur, elle veut quand même l'impressionner. Que voulez-vous! Carlotta restera toujours Carlotta.
- Pauvre enfant! Ce faire détester ainsi par sa sœur c'est horrible. Soupira Christine la mine triste.
- La sœur de la Carlotta……murmura Raoul qui était comme pétrifier sur place en imaginant Carlotta en miniature….déjà une c'était pénible, deux le supporterait-t-il!
- Comment S'appelle-t-elle? Demanda Christine sans prêter attention à la réaction de son époux.
- Camélia!
Dans un coin de la salle cacher dans l'ombre il regardait la scène. Christine venait d'arriver plus belle que jamais dans une élégante robe bleu pâle et à l'entendre, elle était toujours aussi généreuse qu'elle l'était la dernière fois qu'il l'avait vu. Par contre Raoul avait l'air encore plus bête que jamais. On aurait dit un poison sur l'étalage du marcher qui répétait sans cesse…la sœur de la Carlotta….. Bien sur en apprenant la nouvelle il y a un mois il était tout aussi surprit que lui, mais il n'avait le souvenir d'être resté bêtement figer avec une tête de truite pendant de longue minute. Vraiment qu'es ce que Christine pouvait trouver à un minable pareil? Mordiou! Plus sa allait et plus il y avait des incapables qui remplissait son théâtre. Au moins il pourrait bien s'amuser à embêter le modèle réduit de la Carlotta.
Tout à coup, une Carriole s'arrêta devant l'opéra et tous s'immobilisèrent. Un homme grand et costo, les cheveux blond coupé très court, une mâchoire forte, de large épaule, un œil bleu et un œil de vers où était graver une encre de bateau et habiller comme un marin sortit et regarda les alentours d'un air sévère. Puis, une toute petite main très pâle sortie de la carriole. Le marin la saisit délicatement pour aider la petite dame à sortir. Certains domestiques ce précipitèrent vers les portes vitrés dans l'espoir d'apercevoir avant les autres la jeune enfant mais malheureusement le marin la cachait complètement de sa large carrure. Finalement, madame Giry ordonna aux bonnes de s'éloigner des portes et le marin entra suivit d'une petite fille. A sa vue tous firent le saut. Camélia était le portrait cracher de Christine en plus petite. Différemment à sa sœur qui avait une tignasse rousse, Camélia avait une longue chevelure bouclé brune, un petit nez fin, était petite et pâle et portait un étrange costume blanc à la bordure rouge et bleu. On aurait vraiment pu croir que Christine fut sa mère. Le seul détail par contre les différenciait, était que l'enfant avait de grand yeux doré qui faisait trembler Christine, car ces yeux comparables à deux gouttes d'or fondu lui rappelait un être qu'elle tentait doublier à tout prit…..Erik! D'ailleurs Celui-ci toujours caché ne pu en croir ses yeux lorsqu'il la vit. Comment ce petit ange pouvait-il avoir un lien de parenté avec cette horrible harpie qu'était Carlotta? Il régnait dans la salle un silence de mort qui fut bientôt brisé par les raclements de gorge du marin. Il s'approcha de Carlotta et fit un bref salut devant elle.
- j'ignore si vous vous souv'nez d'moi miss, j'suis Oz Gimse, j'était second sur le navire de votre père. Toute mais condoléances miss.
- Merci monsieur! Répondit simplement Carlotta un air dédaigneux sur le visage en regardant le marin. Puis elle s'approcha de Camélia. Camélia……tou as changer……(elle prononce les « u » en « ou »)
- Mobidic…..toi malheureusement tu n'as pas changer d'un poil….Répondit la petite d'un air neutre qui n'avait pas du tout l'accent de Carlotta, pendant que celle-ci grimaçait en entendant le surnom mais tentant malgré tous de sourire pendant que le marin et la majorité de l'assistance étouffait un rire.
- A cé qué jé vois tou n'as pas améliorer tes manières et ton langage…. être élever par des marin dé bas étages n'as pas dou aider! Siffla Carlotta pendant que Oz grognait à son commentaire.
- A ce que je vois tu n'as pas non plus amélioré tes manières tu pense toujours que les gens qui vaut mieux que toi sont de la racaille! Répondit Camélia toujours neutre pendant que sa sœur serrait les points usant d'un effort considérable pour ne pas hurler.
Carlotta fit le tour de sa sœur la scrutant de bas en haut et revient devant celle-ci reniflant avec dégoût. - Où à tou bien pou trouver un costume aussi ridicule! Papa né t'as donc pas apprit à t'habiller.
- Je croit au contraire que cet ensemble est le plus approprié à cette journée! Je porte les couleurs du drapeau de France et de plus je porte une robe que vous m'avez offerte!
- Jamais jé n'aurait offert cé genre dé chose! S'exclama Carlotta avec une mou offusquer.
- Oh si c'est vous qui me l'avez offert! Insista Camélia. Seulement je l'ai un peu……..amélioré.
Carlotta tenta de ce souvenir d'un ensemble qu'elle aurait bien pu offrir à sa sœur lorsque lui revient à l'esprit une robe blanche quelconque qu'elle avait acheter pour faire bonne figure et envoyer à sa sœur pour son anniversaire. Elle était blanche et couvert de dentelles, de rubans bleu et rouge et avait plusieurs épaisseurs de jupon.
- Comment as tou osez faire une tel chose avec un présent qué j'ai prit tant dé temps a choisir avec amour pour toi et lé transformer en…en SA!
- Ne me joue pas ton numéro de grande sœur aimantes tu à prit la première robe que tu a vu juste pour faire bonne figure et encore elle était trop grande pour moi sinon je n'aurait pas pu la porter aujourd'hui! Et tu sais quoi, je croit que je préfère que tu ne l'est pas choisi avec « amour » car à voir tes habit de clown j'aurait eu de la difficulté à faire quelque chose de portable avec sa!
- C'EST MOI QUÉ TOU TRAITE DÉ CLOWN! ALORS QUE TOU T'HABILLE EN ÉPOUVANTAILLE! Et pouis jé m'en moque fais cé qué tou veux mais sache qué désormais c'est moi qui donne les ordres et tou dévras m'obéir! DÉMON!
- Moi aussi je ravie de te revoir grande sœur! Soupira Camélia indifférente et ironique!
Carlotta s'éloigna pestant contre sa sœur et maudissant en espagnol sa venu au monde! Les deux directeurs s'approchèrent de Camélia et du marin un peu Mal à l'aise.
- Je suis navré, l'émotion sans doute! Dit monsieur André gêné
- Inutile de la justifier! Je n'ai pas vu ma sœur depuis mes 4 ans mais il ne m'en faut pas plus pour bien la connaître! Ma sœur est comme ses horribles caniches bouclés qu'elle trimbale partout! Elle jappe et lorsque qu'une ombre passe, cours ce cacher la queue entre les jambes! Elle ne me fait pas peur. Camélia avait un air sombre et mystérieux en disant la dernière phrase ce qui mit les deux directeurs encore plus mal à l'aise.- Je peux vous la laisser? Demanda Oz une mine inquiète.
- Certainement! S'exclama madame Giry. Nous en prendrons grand soin!
- Merci madame! Répondit il avant de ce tourner vers Camélia. Nous, nous reverrons demain à l'enterrement! Sois forte petite sirène!
Camélia sourit.
- Ne t'en fait pas marin, la grosse baleine blanche ne me fait pas peur!
Oz embrassa Camélia sur le front puit parti. Madame Giry s'approcha alors de la petite un sourire confiant sur les lèvres.
- Bonjours, je suis madame Giry et elle…..elle pointa sa fille dans son habit de ballerine….ces ma fille Meg Giry.
- Enchantée! Répondit elle en faisant la révérence.
- Moi de même. Répondit Meg enjouée.
- C'est troublant comme vous, vous ressemblez! S'exclama Raoul en regardant tour à tours Camélia et Christine. Tu ne ressembles pas du tout à ta sœur.
- Encore heureux! Moi je ressemble à mon père mais j'ai les yeux de ma mère, Carlotta c'est l'inverse. Mais à qui ai-je l'honneur?
- Au oui! Je me nomme Raoul Je suis le vicomte de Chagny et voici mon épouse Christine!
- Enchantée! S'exclama Christine en tentant du mieux qu'elle pu de ne pas regarder l'enfant dans les yeux!
Quel crétin ce vicomte! Pensait Erik. Vraiment il était de plus en plus pathétique! Quant à la petite Camélia, il appréciait déjà cette enfant. Certes elle avait pour une jeune fille de son âge des manières un peu rustres mais cela ne faisait que la rendre plus adorable! Finalement, son opéra ne serait pas si triste avec cette jeune fille dans les parages!
