Note : Je sais c'est court, mais je commence juste a écrire, si il y à des fautes, je m'en excuse d'avance.
Disclaimer : Tout appartient a JK Rowling.
Sur ce, bonne lecture.
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Il courut, il avançait vite, toujours plus vite, si bien qu'il arriva à la tour d'astronomie très vite, ainsi que désespéré, lui qui était connu pour sa joie de vivre et sa légère naïveté. Il ne s'arrêta qu'une fois arrivé au bord de la tour, il venait de comprendre certaines choses, il venait de comprendre qu'il aimait quelqu'un, chose importante, certes, mais moins que la personnes qu'il aimait. Harry était gay, ça, ses amis le savait, dès qu'il l'a sût, il le leur avait dit.
Mais cette chose qui désespérait Harry était la personne qu'il aimait, forcément une personne qui le détestait, évidemment, Harry était le Survivant, ne l'oublions pas, donc forcément, tomber amoureux de n'importe qui ne lui était pas permis, il fallait absolument qu'il tombe amoureux de quelqu'un qui le détestait à un point inimaginable, même si, depuis la fin de la guerre cette personne était beaucoup moins désagréable, Harry n'y voyait rien.
A la fin de la guerre, Harry avait beaucoup souffert, comme énormément de sorcier, et même les moldus, sont leurs familles avait étés tués, comme la famille d'Hermione, qui avait énormément souffert, mais elle avait trouvé du réconfort inattendu chez Drago Malfoy, çà avait pris du temps pour Hermione de se reconstruire, mais elle avait réussi. Avant, elle espérait trouvé du réconfort chez Ron, mais comme lui avait perdu Fred, il n'était pas mieux qu'elle, il avait trouvé du réconfort chez Harry, qui, lui, ne disait rien de ses souffrances à ses amis. Hermione dépérissait à vue d'œil, lorsque Drago Malfoy, qui regrettait sa méchanceté gratuite, essaya de lui remonter le moral, Hermione, elle, voyait bien qu'il n'allait pas mieux qu'elle, malgré ce qu'il essayait de lui faire croire, donc ils se remontèrent mutuellement le moral, et on peut dire qu'ils se sont bien trouvés, car depuis, ils sont toujours fourrés partout ensemble.
Harry, bien que content pour son amie, ne peut s'empêcher de les jalouser, il se sent seul, aime quelqu'un d'inaccessible, et n'a jamais réellement connu le bonheur. Il espérait qu'après la guerre, il se trouverait une place auprès des autres, mais il commence à se rendre compte, que c'est tout le contraire. C'est amis l'oubliait, il dépérissait, il ne mangeait presque plus, il ne parlait que peu, il dormait très mal, il faisait des cauchemars. Il rêvait du jour où il avait tué Voldemort, il avait subit plusieurs doloris, mais il l'avait tué, ainsi que plusieurs mangemorts. Il culpabilisait quand même, Saint-Potter disait Malfoy avant, ( depuis, leurs relations s'étaient améliorées ), et il avait bien raison, même lorsque c'est le mal incarné qu'il tua, il trouvait quand même le moyen de culpabiliser.
Et maintenant, il se sentait mal, il trouvait chaque geste difficile, respirer lui transperçait la poitrine, le compressait de toutes parts, chaque battements de cœur lui apparaissaient comme le tic-tac de l'horloge avant le jugement dernier, chaque pas lui semblait le pas d'un condamné a mort allant vers sa sentence, chaque paroles lui semblait poison, chaque regards que son aimé lui lançait le consumait sur place, au point qu'il commençait à croire qu'il était à Salem, condamné au bucher car il était un sorcier, consumer vif.
Aujourd'hui, il n'en pouvait plus, il était saturé, abimé, comme un jouet avec lequel on avait trop joué, qui ne sert plus à rien, il se sentait inutile, il avait accomplit son destin, maintenant que pouvait-il faire, conquérir Son cœur, non. Il le repousserait. Comme le jouet trop usé qu'il était. Cela causerait sa perte, Il causera sa perte. De toute façons. Son destin était accompli, il n'avait plus d'amis, ils étaient tous occupés ailleurs, il ne serait jamais aimé, il finirai seul, sur le bucher, il n'avait plus, non plus, ses parents, qu'il n'avait jamais connu, son parrain était parti trop vite, Rémus, lui était encore là, mais il avait Teddy. Qui lui restait-il ? Rien. Que lui restait-il ? Rien. Qu'est-ce qui le raccrochait donc à la vie ? Rien.
Que pouvait-il donc faire ? Il ne savait pas, il ne voulait plus réfléchir, il ne pouvait plus réfléchir, la seule personne à qui il aspirait était indifférent à lui, et de toutes façons il ne le verrait jamais plus que comme un fils, ou un ami, après tout il avait probablement le double de son âge, il n'était qu'un gamin pour lui, une personnes qui faisait parti des « bandes de cornichons », comme il se plaisait à les appelés. Donc Harry fit la seule chose qui lui permettrait de tout oublier, et de rejoindre les personnes qu'il aimait. Il posa donc ses pieds sur le muret, il regarda le vide qui s'étendait devant lui, impérieux, impressionnant, effrayant. Il inspira profondément, il se lança un sort pour s'endormir, et glissa dans l'inconscience en même temps qu'il tomba dans le vide. Dans les Tébèbres.
