Chapitre 01: Une histoire de lignée.
Eh bien. . . Nous voilà. Une nouvelle journée va commencer. Cette nouvelle journée va apporter des choses nouvelles.
Comme par exemple de nouveaux enfants vont naître, de nouvelles fleurs vont fleurir,
de nouvelles histoires vont se raconter, de nouvelles recherches vont se faire pour mes futurs projets. . .
Chaque journée apporte quelque chose de nouveau.
Sauf une chose. Une chose qui refuse de disparaître.
Cette foutue histoire d'héritier.
Cela fait des mois que j'entends parler de cette histoire qui commence sérieusement à m'agacer.
Les journées apportent des nouvelles choses.
Pour certains, c'est ce que je viens de citer en exemple.
Pour ma famille, c'est de nouvelles femmes à apporter au jeune-maître,
de nouvelles tentatives de lui forcer à trouver une femme,
de nouvelles excuses à trouver pour qu'il puisse enfin venir voir ses put... "Prétendantes."
Bon sang, je n'en peux plus. . . En plus, je n'ai même pas encore pris mon café et...
*BLAM*
"BOOOONJOUUUUUUR JEUNE-MAÎÎÎÎÎÎÎÎTRE !
- Jora. . . Je t'ai déjà dit de ne pas rentrer comme ça.
- Oui, je sais jeune-maître mais ne devenez pas déjà ronchon ! Cela pourrait faire fuir votre future femme !
- Oh non... Vous avez encore appelés une prétendante ?
- Mais non voyons, jeune-maître ! Pas une ! Des centaines ! La quasi-totalité des femmes du pays vous désirent ! N'est-ce pas fantastique ?
- Renvoyez-les immédiatement.
- Mais oui, mais oui, mais... HEIN ? AH NON ! Jeune-maître ! Vous n'allez pas nous refaire ce coup !
- Je vous ai déjà dit que je ne désirais aucune femme. Ce ne sont que des poufs aveuglées par ma richesse et mon pouvoir.
- Mais. . . Jeune-maître ! Si vous n'avez pas de femme, vous n'aurez pas d'héritier ! Et n'oubliez pas la loi !
- Je la connais Jora, mais si je dois avoir une femme simplement pour lui faire un enfant, quel est l'intérêt ?
- Et bien de faire l'héritier ! Allons jeune-maître, un petit effort ! Habillez-vous et descendez voir ces jolies femmes qui n'attendent que vous !
- Je ne vois toujours pas l'intérêt. . . De plus, j'ai déjà fait un "petit effort". Juste un sur vos centaines de tentatives et ce fut un pur désastre.
- Oh. . . Oui, c'est vrai. . . Mais nous pouvons toujours réessayer ! Hein ? Allez, maintenant, habillez-vous et...
- Jora, ce sera toujours non.
- Oooh... Vraiment ?
- Oui.
- Pour de vrai ?
- Oui.
- Pour de vrai de vrai ?
- Oui...
- Véritablement ?
- Jora.
- Oh. . . Je vois jeune-maître. . . D'accord. . . Mais vous savez, une rencontre peut changer une vie."
À ces mots, Jora partit avec un léger sourire.
Cette dernière phrase m'avait laissé. . . Perplexe.
Elle raisonna dans ma tête. Jora est comme moi,
elle ne croit pas du tout au "Pouvoir de l'amour sincère venant d'un coeur pur"
et aux autres histoires de ce genre. Alors, pourquoi m'a-t-elle dit ça ?
Hum... Cette histoire doit la rendre fleure bleue.
Je décidai de me lever et d'ouvrir ma fenêtre pour profiter de la rosée du matin.
En général, cela me détend et me fait oublier.
Tsss... "Toutes ces jolies femmes qui n'attendent que vous !"
Fufufu... Aucun homme, aucune femme, aucune personne n'est aussi belle et parfaite que toi. . .
J'ai beau essayer, je n'arrive pas à t'oublier. Si seulement tu étais là pour m'aider. . .
D'abord cette histoire d'héritier, après cette phrase qui va m'empêcher de dormir. . .
Et encore toi, qui occupes toujours mes pensées chaque jour, chaque seconde.
Pff... Si tu étais là, tu me dirais pourquoi les autres font autant de bruit pour un enfant !
Si je n'ai personne pour le concevoir, il reste des tonnes d'autres solutions ! Je ne sais pas moi. . .
L'adoption tiens ! On adopte un enfant et on en parle plus ! Bon sang !
. . . L'adoption. . . Adopter un enfant. . .
BORDEL POURQUOI JE N'AI PAS PENSÉ À ÇA AVANT ?! JE DOIS PRÉVENIR JORA.
Je m'habillai à toute vitesse et fonçai vers la por... Wopopopopo.
Mes lunettes. J'ai faillit foncer sans elles, Ma fierté, mon charme, mon secret. . .
Le monde a faillit voir mon regard !
Bref, je mis donc mes fidèles lunettes et je repartis à la recherche de Jora.
Cette histoire va enfin cesser, je l'espère. . .
Je fouillai les moindres pièces du palais, les moindres recoins, les moindres salles secrètes !
Rien. Jora est introuvable. Alors, au désespoir, j'employai l'ultime solution. . .
Crier son nom comme un idiot dans tout le palais.
"JORA ? JORA ! OÙ ES-TU ? J'AI PEUT-ÊTRE TROUVÉ LA SOLUTION POUR CE PROBLÉME D'HÉRITIER ! JORA ? JORA !"
Aucune réponse, pas un signe de vie. . .
Mais bon sang, où est-elle ?
Pendant que je réfléchissais à l'endroit où elle pouvait être,
j'entendis un petit "Jeune-maître" venir de derrière moi.
Je me retournai et vis Jora qui me regardait.
Enfin ! Mais d'où vient elle ?
"Jora, bon sang, où étais-tu ? Et d'où viens-tu ?
- Je renvoyais vos prétendantes comme vous me l'avez ordonné jeune-maître. Et je viens de la terrasse de la piscine. Pourquoi donc ? Auriez-vous changé d'avis ?
- NON. Je pense avoir une solution pour cette histoire d'héritier.
- VRAIMENT ?! Mais quelle magnifique nouvelle jeune-maître ! Je suis si heureuse ! La famille entière doit le savoir ! Je m'en vais prévenir les autres, nous serons à la salle du trône, jeune-maître !
- Si tu le souhaites Jora, si tu le souhaites. . ."
Après une petite demi-heure environ,
La famille entière se retrouva dans la salle du trône.
"Et bien Jora, quelle est cette fameuse grande nouvelle ?
- Quelqu'un a enfin dit que tu étais belle ? UHUHAHAHAHAHAHAHA !
- DIAMANTE. COMMENT OSES-TU ?
- Allons, allons, je disais ça pour rire, détends-toi !
- Sombre idiot. . . Si vous êtes tous réunis ici, c'est parce que le jeune-maître pense avoir trouvé une solution pour ce problème d'héritier !
- Ah ?
- Jeune-maître, je vous en prie, à vous la parole.
Elle prit place sûr le trône de Cœur et me regarda avec de grands yeux et un grand sourire.
Le restant de la famille fit de même.
Avant de commencer, je me raclai la gorge et pris enfin la parole.
- A vrai dire, cette idée est vraiment banale. Je me demande pourquoi je n'y ai pas pensé plus tôt. Voyez-vous, j'ai songé à comment avoir un enfant sans avoir de femme.
Ils me regardèrent tous bizarrement.
Ils ne comprennent pas où je veux en venir.
Je peux comprendre, ce que je viens de dire est assez étrange.
- Euh... Navré jeune-maître, mais je ne comprends pas.
- C'est pourtant très simple Baby 5, j'ai songé à l'adoption.
Un long silence s'installa dans la salle,
jusqu'à ce qu'il se fasse briser par un cri d'incompréhension lâché par toute ma famille.
- HÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ?!
- Mais... Jeune-maître ! Il ne sera pas de votre sang !
- Ni de votre rang !
-Qui pourrait être assez digne de vous ?
- Aucun enfant ne mérite votre amour et votre nom appart celui que vous ferez !
- C'est ridicule, jeune-maître !
Tous ces bruits de fond m'énervaient profondément.
Alors, dans la colère, je tapai mon poing violemment contre mon trône.
- ASSEZ. Je ne changerais pas d'avis ! Je veux adopter un enfant, et qu'importe ce que vous penserez.
Le silence réapparut.
Enfin, le calme...
Ils se regardèrent tous et Gladius prit la parole.
- Très bien jeune-maître. Mais avez-vous déjà une idée, certains critères pour votre futur enfant ?
- C'est simple, il doit tout simplement être digne de moi.
- Je ne vois pas ce que vous voulez dire jeune-maître, pardonnez-moi.
- Mon héritier doit être aussi fort que moi, autant psychologiquement que physiquement. Je refuse qu'un faible intègre ma famille.
- Je crois comprendre. . . Trouvez quelqu'un digne de vous me semble impossible mais nous pouvons toujours essayer . Nous allons devoir localiser les orphelinats du Nouveau Monde. Un enfant venant d'ici aura forcément un minimum de force physique. Pour ce qui est du psychologique, il va falloir fouiller les données de ces orphelinats, voir l'histoire des enfants qu'ils auront pris sous leurs ailes. Si nous cherchons bien, nous pouvons, je le pense, trouver l'héritier.
- Fufufufufu... Bien. Je vous fais tous confiance."
Ce fut sûr cette parole que se termina la discussion et que je m'en allai, confiant.
J'étais heureux de savoir que cette histoire allait enfin se terminer.
Il ne restait plus qu'à trouver un enfant et l'éduquer correctement.
Enfin libre. . . Adieu les maux de tête, adieu les réveils de Jora !
Adieu le problème ! Fufufu...
*. . .*
Les jours devenaient des semaines, Les semaines des mois et toujours rien.
Pas l'ombre d'un héritier, pas un seul digne de mon nom.
Ma patience ayant des limites, je pris la décision de convoquer Gladius, un jour de pluie.
"Gladius, explique-moi pourquoi il n'y a toujours aucune trace de mon héritier.
- Et bien. . . J-Jeune-maître. . . Nous avons fouillé tous les orphelinats du Nouveau Monde. Aucun enfant ne correspond à ce que vous cherchez.
- Pas un seul ? Aucun ? C'est ridicule. . . Pas un seul comme moi. . . Pas un seul comme Law ?
- Personne mon jeune-maître. . . Nous avons songés à un plan mais nous préférons demander votre accord pour l'exécuter.
- Mon accord ? Pour me le demander, vous avez dû songer à quelque chose de risqué. . .
- Assez, oui. Nous avons songé à regarder les enfants recherchés. Il y en a une centaine à peu près. Pour être ainsi traqués par la Marine, ils doivent bien avoir vécus ou même fait quelque chose d'ignoble. Mais pour ça, nous devons fouiller dans la paperasse de la Marine et du Gouvernement. C'est un très gros risque que nous prenons en faisant cela. Nous pouvons très bien nous faire capturer à tout moment si nous y allons.
- Pourquoi ne pas demander à Vergo ?
- Vergo est indisponible pour le moment. Il est parti en mission avec ces soldats et ne reviendra que dans plusieurs mois sûrement. Or, nous n'avons plus le temps.
- Et donc ? Que proposez-vous ?
- Et bien. . . Jeune-maître. . . Hum. . . Vous... devrez vous charger vous-même de trouver l'héritier. Comme vous possédez le titre de Shishibukai, votre lien avec la Marine et le Gouvernement est plus proche que le nôtre. Si vous fouillez dans leurs fichiers, leur méfiance ne sera que minimes.
- Donc, si je comprends bien, c'est moi qui vais devoir me déplacer pour aller chercher mon héritier ?
- Eh bien. . . Oui, c'est exact. Nous n'avons aucune autre solution pour le moment, acceptez-vous ?
- . . . Pff. . . Je n'ai plus le choix de toute manière. Appel Buffalo, Nous partirons demain matin.
- Déjà ? Euh... Très bien jeune-maître. Je l'appelle sur-le-champ."
Bon sang. . . Je savais que ça n'allait pas être aussi simple.
Cette histoire d'héritier me les brise encore plus que prévu.
Putain de merde...
*Le lendemain matin.*
Il nous a fallu à peu près deux heures de préparation avant de partir vers Marine Ford,
là où se trouvent tous les fichiers de tous les criminels du monde, enfants compris.
Sur le chemin, je "discutais" avec Buffalo.
Il ne comprenait pas pourquoi je l'avais pris alors que je pouvais très bien y aller seul.
Cette histoire d'héritier m'avait suffisamment saoulé, je n'allais pas non plus me fatiguer pour ça.
Il nous a fallu cinq heures pour enfin arriver à Marine Ford.
Qu'allais-je dire ? Une excuse banale ou simplement la vérité ?
De toute manière, il était trop tard pour y réfléchir.
Une sorte d'alarme sonna pour prévenir que le Shishibukai le plus classe était arrivé.
Les gardes me laissèrent passer et je fis mon entrée qui, comme d'habitude, fut magnifique.
Buffalo s'envolait vers le port, il attendait mon retour là-bas.
Moi, je commençai à marcher vers le bureau du grand chef.
Je regardais aussi ces stupides humains figés de peur à ma vue. . .
Fufufufufu... !
J'aime ça. . .
Je marchais encore un petit moment et, une fois devant l'entrée,
défonçais littéralement cette foutue porte trop lourde.
"Bien le bonjour mon très cher Sengoku !
- DE QU... ?! Doflamingo ? Que fais-tu ici ? Nous n'avons pas convoqués les Shishibukai !
- Parce que tu penses que je viens ici seulement quand vous m'appelez ? Je ne suis pas un chien qui arrive quand tu le siffles. Je viens ici si je veux et aujourd'hui, je vais avoir besoin de toi. . . Je viens chercher quelque chose.
- Ah. Et quelle est cette chose ?
- Tu as sûrement dû entendre parler de mon petit problème d'héritier ces temps-ci, je viens le régler aujourd'hui.
- Le régler ? Mais... comment ?
Il prenait un temps pour réfléchir, puis, me répondait.
- Oh non. . . Tu ne vas quand même pas libérer. . .
- Non... Tu ne crois quand même pas que tes imbéciles de prisonniers m'intéressent j'espère ?! Fufufufu... !
- Mais... Qui viens-tu chercher alors ?
- Tes prisonniers sont tous adultes, ils ont déjà leurs propres visions du monde et leurs propres forces, je veux quelqu'un digne de moi, il doit être fort physiquement et psychologiquement, avec malgré une courte existence, un long vécus. . . Vois-tu où je veux en venir ou l'âge fait déjà des ravages ?
- J'ai compris, inutile de rire plus de ma sagesse. Tu veux que je te donne les fichiers des enfants recherchés.
- Bravooo mon petit Sengoku ! Mais dis-moi, c'est que tu comprends plus vite qu'avant ! Fufufufufu... !
- Cesse de rire l'oiseau. Si je t'aide, ce n'est que parce que je suis dans l'obligation. Sinon, je n'aurais jamais aidé une pourriture dans ton genre.
- Surveille ton langage, n'oublie pas à qui tu parles.
- Oh oui, c'est vrai... Je vais vous chercher les dossiers des enfants recherchés, "Votre Majesté".
C'est ça... Moques-toi de moi immonde pourriture.
Je peux te tuer à tout moment si je le souhaite.
Enfin bref, J'ai dû attendre une bonne quinzaine de minutes
avant qu'il ne me donne un gros carton rempli de fichiers.
- Votre Majesté, voici les copies des fichiers que vous recherchez, pour que vous puissiez les lire chez vous.
- Tu sers enfin à quelque chose Sengoku. . . C'est que tu as fait un bon travail ! Bon chien ! Fufufufufu... !
-Espèce de. . .
- Allons, pas de grossièretés devant ton bouc.
- C'est une CHÈVRE."
J'emportais le carton en riant de sa colère et sortis sans soucis.
Il avait bien fait de faire ça, ma famille et moi allons pouvoir chercher ensemble mon futur héritier.
Buffalo m'attendait toujours au port de Marine Ford.
Je grimpais sur son dos et nous prenions le chemin du retour.
Je profitais du voyage pour commencer à feuilleter les fichiers.
*5 heures plus tard*
Une fois de retour au palais,
je demandai à Buffalo de convoquer la famille
afin que nous cherchions ensemble mon futur enfant.
J'étais surpris de voir qu'ils étaient déjà tous présents dans la salle en moins de cinq minutes.
Ils sont tous si heureux que ça ?
"Nous allons chercher le futur héritier ! N'est-ce pas excitant ?!
- Ouiiiii, je suis sûr que nous allons trouver des petits trop choupinouu ~
- Nous ne sommes pas là pour chercher le plus mignon mais le plus digne. Commençons les recherches. Chacun, prenez au moins deux fichiers et cherchés."
Ils s'exécutèrent.
Je faisais de même et nous commencions finalement les recherches.
Chose insupportable, C'est que Jora craquée sur chacun d'entre eux car :
"Ils sont trop mignons comme le jeune-maître quand il était enfant !"
Bon sang, comme c'était gênant. . .
Bref, moi aussi je regardais les fichiers.
Vite fait, certes, mais je regardais.
Je lisais leurs histoires très rapidement et guettais leurs primes et c'est tout.
Sérieusement, leurs crimes sont vols, vandalisme ou meurtre accidentelle. . .
Pourquoi la Marine met une prime sur ces enfants ?
Je changeais de plan et décidais de regarder seulement leurs primes,
je lirais l'histoire du gosse qui aura la prime la plus haute.
J'étais mal partit.
La plus haute prime que j'avais vue était de 800 berrys.
Je remarquais que Lao avait visiblement pris la même technique que moi.
Je voulais prendre un nouveau fichier mais remarquais que le carton était désormais vi...
Ah non, Il restait un dernier fichier.
Celui-là n'était pas comme les autres, il était noir.
Ce fichier avait des pages déchiraient et possédait un gigantesque cadenas pour le sceller.
Un fichier interdit ? Aurais-je enfin trouvé quelque chose d'intéressant ?
Je brisais le cadenas sans problème et regardais la prime du gosse qui était de...
"280 000 millions de berrys ?
- HEIIIIIN ?!"
Tout le monde s'approchaient du fichier pour le lire avec moi.
Cette prime si élevée. . . Il n'y avait qu'un seul gosse qui la possédait.
C'était une petite fille.
Son nom raisonnait à travers le monde il y a quelques années maintenant
mais elle a tout fait pour ce faire oublier.
Seuls les hauts gradés de la Marine connaissent son histoire.
Apparemment, elle serait trop horrible pour être divulguée au monde.
Cette fillette avait fait trembler le monde rien qu'à l'âge de sept ans. . .
Fufufufu... ! Parfait.
Moana Beatha-Bàs,
celle que l'on surnommait "Hadès",
prépare toi à porter mon nom, à devenir mon héritière, ma semblable,
Ma fille.
