Sufferliness ayant des problèmes de santé, comme certain d'entre vous al savent peut-être, je me suis proté volontaire pour reprendre la traduction de 'Guardian Agent'. Je traduis également l'autre fic de Archer24, 'Scarlet'.

Je retraduis donc les chapitres déjà sortis, je ne fais que changer quelques formulations. Donc les 8 prochains chapitres seront en gros les mêmes que ceux déjà sortis.

'Guardian Agent' appartient à Archer24

Mon nom est Isabella Swan. J'ai eu un passé difficile et aurais probablement un avenir difficile. Mais la chose la plus importante que vous devez savoir sur moi est que je suis un agent secret. Non seulement je vais à la très prestigieuse Académie Meyer qui forme de futurs agents d'infiltration, mais je suis aussi la meilleure. Mais ça, c'est prendre de l'avance, pourquoi ne pas commencer par le début.

J'ai grandis à Phoenix avec ma mère Renée et mon père Charlie. J'étais constamment battue par mon ivre de père et ma mère ne rentrait du travail que pour me hurler dessus pour avoir fait quelque chose de mal et ensuite continuer de me dire à quel point j'étais hideuse. Et elle avait raison, je l'ai toujours crue, de mes simples cheveux qui m'arrivaient à la moitié de ma taille à mes yeux qui étaient du même brun terne. J'ai vécu avec eux jusqu'à ce que j'ai 14 ans; mon père avait continué de me battre (s'assurant toujours de ne pas toucher mon visage pour que personne ne suspecte quoi que ce soit) et ma mère avait continué de me punir, me disant qu'elle regrettait de m'avoir eue et que j'étais une gamine gâtée qui avait de la chance d'avoir une mère comme elle.

Aller à l'école n'était pas beaucoup mieux, j'étais constamment moquée pour être aussi moche, j'en étais venue à porter uniquement des bas de jogging et des t-shirts à l'école (pas que les autres vêtements que Renée m'achetait étaient beaucoup mieux). Les filles 'trébuchaient' accidentellement à l'heure du repas et renversaient le contenu de leur plateaux sur moi; elles m'appelaient l'intello ou la geek et me frappaient même à l'occasion. A cause de cela, je passais le plus clair de mon temps à la bibliothèque. Mes amis étaient les livres, parce qu'ils étaient les seuls qui ne me jugeaient pas ni ne me criaient dessus. J'avais eu une amie, elle s'appelait Angela. Nous étions allés à la même école primaire et elle était gentille avec moi. Tout changea lorsqu'on fit nos premiers pas au lycée. Apparemment, les filles populaires avaient pensé qu'il y avait matière à popularité en elle et qu'elle était digne de les suivre partout comme un petit chien impuissant. Elles lui ont donné le choix, soit elle pouvait les rejoindre et m'humilier tous les jours, soit elle serait humiliée avec moi. Bien qu'avec ma chance, j'aurais du m'y attendre, ça a tout de même fait mal quand la seule personne que je pensais être mon amie m'a poignardé dans le dos et a rejoint les même personnes qui se faisaient un devoir de faire de ma vie un enfer. Cependant, tout ça changea lors de mon quatorzième anniversaire.

Il avait plu ce jour là, ce qui était inhabituel en Arizona. Le fait c'était mon anniversaire soit ne comptait pas aux yeux de mes parents, ou bien ils l'avaient complètement oublié. C'était un Samedi soir et mes parents étaient sortis pour dîner, me laissant livrée à moi-même pour la soirée. Ce n'était pas nouveau pour moi, c'est ce qui m'a fait devenir une très bonne cuisinière à un très jeune âge. Mes parents étaient allés à un restaurent très cher, célébrant la promotion que mon père avait récemment eu. J'avais réchauffé les restes de raviolis aux champignons lorsque les lumières s'étaient éteintes. Wow, je ne savais pas que la tempête était forte à ce point M'étais-je dit. Avec cela, j'étais allée dans le placard appelé ma chambre et allais dormir sur une pile de coussins et de couverture qui étaient sur le sol. Bientôt après m'être couchée, j'étais tombée dans un profond sommeil.

La réelle surprise fut lorsque, le matin suivant, je m'étais réveillée de moi-même à la place du hurlement habituel de Renée à 5h30 du matin. J'avais pensé que peut-être, ce fut mon cadeau d'anniversaire, au lieu de pousser ma chance et de rester au lit encore quelques heures comme le réclamait mon corps, je m'étais levée et avais commencé à préparer le petit-déjeuné de mes parents comme ils m'obligeaient chaque matin.

Cependant, à ma grande surprise et joie, la cuisine était vide. Peut-être dorment-ils encore ? Mes pensées avaient été interrompues par un coup fort à la porte d'entrée, pensant que c'était peut-être mes parent qui revenaient à la maison extrêmement tard; je fus surprise lorsqu'à la place, je vis un officier de police qui se tenait sur le pas de la porte avec une expression sinistre sur le visage. Cela m'avait rendu frénétique ,pensant que d'une quelconque manière on avait appris que Charlie abusait de moi. Il m'aurait tué si je l'avais dis à qui que ce soit, alors la vue d'un policier n'était pas vraiment la bienvenue pour moi. Ce qu'il dit ensuite stoppa net mon esprit qui tournait.

"Êtes-vous Isabella Swan ?" demanda-t-il. Je hochai simplement la tête, trop effrayée pour dire quoi que ce soit. "Je suis vraiment désolé de vous apprendre que la nuit dernière, vos parent ont eu un terrible accident de voiture... Ils ne s'en sont pas sortis"

Je m'étais figée. Il avait du penser que j'étais trop choquée pour parler, au vu de la façon dont il me regardait. Au lieu de ressentir la peine et le chagrin que tout enfant normal qui aimait ses parents aurait du ressentir, la seule chose qui m'avait traversé fut Je suis libre... Je suis finalement libre ! Il continua en disant qu'étant donné le fait que je n'étais pas assez âgée pour hériter de l'argent qu'il me restait, j'allais être placée dans un foyer d'accueil. Cela ne m'importait pas, n'importe où aurait été mieux que ce qu'avais maintenant.

J'ai passé trois ans dans un foyer d'accueil, personne ne m'avait jamais adoptée, pensant probablement que je n'étais pas assez jolie ou intelligente alors que les autres allaient et venaient. Mais cela m'allait parfaitement, je restais toute seule. Ceux assez braves qui avaient essayé de me parler, moi, la fille flippante qui ne parle jamais à personne, ont vite compris que je ne valais pas le coup et me fichèrent la paix jusqu'à ce que eux aussi soient adoptés et allèrent de l'avant. Cela ne me pris pas longtemps pour comprendre que personne ne voulait de moi et que j'étais destinée à une vie emplie de solitude. Personne ne m'aimerait jamais, et j'avais vite abandonné l'espoir que quelqu'un voudrait un jour vouloir de moi comme sa fille.

Un jour, un homme était venu, cherchant quelqu'un à adopter. Les autres enfants dans mon bâtiment étaient à peu près de mon âge, certains plus vieux, certains plus jeunes; cependant aucuns d'entre eux n'avait été là depuis plus longtemps que moi. Il avait parlé à beaucoup d'autres enfants, j'étais simplement restée seule prétendant lire un livre pendant que j'écoutais leur conversation. Je découvris que son nom était Marcus et qu'il était originaire d'Italie. Cependant, j'étais rapidement devenue lassée de leur conversation et j'étais retournée à ma lecture de Orgueil et Préjugés. Quelques chapitres plus tard, j'avais senti une tape amicale sur mon épaule, j'avais rapidement levé la tête pour regarder dans les yeux de l'homme que j'avais appris s'appeler Marcus.

Dire que j'avais été surprise aurait été un euphémisme. Personne, et je veux dire vraiment personne, ne s'embarassait à me parler.

"Bonjour, mon nom est Marcus, à qui ais-je le plaisir de parler ?" demanda-t-il.

Après un court instant pour m'assurer que c'était bien à moi qu'il avait parlé et pas à un autre enfant près de qui j'étais assise, j'avais répondu, "Isabella, mais la plupart des gens m'appelle Bella" C'était sorti calmement sur un ton monotone qui criait en gros que je n'avais pas envie de parler, je m'étais presque attendue à ce qu'il n'entende pas. D'autres adultes avaient essayé de me parler mais avaient vite réalisé que je n'étais pas une enfant pour eux. Souvent, je ressentais une sinistre satisfaction lorsque je les surprenais à parler de mes yeux et de combien ils avaient peur que je les attaque ou autre chose.

Après quelques autres question à propos de moi, il avait semblé être satisfait et se leva pour parler à Clara, la femme qui s'occupait de tout. Tandis que j'avais fait semblant de lire mon livre, j'avais gardé mes yeux sur l'homme mystérieux. Quelque chose qu'il avait dit avait semblé choqué Clara car elle avait eu un hoquet de surprise et avait jeté un coup d'œil dans ma direction avant que ses yeux ne retournant sur le visage de Marcus. J'avais lu sur ses lèvres, intéressée pas la conversation à présent. Vous êtes sûr ? Il avait simplement acquiescé pour toute réponse.

J'avais vite découvert que l'homme voulait en fait m'adopter ! Cela n'avait pas choqué que moi (Pas que je l'ai montré), mais aussi les gamins qui avaient été ici assez longtemps pour savoir que les chances que cela arrive étaient proches de zéro.

Quelques jours plus tard, je le suivais hors du bâtiment, ne portant qu'un sac à dos rempli des maigres possessions que j'avais, quelques livres cornés, les quelques dollars que j'avais économisé et un sweat shirt.

Il ne fallut pas beaucoup de temps à Marcus pour expliquer la réelle raison de mon adoption. Il était un recruteur pour l'Académie Meyer, un école top secrète d'espions. Il traversait tout le pays à la recherche de gens de mon âge qui semblait être bon pour le job. Il m'avait parlé de son très bon pressentiment à propos de moi, que j'allais accomplir de grandes choses.

Lorsque j'avais posé le premier pied à l'Académie Meyer, j'avais été étonnée. Bien sur, Marcus m'avait préparée à toutes la haute technologie futuriste pour simplement entrer dans l'école. Mais il ne m'avais pas parlé de sa taille ! C'était fantastique, il devait y avoir au moins 10 étages qui se tenait au beau milieu de nul part. L'Académie Meyer résidait en Californie près de la vallée centrale. Les gens qui n'étaient pas au courant que c'était une prestigieuse école d'espions pensaient simplement que c'était une école pour des gosses de riches arrogants. Vous deviez endurer cinq ans de classes à Meyer, incluant des cours d'informatique et de combats physique. Je faisais parti des trente et un qui étaient présent cette année. Tout était aussi nouveau pour moi que ça l'était pour eux, cependant après un court laps de temps, il fut évident que j'irais beaucoup plus loin.

Seulement après voir complété les cinq années entières d'entrainement un étudiant pouvait faire de vraies missions. Je fus la seule exception de tout l'existence de l'université à cette règle. J'ai complété les cinq ans d'entrainement en seulement un an et demi, je surpassais tous les autres étudiants et même les professeurs lorsqu'on en venait au combat physique. Peu importe qu'ils soient homme ou femme, j'arrivais à les mettre au tapis en un rien de temps. Je n'ai pas encore trouvé quelqu'un qui pourrait être pour un vrai défi pour moi. Même lorsqu'on en vient à la technologie, je suis le hacker le plus rapide connu dans toute l'université et certains pensent même du pays. J'ai été désignée pour construire le système de sécurité en entier pour l'école qui stoppait et identifiait n'importe quel intrus avant même qu'il ne cligne de l'œil.

Je suis une légende vivante que les autres étudiants admirent ou craignent. C'est plutôt le dernier lorsqu'on en vient au étudiants qui sont dans des classes inférieures à la mienne. Je suis froide et imparable, je laisse ma haine pour la vie que je vivais êtres le carburant de mes combats et de ma motivation. J'étais impénétrable, me voyant toujours comme le vilain petit canard que ma mère disait que j'étais. Je n'avais aucun amis et passais tout mon temps à m'entrainer et pratiquer. J'étais le tueur parfait, rien de pouvait m'arrêter et parce que je ne me souciais de personne, personne ne pouvait utiliser ça contre moi.

Tout les autres étudiants m'évitent, ils se séparent comme la mer rouge dans les couloir en m'observant silencieusement passer. Je n'avais rien faire pour provoquer cela, je ne suis simplement pas comme eux, et je l'accepte. Je n'ai pas d'amis; je ne fais confiance à personne, spécialement après ce qu'il s'est passé avec Angela. Ma troisième année va cependant être différente, étant donné que je sais déjà tout ce qu'il y a à savoir.