Hello tout le monde ! :D
Voilà, je sais que je n'ai pas posté depuis longtemps, je n'ai pas vraiment le temps donc désolé si vous attendez la suite d'une de mes fic :X
Alors donc voilà une nouvelle fiction sur Brittana, encore et toujours oui, que j'avais écrite il y a longtemps et que j'ai retrouvé.
Je poste le premier chapitre, mais il faut que vous me donniez votre avis pour savoir si je continue ou pas ;)
Je sais pas vous mais la chanson mais la chanson " Fancy " d'Iggy Azalea me fait trop penser à Santana x)
Résumé : Santana est riche, belle, respectée, sarcastique, égocentrique et pourrie gâtée par la vie. Que risque t-elle alors qu'elle est surprotégé par son papa riche et qu'elle mène tout le monde par le bout du nez chez elle et ailleurs ? Rien. Sauf que ce rien va vite se transformer en quelque chose de très compliqué suite à un de ses nombreux caprices.
« Joyeux anniversaire, ma chérie » Sourit Monsieur Lopez à sa fille maintenant âgée de 18 ans.
Cette dernière sourit, de ses dents blanches et parfaitement alignées, mais il n'atteint pas ses yeux, cependant. Tout le monde savait que Santana Lopez était aussi superficielle qu'une poupée de plastique.
Comment pourrait-il en être autrement alors qu'elle était née dans le luxe d'un père chef de banque et d'une mère avocate. Depuis toute petite, elle avait toujours eu absolument tout ce qu'elle désirait, et ne connaissait pas le mot « frustration ».
« Papa, il me faut absolument cette bague que j'ai vu l'autre jour, je t'en pris ! » Supplia presque la brunette sans vraiment s'attendre à un refus, alors qu'elle tourna rapidement autour de l'immense bureau en verre de son père pour s'asseoir sur ses genoux, lui adressant sa moue la plus mignonne.
Ce dernier soupira et passa une main dans ses cheveux noirs, typiquement Espagnols.
La beauté Latine était de famille chez les Lopez, car Alejandro était un très bel homme, et comme sa fille, ses cheveux ébène, son teint basané et ses yeux d'un noir d'obsidienne tenaient souvent les gens en haleine.
« Tu sais que je ne peux rien te refuser. » Soupira le Latino en posant une main forte sur le bras de sa fille qui sauta d'un bond et traversa la salle d'une vitesse éclair, claquant ses talons hauts sur le tapis rouge et or qui ornait le sol.
« Je t'empreinte Estéban » Cria la brunette de l'autre côté de la pièce, n'attendant pas de réponse alors qu'elle était impatiente de commencer son shopping tout frais payé.
« Santana c'est son - »
BANG !
La Latina était déjà sortit du bureau, claquant la porte sur son passage.
« - jour de congé » Finit Alejandro avec lassitude, se demandant même pourquoi il essayait de parler du bien – être des autres à sa fille.
Il savait bien, comme les autres, que Santana était vraiment auto-centriste et n'accordait pas la moindre importance aux sentiments des autres – ni même aux siens.
Alors, il soupira une fois de plus, réajusta son smoking gris avant de continuer à remplir la paperasse sur son bureau.
A ce même moment, Santana marchait déjà dans les imposants couloirs de la villa New Yorkaise, la Royal Plaza, la tête haute, les talons hauts résonnant sur le carrelage froid et faisant écho contre les murs aux formes incurvées.
Elle entra dans une grande pièce lumineuse ou trônaient un immense sofa noir et un colossal écran plasma qui tapissait tout le mur du fond et commença à fouiller nerveusement dans les tiroirs de l'une des nombreuses commodes.
« Mademoiselle cherche t-elle quelque chose ? » Questionna habilement Anna, une des femmes de ménage que Santana avait magnifiquement ignorée depuis son entrée dans la pièce.
« Mes médicaments, ou sont mes médicaments ? » Siffla la Latina d'une voix rauque, s'activant de plus belle en jetant les objets des tiroirs, atterrissant directement sur le sol, se souciant très peu si ils atterrissaient sur quelqu'un.
« Sur la table basse, Mademoiselle » Répondit simplement la vieille femme avant de retourner à ses linges, se préparant moralement à devoir nettoyer tout le gâchis que la jeune Latine laissait à chaque fois derrière elle sans la moindre trace de remord.
Santana se dirigea avec urgence vers la plaquette de pilule posée sur la table basse, et en avala directement une avant de fourrer le reste dans sa poche.
Elle soupira de contentement une fois les médicaments passés dans sa gorge et réajusta sa veste hors de prix.
« Et ou est Estéban ? » Grogna la Latina à une femme de chambre, soudainement plus posée, alors qu'elle regardait sa montre horriblement chère bien accrochée à son poignée.
« C'est son jour de congé, Mademoiselle » Répondit humblement la vieille dame, continuant de plier le linge.
Santana serra son poing tellement fort que la pauvre vieille femme pu presque l'entendre craquer.
C'était le signal pour tout le monde de se faire tout petit.
« Il ne me semble pas lui avoir donné un jour de congé » Réfléchit la belle brune, mordillant le bout de son ongle fraichement manucuré.
« C'est votre père qui le lui a donné, Mademoiselle » Expliqua Anna tout en s'attendant à un autre accès de colère de la jeune Lopez.
« Je n'ai pas le temps pour ce genre de sottise ! » Pesta la Latina en envoyant valser tout le linge plié aux quatre coins de la chambre sous le regard seulement à demi surpris de la vieille femme impuissante « Trouvez-le ! Je veux qu'il soit dans le hall dans 5 minutes ! » Hurla la Latina, attirant sur elle le regard d'autres domestiques « Appelez moi la Limousine, demandez Joey ! » Ordonna t-elle à personne en particulier, sachant pertinemment que celui qui entendrait ferait des pieds et des mains dans la secondes suivantes, avant de réajuster ses immenses lunettes de soleil sur son nez fin et de fouetter l'air de ses longs cheveux noir d'obsidienne.
« Quelle bande d'incapable, pourquoi ne puis-je pas profiter de quelqu'un de compétent dans cette maison ? » S'esclaffa Santana, sur le même ton exagérément outré que d'habitude, en descendant les immenses escaliers de marbres couverts d'un tapis rouge sang bordé d'or, rappelant ceux des châteaux de princesses.
« Mademoiselle, votre sac » Déclara un majordome à la moustache grise entortillé et aux cheveux de même couleurs plaqué en arrière sous le gel, lui tendant un sac Dior argenté aux lanières turquoises.
Santana ne daigna même pas le remercier, ni lui jeter un regard, comme à son habitude, et se contenta de lui arracher le sac des mains, continuant sa route aux allures de défilé de mode haute couture jusqu'à la limousine incroyablement longue qui se dressait déjà devant la villa.
Elle s'arrêta pile devant la portière, attendant que quelqu'un vienne lui ouvrir, et s'impatienta fortement au bout de seulement quelques secondes.
En effet, quelques instants plus tard, un homme en smoking, à la petite moustache noire et aux crane un peu dégarnit sortit du côté conducteur, pressant le pas pour tenir la porte à Santana.
« Ah, merci Joey, heureusement qu'il y a quelqu'un de compétent ici » Souffla la belle Latine en entrant gracieusement dans la voiture, réajustant son perfecto bleu roi sur un débardeur Guess noir.
« A votre service Mademoiselle » Répondit élégamment le chauffeur, un petit sourire toujours encré sur ses fines lèvres pâles alors qu'il refermait la porte pour se hâter à son poste.
Santana n'avait jamais eu de sympathie que pour Joey dans cette maison, qu'elle trouvait le seul vraiment compétent et sérieux.
Ce dernier avait très bien conscience de l'attitude de Diva de la jeune Lopez, mais savait qu'au fond elle était quelqu'un de bien, et que tout le monde méritait une chance. De plus, il avait besoin de ce travail, donc la question ne se posait pas vraiment.
Elle s'appuya sur la banquette, ôtant ses lunettes de soleil pour mieux voir à travers les vitres teintées.
« Attendons-nous quelqu'un, Mademoiselle ? » Demanda Joey, d'une immense patiente – qu'il fallait absolument pour travailler ici, surtout avec Santana – en regardant à travers le rétroviseur pour apercevoir la Latina aux yeux encres chercher furieusement quelque chose à travers la vitre.
« Estéban » Grogna cette dernière, profondément irritée du retard de son majordome.
Joey choisit de se taire, ne cherchant pas à provoquer plus de colère chez la Latina, ce à quoi elle le remerciant silencieusement.
Soudainement, la porte de devant s'ouvrit, laissant apparaître un Estéban haletant, au nœud papillon de travers et en sueur, se glissant rapidement dans la voiture de peur de causer plus de retard.
Il avait sans aucun doute courut.
Le jeune homme jeta un coup d'œil en arrière, se redressant automatiquement devant la mine sévère de Santana, ses bras fermement croisés sur sa poitrine.
Il avala une boule dans sa gorge, réajustant nerveusement son nœud papillon rouge.
« Je suis absolument désolé de mon retard, Mademoiselle, veuillez accepter - » Mais il ne finit pas sa phrase, coupé par la Latina ayant mit sa main en stop.
« Pour quoi pensez vous que vous êtes payés, Estéban ? » Questionna la Latina, la voix dangereusement basse.
« En réalité, Mademoiselle, je ne suis pas payé aujourd'hui, je - »
« Exactement ! » Hurla la Latina, ses yeux noirs perçant des trous dans les orbites chocolat de son majordome « JE ne vous ai donné aucun jour de congé ! »
« Non, c'est votre père qui - »
« JE NE SUIS PAS MON PÉRE ! POUR MOI, VOUS TRAVAILLEZ AUJOURD'HUI ! » Hurla t-elle, pointant dédaigneusement son doigt sur le jeune homme, irritée du répondant du jeune homme, cherchant toujours à avoir le dernier mot.
« Mais – Oui, Mademoiselle » Conclut Estéban, trouvant meilleur de s'abaisser plutôt que de risquer son poste à cause d'une dispute comme celle là.
« J'espère bien ! Et Dieu, qui vous habille ? » La voix de la Latina dégoulinait de sarcasme à sa propre question rhétorique, lorgnant avec regret et déception le nœud papillon de son majordome, mais se résigna finalement et termina en se tournant maintenant vers le conducteur.
« Joey, sur la Grande Rue de Manhattan ! » Ordonnant avec assurance la belle Hispanique brune en poussant ses lunettes de soleil sur son nez fin.
« Oui Mademoiselle. » Répondit automatiquement Joey qui engagea immédiatement la belle limousine noire vernie sur la route.
Ils arrivèrent rapidement 20 minutes plus tard sur la rue marchande.
« Je vous appelle Joey » Dit Santana sur un ton neutre, fusillant un peu son majordome du regard alors qu'Estéban lui ouvrait la porte, baissant les yeux de honte.
Après 3h30 de shopping, Santana s'arrêtait encore à chaque magasin qu'elle voyait, essayait des choses, et en achetait beaucoup, obligeant Estéban à porter des sacs tous plus lourds les uns que les autres.
« Mademoiselle, et si nous faisions une pause ? » Proposa le jeune homme un peu au tac-au-tac, ballant d'un côté, puis de l'autre, peinant à trouver son équilibre à cause des paquets encombrant ses bras.
« Pourquoi ? » Demanda la Latina comme si c'était une question complètement stupide, cherchant déjà des yeux une autre boutique sans s'occuper plus des soucis d'Estéban « Je ne suis pas fatiguée » Finit-elle.
Le jeune homme soupira de l'indifférence récurrente de la jeune fille mais ne dit rien et continua à la suivre péniblement.
« Oh mon Dieu ! » Cria soudainement Santana, courant – ou plutôt, marchant du plus vite qu'elle put avec ses très hauts talons – vers la bijouterie ou elle avait vu la bague qui lui plaisait.
Elle entra en trombe dans la boutique, saluant les vendeuses qui ne la connaissaient que trop bien, fonçant directement voir le bien qui l'intéressait alors que son majordome tentait difficilement de voir ou marcher à travers les paquets.
« Estéban ! Estéban ! » Appela la Latina, son regard émerveillé toujours fixé sur le bijou.
« Je suis là Mademoiselle, j'arrive » Balbutia le jeune homme, marchant à reculons pour voir quelque chose, cherchant la voix de la Latina pour se repérer.
Il se pencha au mieux pour tenter de voir le bijou à travers la vitre, qui devait être, comme d'habitude, horriblement cher.
En effet, il aperçut une magnifique bague en or pur, sertie de centaines de diamants reflétant en milliers d'arcs en ciels la lumière artificielle, ici pour mettre le bijou en valeur au maximum.
« Je la veux Estéban ! » Ordonna simplement Santana tandis que le jeune homme tâtonnait dans la poche de son pantalon pour en sortir à l'aveugle la carte de crédit.
« Certainement Mademoiselle, certainement » Répondit-il, insérant la carte dans la borne prévue. « Combien, si je puis me permettre ? » Demanda t-il au tac au tac alors qu'il composait le code.
« Cent » Répondit la Latina sans vraiment s'en occuper, enjouée par sa nouvelle acquisition.
« Dollars ? » Hasarda t-il, suspicieux.
« Cent million » Rectifia sérieusement la Latina, lui adressant cette fois un regard niai, alors qu'il tomba presque dans les pommes, frottant ses yeux d'une main.
Il se racla la gorge, remettant presque avec dédain la carte dans sa poche alors que Santana s'admirait, passant la bague à son doigt, tournant et retournant devant l'épais miroir disponible dans la boutique.
« TOUT LE MONDE LES MAINS EN L'AIR ! » Hurla soudainement quelqu'un à l'entrée du magasin, ce à quoi tout le monde se retourna avec surprise.
Voilà ! :D
Dites moi ce que vous en pensez !
