Auteur : Azadèle

Disclaimer : les personnages ne sont pas à moi mais à JKRowling et l'intrigue est tirée d'Aladin de Walt Disney

Couple : Draco / Harry

Note : et bien, comme les disney sont une de mes passions, j'ai décider de reprendre leur histoires avec les personnages de Harry Potter en commençant par Aladin. Bonne lecture à tous !

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Cette histoire commence lors d'une nuit sombre dans le désert d'Arabie. Un homme vêtu d'une longue cape noire chevauchant un cheval de la même couleur. Il attendait fièrement au sommet d'une colline de sable. Sur son épaule était perché un perroquet à l'étincelant plumage rouge.

Après un instant de silence, un deuxième homme arriva, courant dans le sable serrant un objet dans sa main. Il avait l'allure d'un bandit.

- Tu l'as trouvé ? Lui demanda l'homme à cheval

- Oui, mais d'abord, ma récompense…

Très vite, le perroquet fonça sur lui et lui arracha l'objet des mains pour le rapporter à son maître. Il s'agissait d'une moitié de scarabée en or.

- Patience, tu auras ta récompense le moment venu, déclara l'homme en noir en sortant de sa cape la seconde moitié du pendentif. D'un geste lent, il les rapprocha. Une fois en contacte, les deux morceaux se soudèrent et se mirent à briller dans la nuit. Le scarabée s'envola suivit du cavalier pour finalement se détacher et se poser sur une dune de sable. Cette-ci, au contact du médaillon, se mit à se mouvoir de façon impressionnante pour former la gueule d'un immense lion de sable.

L'homme descendit de sa monture et attrapa le bandit par le col de ses vêtements et l'attira violemment près de lui.

- Que ce soit bien clair, menaça-t-il, tu me rapportes la lampe, je te laisse tout le reste du trésor mais la lampe est pour moi !

Le bandit acquiesça pas pour autant rassuré et se dirigea vers la gueule grande ouverte du lion d'un pas lent et hésitant. La langue du félin formait un gigantesque escalier qui descendait dans les profondeurs de la Terre. Le bandit avala le peu de salive qu'il avait et se rapprocha mais une voix forte s'éleva dans la nuit.

- Qui vient troubler mon repos ?

- Ce.. Ce n'est que moi, bégaya le bandit

- Seul un homme peut descendre ici, celui dont l'apparence cache, un diamant d'innocence.

Le bandit se tourna vers l'homme en noir lui demandant ce qu'il devait faire. Pour toute réponse, celui-ci l'encouragea à avancer. Le bandit soupira puis s'approcha de la gueule du lion et posa son pied sur la première marche attendant de voir un quelconque effet. Comme rien de se produisit, il poussa un soupir de soulagement mais au même instant, la gueule du lion se referma sur lui et il disparut dans les sables.

Les deux morceaux du pendentif roulèrent et furent récupérer par les griffes du perroquet qui les rapporta de nouveau à son maître.

- On ne réussira jamais ! Cria le volatile.

- Patience Iago, il n'était pas l'homme qui nous faut. Nous devons trouver ce diamant d'innoncence.

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Le matin s'était levé mais la ville était déjà très agitée. Un jeune garçon courait le long des toit d'Agrabah tenant dans sa main un morceau de pain. Il était poursuivit par un groupe de gardes avec à leur tête, un homme plus grand qui avait toute les allures d'un chef. Il était assez grand, la peau d'une couleur plus pâle que celle des autres et de longs cheveux noirs et gras.

- Attrapez le ! S'écria ce dernier.

Le garçon les regarda puis regarda le morceau de pain un peu septique.

- Tout ça pour un morceau de pain ?

Il sourit puis sauta du toit atterrissant avec souplesse sur le sol non sans avoir recueillit quelque draps accrochés entre les murs des maisons et dans lesquels il s'enveloppa pour se cacher et alla rejoindre un groupe de femme qui parlait tranquillement.

- Tu as des ennuis de plus en plus tôt Harry, lui dit l'une d'entre elle en souriant.

- Des ennuis ? Ils ne m'ont pas encore attrapé.

À peine eut-il finit sa phrase que le chef de la police, Rogue, l'attrapa violement par le bras.

- Je te tiens vaurien.

Harry le regarda cherchant quoi faire mais avant qu'il n'ai eut le temps de trouver une idée, un jeune garçon roux arriva derrière Rogue et plaqua ses mains sur ses yeux. Harry l'en remercia et en profita pour prendre la fuite en courant à travers la ville avec une aisance presque surnaturelle. Il réussit une fois de plus à semer compagnie aux gardes suivit du garçon roux. Tout deux s'assirent dos à un mur se félicitant de leur petit spectacle.

- Merci beaucoup Ron, sans toi je ne sais pas ce que j'aurais fait.

- À charge de revanche vieux.

Harry lui lança un sourire à la fois plein de gratitude et de tristesse. Gratitude car le garçon était son seul ami. Et de tristesse car, à part Ron, il n'avait rien. Ses parents étaient mort. Il n'était qu'un pauvre garçon des rues. Harry observa Ron, un grand rouquin aux tâche de rousseurs, comme le reste de sa famille, seulement, il avait cinq frères et une sœur, et leur parents n'étaient pas assez riches pour tous les nourrir. C'était la raison pour laquelle Harry partageait son maigre butin avec lui. Il coupa le pain en deux et lui tendit la moitié. Ron l'en remercia.

- Rentre maintenant, tes parents vont s'inquiéter.

- On se voit demain.

Ron ébouriffa les cheveux noirs déjà en bataille de son ami puis partit et disparut au coin d'une rue. Harry baissa les yeux et rencontra son reflet dans une flaque d'eau. Il observa longtemps l'image qui lui était renvoyée. Un garçon quelconque avec des cheveux mal coiffé et de grands yeux verts. Il aimait s'imaginer ses parents. Il voyait un homme au même physique que lui avec des yeux bleus et dans ses bras, une femme rousse aux yeux verts. Rousse car il se l'imaginais comme la petite sœur de Ron.

Avec un faible soupire, il approcha le morceau de pain de ses lèvres mais un bruit attira son attention. Plus loin dans la rue, deux petits enfants, une fille d'environs 8 ans et un garçon, son petit frère sans doute, pas plus âgé que de 6 ans cherchaient de quoi manger dans les poubelles. Harry sentit un horrible pincement au cœur en les voyant et, s'approchant d'eux, il leur donna son petit morceau de pain puis repartit vers la ville.

Presque tous les habitants était réunis autour de l'allée principale menant au palais du sultan et regardait les nouveaux arrivant. Un cortège impressionnant avec à sa tête, une jeune fille et son père chevauchant deux grand chevaux blancs.

- Sûrement une princesse qui vient essayer de séduire le prince, lança un des villageois.

Harry la détailla. Oui, elle avait tout d'une princesse. La beauté, la richesse, l'élégance, mais aussi la prétention peinte sur son visage. Elle chevaucher fièrement sa monture, le dos droit, la tête haute ses long cheveux noir retombant lourdement sur ses hanches. L'expression de son visage montrait qu'elle pensait que tout lui était du et qu'elle parviendrait à obtenir les privilèges du prince que personne jusqu'à maintenant n'avait réussit à obtenir.

Harry secoua la tête de droite à gauche puis sentit quelqu'un le bousculer. Baissant la tête, il vit qu'il s'agissait du petit garçon suivit de sa sœur qui tentait de le rattraper. Dans leur course, tout deux finirent devant les pattes du cheval de la princesse qui se cabra.

- Qui ose ? S'écria la princesse.

La jeune fille prit son frère contre elle pour le protéger. La princesse avait attrapé un fouet accroché à la selle et la brandissait en direction des enfants. Très rapidement, Harry se mit devant eux et le fouet s'enroula autour de son bras.

- Vous n'avez pas honte de vous en prendre à des enfants ! Vous avez peut être de l'argent mais aucune politesse !

Il lui renvoya son fouet à la figure. La princesse, outrée, envoya ses gardes qui le dégagèrent violement du chemin. Entre temps, le enfants étaient partis se mettrent à l'abris. La princesse lança un regard dédaigneux à Harry.

- Je n'ai peut être pas de politesse, dit la princesse, mais au moins je ne suis pas condamnée à n'être qu'un bon à rien comme toi. Tu n'es qu'un vaurien inutile et tu le resteras toujours.

Sur ces paroles, elle rentra au palais avec sa suite. Harry serra les poings se moquant parfaitement des moqueries des autres. Il se releva difficilement étant tombé lorsque les gardes l'avait repoussé. Les deux enfants s'approchèrent de lui visiblement inquiet et il leur sourit pour les rassurer et leur fit signe de partir. Lentement, il retourna chez lui. Ou plutôt, à l'endroit qu'il avait emménagé pour y vivre.

Il s'agissait d'une vieille maison en ruine inhabitée dont la vu donnait sur le palais. Harry avait réussit à récupérer des vieux rideaux posait directement sur la pierre. Il les écarta pour observer le palais avec envie. Il ne supportait pas d'être traité de vaurien. Il n'en était pas un. Il savait qu'au fond de lui, il était quelqu'un de bien, de bon. Tristement, il remit le rideau en place.

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voilà, j'espère que ça vous plaira et que vous serez intéressé par la suite

laissez moi vos reviews ça fait toujours plaisir.

Biyoux à tous

Azadele