Coucou !

J'écris cette nouvelle fic mais je continuerais à publier aussi sur mon autre histoire. J'espère que le prologue vous plaira ! J'essaierais de publier régulièrement. Bonne lecture !

Prologue :

Beacon Hills était connue pour sa guerre des mafias. Une violence terrible y régnait. Deux familles célèbres et connues dans le monde souterrain s'opposaient constamment : les Hales et les Argent. Ils se combattaient sans relâche pour posséder la ville. La police y était corrompue. Les citoyens ne pouvaient qu'espérer de ne pas être pris entre deux feux durant un de leurs nombreux affrontements. Stiles, lui, essayait de faire avec. Son père travaillait dans les forces de l'ordre et il vivait dans la peur qu'il lui arrive le pire. John Stilinski avait des principes. Depuis des années, il essayait tant bien que mal d'aider cette ville. Le seul problème c'est que la droiture et l'honnêteté n'étaient pas le meilleur moyen de rester en vie à Beacon Hills. Le père du jeune hyperactif avait réussi à rester discret pendant un long moment. Mais toute bonne chose a une fin et Mr Stilinski allait en payer le prix...

Stiles avait décidé de se changer les idées ce soir là. Cette journée avait été épuisante, les premiers jours de la rentrée étaient les plus crevants. Les cours s'étaient enchaînés et le lycéen de 16 ans voulait s'amuser un peu. Sa meilleure amie, Lydia, l'avait convaincu qu'une sortie en boite de nuit était nécessaire à leur bien-être. Son père ne le saurait jamais de toute manière. Enfin, il l'espérait. L'adolescent savait être prudent, cela ne faisait que la 4ème fois ce mois-ci qu'il y allait. La peur n'évitait pas le danger. Bon, le jeune homme n'avait pas l'âge légal d'y entrer mais qui s'en souciait ? Ce n'était qu'un délit mineur comparé à ce que d'autres faisaient! Ce qui était bien avec Lydia, c'est qu'ils pouvaient entrer partout. La jeune fille venait d'une famille riche et, d'après elle, respectable. Ça se discutait selon lui... Personne dans cette ville ne restait blanc comme neige. Quoique... Son père peut-être... Pourquoi, alors, ne pas déménager ? Car ils n'avaient pas les moyens pour ça. Cela semblait si facile pourtant... Stiles continuait donc à croiser les doigts pour que son père ne prenne pas de risques.

Ce que le jeune hyperactif adorait le plus en boite de nuit c'était la musique forte et danser. Cela lui permettait de se détendre et d'oublier le fait que son père pouvait mourir en service. Perdre sa mère avait déjà été difficile mais se retrouver sans son papa... Non, c'était inconcevable. Il secoua la tête et se mit à danser aux rythme de la musique. Le fait de se déhancher sur la piste pouvait être défoulant, surtout pour lui ! Peut être qu'il trouverait quelqu'un ce soir ? Son charme, encore une fois d'après Lydia, valait tout l'or du monde. Il avait un doute sur la question. Du point de vue physique il était plutôt banal: cheveux bruns et yeux noisettes, ambrés le corrigeait toujours sa meilleure amie. L'hyperactif était mince et désespérait d'avoir un jour des muscles! L'adolescent avait essayé pourtant, pendant une semaine... Le brun s'était donc résigné à rester telle qu'il était … C'est à dire banal à en mourir et avec une trop grande bouche pour son bien! Heureusement que le jeune homme était optimiste, même si un poil sarcastique!

Soudain le fils du policier se rendit compte que quelque chose n'allait pas, tout le monde s'était arrêté de danser. Et lui avait continué de se déhancher sans s'en rendre compte... La honte!Gêné, le lycéen chercha la source du problème et le trouva rapidement. Derek Hale. Debout sur le balcon supérieur. Héritier direct pour la place de chef de la mafia qu'occupait pour l'instant sa mère Talia. Un vrai look de ténébreux, tout en lui respirait la puissance à l'état brute. Sa réputation le suivait, notamment pour les tabassages en règle qu'il effectuait et pour être sans pitié envers les adversaires de sa famille. Autant dire que le provoquer était considéré comme suicidaire. Heureusement qu'ils n'étaient pas dans le même lycée...

Il y avait trois écoles dans la grande ville, deux publiques et une privée dans le genre huppé. Ces trois écoles faisaient toutes maternelle, primaire, collège et lycée. Lui était à l'école public près de chez lui. Lydia, Jackson et le terrible héritier Hale étaient dans celle privée. Normal, avec tout l'argent qu'ils avaient... Généralement, les gens se demandaient pourquoi Lydia, une splendide héritière charismatique traînait avec le pauvre Stiles tellement inférieur à elle. Son père et lui ne roulaient pas sur l'or c'est vrai. Pourtant ils n'étaient pas dans le même lycée et n'avaient pas grand chose en commun à part leur intellect bien supérieur à la moyenne. Il se rappelait encore en détail sa première rencontre avec elle...

A 15 ans, l'adolescent était décidé pour aller danser en boite mais le videur refusait son entrée. Le jeune Stilinski avait pourtant préparé ces arguments mais visiblement l'armoire à glace s'en foutait royalement. Soudain une jeune fille rousse bien fringuée s'était approchée, l'avait regardé de haut en bas, puis s'était tourné vers le gorille en lui disant « c'est bon Clive laisse le entrer ». Surpris, le jeune garçon s'était retrouvé embarqué par l'adolescente et dans le coin VIP en plus ! Bizarrement, leur amitié avait débuté ainsi. Encore aujourd'hui il s'en étonnait. Lydia était sa meilleure amie et la voir c'était toujours un moment de bonheur. L'hyperactif secoua la tête en se rappelant où il était, c'était pas le moment de se remémorer des souvenirs nostalgiques.

Le jeune homme vit le champion en bagarres scruter la salle d'un regard froid. Tout le monde restait figé. La tension était palpable... Ce mec foutait les jetons. D'un point de vue objectif, l'héritier était beau à se damner. D'un point de vue réaliste, ce mec ne créait que des emmerdes. Autre point embêtant à faire remarquer, le père de l'hyperactif voulait coffrer toute la famille Hale. Stiles ne put s'empêcher de se sentir mal car son papa n'avait aucune chance face à ce type. Derek Hale fit un signe paresseux de la main pour enjoindre tout le monde à continuer la fête. Le soulagement était perceptible chez les jeunes gens car cela voulait dire que le ténébreux n'était pas là pour régler ses comptes mais pour s'amuser. Pas de mâchoires cassés pour cette nuit. Youpi ! Mais bon le savoir dans la même pièce que lui l'embêtait comme si, d'un seul regard ,cette brute en puissance pourrait deviner que son policier de père menait une enquête pour le mettre, lui et sa famille, en prison. Non pas qu'il se sente coupable hein ! Mais son instinct de survie fonctionnait bien quand même !

N'ayant but aucune gouttes d'alcool, Stiles pouvait prendre sa voiture sans problème pour rentrer chez lui. Rapidement, il trouva Lydia pour la prévenir de son départ. Il la trouva emmitouflée dans les bras de ce gros chieur de Jackson Wittemore. Le petit ami de Lydia ne le supportait pas et, accessoirement, lui aussi ne le portait pas dans son cœur. Riche, prétentieux, arrogant et con. Bref, ils s'évitaient autant que possible.

-Lydia, j'y vais ! Lui signala Stiles.

-Déjà ? Déplora la rouquine boudeuse.

-J'ai des trucs à faire genre hyper important ! Tu me connais, bosser c'est ce que j'adore le plus. Et demain, j'ai un tas de cours importants.

-D'accord, mais envoie moi un SMS pour me dire si demain on peut se voir ! abdiqua l'adolescente.

-Ça va dépendre de mon père. A plus !

La jeune fille hocha la tête tandis que Jackson recommençait à l'embrasser dans le cou. Décidément l'adolescent hyperactif ne comprendrait jamais les goûts de son amie niveau mec. Le jeune lycéen se dépêcha de sortir pour rentrer dans sa jeep. Sa voiture était, après Lydia, sa plus fidèle amie. Il fallait l'avouer le fils du policier n'avait pas beaucoup de copains. D'accord, la rouquine plus la voiture ça faisait deux. Son école n'était pas la meilleure mais, au moins, n'avait-il pas les pires de la mafia. Son père lui répétait souvent que, pour s'en sortir, il fallait qu'il cartonne dans les études afin d'avoir un bon boulot et de quitter cette ville. Son policier de père avait déjà perdu sa femme, il ne voulait pas perdre son fils unique.

La porte d'entrée était déjà ouverte ce qui voulait dire que son papa était rentré.

-Salut Papa, je sais j'ai du retard mais...Oh merde... Fut tout ce qu'il trouva à dire.

Bien entendu quand le jeune hyperactif était rentré chez lui il ne s'attendait vraiment pas à tomber sur son père mal en point, à terre et entouré de personnes peu recommandables...

Alors ? Donner moi vos impressions ! Bien, pas bien ?

Bizzzz !