Bonjour, Bonsoir ! J'ai commencé une nouvelle fiction, oui je sais je n'ai même pas finis l'autre mais je l'avais en tête depuis plus d'une semaine... On va dire que certaines chose qui figure sur cette première page sortent de mon vécu haha ! Bonne lecture !
Un soir de juin, Callie fêtait son bac dans un bar de Seattle, avec un ami qui se hâtait de voir dans quel état elle serait une fois qu'elle serait bourré. Après le sixième verre, sa vu était embrumé par l'effet de l'alcool et elle commençait à rire pour tout et rien, trouvant soudainement tout et rien très drôle.
-Oops va falloir que j'aille aux toilettes ! Disait-elle à moitié en riant. Étant donné qu'elle consommait en terrasse à l'extérieur du bar, elle entra donc à l'intérieur du bar, en se dirigeant vers le barman pour lui demander ou se trouvé donc les toilettes, celui-ci lui indiquait de la main la seule porte qu'il y avait tout droit au fond. Il lui indiqua le fait qu'il devait surement y avoir la queue. Elle le remerciait et commença à se diriger vers la porte, avant d'ouvrir celle-ci. Elle fut soulagé de constater qu'il n'y avait qu'une personne devant regardait partout, derrière se trouvait un lavabo ainsi qu'une glace, à sa droite se trouver deux urinoirs qui n'étaient pas caché de la vue des autres, et encore heureux il n'y avait aucun mec, et devant elle se trouvait la seule toilette du bar... Son envie devenait de plus en plus pressente, si bien qu'elle se demandait si elle l'avait pensée ou si elle avait dit à haute voix " Bon dieu c'est pressent, bouge toi le cul, si je rie encore une fois je suis foutu." Tout en dansant à moitié pour se retenir.
- Il y a des urinoirs, si tu ne peux vraiment pas attendre, même si je sais que ce n'est pas super confortable. Je peux faire le gaie si tu veux ?
Alors ça pour être une demande étrange ça en était une, elle ne s'attendait pas du tout à une question pareil, bon en même temps qui s'y attendrait ? Callie avait les yeux grand ouvert, elle était étonné et n'en croyait pas ses oreilles.
* Merde ! Soit j'ai pensée à haute voix, soit elle a de super pouvoir, pourtant j'aurais juré avoir pensée ! Peut-être qu'elle a eu pitié en me voyant danser pour mieux me retenir ? Fin bref j'ai tellement bu, que je ne sais même plus si je pense ou si je parle à haute voix tellement ça m'a l'air de passer par le même chemin... Oh bon dieu que je déteste être saoul...*
La personne devant-elle avait l'air aussi bourré qu'elle ne l'était. Elle se regardèrent longuement pendant quelques instants, les yeux plongés dans le regard de l'autre.
- Merci de la proposition, je pense que je vais attendre sagement mon tour.
- T'es sur ?
Le bruit d'une chasse d'eau retentit, la porte s'ouvrit et un mec sortit des toilettes et partit retrouvé le bar.
* Thanks god, merde je suis tellement pas dans mon état que l'anglais commence à me venir en premier, bon du moment que je ne fais pas se fichu accent québecois ça me va. *
L'inconnue disparaissait derrière la porte des toilettes.
- Ne t'inquiète pas je n'en ai pas pour longtemps... Lui disait cette parfaite inconnue à travers la porte des wc.
- Aucun soucis prend tout ton temps. Disait-elle de manière automatique, en riant nerveusement. Mais pas trop quand même, sinon je sent que ma vessie va éclater dans mon ventre.
Elle pouvait entendre la femme rire aux éclats à travers la porte, puis elle tirait la chasse avant d'ouvrir la porte.
- T'es bien drôle dis donc ! Lui disait-elle le sourire aux lèvres. Callie lâchait un soupir de désapprobation, puis elle entra à son tour dans les toilettes, une fois sa vessie soulagé, elle tira la chasse d'eau et puis ouvrir la porte des toilettes. A peine l'avait-elle ouverte qu'elle sursauta à la vue d'une tête qui était non loin de la sienne et elle se recula de manière à gardé un espace de sureté entre elle et cette inconnue.
- C'était quoi ce soupir ? Ça ne va pas ? Lui demandait son interlocutrice d'une voix douce.
- Non ce n'est rien, c'est juste que mon entre guillemet pote me fait boire comme un trou depuis tout à l'heure et je pense qu'il aimerait bien me foutre dans son lit ...
- Je le comprend ... Callie la regardait avec de gros yeux, elle n'en croyait pas ses oreilles. Excuse-moi ce n'est pas du tout ce que je voulais dire.
- C'est ça oui, tous les mêmes. Déclarait-elle avant de sortir une fois pour toute de ces toilettes, elle sortit aussi du bar de manière à retrouver son ami à la terrasse et lui déclarait qu'elle allait rentrée car elle ne se sentait pas très bien, et du fait qu'il était assez tard. Il se proposa de la raccompagner tout en lui disant que c'était une petite joueuse. Elle lui répondit qu'une de ses amies venait la chercher mais en fait il était tout autre elle voulait rentrer seule plutôt que mal accompagné, c'est ainsi qu'elle prit le métro pour rentrer chez elle non loin de minuit.
Septembre
C'était le premier jour de la pré-rentrée des licences de psychologie.
J'étais toute excité et à la fois terrifié de rencontrer tout un tas de nouvelles têtes, neuf cents pour être exacte...
Je commençait à huit heures et avait prévu mon coup en me levant tôt, cependant je n'avais pas prévu d'arrivée avec trente minutes de retard. Quand j'arriva à l'université mon premier réflexe fut d'aller en direction de l'accueil, un monsieur m'expliquait que cette pré-rentrée fonctionnait par groupe et qu'au vu de mon nom je faisait partie du groupe D le dernier. Il m'indiquait d'aller à l'amphithéâtre Lagache, tout en me montrant le chemin à suivre, je le remerciais brièvement avant de me mettre à courir vers la direction qu'il venait de m'indiquer. Devant les portes de l'amphithéâtre Lagache, je fus prise d'hésitation... Je n'y vais pas ? J'y vais ? Allé Callie tu peux le faire ! J'ouvris la porte et pénétra à l'intérieur de l'amphi, c'était une immense salle agencé comme celle des théâtre, la scène, des escaliers, des tables ainsi que des chaises agencé toute les dix marches. Je du passé par la scène, le professeur expliquait clairement les cours, les étudiants notait précieusement tout ce qu'il disait, ma présence n'avait l'air de perturber personne. C'est ainsi que je monta les marches du côté gauche et espérait trouvé une rangé de libre côté mur ce qui fit le cas trois rangé plus haut. Je m'installais côté mur, posa mon sac en besace sur mes genoux de manière à chercher une feuille ainsi qu'un stylo à l'intérieur avant de le poser au sol ayant tout trouvé.Je relevais doucement la tête et lâcha mon cahier quand je remarqua que la prof qui était tutrice de la première année de psychologie cette année n'était autre que cette dame que j'avais rencontré deux mois plus tôt. Du au bruit horrible que je venais de causer un certains nombres d'étudiants ainsi que le professeur se tournèrent vers mon encontre. Je pouvais sentir la chaleur monter à ma tête ce qui voulait certainement dire que j'étais en train de rougir. Le professeur avait l'air aussi étonné que je ne l'étais, elle se remit rapidement au travail comparé à moi. En une heure et demi je su qu'elle se prénommait Arizona Robbins du au fait qu'elle s'était connecté au serveur de l'université pour nous y montrer son fonctionnement pour ne pas être perdu lorsque nous y choisirons nos cours.
Quand elle eu déclaré que le cours était finit (A l'université finis la sonnerie qui retentit, c'est le professeur qui donne le rythme qu'il souhaite à son cours) je poussa un soupir de soulagement. A présent je n'avait qu'une hâte partir de cette salle en courant.
- J'aurais une petite discussion à entretenir avec la demoiselle qui est arrivée trente minutes en retard.
Je sentis la chaleur à nouveau monter à ma tête. Je laissais échapper un soupir, je ne pouvais pas et je ne voulais pas discuter avec elle. Je pris mon sac en besace et descendit les marches de l'amphi pour rejoindre l'énorme bureau de mon professeur.
- Je ne tolérerais aucun retard, la prochaine fois autant que vous restiez chez vous... Disait-elle froidement, c'était la première fois que j'entendais un ton pareil sortir de sa professeur regardait le dernier étudiant quitter la salle. Dieu merci le dernier étudiant vient de sortir. Reprit-elle d'une voix plus douce que je reconnaissais. Je suis ton professeur et tu es présentement mon élève, il va donc falloir que tu oublis ce qui c'est passé en Juin, si ce n'est déjà fait.
- Ah Ah ! Disais-je en faisant semblant de rire. Elle est bien bonne celle là. Dis moi tu te r'appel ? C'est toi qui m'a suivi et je ne sais comment jusqu'en bas de chez moi et qui m'as embrassé je te r'appel et non l'inverse. Heureusement que nous en sommes resté là d'ailleurs ! Disais-je en partant, sans qu'elle ne puisse répondre quoi que ce soit.
J'ai choisis le fait qu'elle soit en psychologie car j'y suis, donc comme ça je ne vais pas inventer des choses. Je déteste inventer des choses ou parler de trucs auquel je n'y connais rien. Donc comme ça il y aura un peu plus de vrai dans ce faux. Petit Bonus, la scène des toilettes m'est réellement arrivée ... Rien qu'en y repensant je pète de rire même si j'ai changé quelques trucs... Et que je ne me r'appel pas de tout du au fait que j'avais bien bu. La suite et inventé ou pas lol non je déconne ( ou pas ) dîtes moi vos impressions sur ce premier chapitre, ce que vous en pensez pour que je me fasse une idée.
