Road of freedom 2 : Conspiration
Un jeune garçon d'environ sept ans regardait par la fenêtre. Il neigeait mais cela ne semblait pas déranger les autres enfants qui s'amusaient dans la neige blanche. Le soleil allait bientôt se coucher, ses rayons donnaient un éclat brillant à la neige. On aurait dit un diamant qu'on regardait au soleil tellement s'était brillant. Le garçon aurait bien aimer aller les rejoindre mais ceux-ci ne l'aimaient pas vraiment. Ils l'écœuraient et parfois même ils le battaient. Même son père était mal vu dans le village. Il revenait parfois le soir avec des bleus et le visage en sang. Son père ne lui avait jamais dit la raison mais les autres garçons le traitaient de Nazis et même de boche. Pourtant il avait passer sa vie en Russie et n'avait jamais connu l'Allemagne. Le jeune garçon n'avait jamais connu sa mère car elle était morte à sa naissance. Son père lui parlait rarement d'elle mais lorsqu'il le fessait, il disait que s'était la seule femme au monde qu'il avait aimer et chérit dans sa vie. Le jeune garçon aperçut alors une jeune fille venir devant sa fenêtre. Ils se regardèrent alors dans les yeux pendant un moment et la fille retourna jouer avec ses amis. Le jeune garçon décida alors d'aller les rejoindre sans réfléchir. Il l'alla mettre un pantalon un peu plus chaud, ses grosses bottes, son manteau et mit sur sa tête son chapeau de fourrure. Il couvrit la porte, courut vers la jeune fille qui l'avait regarder un instant avant mais quatre garçons l'empêchèrent d'aller plus loin.
- Garçon 1 : Tu vas où comme ça Ransleigh ?
- Sponovitch : Cela ne te regarde pas Ivan.
- Ivan : Vous avez entendu ça les gars. Ce nazi ne veut pas nous dire où il va.
- Sponovitch : Laisse moi passer.
- Ivan : Pas avant que tu ne me dises où tu vas.
- Sponovitch : Je vais voir Bianka.
Ivan se tourna alors vers la jeune fille que Sponovitch venait de nommer. Ivan se retourna alors vers Sponovitch.
- Ivan : Oubli là. Elle n'est vraiment pas pour toi et en plus qui aimerait un nazi.
- Sponovitch : Arrête de m'appeler nazi ou boche je n'en suis pas un.
- Ivan : Pourtant ton sang est allemand et russe. Tu n'es qu'un raté. Une honte pour notre pays et notre patrie. Tu souilles notre terre juste en excitant.
Sur ses mots Sponovitch se jeta sur l'autre garçon et commencèrent à se battre. Tout les autres jeunes qui étaient présent se rapprochèrent pour ne formé qu'un rond à la fin. Sponovitch fit tomber Ivan par terre ce qui fit aussi tomber son assaillant et les trois amis du jeune homme allèrent aidé Ivan. Ils donnèrent un violent coup dans le ventre de Sponovitch qui le fit lâché Ivan. Ivan se releva et fit signe de tenir Sponovitch. Le russe eut beau se défendre mais à un contre trois le combat n'était pas égal. Ivan restait en arrière laissant faire les autres. Les trois russes donnèrent des coups de pieds à leur ennemi qui essayait de se lever mais il ne le pouvait pas. Deux des amis d'Ivan le relevèrent par les assailles et le mit debout. Ivan se dirigea vers Sponovitch et lui donna un coup de poids dans le ventre.
- Ivan : Tu n'es pas de taille contre nous.
- Sponovitch : Ce n'est pas moi qui est besoin t'aide pour me battre.
Il fit lui lança un sourire.
Ivan voulut redonner un coup à son ennemi mais une voix l'en empêcha.
- Bianka : Arrête, il ne t'a rien fait.
- Ivan : Juste le fait qu'il excite me répugne. Il ne faut pas oublier ce que les Allemands nous ont fait dans le passé.
- Bianka : La guerre est finie alors laisse le tranquille.
Ivan se retourna et fit signe à ses amis ne le suivre.
- Ivan : Eh ! Ransleigh ! Fait attention à toi la prochaine fois tu n'auras pas toujours une femme pour te protéger.
Sponovitch voulut retourner lui sauter dessous mais Bianka le retient par la main.
- Bianka : N'y va pas il n'en veut vraiment pas la peine.
Sponovitch regarda une dernière fois Ivan et se tourna vers la jeune fille.
- Sponovitch : Je te jure que si jamais il te touche, je lui ferais la peau.
La voix de Sponovitch était grave et sans peur. Il se savait capable de battre Ivan seul à seul mais il devait le croiser sans ses amis et là il pourrait enfin se venger. Bianka lui tendit la main et ils se mirent à se promener dans le village main dans la main. Sponovitch avait le visage en sang et avait mal partout mais la présence de Bianka à ses côtés lui fessait oublié la douleur.
21/05/04- 6 : 30 a.m- Dortoir
Sponovitch se réveilla en sueur dans son lit. Sa chambre était toujours la même. Petite meublée d'un simple lit, d'une table de chevet, d'un bureau pour ranger son linge et un pupitre de travail. Aucune fenêtre n'éclairait la pièce et il ni y avait presque pas de décoration sur les murs. Simplement un fouet que le russe gardait accroché depuis qu'il avait quitté l'entraînement des recrus. Il ne s'en était plus resservit depuis. Peut-être était-ce car il ne devait plus passer ses nerfs au travers de cet objet ou simplement qu'il s'était radoucit avec les années. Il venait encore de faire un cauchemar sur son passé mais il allait bientôt l'oublier en s'allumant une cigarette. Il avait choisit ce moyen pour oublier, se droguer. Il lui suffisait d'allumer une cigarette lorsqu'il se levait et Pouf ! Il ne se souvenait plus de son passé. Il lui arrivait parfois même d'oublier ce qu'il avait fait la veille mais il écrivait tout dans un calepin et si jamais il ne souvenait pas d'une chose importante il n'avait qu'à relire ses notes et tout lui revenait comme ça. Il écrivait rarement ce qu'il ressentait, seulement les ordres de mission ou des choses comme ça. Alors si jamais quelqu'un lisait son carnet il ne comprendrait pas grand chose car s'était aussi écris en charabia. Seulement les mots ne signifiaient pas grand chose comme mission, libre et ect… Mais il se rappelait sans problème le nom des gens et qui il était, pas de problème de ce côté là à moins bien sûr qu'il n'ai pas revu cette personne depuis des années et que personne ne lui en reparle, comme ça personne ne pouvait savoir que cette drogue emmena aussi des pertes de mémoire basse ou élevé. Il n'avait jamais eut de perte élevée et cela n'allait pas arriver maintenant. Enfin c'est ce qu'il croyait mais il ne pensait pas vraiment à ce détail. Peu importe qu'il perte la mémoire pour toujours au moins il n'aurait pas besoin de toujours se rappeler son passé. Cela n'était pas de sa faute si son père s'était marier avec une allemande. Plus il y pensait et plus cela le dégouttait. Comment un russe qui se respecte aurait pu aimer une boche et encore moins lui faire un enfant ? Sponovitch haïssait son père plus que tout au monde. Il ne pourrait jamais lui pardonner la honte qu'il a fait à la Russie. Sponovitch n'avait jamais vraiment aimer le temps qu'il avait passer la bas mais au fond de lui il savait qu'il était un russe et non un sale allemand.
Sponovitch se leva de son lit et prit la serviette qu'il avait déposer sur une chaise, la veille. Il essuya la sueur qui parcourait son corps et remit la serviette sur la chaise après avoir finit. Il s'assit alors sur son lit, prit son paquet de cigarette sur son bureau et chercha des yeux son zippo. Il le trouva alors dans son lit entremêlé avec les couvertures qui était maintenant par terre. Il alluma sa cigarette, prit quelque bouché et commença peu à peu à se détendre. Il oublia le rêve qu'il venait de faire mais aussi ce qu'il avait fait la veille et les autres jours. Il était toujours assit sur son lit lorsque quelqu'un cogna à sa porte, il regarda sa montre et elle indiquait 6 : 30. Il avait donc passé une heure à ne rien faire assit sur son lit à oublier. Le cognement se fit alors plus fort et plus persistant. Le russe n'eut d'autre fois que de se lever et d'aller voir qui cela pouvait bien être. Lorsqu'il ouvrit la porte une jeune femme entra sans avoir même demander la permission. Elle regarda dans la chambre pendant quelque instant chercha une chaise libre mais il n'y en avait aucune, elle s'abstient de s'asseoir sur le lit car il n'était pas fait et toutes les couvertures étaient par terre. Elle se dit alors qu'elle avait déranger le russe pendant un moment, de toute façon elle ne savait même pas pourquoi elle était venue. Habituellement elle aurait entendu qu'il sorte et ensuite elle lui aurait parlé mais lorsqu'elle était passé devant sa porte et avait entendu du bruit elle s'était dit qu'elle allait entrer et parler un instant avec le russe.
- Sponovitch : Salut pareil.
La jeune femme regarda le russe qui était en train de s'allumer une autre cigarette.
- Karla : Tu fumes toujours autant à ce que je vois.
- Sponovitch : Ouais ! Et après.
- Karla : Disons que cela ne vas pas t'aider pendant tes missions.
- Sponovitch : Es-tu venu ici pour me faire la morale ?
- Karla : Non le chef m'a envoyer pour te dire que nos deux nouveaux coéquipiers sont arrivés cette nuit.
- Sponovitch : Et cela ne pouvait pas attendre un peu.
- Karla : Je pensais que tu aurais aimer le savoir le plus tôt possible.
- Sponovitch : Tu es venu juste me dire ça à 6:30 du matin ?
- Karla : Non pour aussi te dire que je serais le chef durant la mission.
- Sponovitch : Cela aurait pu attendre que je me lève non.
- Karla : Tu serais partit faire ton entraînement et je t'aurais encore manquer.
- Sponovitch : Je n'avais pas l'intention de la faire ce matin de toute façon.
- Karla : Tu ne files vraiment pas bien aujourd'hui ou quoi ?
Elle le regarda pendant un moment dans tout les sens et elle arrêta lorsqu'elle vit que cela mettait le russe mal à l'aise. Elle le regarda alors une dernière fois dans les yeux et ensuite la cicatrise qu'il avait sur le torse. Le russe ne portait qu'une paire de bosseur qui n'avait aucun motif. Il était de couleur kaki.
*Karla* Non mais il porte toujours des choses poche lui ou quoi ? J'aurais penser qu'il portait des bosseurs à petit cœur ou des oursons.
- Sponovitch : S'est plutôt toi qui file pas, pour venir me parler à 6:30 du matin.
- Karla : Je passais devant ta chambre et j'avais entendu du bruit donc j'ai pris une chance de venir te parler.
- Sponovitch : La prochaine fois demande avant d'entrée.
- Karla : Je ne pensais pas que j'allais te déranger.
- Sponovitch : Depuis six mois qu'on ne se parle plus et tu viens me voir comme ça sans prévenir.
- Karla : Justement je voulais qu'on se parle avant la réunion de ce matin.
- Sponovitch : Eh bien ! Tu manques ton coup car si tu penses que je vais continuer à te parler, tu ne trompes et maintenant tu vas sortir d'ici.
Il poussa la jeune femme vers la sortie de la chambre, celle-ci essayait à tout pris de rester dans la chambre mais en vain, elle fut vite mise dehors et le russe referma la porte derrière lui. Il alla alors s'asseoir sur son lit pour réfléchir un peu. Pourquoi Karla était venu lui parler ? Elle aurait pu attendre un peu, il regarda alors sa montre, 7:15. Ils avaient parlé pendant 45 minutes. Il décida alors d'aller prendre son déjeuner et ensuite de chercher les deux nouveaux avant la réunion qui allait avoir lieu à 10 :20. Il allait sûrement les croisés dans les couloirs ou peut-être même à la cafétéria. Il prit alors un pantalon propre et le mit par-dessous ses bosseurs. Il sortit un gilet noir à manche courte dans son bureau et le mit. L'homme se pencha, ramassa ses couvertures par terre et les mis sur son lit. Il décida qu'il pouvait attendre un peu avant de le faire. Sponovitch quitta alors sa chambre et se dirigea vers la cafétéria où tout le monde était réunit en train de déjeuner. Il prit alors son déjeuner en cherchant constamment des yeux les nouveaux mais ils ne les vit pas. Où donc pouvaient-ils bien être ? Sponovitch se trouvait à une table double dans le fond de la pièce et mangea tranquillement son déjeuner en regardant tout le monde des yeux. Il haïssait son congé de six mois. Il n'avait jamais rien à faire, sauf s'entraîner, il s'était alors habitué à s'entraîner pendant des journées entières. Il allait dans les bois pendant une journée ou deux à courir et à écouter la nature, il revenait seulement pour se laver et prendre ses cigarettes et repartant aussi tôt. Il mangeait ce qu'il trouvait dans la forêt. Des animaux, des baies, des racines et parfois même des insectes s'il ne trouvait rien d'autre. Il n'avait aucune difficulté à survivre des jours seuls et sans aide. Il aimait le calme de la forêt surtout lorsqu'il n'y avait aucun bruit mais cela était plutôt rare car des animaux de toute sortes peuplaient la forêt brisant le silence qui pourrait y régner.
Personne ne vient déranger le russe pendant qu'il prenait son petit déjeuner. Tout les autres soldats le craignait et le respectait alors il ne voulait surtout pas le déranger ayant peur que le russe soit de mauvaise humeur et décide de leur donné une corvée de plus à faire. Lorsque Sponovitch eut finit de prendre son déjeuner il ne restait plus grand monde dans la salle à dîner seulement les gens qui s'occupaient du ménage et d'autre chose comme ça. Le russe se leva, alla poser son plateau sur une poubelle et quitta la salle en regardant sa montre. Elle indiquait 8:45. Il lui restait donc plus de deux heures avant le rendez-vous. Il quitta alors la cafétéria, il déambula dans les couloirs pendant environ 1 heure en espérant apercevoir les deux nouveaux mais il ne les vit pas une seule fois. Il était donc 9 :45. Il était tout près du bureau d'Arlington mais il ne pouvait pas arriver mais il ne pouvait pas arriver 35 minutes à l'avance sans raison mais il n'avait rien d'autre à faire.
Il se dirigea alors vers le bureau de son supérieur mais il vit alors Karla entrain elle aussi d'attendre l'heure du rendez-vous avec impatience. La jeune femme se tourna vers l'homme lorsqu'elle l'entendit arriver.
- Karla : Tu es pas mal en avance là.
- Sponovitch : Qui dit que je viens pour le rendez-vous ? Je me promène seulement.
- Karla : Tu n'as pas l'habitude de venir par ici. Habituellement tu évites ce couloir lorsque tu le peux.
- Sponovitch : Ouais et alors ! Je fais ce que je veux non.
- Karla : Personne n'a dit le contraire mais je trouve cela très bizarre que tu passes ici juste comme ça.
- Sponovitch : Ouais ! S'est sûr mais pour dire vrai s'est car je n'ai rien d'autre à faire et j'ai décider de venir en avance.
- Karla : Tu es très en avance.
- Sponovitch : Bon alors on fait quoi on frappe ou on attend l'heure du rendez-vous ?
- Karla : On peut prendre une chance et frapper car je crois que les nouveaux sont avec lui.
- Sponovitch : Je me demande bien de quoi ils peuvent bien parler.
- Karla : Là va savoir. Ils peuvent parlé de tout et de n'importe quoi.
Sponovitch avance devant la porte, celle-ci avait une pancarte avec le nom Arlington inscrit dessus, le russe frappa trois fois consécutive et entendit de voir si quelqu'un allait lui dire d'entrée.
- Voix : Entrée.
Sponovitch entra dans le petit bureau où il y régnait une ambiance de mort. Tout le monde s'était retourner pour voir la personne qui avait interrompu leur discussion. Trois personnes se trouvaient dans le petit bureau. Un jeune homme portant les cheveux noirs, long attaché en queue de cheval. Il devait avoir environ 26 ans si se n'était pas moins. Il y avait aussi une jeune fille blonde qui avait, elle aussi les cheveux attachés en queue de cheval mais cette dernière portait une paire de lunette soleil. Elle devait avoir dans les 24 ans. Tout les deux étaient assis sur un siège devant Arlington. Ils s'étaient tous retourner lorsque le russe avait fait éruption dans le bureau. Karla entra elle aussi dans le bureau, elle et le russe restèrent debout car il n'y avait que trois siège dans ce bureau.
- Arlington : Bon vous voilà enfin vous deux.
- Sponovitch : Ouais ! Et j'aimerais bien savoir pourquoi nous sommes ici ?
- Arlington : Je voulais vous présenté vos équipiers pour la prochaine mission.
- Sponovitch : Il était temps voilà deux jours qu'on est sans nouvelle de cette fameuse mission.
- Arlington : Désolé mais je pouvais le dire qu'une seule fois et maintenant que vos deux coéquipiers sont arrivés, je vais pouvoir vous la dire à tous.
- Sponovitch : Il était temps.
- Arlington : Tu n'as plus la patience que tu avais avant ou quoi ?
- Sponovitch : On a reparlera plus tard.
- Karla : Vous trouvé aussi qu'il est différent depuis qu'on est revenu de cette mission.
- Femme : Quelle est notre prochaine mission ?
Arlington fut alors surpris par le ton de la jeune femme. Personne ne lui avait parlé comme ça auparavant. Elle avait un ton très autoritaire.
- Arlington : Oh ! Oui désolé. Sandra Wesker, Kyle Anderson je vous présente Karla Miller et Ransleigh Sponovitch.
- Sponovitch : Mais appelez-moi seulement Sponovitch.
- Sandra : Pourquoi ?
- Sponovitch : Raison purement personnelle.
- Sandra : Je commence à comprendre ce que nous disaient Arlington avant que vous n'arriviez.
- Sponovitch : Et que disait-il ?
- Arlington : Vous pourrez faire plus connaissance un peu plus tard. Ce n'est pas vraiment le moment.
- Sponovitch : Bon alors continue.
- Arlington : Ok votre prochaine mission sera de vous rentre au Québec pour retrouvé Maxime Hawking qui se trouve à être le frère aîné de Sarah.
- Sponovitch : Et pourquoi devrions-nous le retrouver ?
- Arlington : Il détient une souche du virus G-A.
- Sponovitch : Comment est-il en possédions de ce virus ?
- Arlington : Sarah lui a envoyer un échantillon pour qu'il le garde en sécurité.
- Sponovitch : Alors on retrouve ce jeune et on lui prend le virus si j'ai bien compris.
- Arlington : En gros oui mais vous aurez peut-être quelque embouche.
- Karla : Quel sorte d'embouche ?
- Arlington : Comme vous savez nous ne sommes pas la seule compagnie à faire des recherches sur les virus.
- Sponovitch : Ouais ! Et.
- Arlington : Nous croyons que les H.C.F vont envoyer un agent pour qu'il récupère ce nouveau virus.
- Sponovitch : Nous allons en plus avoir ses débutants dans les pattes ?
- Arlington : Oui.
- Sponovitch : Sais-tu combien ils vont être ?
- Arlington : Je ne sais pas.
- Sandra : Alors la mission sera facile.
- Arlington : Il faut faudra quand même prendre garde. Qui sais ce qui pourrait bien se passer ? Je ne crois pas que cette mission sera de tout repos mais je vous fais confiance.
- Karla : Vous avez raison de nous faire confiance.
- Sponovitch : Ne parle pas trop vite là.
- Karla : Pourquoi ?
- Sponovitch : Je crois qu'on nous cache encore des choses pour cette mission.
- Arlington : Je t'ai tout dit cette fois. Il n'y aura pas entourloupette.
- Sponovitch : J'espère fortement pour vous cette fois. Et puis vous en avez mit du temps pour nous donner cette mission.
- Arlington : Nous venons de savoir que Maxime avait une souche du virus et nous sommes en avance sur les H.C.F pour cette information donc vous allez avoir un avantage sur le temps.
- Sponovitch : Nous allons bénéficier de combien de temps ?
- Arlington : Tout dépends s'ils ont déjà quelqu'un sur le terrain et si bien sûr ils apprennent où est Maxime mais ce n'est pas encore le cas mais nous avons une taupe parmis nous donc ils vont le savoir dans très peu de temps.
- Sponovitch : Et qu'est-ce qu'on fait avec Maxime ?
- Arlington : Rien. Vous n'avez même pas besoin de vous occupiez de lui.
- Sponovitch : Ne devrions nous pas le tuer. Il sait peut-être plus de chose que nous pensons.
- Arlington : Ce n'est qu'un civil nous n'avons pas besoin de lui.
- Sponovitch : Bon d'accord il n'a donc aucune importance à vos yeux et cela ne dérange en rien s'il périt durant la mission ?
- Arlington : Pour une fois tu pourrais ramener un survivant.
- Sandra : Je ne crois pas que c'est le bon moment pour parler de ça.
- Arlington : Oui, c'est vrai.
Il replongea alors un moment dans ces pensées et continua l'ordre de mission.
- Arlington : Bon vous devez alors retrouvé ce virus et le ramener à tout pris ou soit le détruire pour qu'il n'en reste rien. Pas même une petite tache. Car nous avons déjà un échantillon et nous voulons à tout pris empêcher tout autre personne de prendre possession d'une souche de ce virus avant que nous ayons fini de l'étudier.
- Sponovitch : Alors les ordres sont clairs et précises. On trouve le virus et on le détruit ou on le ramène.
- Arlington : Oui s'est ça.
Une personne qui jusqu'ici n'avait pas dit un seul mot prit alors la parole.
- Kyle : Le moyen le plus sur serait de le ramener ici car comment le virus peut prendre plusieurs forme, il pourrait très facilement se répandre. Tout le monde sait qu'un virus est très difficile à détruire.
- Sponovitch : Bon laissons faire les détails. Alors quel sera notre moyen de transport ?
- Arlington : Nous allons vous laisser un hélicoptère à votre disposition durant toute la mission et Karla sera votre pilote.
- Sponovitch : Elle m'a aussi dit que tu l'avais nommé chef de mission.
Arlington se cala alors quelque peu dans sa chaise, il espérait ne pas expliquer au russe la raison pour laquelle s'était Karla le chef de mission et non Sponovitch.
- Arlington : Eh bien…
Il passa alors une main derrière sa nuque très embarrassée.
- Sponovitch : Vous ne me faites plus confiance alors ?
- Arlington : Non bien sur que non c'est seulement qu'elle doit apprendre à bien dirigé une équipe et mieux veut lui laissé sa chance.
* Arlington * Bon s'est pas trop réfléchit mais j'espère qu'il n'aura pas de soupçon.
- Sponovitch : C'est la première et dernière fois que vous ne me nommez pas commandant en chef.
- Arlington : Oui ! D'accord sans problème. Bon alors tout est réglé.
- Karla : Quand est-ce qu'on part ?
- Arlington : Vous partez alors que tout le monde sera près pour partir.
- Karla : Bon alors tout le monde à aéroport dans une heure.
Le russe se dirigea alors vers la salle en croyant que tout était finis mais Arlington lui demanda de rester encore un peu.
- Arlington : Attend un peu Ransleigh. Les autres vous pouvez partir.
Cette phrase eut pour effet de faire stoppé le russe. Il serra les points et fit une grimace de dégoût en attendant quelqu'un prononcé son nom. Karla fut la première à quitté la salle en silence suivit alors de Kyle et Sandra qui s'étaient levés de leur chaise. Lorsque tout le monde fut sortit Sponovitch se tourna vers le général ayant un visage de fer.
- Arlington : Je crois que vous allez encore rester debout. Je n'ai pas besoin de vous offrir une chaise.
Le russe se dirigea vers la chaise de droite et s'y assis en posant ses pieds sur le bureau, croisé. Arlington le regarda faire mais n'émit aucun commentaire. Pas moyen de savoir les réactions de ce soldat. Mais il ne voulait pas le brusquer encore plus car cela aurait eut pour effets de faire exploser le russe.
- Sponovitch : Bon que me voulez-vous encore ?
- Arlington : Simplement que tu devrais faire très attention à Sandra durant la mission.
- Sponovitch : Lui faire attention. Comment ça ?
- Arlington : Nous avons quelque doute de sa sincérité envers Umbrella.
- Sponovitch : Vous croyez qu'elle pourrait nous trahir.
- Arlington : Oui cela se pourrait très bien.
- Sponovitch : Bon d'accord je vais gardé un œil sur elle.
- Arlington : Bien je vous fais confiance pour la surveillé. Vous pouvez disposé.
Le russe reposa alors ses pieds sur le plancher, se leva d'un bond, fit un garde-à-vous, reposa son bras et fit brusquement demi-tour. Il se dirigea ensuite vers la porte, l'ouvrit et sortit du bureau laissant seul son commandant. Sponovitch retourna donc dans sa chambre pour préparé ses affaires pour la mission. Les couloirs étaient presque déserts, il y avait seulement quelques hommes qui nettoyaient le plancher avec une vadrouille et un seau d'eau. L'homme passa son chemin sans même les regardés travailler. Il arriva alors à sa chambre, prit un sac vide et y mit des vêtements propres. Il se dirigea vers son lit, se pencha et en tira une caisse. Il la mit alors sur son lit et l'ouvrit avec précaution mais si elle contenant quelque chose de très fragile. Lorsque le couvercle fut soulevé Sponovitch plongea une main dans la boîte et en retira deux paquets de cigarettes. Il les regarda, le sourire au lèvre et les mit dans son sac. Après cela le russe prit son sac et le mit sur son épaule gauche, se dirigea vers son bureau et prit le magnum et le AK-47 qui reposait sur celui-ci. Il prit aussi ses deux couteaux et les mit dans ses essuies respectives. Un sur sa cuisse droite et l'autre dans l'une de ses bottes. Le russe avança alors vers la porte et l'ouvrit pour sortir mais il regarda un instant son fouet. Il se dirigea vers le mur où il était exposé et le prit dans sa main. Sponovitch sourit alors et mit le fouet sur son flanc. L'objet était enroulé sur lui-même mais permettait facilement de le prendre et de le faire claquer pour le dérouler d'un coup. L'homme sortit alors de sa chambre en la fermant à clé et se dirigea alors vers l'aéroport où les autres les attendaient sûrement pour partir car pour une fois il avait pris son temps et tant pis s'il était en retard.
