MISE EN CONTEXTE DE LA MORT !

(voici une partie de conversation msn qui est un peu comme la mise
en contexte de notre histoire.
après ce bout de conversation, nous avons eu la merveilleuse idée
de jouer a un petit jeu, qui consiste a écrire chacune une phrase ou petit paragraphe
pour obtenir une magnifique histoire~! )

Rod : D8 Marre de mes valises!

Feli : Allez~ ! Let's go t'es capable ! *pompom italy/pan*

Rod : yaaay

Feli : Avec des tas de pates au lieu des froufrous XDD

Rod : Qui font schlop schlop dans le vent 8D

Feli : XD oh yeah
Et avant la fin de la danse, feli les as déjà toute mange :'D

Rod : xD aawh

Feli : Ensuite, il va pleurer dans les bras de Luddy genre « VEEE ! J'AI MANGE MES FROUFROUUUU »
Et donc… Il brandit une wurst et un drapeau blanc pour la fin.

Rod : xDDD

Feli : XDDD
Pendant ce temps
Autriche chiale après ses valises
Parce-que le piano veut pas rentrer
XD désolé Autriche. Le piano n'entrera jamais dans tes valiiiiiiiiises

-ET L'HISTOIRE COMMENCA PEU APRES-

Autriche tenta donc un truc super bien pensé mais... Pas très efficace; il fit de la place dans la valise en
enlevant ses multiples fouets et cravaches. Mais pendant qu'il lutte pour faire entrer le piano, horreur!
Une ombre surgit et vole les petites petites cravaches!
Une très grande ombre en plus! Mais ça c'est seulement à cause de l'emplacement de la lampe... Parce
qu'il s'agit en fait de...
-suspense!, retour à Autriche!-
Le piano n'entrait toujours pas. Mais notre autrichien est têtu et va donc faire encore plus de place:
adieu les corsets~!
Il décide donc de les mettre sur lui-même, par dessus sa chemise, en les surimposant les uns sur les
autres...certes il a l'air un peu louche et a du mal à respirer en plus, mais il n'abandonnera pas son piano
chéri! Mais à ce moment là, un bruit affreux de musique rock envahit les oreilles de l'autrichien qui,
mains sur les oreilles, n'arrive pas à continuer sa noble tâche! Un Prusse sauvage apparaît ! Qui d'autre
c'aurait pus être voyons, À s'introduire ainsi dans la maison de Roderich. Le prussien, guitare électrique
en main, micro à sa disposition, et une jolie couronne sur la tête (avec un poussin sur le dessus,
n'oublions pas notre cher Gilbird!), fit une super prestation destiné à notre cher aristocrate qui, hélas,
n'écoutait même pas. Et ne respirait plus trop non plus. En effet, l'autrichien est plutôt par terre à
s'étouffer, le pauvre! Le prussien, énervé que son awesome talent soit ignoré, le secoue dans tous les
sens pour le réveiller, mais voilà que surgit alors une trrèèèès trèèès grande ombre derrière eux,
brandissant une cravache!
Le prussien s'arrête soudain de secouer Roderich (qui d'ailleurs a un petit filet de bave qui coule jusqu'à
son menton, trop chique) et se retourne pour voire une personne ultra maléfique qui est...
UNE WURST GEANTE!
UNE WURST GÉANTE BRANDIT PAR FELI! ET QUI TIENS UNE CRAVACHE! ... Roderich manque d'air.
Féli donne un coup de cravache au prussien et enfourne une bonne portion de pastas dans la bouche
aristo pour voir si ça va le soigner parce-que les pastas c'est toujours la solution à tout. Et donner des
coups de cravaches à Prusse ça fait des drôles de bruits! Mais c'est alors que féli remarque que les pâtes
n'ont aucuns effets, donc... Il enfonce encore PLUS de pâtes!
Prusse entretemps, énervé par les coups de cravache, essaye de piquer la wurst géante, pendant que
Rod gesticule désespérément au sol en faisant des bruits meurtriers à moitié étouffés par les pâtes.
Mais Allemagne qui était caché derrière la plante depuis le début devança son frère et pris la wurst
géante à deux mains. Il se dirigea par la suite vers le piano et la cacha entre les cordes de celui-ci. Il la
mangerait plus tard. Et Feliciano essaya de mettre des pâtes dans les oreilles de l'autrichien.
Allemagne decida enfin, quand meme, de venir a l'aide de l'autrichien, ou du moins essaya, en tentant de
detacher les fils du corset de ses grosse mains, pendant que Feliciano pleurnichait car il etait prive de
wurst, et Prusse donnait des coups de cravaches au piano. Mais soudain Allemagne fut pris d'un fou rire
et dit dans sa voix ultra grave et virile " j'étais derrière une plante." mais enfin bref. Il réussit tout de
même à détacher les corsets d'Autriche un après les autres. Il réussis enfin à respirer , mais par le nez
seulement. Feli avec pas encore bourrer ses narines de pâtes et tant mieux !

Autriche essaya donc de respirer de nouveau en mangeant toutes les pâtes, encouragé par l'allemand
avec le même air sérieux et pokerface, pendant que Prusse décida de continuer son super morceau de
rock en incluant un solo "percussion de cravache sur piano";..Féli, entretemps, essayait de convaincre
Allemagne d'encourager rod avec des spaghettis, car c'était bien plus efficace selon lui
Le problème c'est qu'avec tout le bruit causé par Prusse, l'allemand n'entendait pas du tout ce que feli
tentait désespérément de lui dire. Les "WAS? ALLEZ WAS?" tombait étonnement bien dans
le rythme de la chanson prussienne. Et donc, Féli se mît à danser. L'autrichien pour sa part, faisait
exploser le corset qu'il portait sous sa chemise tellement il mangeait de Pâtes.
Le temps que l'autrichien termine toutes les pâtes, il est devenu tout rond comme une baudruche et
peut seulement se déplacer en rebondissant, faisant boing boing...en l'occurrence il se jette sur le
prussien pour l'écraser sous son poids afin qu'il cesse de molester son piano.
Puis il lance un gros et grave, totalement changeant de l'habitude "MON PIIIAAANOOOWEUH".
Allemagne, qui est partis dans ses pensées, se remets à rire seul et se traîne jusque derrière la plante.
C'est alors que féli voit la valise, la prend, et la balance contre un mur parce qu'il est trop fâché.
Mais voilà, Autriche avait aussi rangé dans la valise sa réserve de crème pâtissière et celle-ci, à cause de
l'explosion de la valise, commence à se déverser en grandes vagues dans la salle!
C'est à ce moment que le couple Allemagne/plante proposa un concours de surf. Prusse qui surfait déjà
sur sa guitare, même si il était maintenant un peu difforme depuis que le gros aristo l'avait écrasé,
accepta immédiatement. Mais féli lui gueulait dans son coin et lançait des vêtements d'Autriche un peu
partout.
Rod, qui s'était accroché au piano comme une bouée, utilisa une cravache pour manœuvrer son
radeau-piano jusqu'à l'italien, et lui donna une bonne raclée avec en criant que si il ne surfait par sur sa
crème il serait privé de dessert à vie

Ils se noyèrent tous. Étouffés par des corsets.