Oyé oyé, brave gens ! Bienvenue dans ma modeste fic qui se passe entre le deuxième et le troisième film.
Ici, nous allons retrouver Shale Aveungrade, une jeune fille qui n'a pas idée du nombre de problème dans lequel elle va tomber sans même s'en rendre compte.
J'ai remarqué qu'énormément de fic parlait de cousine, alors j'ai fait dans l'innovation et je tiens à vous dire que Shale est une ancienne voisine de Sam qui n'a rien à voir avec sa famille !
Je peux aussi affirmer que cette fic est partis sur une idée un peu comique que je ne dévoilerais pas ici pour ne pas gâcher mes effets par la suite. Je peux juste dire que "Transformers : Human's life" est une histoire que tout le monde peut lire et -j'espère- apprécier !
Alors je vous laisse à votre lecture, mais avant cela, une courte page de publicité :
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============================ TRANSFORMERS ============================
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1er Eclat : PRELUDE
La maison des Witwiki était en pleine effervescence. La cause n'était pas extraterrestre où d'un tout autre mobile fantastique, non, cette fois, un problème des plus normal se posait : une amie de Sam venait passer la semaine chez lui.
Une amie qui était son ancienne voisine d'en face, mais qui avait déménagé suite au renvoie de son Père. La jeune fille avait deux ans de moins que Sam, mais tous deux s'étaient toujours entendu à merveille. Ne s'étant pas revus depuis plusieurs années, Sam avait dû céder aux demandes de Shale et la laissé le revoir pendant sept jours.
Une vieille Renault R18 au teint vert sapin était stationner devant la demeure Witwiki, son coffre ouvert maintenant vide n'avait toujours pas été refermé.
Son propriétaire était assied sur le siège conducteur, un homme d'âge mur qui avait une main sur le volant et l'autre posé sur le rebord de la portière, là où la fenêtre avait été préalablement baissée. Il fallait préciser que l'été avait pris place avec le soleil qui l'accompagnait.
Comme le modèle automobile dans lequel suait le Père était quelque peu dépassé, la climatisation peinait et les quatre fenêtres ouvertes ne faisaient que véhiculer de l'air chaud en contraste avec l'atmosphère cuisant de la Renault.
L'homme déjà peu enthousiaste de s'attarder dans cet endroit qui lui rappelait son échec financier avait en plus la chaleur à supporter.
Mais que faisait donc sa femme ?
Elle n'avait pas tant de choses à raconter à ces Witwiki ! Une famille qu'ils avaient connus uniquement parce que les deux enfants s'étaient lié d'amitié et qui -il se l'était laissé entendre dire- avait certain problème avec le gouvernement.
Aussi, lorsqu'il vu sa femme ressortir de la maison, il l'accosta immédiatement.
-Christine ! Alors, on y va ?
Celle-ci continua sa marche vers la voiture et balaya sa question d'un bref geste de la main en lui répondant : « Oui, oui. J'amène à Shale son manteau et je reviens. »
Le Père de famille poussa un profond soupir en suivant les gesticulations de sa femme dans le rétroviseur central. Celle-ci avait passé la tête dans le coffre et se redressa quelques secondes après avec la veste de leur fille dans les mains.
Christine repartit aussi vite que lui permettait ses talons dans la maison des Witwiki et retrouva la fraicheur de l'habitation avec joie.
Des paquetages étaient entreposés dans l'entrée et toute la famille avait été mise à contribution pour les montés à l'étage. Aussi, se fut un Ron tout rouge qui redescendit pesamment les marches pour accueillir Christine.
-Ah, Christine ! Vous aviez oubliez quelque chose ?
La mère sourit exagérément à son ancien voisin en montrant le vêtement qu'elle tenait entre les mains.
-Je voulais juste…
-Ah ! Merci de me l'avoir apporté, Maman !
Cette exclamation venue de l'escalier fut accompagné d'un éboulement de pas qui fondit sur Christine.
La Mère de famille regarda sa fille venir la délesté du blouson de Skye blanc qu'elle tenait dans les mains et dû la retenir pour ne pas la voire galoper de nouveaux dans sa chambre.
-Hep, hep, hep ! Attends deux secondes, jeune fille !
Shale se retourna, une moue boudeuse marquant son visage.
-Qu'est-ce qu'il y a ?
-Je veux que tu sois polis avec les Witwiki qui ont eu la gentillesse de t'accueillir sous leur toit pendant une semaine. Rappel-toi de bien te laver les dents, de ne pas te…
-Maman, soupira Shale en roulant des yeux, je sais me tenir !
Christine sourit, puis ébouriffa les cheveux de l'adolescente sous les protestations de celle-ci.
-Je le sais bien, va. Allez, fais moi un bisou et dis-moi au revoir.
-Aurevoir, dit platoniquement Shale en collant un bref bisou sur la joue de sa mère.
Aussitôt fait, elle repartit à l'étage en s'excusant pour avoir faillit bousculer Judith qui utilisait les escaliers en sens inverse.
-Cette maison est devenue un vrai camp de vacance, s'exclama-t-elle sur le ton de la plaisanterie en finissant de descendre les escaliers. Ah ! Christine ! Vous nous quittez déjà ?
-Nous nous reverrons dans une semaine, essaya de positiver la femme.
-Bon, et bien bon voyage (elle fit la bise à Christine) et ne vous inquiétez pas ! Votre fille n'a rien à craindre ici ! Et puis Sam à une petite amie super canon, alors aucun risque que ces deux là fricotent ensemble !
-C'est ça, la coupa Ron en allant à son tour faire la bise à Christine, et faite attention en rentrant !
-Ne vous inquiétez pas pour nous, Yvan est bon conducteur, sourit-elle en passant le perron de la porte.
D'en haut, Shale entendit sa Mère échanger encore quelques Aurevoir avant de distinguer le claquement de la porte.
-Yes ! Elle est partit !
Sam, assied sur son lit, regarda la jeune fille devant lui entamé une drôle de danse.
-Pourquoi est-ce que t'es si contente ? Tu t'es brouillée avec ta mère ?
Shale finit sa danse les deux doigts pointé sur Sam comme deux pistolets.
-Ce sont les œufs, qui se brouillent ! Moi, je suis juste super contente de ne plus avoir mes parents sur le dos pour qu'on se retrouve une semaine, toi et moi, à parler de tout ce temps qui nous à séparer !
Puis elle se laissa tomber à coté de Sam en rebondissant deux fois sur le matelas.
-Et je veux que tu me présente à tous tes copains ! Je suis célibataire depuis bien trop longtemps pour que ça dure !
-Ok, t'es venu ici que pour voir de nouveaux mecs ?
-Oh, arrête. Je voulais surtout te voir, évidemment, mais ça n'empêche pas que j'aimerais faire de nouvelles rencontres !
-C'est ça…
Sam dévisagea son ancienne voisine tout en riant avec elle.
Elle avait grandit.
Son visage s'était amincit, ses cheveux châtains clairs s'était lissés mais en revanche, ses yeux bleu restaient les mêmes. C'était le plus fascinant, chez elle. Il se souvenait surtout de sa voisine pour ses yeux gris-bleu qui lui donnait un regard transperçant.
Un regard comme nul autre.
Une palmier lui était fait derrière la tête avec une pince et une mèche châtain de relevée. Ses cheveux lui arrivaient aux épaules, tombant sur un pull de laine nuage qui lui descendant jusqu'au cuisse et s'accordait avec le gris de ses yeux.
Sam se rappelait que la jeune fille avait toujours froid mais supportait très bien la chaleur. Quand il était rentré dans sa chambre pour la première fois, il se souvenait avoir dû la convaincre d'ouvrir la fenêtre pour faire entrer un peu d'air frais.
Elle avait un certain charme, à sa manière.
Ce fut dans la bonne humeur que les dernières affaires furent rangées. Shale avait été installé avec un matelas dans une chambre d'ami, juste en face de la chambre de Sam.
Le repas fut bon : Judith était une bonne cuisinière.
Shale raconta ce qu'elle était devenue, dans quel lycée elle était entrée ainsi que ce que ses parents faisaient pour se débrouiller dans le travail.
Une fois un yaourt engloutit, les deux jeunes montèrent dans la chambre de Sam pour programmer le planning du lendemain. Comme promis, Sam irait faire visiter le quartier à son amie en passant par tous les beaux mecs de sa classe.
-Et toi, la fac ? S'intéressa soudain Shale en regardant attentivement son interlocuteur.
Sam haussa les épaules.
-Bof, moyen. C'est bien, mais il y a des gens vraiment chelous, là-bas.
-Du genre ?
-Bah… tu crois aux extraterrestres ?
Shale pouffa.
-Y'en a qui y croient encore à la fac ?
-Ouais. Et dure comme fer !
Tous deux rirent de bon cœur, puis Shale se déplaça et alla coller son front à la fenêtre. Dehors, il faisait déjà nuit.
En face, elle pouvait voire son ancienne maison.
Elle se souvenait de toute les bonnes choses ainsi que de toutes les mauvaises qu'elle avait put vivre entre ces murs. Plus de mauvaise que de bonne, selon ses parents, sinon ils ne seraient pas partis.
Shale se demandait maintenant quel genre de personnage habitait cette maison. C'est en glissant son regard sur le jardin d'en face qu'elle aperçu une moto qui stationnait devant la cloture des voisins.
Une belle moto, qui plus est.
Une Yamaha R1 bleu nuit, presque noire, surlignée de quelques customs dorée. Le genre de véhicule à ne pas laissée ainsi sans attache, à la vue de n'importe qui.
Son propriétaire devait être particulièrement confiant ou totalement idiot. A moins que la moto soit en vente. Si telle était le cas, Shale était preneuse ! Depuis le temps qu'elle rêvait d'une moto ! Elle ne savait peut-être pas encore en conduire, mais ça viendrait...
Abandonnant le deux roues du regard, la jeune fille regarda de nouveaux les petites fenêtres ainsi que le toit ardoise de la maison.
C'était mélancolique et ça lui rappelait pleins de bons souvenirs passé dans cette habitation ou même sur le trottoir, dans la rue, ou dans ce jardin qui n'avait pas encore ces dalle et cette fontaine à l'époque.
Ni ce garage bricolé, d'ailleurs…
-Tu as une voiture ? Demanda Shale, un poil étonnée.
-Non, s'empressa de répondre Sam ce qui fit froncer les sourcils de son amie.
-Il y a un garage dans le jardin, et je sais que tu en as un autre intégré à la maison ou il y a la voiture de ton père.
Sam la rejoignit à la fenêtre, comme pour venir voire cette chose non identifié qui trônait dans son jardin.
-Ah, ça ! Dit-il en regardant les planches de bois réunis entres elles. C'est pas un garage, ça ! C'est une sorte de… débarras. On range un peu n'importe quoi, là-dedans. C'est le bazar.
-Ah, fit Shale, moyennement convaincue. T'as l'heure ?
Sam eu le réflexe de se regarder les poignets avant de se souvenir qu'il avait un radioréveil sur sa table de nuit. Il plissa les yeux avant de déclarer : « 23 heures 45 ».
-Bon, bah je vais aller dormir, annonça la jeune fille. Je commence à fatiguée un peu.
-C'est le voyage qui à dû t'épuiser, diagnostiqua Sam.
Shale acquiesça de la tête.
-Oui. Et puis il faut que je puisse me lever si je veux voire tous ceux que tu as à me présenter, demain !
Après quelques bises et de « bonnes nuits » échangés, Shale disparut derrière la porte en laissant Sam seul dans sa chambre.
Celui-ci se laissa tomber sur son lit en enfouissant la tête dans son oreiller. Il ne l'avait pas avoué, mais lui aussi était crevé.
Il avait dû penser à tout pour recevoir Shale dans les conditions les plus « normales » possibles.
Bumblebee n'était plus dans ce qu'il avait dissimulé sous le nom de « débarras », Sam lui avait dit de retrouver les autres Autobots au NEST. Il avait par la même occasion dit à Bee de délivrer un message : il était en pause pendant une semaine, interdiction de faire appel à lui ou de le déranger pendant sept jours.
Il espérait de tout cœur que tout allait bien se passer et qu'il pourrait lui-même profiter de cette semaine pour vivre une vie normale d'adolescent avec une amie d'enfance.
C'était vraiment ce qu'il souhaitait pour lui, mais surtout pour Shale. Il se voyait mal lui expliquer pourquoi il était ami avec des robots de plusieurs mètres de haut.
Sam retira difficilement son haut, abandonnant l'idée de faire de même pour le bas et se mis sous sa couette en chaussette et jeans.
Il s'endormit presque aussitôt, emmené par la fatigue de cette première journée.
1er Eclat : PRELUDE - Fin
