Hello tout le monde ! Me voici de retour avec une nouvelle fic ^^Et comme toujours un grand merci à ma bêta qui, sans elle, je ne saurai quoi faire ! Et qui me donne des idées pour mes prochaines fics.

Une fois n'est pas coutume, voici mon premier crossover. Et j'avoue : c'est hard de mélanger deux univers. dont un très riche ! J'ai toujours refusé de le faire, mais ce dernier m'est apparu comme une évidence.

Je vous laisse lire le premier chapitre et j'attends vos réactions :D

Merci encore !


- John ! cria Cathérina.

L'homme ainsi prénommé accourut auprès de sa femme. Le ton qu'elle avait utilisé pour l'appeler l'avait empli d'inquiétude. Il remarqua alors ce qu'elle avait à la main.

- Finalement, elle nous a retrouvés !

- Oui, cela lui a pris 2 ans pour nous retrouver.

- Nous n'avons plus le choix, je crois.

- En effet. Il va falloir lui dire maintenant.

- Tu crois qu'il le prendra comment ?

- S'il y a bien une chose que je ne sais pas sur notre fils, c'est comment il va prendre l'information. Tu sais qu'il a une façon bien à lui de réfléchir.

- Oui, justement, c'est ça qui me fait peur.

Stiles rentra du lycée en faisant la tête. On avait encore voulu lui mettre la tête dans les wc. Il avait pensé qu'avec le temps, cette habitude serait passée, mais apparemment pas. Il avait dû se cacher toute la journée pour échapper à ses poursuivants. Dès qu'il aperçut sa maison, il retrouva son sourire. Il savait au moins qu'il était aimé de ses parents. Fort de cette certitude, il franchit la porte d'entrée en lançant :

- Je suis rentré !

- Alors ta journée ? lança sa mère en passant la tête par l'encadrement de la porte de la cuisine.

- Comme d'hab !

Il ne s'étalait jamais quant à ses journées au lycée. Ses parents le laissaient tranquille car il avait toujours de très bonnes notes. Il monta directement poser ses affaires dans sa chambre, avant de redescendre pour manger quelque chose.

- Tu es encore rentré à pied ! menaça son père.

Ne relevant pas la réprimande de son père, il se dirigea vers le frigo et attrapa la bouteille de lait, qu'il amena à sa bouche.

- Genim Stilinski ! Prends un verre !

Il s'arrêta net dans son geste. Quand sa mère employait ce ton et son vrai nom, il n'avait pas intérêt à dire quelque chose. Tout penaud, il saisit un verre et se servit du lait. Il partit s'installer devant la télé.

John se rapprocha de sa femme.

- Pendant le repas … Il a toujours du mal à réfléchir quand il mange, dit-elle avec un sourire.

Une fois son verre de lait fini et son émission regardée, il monta faire les quelques devoirs que les professeurs leur avaient donnés à faire. Il avait reçu plusieurs messages demandant des infos sur les devoirs, mais surtout sur les réponses. Et comme d'habitude, il n'avait pu s'empêcher d'aider les personnes. Il savait très bien que le lendemain, il le regretterait, mais il était comme ça. Il descendit manger quand sa mère l'appela. Il se demanda ce que sa mère avait préparé. Il entra dans la cuisine et sut tout de suite que quelque chose n'allait pas. Pourtant, tout semblait comme d'habitude. Mais il sentit quelque chose dans l'air qui lui fit penser le contraire. Son cerveau entra en action et essaya de trouver de quoi il s'agissait. Cela ne pouvait pas le concerner, il n'avait pas fait de bêtises depuis un moment. Ils passèrent à table dans un silence qui angoissait Stiles. Il n'aimait pas le silence. Ce fut, au bout de plusieurs minutes, son père qui rompit le silence.

- Nous avons quelque chose à te dire Stiles. Nous te demandons de nous écouter jusqu'au bout, d'accord ?!

Il put voir dans les yeux de son fils qu'il avait toute son attention. Ce qui était assez rare.

- Voilà, nous avons reçu une lettre ce matin. Elle est pour toi, dit sa mère en lui tendant une enveloppe.

En regardant cette dernière, il essaya d'en deviner la provenance, mais n'y arriva pas. Elle semblait faite dans un papier épais, un peu marron. Comme les parchemins. Il y avait ses nom, prénom et adresse dessus. Ecrits à l'encre, et non par informatique.

Il leva un regard interrogateur vers sa mère qui lui souriait. Il la retourna et vit que l'enveloppe avait été cachetée avec de la cire rouge. Il put y voir un emblème qu'il ne reconnut pas du tout. Et un nom : Poudlard. Poudlard ? Mais rien n'existe sous ce nom-là. D'ailleurs, c'est quoi ce nom ? Il ouvrit la lettre. Autant le papier que l'écriture étaient identiques à l'enveloppe. Il se plongea alors dans sa lecture. Il fallut attendre plus de dix minutes pour voir leur fils lever les yeux de la lettre, et de les regarder.

- Si j'ai bien compris, vous êtes des sorciers, donc j'en suis un. Et je dois me rendre à cette école pour apprendre la magie, c'est ça ? dit-il d'une voix dénuée d'émotion, qui fit frémir ses deux parents.

- C'est ça oui, en gros, se risqua son père, redoutant la réaction de son fils.

- Ca explique beaucoup de choses, finit par dire Stiles, tout en étant sérieux.

- Comment ça ? lança son père, soudainement inquiet.

Son fils leva juste un doigt, et toute la vaisselle se trouvant sur la table s'éleva dans les airs. Sa mère retint un hoquet de stupeur. Au bout de quelques secondes, tous les objets regagnèrent leur place.

- Mais depuis quand peux-tu faire ça ?

- Ca va faire plusieurs mois.

- Mais pourquoi tu ne nous as rien dit ?

- J'avais peur …, peur que vous ne me trouviez pas normal …, peur que vous me rejetiez.

Rien qu'en y pensant, des larmes se mirent à couler. Sa mère se leva et le prit dans ses bras.

- Tu es notre fils et nous t'aimons. Qu'importe qui tu es et ce que tu es.

Il fallut un peu de temps pour que Stiles se calme.

- Cette école se trouve où ?

- Elle se trouve en Angleterre.

- Aussi loin ?

- Oui. Nous avons déménagé peu de temps après ta naissance. Malheureusement, tout sorcier est automatiquement inscrit lors de sa naissance.

- Pourquoi ne pas m'en avoir parlé plus tôt ?

- Nous ne voulions pas que tu grandisses avec la magie. Nous voulions t'offrir une vie normale. Tu vas vite apprendre que notre famille est assez connue dans le monde de la magie. Nous voulions que tu échappes à tout ça, expliqua son père.

Les deux parents étaient inquiets. Ils ne savaient pas du tout comment leur fils allait prendre toutes ses informations.

Sans un mot, Stiles se leva, débarrassa son assiette, et monta dans sa chambre.

- Bon, ça s'est mieux passé que je ne l'aurais pensé.

- Je préfère attendre avant de dire quoique ce soit. Il est certainement le gamin le plus intelligent que j'ai jamais vu jusqu'à maintenant. Mais souvent, la folie vient avec l'intelligence …

- Chéri !

- Je sais que je ne devrais pas dire ça, mais tu te souviens de "Tu sais qui" ? Il était un génie, mais la folie l'a gagné et il est devenu le plus dangereux mage noir que nous n'ayons jamais connu.

- Je le sais. Mais nous sommes là. Et je suis sûr que là-bas, il se fera des amis qui l'empêcheront de sombrer dans la folie.

- Je l'espère pour lui, et pour nous aussi …

Stiles réfléchissait. Il le faisait tout le temps, mais pas à ce point-là. Son cerveau marchait à 200%. Il pouvait enfin expliquer ses pouvoirs. Il n'avait pas tout dit à ses parents cependant. Qu'auraient-ils dit s'ils savaient qu'il pouvait faire beaucoup d'autres choses ? Il s'assit sur son lit. Son téléphone clignotait. Sûrement des messages de ses « amis » qui lui demandaient de l'aide. Il retourna le téléphone afin de ne plus voir cette même lumière. Il finit par s'allonger et regarda le plafond. Il existait une école pour apprendre la magie ? Et si une fois arrivé, il devenait un paria comme ici ? Plongeant dans des pensées plus noires les unes que les autres, il finit par s'endormir. Il se réveilla aux premières lueurs de l'aube. Il se leva et une décision s'imposa à lui. Il fallait qu'il y aille. Il le devait. Il voulait apprendre à faire de la magie. Il voulait avoir le pouvoir de protéger les personnes qui lui étaient chères.

Il ne se rendit pas compte qu'il venait de prendre la plus grande décision de toute sa vie. Et sûrement ce qui l'empêcherait de sombrer dans la folie : il utiliserait son pouvoir pour protéger les autres.

Tout pouvoir a deux facettes. On pouvait l'utiliser pour faire le bien autour de soi, ou bien accepter la facilité et plonger dans les ténèbres. Chaque sorcier a des prédispositions dans l'une ou l'autre. Mais il arrive que l'un d'eux oscille entre les deux. Alors leur premier acte de véritable magie les conditionne au bien ou au mal.

Il se leva et descendit prendre son petit-déjeuner. Et trouva ses parents dans la cuisine. Ils semblaient l'attendre. Il put sentir, comme la veille, quelque chose dans l'air. Ses parents étaient anxieux. Ils devaient attendre sa réponse. Il leur fit un grand sourire.

- Et il faut faire quoi pour aller dans cette école ? dit-il tout naturellement.

Il put entendre ses parents souffler de soulagement.

- Tout d'abord, nous devons passer chercher tes fournitures. En ensuite, te prendre un billet pour aller à l'école. Et attendre le jour de la rentrée. D'ailleurs, dit sa mère en se retournant vers son mari, c'est pour quand la rentrée ?

John regarda la lettre et devint livide.

- C'est pour après-demain, dit-il.

Si tôt ? Il ne s'y attendait pas du tout. Devoir quitter aussi vite tout ce qu'il connaissait. Et vivre dans un monde complètement différent. Pourtant, il se sentait prêt. Comme si c'était ce qu'il avait toujours attendu.

- Bon, pas de temps à perdre. On file faire tes achats aujourd'hui et on prend le billet en même temps.

Soudain une question le tirailla.

- Je suppose que ce sont des achats spécifiques. On trouve des magasins de ce genre ici ?

Sa mère lui fit un grand sourire.

- Quand on sait où chercher. Mais on ne trouvera pas ce qu'il te faut ici. Il faut se rendre à Londres.

- Londres ? Mais c'est à l'autre bout du monde. Il va falloir prendre l'avion, un taxi …

Il énuméra tout ce qu'il fallait faire pour se rendre dans la capitale.

- N'oublie pas que nous sommes aussi des sorciers, fiston, fit le père en lui faisant un clin d'œil.

Stiles les regarda et ouvrit grand la bouche en se rendant compte de ce que venait de dire son père.

- Ce qui veut dire que …

- Oui, nous avons le moyen de nous rendre instantanément là où l'on veut. On part dans 30 minutes fiston. On a de la chance, il ne sera que 17h à Londres. Les boutiques restent ouvertes jusque tard dans la nuit.

Stiles finit rapidement son bol de céréales et remonta pour se préparer. L'excitation s'était emparée de lui. Il allait visiter un autre pays. Il allait voir des gens comme lui et ses parents. Il enfila les deux pieds dans la même jambe de pantalon et tomba sur le sol. Il grogna et se releva pour l'enfiler correctement. En pas même 10 minutes, il s'était préparé. Sûrement un record pour lui. Il descendit les marches deux par deux. Son père et sa mère étaient déjà prêts.

- Juste une chose : nous sommes connus dans le monde magique. Ne fais pas attention aux regards de travers et suis-nous !

Sachant qu'il n'aurait pas plus d'explications pour le moment.

- Tiens mon bras, et ne lâche surtout pas. Tu auras probablement envie de vomir quand nous serons arrivés. C'est normal les premières fois.

Comme son père le lui avait demandé, il se tenait fermement à son bras. Brusquement, ce ne fut qu'un mélange de couleurs. Il se sentit partir. Il s'agrippa encore plus fort au bras de son père. Alors que cela lui avait semblé durer une éternité, il se retrouva dans une rue animée. Comme il n'en avait jamais vu. Il y avait des personnes de tous âges qui couraient un peu partout. Certaines semblaient même flotter dans les airs. Ils étaient, pour la plupart, avec une espèce de robe.

- Ce sera ta tenue à l'école. Il faudra que tu t'y habitues …, dit sa mère en posant sa main sur son épaule.

Voilà déjà quelque chose qui ne lui plaisait pas du tout.

- Bon, première chose, pour tout jeune sorcier, il te faut aller choisir ta baguette magique.

- Ma quoi ? demanda Stiles, incrédule.

- Ta baguette magique. Elle permet de concentrer ton pouvoir et de lancer plus facilement les sorts. On peut faire sans, mais cela demande beaucoup plus de concentration. On peut lancer des sorts simples mais les plus compliqués réclament l'utilisation d'une baguette.

Leurs pas les avaient conduits devant la devanture d'un magasin plus que poussiéreux.

- C'est sûrement là que sont fabriquées les meilleures baguettes au monde.

John poussa la porte du magasin. Stiles éternua plusieurs fois à cause de la poussière en suspension dans la boutique. Il y régnait un calme étrange. Il se mit alors à attendre des voix. Il regardait autour de lui pour essayer de trouver l'endroit d'où elles pouvaient venir mais ne trouva rien. Il essaya d'en faire abstraction. Si cela se trouvait, c'était normal, pensa-t-il.

- Je m'étonnais de ne pas vous avoir encore vu Ge …

- Stiles ! C'est Stiles, Olivender.

Un vieil homme était apparu devant eux. Il semblait sans âge. Mais on pouvait lire dans ses yeux une grande sagesse. Il semblait pourtant fatigué. Il regarda alors le jeune homme qu'il avait en face de lui.

- Ainsi, elle a réussi à vous retrouver. Cela fait un moment que beaucoup de monde vous cherche partout.

- Nous le savons. Mais nous avons décidé à sa naissance de nous couper du monde magique pendant un temps. Peu de personnes ont compris pourquoi malheureusement.

Mais pour le moment, nous venons pour aider notre fils à trouver sa baguette.

- Bien bien. Je pense savoir ce qu'il vous faut. Attendez-moi ici.

Le vieil homme repartit dans un coin sombre de sa boutique et en tira deux-trois boites.

- Celle-ci est faite avec un crin de licorne. La pureté de l'innocence avec un fort caractère.

Sa mère sourit. Elle convenait parfaitement au caractère de son fils. Lorsque ce dernier approcha sa main de la baguette, cette dernière se mit à vibrer. Plus il approchait sa main, plus elle vibrait. Au moment de la saisir, c'est comme si elle hurlait de douleur.

- Je l'entends, murmura-t-il.

- Qu'entends-tu mon enfant ? s'approcha Olivender.

- La baguette. Elle souffre. Je la fais souffrir.

- Tu peux entendre la voix de la baguette ? recula alors le vendeur, une expression d'incrédulité sur le visage.

Stiles retira alors sa main. La baguette arrêta de vibrer. En analysant ce que venait de dire son vis à vis, il sut alors que les voix qu'il entendait étaient les voix des baguettes. Il y fit plus attention. Il se rendit compte alors qu'une d'elles sortait du lot. Qu'elle semblait plus forte. Il tourna la tête autour de lui pour essayer de trouver la baguette qui l'appelait aussi fort.

- Stiles, il se passe quoi ? demanda John, inquiet pour son fils.

- J'entends une voix. Elle est plus forte que les autres. Elle m'appelle.

Avant que l'un des parents ne puisse répondre, Olivender se trouva à ses côtés.

- Laisse cette voix t'envahir. Laisse-la te guider jusqu'à elle.

Alors Stiles laissa la voix emplir son esprit. Sans s'en rendre compte, ses pas l'amenèrent devant le comptoir. Se trouvait une cloche avec une baguette en-dessous.

- Tu es sûr que c'est cette baguette qui t'appelle ? demanda Olivender, avec une pointe de nervosité dans la voix.

L'adolescent fit oui de la tête. Puis leva la main. La cloche se souleva toute seule dans les airs. La baguette en fit de même et vint se loger d'elle-même dans la main du jeune sorcier. Il se sentit soudainement complet. Comme si la baguette était la pièce manquante dans sa vie. Une flamme apparut sur le bout de la baguette. Elle y resta quelques secondes puis disparut.

Il se tourna vers ses parents et Olivender.

- C'est cette baguette qu'il me faut. Elle m'a choisi, dit-il, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde.

- Je te félicite mon garçon, dit Olivender, toujours avec une pointe d'inquiétude dans la voix. Je dois expliquer quelque chose à tes parents, tu peux attendre quelques instants dehors ?

Stiles acquiesça tout en regardant sa baguette sous tous les angles. Olivender ferma la porte juste derrière le jeune homme et se tourna vivement vers ses parents.

- Que se passe-t-il Olivender ? demanda John.

- Il se passe que c'est le premier jeune sorcier à entendre les voix. Et je ne parle même pas de la baguette.

- Qu'est-ce qu'elle a de si particulier ?

- Il s'agit de la seule baguette que j'ai depuis la création du magasin.

- Mais, mais …, protesta Cathérina.

- Oui, comme vous dites. Elle est composée de poussières d'écailles de dragon.

- C'est courant que les dragons donnent des écailles pour faires des baguettes, non ?

Stiles n'entendait pas ce qu'il se disait dans le magasin. Ni même les bruits dans la rue. Toute son attention était fixée sur sa baguette. Il n'entendit pas la porte s'ouvrir et ses parents l'appeler.

- Stiles, tu m'entends ?

- Tu disais papa ? dit-il en levant les yeux, se rendant compte de la vie autour de lui.

- Nous devons encore aller te chercher tes manuels, ainsi que ta robe.

- Obligé ? gémit-il.

- Oui, pas le choix !

Ils passèrent les heures suivantes à courir les boutiques pour trouver ce dont il avait besoin. En passant devant une boutique, il s'arrêta net. Il s'approcha de la vitrine. Un balai volant. Il le regarda avec envie. Il n'avait qu'un seul problème : il avait un vertige monstre. Seulement à deux mètres du sol, et la tête lui tournait déjà, le laissant prêt à tomber dans les pommes.

- Bon, je crois que nous avons tout. Il ne nous reste plus que ton billet à aller chercher, dit sa mère, en sortant du magasin de robe de sorcier.

Stiles trainait derrière elle, boudeur. Il n'aurait jamais pensé qu'il allait devoir mettre cette espèce de robe.

- Il faut que l'on aille à King Cross pour ton billet, dit John en attrapant son fils par l'épaule.

Ils disparurent tous les trois sous le regard médusé des passants. Depuis la mort de Voldemort, une interdiction de transplaner avait été imposée sur le Chemin de Traverse. Les Mangemorts étaient donc obligés de venir par d'autres moyens. Tous étroitement surveillés par le Ministère de la Justice. Qui étaient-ils pour pouvoir le faire ?