Hellow tout le monde :3
Je vous présente ma première fiction sur One Piece, et donc mon premier One Shot ZoSan =) J'ai fait un truc assez soft pour commencer. Je me suis surtout concentrée pour essayer de rendre Zoro et Sanji crédibles, j'espère que c'est réussi ^^'
Pour cette histoire j'en ai simplement eu l'idée en relisant les scans de One Piece (oui j'ai du temps xD) Je suis arrivée à l'arc Punk Hazard, et là je me suis rappelée que déjà à l'époque en voyant l'animé cette idée avait germée dans ma tête. J'espère que ça vous plaira :D
Disclaimer : Rien ne m'appartient, mis à part l'idée tordue de ma fanfiction, sinon tout appartient à Oda-sama 3
« Comme c'est romantique. »
Comme à son habitude, le Sunny Go était d'humeur joyeuse et bruyante. À bord, on fêtait leur départ de l'île mystérieuse aux gaz toxiques dénommée « Punk Hazard ». La chaleur intense, le froid transperçant, la douleur, la fatigue, la peur, tout leur paraissait déjà loin alors qu'ils ne voguaient à travers les mers du Shin Sekai que depuis quelques heures. Tout le monde avait déjà repris ses occupations rituelles sur le bateau. Nami, Robin, Chopper et Momonosuke étaient partis prendre un bain bien mérité au grand désarroi de Kin'emon, Brook et Sanji qui entreprirent d'aller y jeter un regard indiscret. Pour se faire pardonner, après avoir reçu une bonne droite de la part de Nami, Sanji avait repris possession de sa cuisine pour préparer un petit encas à base du poisson cru pêché par Ussop et Luffy 5 minutes auparavant. Quant à Franky, il s'occupait du gouvernail du Sunny non loin de Law qui était venu chercher un peu de calme à l'avant du bateau tout en surveillant Cesar de loin.
Seul Zoro agissait de manière étrange depuis leur départ. Quelque chose le dérangeait, lui occupait l'esprit à s'en retourner la cervelle et il n'aimait pas ça. Il s'était isolé à l'arrière du bateau et marchait d'un bout à l'autre de la plateforme tout en fixant le sol d'un regard noir. Ces pensées inconfortables le taraudaient déjà depuis pas mal de temps, cependant, à Punk Hazard, avec l'arrivée des évènements il n'avait pas eu le temps de s'en rendre compte et d'y réfléchir.
Zoro s'arrêta et s'appuya à la rambarde. Il fixait l'horizon, ses mains pressées sur le bois.
« Rah, merde ! » Poussa Zoro dans un juron qui sortit plus fort que prévu.
Il passa sa colère dans sa force physique, à tel point qu'il se rendit compte que la rambarde avait commencé à se fissurer et la lâcha de manière précipitée reculant d'un pas. Zoro pris une grande inspiration puis se laissa tomber assis par terre, son dos appuyé sur le bois et les yeux fermés.
Mais qu'est-ce qui lui arrivait bon sang ? Ça ne lui ressemblait décidément pas de perdre ses moyens aussi facilement. Zoro se repassa les évènements perturbateurs un à un dans son esprit. Il revit la neige à perte de vue, le vent qui lui soufflait au visage tandis que son petit groupe avançait à toute vitesse à travers les montages à dos de centaure-crocodile. Quand soudain Luffy se mis à hurler.
« Ils sont là ! Les gars ! »
Zoro sortit de son moment d'égarement pour se tourner et voir un groupe d'enfants de toutes tailles ainsi que quelques-uns de leurs compagnons.
« C'est Luffy et les autres ! Zoro ! Ussop ! Brook ! Robin ! »
Zoro se figea sur place. Était-ce bien ce shitty-cook qui était en train de s'époumoner en gigotant dans tous les sens ? Avait-il bien entendu… « Zoro » ?
« Je suis tellement heureux de vous voir ! » continuait Sanji.
C'est à cet instant précis que Zoro ressentit quelque chose d'étrange dans sa poitrine, une sorte de chaleur malgré le blizzard qui l'entourait.
« Pourquoi ce stupide cuisinier s'agite-t-il dans tous les sens » entreprit de répondre Zoro pour retrouver ses esprits. « Il est devenu fou à cause du froid ? »
En repensant à cette scène, il ne savait pas s'il devait en vouloir à Chopper pour lui avoir fait une « farce » du genre, malgré que le pauvre petit reine n'y soit pour rien. Zoro s'allongea sur le bois et laissa le vent frais passer dans ses cheveux. Cela faisait maintenant 2 ans qu'il avait remarqué ce cuisinier pervers. Toujours à se disputer et rivaliser. L'épéiste agissait ainsi pour mettre une barrière entre eux deux. En effet, celui-ci avait remarqué qu'il avait de sentiments plutôt singuliers pour son nakama. Il n'avait jamais su les définir et ce n'était pas plus mal pour lui, il n'avait pas besoin d'y mettre un mot. Au moins comme ça, il était sûr de ne pas découvrir quelque chose qui le dérangerait. Il s'était toujours contenté d'une « amitié pleine de rivalité et de respect ». Il n'avait pas prêté attention à son sentiment de manque quand Sanji ne prenait pas la peine de se battre avec lui, trop occupé à préparer un repas plus long que d'habitude. Il avait refoulé cette sensation lourde dans son estomac lorsqu'il répondait aux moindres caprices des femmes du bateau ou qu'il draguait les étrangères sur les différentes îles rencontrées. Ou encore, il avait ignoré ce pincement douloureux au cœur lorsque le cuistot avait voulu se sacrifier à sa place face à Kuma.
Tous ces sentiments, ils ne les comprenaient pas, mais surtout, ne voulait pas les comprendre. Tout simplement car Sanji était un garçon. Zoro était un homme de fierté. Il n'a jamais été intéressé par les femmes depuis la mort de son amie Kuina. Il ne comprenait pas l'intérêt qu'avaient les hommes de son entourage envers ces êtres fragiles et vicieux. Cependant, il n'aimait pas les hommes pour autant, enfin, c'est ce dont il se persuadait. A chaque fois qu'il essayait de s'en convaincre l'image du cuisinier de bord arrivait dans son esprit, ce qui l'énervait au plus haut point. Zoro s'était toujours contenté de tout nier et s'en portait bien jusqu'à présent. Pendant les deux ans de séparation avec son équipage, il eut l'impression de retrouver un comportement normal et se mit à oublier la pression constante qu'il ressentait dans sa poitrine à bord du Sunny.
Au loin, il entendit de l'agitation sur le bateau. Sûrement dû à la présence de leurs compagnons provisoires et du plan de Law, qui ne plaisait pas à tout le monde, pour détrôner l'un des Yonko. Le bretteur passa son bras au-dessus de son visage pour se protéger du soleil qui venait de surgir et repartit dans ses souvenirs récents de Punk Hazard.
Sanji, dans le corps de Nami. Une situation plus qu'improbable. Zoro fixait depuis une certaine distance cet ero-cook se dandiner dans un corps de femme. C'est là que Zoro compris. Ces sentiments qu'il refoulait depuis 2 ans, c'était de l'amour. Rien que de penser à ce mot, ça lui transperçait le ventre. Depuis tout ce temps, il l'aimait, mais se l'interdisait sans s'en rendre compte car Sanji était un homme. En observant Sanji marcher dans le corps d'une grande femme rousse à forte poitrine, tout lui parut ridicule, si simple. Si ce dernier avait été une femme, il n'aurait pas eu à se cacher. Il n'aurait pas eu à subir cette sensation inconfortable dans son ventre à longueur de journée quand il le croisait à bord du Sunny. Il n'aurait pas eu à se battre avec lui pour se persuader qu'il le détestait alors que sa mauvaise humeur venait du fait qu'il se sentait en permanence inconfortable. Et surtout, il aurait compris ce qu'il ressentait. Un rire nerveux remonta le long de sa gorge tout en regardant la rousse se faire frapper par le cyborg.
Ensuite son esprit le transporta jusque dans les montagnes enneigées où il courrait à ses côtés. Il aimait cette force qu'avait le cuistot, et il la sentait émaner de lui même s'il faisait tout pour prendre soin du corps de sa nakama. Délicat et fort à la fois. Soudain Sanji glissa et Zoro vit son bras partir tout seul, comme un réflexe, en direction de sa main. Il l'attrapa de justesse et ils s'échangèrent un regard. Zoro vit la surprise et la gêne d'être tombé de manière aussi ridicule dans son regard. Malgré qu'il fixait des grands yeux marrons, le bretteur voyait parfaitement le blond à travers. Il lisait en lui, même quand il ne s'agissait pas de son corps d'origine.
« Comme c'est romantique. » s'exclama Brook sur le ton de la plaisanterie.
Zoro devint rouge, de colère et d'embarras. Il eut peur d'avoir trop prolongé l'échange de regard et que son pire ennemi ait eu le temps de lui aussi lire à travers lui.
« Crétin ! Je m'en tape que tu tombes ! » Hurla Zoro en lâchant sa main.
Le bruit sur le Sunny s'était maintenant calmé. Le soleil était bas sur l'horizon et l'air se faisait encore un peu plus frais. L'épéiste se redressa tout en écoutant le silence de l'océan pour essayer de se vider la tête. Il avait assez réfléchi pour la journée. Il avait besoin de reprendre son entrainement et de pousser à bout les limites de son physique, comme à chaque fois qu'il voulait oublier ses pensées. Il eut à peine pris l'initiative de se lever lorsqu'il entendit des pas monter les marches en bois.
« Oï, marimo head ! Je sais pas c'que tu fous seul à l'arrière du bateau avec cette tête d'enterrement, mais le repas est servi. »
Zoro ne pouvait pas rêver d'un pire timing et se retourna face à son pire ennemi. Il resta sans voix à sa vue. Quelque chose n'allait pas, il n'arrivait pas à dire quoi, mais le regard du cuisinier était inhabituel. Il y perçu de la colère, qui coïncidait avec les propos qu'il venait de tenir, mais c'était différent. De la haine ? Non. Du dégout ? Il n'arrivait pas à se décider. Malgré tout, il comprit que le blond avait envie de se battre.
« Qu'est-ce que tu veux sourcils en vrille ? » Se décida-t-il finalement à répondre d'un ton provocateur.
« Ce que je veux ? Que tu ramènes ton cul à la cuisine. Ça me fait déjà assez chier d'avoir dû venir te chercher. T'as de la chance que Nami-san m'ait demandé de le faire sinon tu serais resté ici à mourir de faim tout seul. »
Zoro ne répondit pas, essayant de calculer le regard de l'homme en face de lui mais il ne comprenait toujours pas.
« Oh, donc tu continues d'obéir comme un petit toutou à toutes ses demandes ? Normal après ce que tu as fait à son corps me diras-tu. »
« Quoi ?! » S'exclama Sanji en rougissant et en avançant d'un pas. « Je ne ferais jamais de mal à Nami-san ! »
Sanji avait l'air hors de lui et gêné. Zoro devina qu'il devait repenser à toutes ses tentatives de prendre des photos du corps de la jeune femme. Mais il savait parfaitement, qu'en effet, il ne ferait jamais de mal volontairement à un nakama. Il ne savait pas pourquoi Sanji tenait tant à commencer une bagarre avec lui ce soir, mais maintenant, il le voyait clairement dans ses yeux. Après tout, pourquoi pas, ça lui permettrait de se défouler sur lui également. Zoro ne pris pas la peine de répondre avec une insulte quelconque et fît mine de dégainer son sabre. Sanji marqua un sourire de bête sauvage et continua son avancée vers le bretteur. Il sauta pour éviter une attaque au sabre et entreprit un coup de pied en direction de son visage. Zoro l'évita sans difficulté et repoussa le blond à une distance de quelques mètres en utilisant le manche de son sabre.
« Serais-tu en colère d'avoir déjà perdu ton corps de rêve ? » Plaisanta l'épéiste pour le provoquer.
« La ferme ! » S'époumona Sanji en courant en direction de son adversaire pour riposter d'une seconde attaque.
Zoro avait beau plaisanter avec ça, il était incapable de répondre à sa propre question. Non pas qu'il fantasmait sur le corps de la jeune navigatrice, mais qu'il était incapable de dire si voir Sanji en femme lui plaisait ou non.
Ils s'échangèrent quelques coups bien placés, toujours avec force mais en faisant attention de ne pas blesser l'autre. Ça avait toujours marché comme ça entre eux.
Il n'arrivait pas à dire si la version fille de Sanji lui plaisait plus que la version masculine. C'est vrai que le voir en femme lui avait permis de réaliser qu'il l'aimait, tout simplement. Mais ce qui l'empêchait d'aimer l'homme n'était que des préjugés qui encombraient son esprit depuis des années.
Sanji donna un coup de pied dans un des sabres de Zoro. Son regard était toujours noir de colère et mystérieux. Quelque chose le perturbait, selon Zoro. Il comprit enfin cela en repensant à l'expression qu'il avait encore une heure plus tôt lorsqu'il réfléchissait. En réalisant cela, le bretteur fit un faux mouvement, ce qui bougea brusquement le sabre sur lequel Sanji prenait appui. Ce dernier tomba en avant et se rattrapa à l'aide de ses mains sur les épaules de son adversaire. Il le fixait maintenant dans les yeux, à quelques centimètres de distance.
« T'as beau dire ça, tête de gazon, j'ai bien vu comment tu me mattais dans le corps de Nami-san. Tu dois sûrement le regretter plus que moi. »
Zoro se rappela la scène dans les montagnes, lorsqu'il l'avait rattrapé. Ils se fixaient, comme cette fois-là. Non, ce n'était pas possible, il n'avait pas pu deviner ses pensées à ce moment-là, comme il le redoutait.
« Comme c'est romantique. » murmura Sanji en imitant Brook.
Il en était maintenant sûr, il était démasqué. Le cuisinier afficha un grand sourire à la vue du regard déconfit du bretteur. Puis sans prévenir, Zoro donna un grand coup de sabre en direction du blond qui l'évita de justesse, surpris. Sanji reprit ses distances et observa les mouvements de l'épéiste ainsi que son air embarrassé. Zoro réfléchit. Il comprit que le regard mystérieux du cuistot à son arrivée avait un lien avec ça. Sanji était venu dans le but d'en parler. Mais pourquoi y lisait-il de la colère ? Du dégoût ? Le bretteur passa à la conclusion qu'il dégoutait le cuisinier. Après tout, il n'était sûrement pas le seul avec des préjugés. Et pour un coureur de jupons comme Sanji, être aimé par un homme doit être insultant.
« Tu comprends vraiment rien, crétin. Je te savais con, mais pas à ce point. » S'exclama Sanji qui avait pris le temps de s'allumer une cigarette pendant la réflexion de l'épéiste.
Zoro le regarda surpris et sans voix.
« Je l'ai bien vu ton regard de dépressif, là ! J'arrive à voir en toi tout ce que tu penses, idiot. » Continua le blond d'un ton méprisant.
Zoro ne comprenait toujours pas. Il fixa le cuisinier expirer un nuage de tabac. Le soleil était maintenant presque partit, seuls quelques rayons rendaient les cheveux du blonds encore plus dorés que d'ordinaire. L'esprit de l'épéiste était devenu complètement blanc. Ce dernier rangea son sabre, ayant juste compris que le combat était apparemment terminé. Le cuisinier s'avança et vint s'accouder à la rambarde à côté de lui en regardant l'horizon. Le silence se fit. Zoro se mit à fixer à son tour le visage de son rival. Il semblait impatient et voulait dire quelque chose, mais ne savait pas comment. Le bretteur ne compris pas pourquoi Sanji restait là, à côté de lui, s'il le dégoutait. L'espace d'un instant il se sentit complètement nu. Ces sentiments qu'il se réprimait depuis des années sans s'en rendre compte, Sanji les avait vus.
« Tu comptes dire quelque chose un jour ou ta stupide cervelle de moineau est partie manger avant toi ? » Se décida enfin Sanji.
Zoro ne répondit toujours rien, ce qui exaspéra le cuisinier qui expira une nouvelle bouffée de sa cigarette avant de jeter cette dernière dans l'océan.
« Et sinon… tu me préfères en fille alors ? »
« Quoi ?! » S'écria le bretteur en faisant brusquement face à son compagnon.
« Ah ben enfin, tu as retrouvé ta langue ! »
Sanji se rapprocha à moins d'un mètre du bretteur et le fixa dans les yeux, encore une fois. Zoro ne voyait plus de traces de dégoût ou de haine ce qui le perturba encore plus. Il n'était décidemment pas doué avec toutes ces histoires de sentiments.
Sanji compris que le bretteur avait besoin d'un petit coup de pouce pour comprendre pleinement la situation. Après tout, il était comme lui, plein de doutes, de préjugés et de sentiments refoulés depuis 2 ans. Ce petit évènement à Punk Hazar lui avait permis de comprendre, lui aussi, ses sentiments. Bien que de devoir se retrouver en fille pour le réaliser en mettait un coup à son égo. Pour le cuistot, ça faisait un petit moment déjà qu'il avait compris les sentiments du Marimo. L'accident de Kuma, lorsqu'il l'empêcha de prendre sa place aussi violemment lui avait sauté aux yeux. Mais en ce qui concerne les siens, il n'était pas plus doué que l'abrutit d'épéiste en face de lui.
Sanji mis ses mains sur les épaules de l'épéiste, qui resta immobile et sans un mot. Il marqua un sourire de quelques fractions de secondes, comprenant qu'il était maître de la situation face à son pire ennemi. Puis il se rapprocha brusquement et posa ses lèvres sur celles du bretteur. Ce dernier était tétanisé. Sa tête, toujours aussi vide, se mit à tourner et l'épéiste du se tenir à la rambarde pour ne pas tomber. Cependant, il ne pensa pas une seconde à briser le baiser. Sanji, comprenant que Zoro n'avait pas l'intention de le repousser en profita pour se rapprocher encore plus de lui. Ils étaient maintenant collés l'un à l'autre, profitant de cet échange. À cours d'oxygène ils se reculèrent enfin.
« C'est bon, t'as compris là ? Stupide Marimo. »
« Je ne te dégoûte pas ? » Demanda le bretteur, peu sûr de lui.
« Biensûr que si ! Ne vas pas croire que ça me fait plaisir d'aimer un tas de muscle sans cervelle comme toi. » S'exclama le cuisiner, les sourcils froncés.
« Parce que tu crois que moi ça me fait plaisir d'aimer un cuistot pervers ? C'est vraiment chiant ! » S'exclama à son tour le bretteur.
Un silence ce marqua et les deux hommes se mirent machinalement à regarder l'horizon.
« Quelle journée de merde. » Marmonna le blond.
Zoro esquissa un sourire tandis que Sanji réprima un légé rire.
« Ben voyons. » Réplica l'épéiste.
Les deux hommes se mirent à pouffer de rire tous les deux. Était-ce le bonheur d'enfin ne plus être encombré par cette lourdeur dans la poitrine ? Maintenant, ils la comprenaient et étaient passés au-dessus de leurs préjugés. Ils n'avaient plus à réprimer leurs sentiments. D'un regard, ils pouvaient lire en l'autre et voir que leurs sentiments étaient réciproques. Ils ne savaient pas s'ils devaient remercier Law pour l'opportunité de se comprendre qu'il leur avait donnée mais ça leur aura été bien utile.
« Je crois qu'on devrait aller manger. » Fini par dire le cuisinier.
Fin.
Voilà ma fanfiction est terminée. J'espère que ça vous aura pas parru trop long/trop court/trop je ne sais pas quoi xD N'hésitez pas à me le dire pour que je m'améliore pour la suite. Merci beaucoup d'avoir lu jusqu'au bout 3
