Bonjour tout le monde !
Alors moi c'est Chouchoups, Chou pour les intimes... Voici ma première fic inspirée des personnages de la saga Twilight. Une fic sur fond historique et inspirée des Liaisons Dangereuses de Pierre Choderlos de Laclos (écrivain au 18e siècle) et qui, je l'espère, vous plaiera.
Je tiens à remercier Vinou et Joeymalia pour leurs encouragements. Je crois que sans elles, cette fic n'aurait jamais vu le jour en fait. Et aussi un grand merci à Joeymalia qui a bien voulu me relire et me corriger.
Je vous laisse à votre lecture.
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Chapitre 1
...Mmmmmmh quelle nuit…
C'est avec grande satisfaction que j'éveillais mes sens ce matin. Le soleil chaud à travers les fenêtres illuminait merveilleusement mon corps de pierre de milliers d'étoiles scintillantes. Peut-être aurais-je dû tirer les rideaux de velours hier soir… J'avais cependant bien mieux à faire alors et… A quoi bon de toute manière, Elle ne témoignerait plus.
C'est donc tout à fait comblé que je quittais mon lit à présent, prêt à affronter une nouvelle et éternelle journée emplie de notoires distractions et notamment de femmes délicieuses et soumises toutes entières à mes faveurs les plus dissolues. Devant mes fenêtres, j'offrais à plaisir mon corps nu et parfaitement sculpté au soleil, m'étirant pleinement afin d'éveiller mes muscles crispés par l'amour.
Tournant à présent mon regard sur le lit, je me rappelais la présence de Elle, allongée là, prodigieusement et magnifiquement nue sur les draps blancs. Elle que je redécouvrais sous les lueurs du jour, un filet de sang jaillissant de deux cavités sur son coup, sa poitrine et ses bras. Dieu que le corps d'une femme pouvait être beau ! Elle fut si appétissante et si savoureuse que je ne pus en laisser une goûte.
M'approchant doucement, comme pour ne pas vouloir la réveiller, bien que jamais plus elle n'ouvrirait de nouveau ses jolis yeux, je m'asseyais au bord du lit. Ma main parcourait son corps, délicatement, tendrement. Malheureusement, plus aucun frisson ne l'agitait alors que je la caressais. Sa peau était douce et agréable, encore tiède. J'humais avec délectation son parfum encore présent : un mélange délicat de fleur d'oranger et de lavande, et déposais un dernier baiser sur son front, comme pour lui exprimer ma gratitude et lui dire au revoir à jamais…
Lady Elisabeth Savoy. C'est ainsi qu'elle se nommait. Cette nuit avec elle fut parmi les meilleures que je vécu. Elle, soumise et esclave entre mes bras vigoureux. Moi, fervent, bestial et indubitablement ensorcelé par ses manières indues. Elle m'avait séduite et s'était offerte sans vergogne, comme toutes ces femmes délicieuses accrochées à moi chaque jour et chaque nuit. Et de cela il est à noter que je ne m'en plains point. La chair, le corps d'une femme, sensuel, chaud et haletant, tout à moi, tout en moi, je ne puis jamais y résister… Et c'est bien ici que se trouve mon point faible.
Cependant, Elisabeth eut ce qu'elle voulait, et j'eus moi-même ce que je désirais à mon tour. Un compromis parfait et des plus plaisants. Elle est morte, et je suis désormais on ne peut plus comblé de ce qu'elle voulu m'offrir. Cela consciemment ou non. Je doute en effet qu'elle souhaitait que je lui prenne son sang et sa vie cette nuit… Mais je n'ai pas l'habitude de leur exposer à toutes mes instincts. Je les baise, les mords, les goûte, les vide puis elles trépassent. C'est ainsi. J'ai cependant pris un malin plaisir à la prendre de toutes les manières possibles avant de goûter sa saveur florale envoûtante. Et ce fut elle qui me supplia alors de l'achever…
Je soupirais de contentement à son souvenir... Lady Savoy fut très inventive mais je doute que ce soit son vieillard d'époux qui l'initia. Celle-ci avait dû déjà apprendre et se délecter de quelques autres jeunes et vigoureux amants. Cela l'a perdu inévitablement…
Assez de tout cela. Il faudrait désormais m'en débarrasser, comme des autres avant d'ailleurs. Je tirais donc la corde prés de mon lit afin d'appeler Jacob, mon inestimable et modeste valet.
Celui-ci fit enfin son apparition alors que j'enfilais à regret mon caleçon. J'aimais la nudité, ma nudité des plus édifiantes. Sans un mot mais cependant d'un air distrait qui me fit sourire, Jacob alla retrouver ma conquête, et sans même une question, il la prit dans ses bras pour l'emmener discrètement hors de ma chambre. Il savait ce qu'il avait à faire. Je ne voulais pas savoir...
Jacob partageait bien évidemment mon secret et il était lui-même un vampire. De ce fait, cela me rendait l'existence plus facile, d'une part parce qu'il ne me poserait jamais aucune question quant à mon apparence ou même mes mœurs, et d'autre part parce qu'il était le meilleur pour faire disparaitre les corps de mes proies au petit matin.
Je l'avais repéré il y avait environ quatre vingt ans, en 1683 me semble-t-il. Humain misérablement pauvre alors, il s'était accroché à moi, homme riche et bien pourvu, et ce de façon si agaçante que je dus en faire l'un des nôtres afin qu'il me serve tout de même à quelque chose. Je lui appris tout et il devint à plus grande ma surprise le plus fervent de mes élèves. Il savait à présent charmer les petites soubrettes au hasard d'un couloir et les prendre ardemment afin qu'elles en redemandent encore et encore. Alors il les croquait, les goûtait dans son plaisir… Oui, Jacob était ma fierté aujourd'hui, digne de suivre mes illustres traces !
Songeant à cela, je m'habillais enfin. Face au miroir, je devais bien fièrement avouer que mon reflet était impeccable : cette redingote bleue en soie d'un marine discret coordonnée à mon gilet, et tout deux alliés à de subtiles broderies d'un argenté fastueux m'allaient à ravir et ajustaient mes muscles et mes formes délicieuses à merveille. Je ferai encore de nombreuses victimes aujourd'hui et Rosalie s'en amuserait certainement...
C'est donc satisfait de cette apparence en diable que je quittais mes appartements afin d'aller me détendre un peu à la cour que je savais aujourd'hui en effervescence avec l'arrivée plus qu'attendue de ce Duc de Rochester auquel, personnellement, et au contraire de tout ces opportunistes benêts, je n'avais aucune intention d'être présenté. L'argent et le pouvoir ne m'intéressaient pas vu que j'avais l'Eternel. Seuls les plaisirs de la chair et le sang avaient ma plus grande attention, vous l'aurez compris…
Comme à l'accoutumé, Rosalie m'attendait. D'une arrogance fidèle à sa forte personnalité, elle se tenait tout contre la grande baie vitrée, les bras croisés et ses mains tapotant nerveusement de son éventail. Elle semblait en effet s'agacer. Et cela la rendait merveilleusement belle et d'une sensualité déconcertante je devais l'avouer. Je souriais. Ses pensées confirmaient les miennes :
« Seigneur, ces humains ! », « Tiens, en voici une qui devrait changer de garde robe », « Edward, mon cher Edward, où es-tu »…
Rien d'étonnant en effet, connaissant les futilités des humains. Et Rosalie, qui ne les trouvait pas plus captivant que moi, mis à part pour les baiser et s'en servir de nourriture, les trouvait toujours mal habillés et d'une légèreté ahurissante. Ma « sœur » me ressemblait beaucoup et de part cela nous étions très proches dans divers sens du terme... Bien évidemment, elle n'était point ma sœur de sang mais une certaine affinité fraternelle, pour ne pas dire même sensuelle, nous liait depuis déjà plusieurs années. Je m'avançais vers elle et, de part ce don vampirique dont nous héritons tous, elle sentit immédiatement ma présence. Se tournant dans ma direction, elle m'adressa un sourire soudain radieux, assorti d'un divin regard tapageur pour accueillir ma venue visiblement tant espérée.
- Bien le bonjour, ma très chère « sœur » ! J'ai cru comprendre que tu m'attendais… dis-je en lui baisant courtoisement sa petite main tendue et soigneusement offerte.
- Edward ! Enfin te voici. Tu sais combien le commun des mortels m'ennui profondément, répliqua-t-elle la mine renfrognée. Mais à présent que tu es là, nous allons pouvoir nous amuser un peu, poursuivit-elle, une étincelle de satisfaction dans ses yeux malicieux.
Rosalie était décidément bien incorrigible. Son passe-temps favori ne se résumait en fait qu'à commérer sur tel ou tel personnage de la Cour, les observer eux et leur garde robe, soupçonner tel secret libertin ou même justement et simplement s'essayer à en savoir un peu plus concernant la prochaine proie qu'elle avait choisie afin de l'amadouer comme il se devait.
- Mmmmh… Tu prévois quelque chose, Rosalie. Dis m'en donc plus, petite coquine, chuchotais-je discrètement, un clin d'œil furtif en prime.
- Edward… Ce mot dans ta bouche me fait frémir, rétorqua-t-elle immédiatement derrière son éventail, faussement gênée et d'un ton langoureux qui m'envoutait malgré moi.
- Il est sûr en effet que ce terme est d'une grande réussite dans un lit. Peut-être l'expérimenteras-tu un jour… lançais-je à mon tour avec ardeur.
- N'insiste pas, mon cher Edward. Tu sais que ce temps est révolu ! Répondit-elle sur un ton désinvolte qui me séduisait bien plus encore.
En effet, Rosalie et moi avions été amants. Mais il y avait de cela bien longtemps. Et à chaque occasion nous ne perdions point le moyen de nous taquiner à plaisir. Rosalie est et resterai la seule qui saurait pleinement satisfaire mes plus bas instincts sexuels.
- Revenons à nos moutons, veux-tu ?
- Mais je ne demande qu'à m'occuper de tes petites affaires… ripostais-je aussitôt, le regard avide plongé dans le décolleté de mon interlocutrice.
- Edward… me réprima-t-elle.
- Très bien, répondis-je soupirant à contrecœur et relevant à regret mon regard, le baladant alors ça et là avec désinvolture sur tel ou tel courtisant alentour…
- Alors, que manigances-tu donc dis moi ? Tous les jours, tu prépares un nouvel évènement. Bien qu'aujourd'hui, cet évènement ne soit pas ton fait.
- Mmmh oui tu parles du Duc ! Je me contrefiche de cet idiot. Figure-toi que j'ai bien mieux à m'occuper l'esprit.
Je sentis soudain l'agitation grandissante de Rosalie alors que ses pensées se bousculaient à nouveau dans ma tête.
- Et si tu m'en disais plus au sujet de… Alice, c'est bien ça ?
A cette question, Rosalie me lança un regard furibond que je n'eus pas souvent l'occasion de connaitre mais qui néanmoins me plaisait beaucoup, car annonciateur de réjouissances. Connaissant ma chère sœur, il ne pouvait s'agir que d'une petite rancune bénigne au sujet d'une robe ou d'un bijou. Non sans avoir prit une profonde inspiration, Rosalie me répondit, crispée :
- Miss Alice March ! Cette petite peste va se marier ! Cracha-t-elle sournoisement, ses yeux furibonds plongés dans une image que je devinais être l'étranglement de cette Alice.
Mais je ne comprenais nullement où elle venait en venir. Pourquoi un mariage l'agaçait tant ? Elle appréciait pourtant ces évènements d'habitude : la fête, le vin, de jolies robes, le luxe, les hommes alcoolisés… Je fronçais les sourcils, incrédule, attendant patiemment la suite… Mais les pensées qu'elle me laissait entrevoir à ce moment me répondaient bien mieux.
- Jasper Cullen ? Il est donc de retour celui-là… Oh ma pauvre sœur... Cette Miss March doit donc l'épouser.
- Oui, depuis que ce nigaud est devenu « végétarien » - quelle idée, vraiment, pouffa-t-elle -, il vit au milieu des humains comme l'un d'eux et aspire même désormais à en épouser une ! Mais quelles balivernes ! Comment même serait-ce possible ?
- Et… Que comptes-tu faire ?
Parce que Rosalie avait forcément déjà fomenté un plan. Sir Jasper Cullen, comme il se faisait si bien appeler désormais, eut une longue relation avec ma sœur, en d'autres endroits, mais aussi en d'autres temps. Ces deux là s'étaient aimés follement, comme deux vampires peuvent le faire, dirons-nous. Rosalie était heureuse et épanouie alors. Puis Jasper, bien que de nature particulièrement assoiffée, n'eut soudain plus les mêmes instincts que Rosalie et moi-même. Il rencontra ce Baron Cullen et s'en fut terminé de nos amusantes escapades. Il quitta subitement Rosalie que je dus réconforter de mon mieux, et nous savons comment d'ailleurs... Jasper se rapprocha dangereusement des humains mais ne se nourrissait plus d'eux alors. Il les côtoyait longuement, ses yeux devenant d'un doré doux étrange. Alors nous partîmes loin Alice et moi.
Aujourd'hui Jasper Cullen revenait comme un boulet de canon dans la vie de Rosalie. Je ne comprends pas encore tout à fait ce que ce Baron put lui initier… Mais désormais, Jasper allait épouser une… humaine ?! Stupide ! Il l'a tuerai assurément à peine la nuit de noces achevée.
Rosalie soupira fortement, puis elle reprit confiance. Elle me lança ce petit regard espiègle que je lui connaissais si bien. Elle manigançait quelque chose à laquelle je pressentais être convié. Mais elle faisait barrage à ses pensées.
- Rose… Chérie…Vas-tu me dire ce à quoi tu penses, la questionnais-je, amusé.
- Mais bien sûr… m'assura-t-elle, malicieuse.
- Que me caches-tu si bien ?
- Viens avec moi…
Elle me prit le bras avec assurance et m'emmena à travers la grande salle à vive allure, si bien que beaucoup nous observaient avec un intérêt suspect. Je la forcait alors à ralentir et Rosalie, confuse de son empressement, fit de même mais sans se départir de son contentement. Elle s'arrêta subitement devant un petit groupe de femmes dont j'avais pu remarquer tout à l'heure que certaines me regardaient intensément, criant intérieurement mes faveurs. Ah ce qu'elles pouvaient être amusantes, ces petites femmes !
- Hum ! Mesdames… Veuillez m'excuser…
Rosalie s'adressait plus particulièrement à une petite jeune fille brune, presque une enfant, timide mais guillerette auprès de quelques unes de ses amies visiblement, mais aussi au côté de celle qui semblait être sa mère.
- Lady March, Miss March, je souhaitais vous présenter mon frère, Sir Edward Masen.
A cette présentation, mes petites coquines pouffèrent en rougissant bêtement : merveilleux !
Ainsi, c'était elle Alice March. Mais elle était si jeune. Elle semblait si… naïve ! Comment Jasper avait pu s'enticher de « ça ». Il avait changé, pour sûr, car il fut autrefois plus fougueux que cela, le compagnon de mes distractions les plus insolentes. Quoique en y réfléchissant… Peut-être n'avait-il pas tant changé que cela après tout : Alice n'était qu'une pucelle sortant à peine du couvent pour être épousée et… dépucelée ! Il avait toujours aimé les petites vierges effarouchées !
Je remarquais sa mère à ses côtés, et celle-ci ne semblait avoir pour moi les mêmes sentiments que ces autres femmes à la Cour. Elle me défiait, me scrutant des pieds à la tête d'un air dédaigneux. Et ses pensées m'attaquaient sans vergogne. Peut-être avais-je repoussé ses avances un jour… Peu contrarié de cela, bien qu'intrigué néanmoins, je décidais de passer outre et d'user avec plaisir de mes charmes vampiriques.
- Bonjour Mesdames, Mesdemoiselles… dis-je solennellement dans une brève révérence courtoise. Et m'adressant aux dames March : c'est un plaisir de vous rencontrer enfin. Ma sœur ne sut me parler que de vous.
Et cette dernière jubilait déjà derrière son éventail. Après quelques futilités d'usage, nous quittions ces dames et les laissions à leurs bavardages mondains.
- Cette jeune fille ne m'a pas l'air de mériter ce que tu manigances contre elle, Rose. Elle est si jeune !
- Eh bien… Jasper a voulu se moquer de moi. Je le lui rendrai. Je lui ai tout donné. J'ai fais de lui ce qu'il est désormais. Et aujourd'hui, il souhaite se pavaner avec cette pimbêche ! Ce rat va épouser cette minette en jupon et monter en société sans scrupules. Il va épouser une humaine, Edward !
- Eh bien pourquoi alors ne pas t'en prendre directement à lui ? Demandais-je réellement incrédule, quoique je connaisse bien la cruauté de Rosalie lorsqu'elle se sentait lésée.
- Voyons Edward… Il est bien plus délectable de se venger par d'autres intermédiaires. Et tu te feras un plaisir de la mettre dans ton lit, n'est-ce pas ?
Bien que ma condition vampirique ne le permette point, je faillis à l'instant trébucher. Enfin, Rosalie dévoilait son plan, elle n'avait pas besoin d'en dire plus.
- Tu… Tu veux que je séduise cette pucelle ?
Elle me répondit de sa mine gracieuse et suppliante, ses petits yeux battants énergiquement des cils avec sensualité.
- Tu te feras un plaisir de me faire plaisir Edward, voyons ! Tu es mon homme, le meilleur qui soit pour cette mission.
- Ce n'est qu'une enfant, Rose. Elle est futile, versatile et inintéressante. Tu sais bien que je ne pêche pas chez les pucelles…
Rosalie se renfrogna. Sa moue boudeuse me fit sourire. Une fois de plus elle jouait avec moi de son talent le plus dévastateur : elle prenait mon affection et mes sens en otage.
- Je t'en prie, Edward… Je sais que cela te plaira, qu'elle te plaira. C'est un défi, quelque chose de nouveau, une nouvelle âme à conquérir… Peu difficile cela dit… termina-t-elle des plus moqueuses.
Mais je n'écoutais plus ma sœur. Cela faisait en effet quelques secondes déjà que mon odora stoppait net tout mes autres sens. Concentré sur ce parfum enivrant, mes yeux clos, je ne cessais d'humer l'air avec délectation et envie. Ma gorge se serrait douloureusement alors que le venin surgissait dans ma bouche telle la lave d'un volcan en éruption. J'avais faim à ce moment, faim de ce sang impérieusement offert à moi.
- Edward… Edward ?!
L'insistance de Rosalie me tira subitement de mon songe. J'ouvris les yeux et la vis. Non loin, je reconnus son parfum alors qu'elle passait au devant de moi, un léger souffle m'envoyant les effluves les plus alléchantes que jamais je n'eus l'occasion de percevoir encore. Cette jeune femme me narguait. Plus rien n'existait autour. Je la désirais à présent plus que tout au monde.
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Voili voilou ! Alors ça vous a plu ? Il n'y a qu'un seul moyen pour me dire ce que vous en pensez. Suivez mon regard... le 'tit bouton vert là !
