Trés bien, monsieur Langdon, fit-elle. Le rendez vous est pris.

Ils restèrent encore quelques temps au sommet de cette colline tout en restant enlacés et à s'embrasser.

Avant d'aller se coucher, car ils voulaient faire chambre à part, il décida de la raccompagner et de lui faire ses adieux pour ne pas la réveiller tôt le lendemain matin.

Il l'accompagna et commenca à l'embrasser tout en lui disant des mots doux. Ils restèrent dans les bras de l'un de l'autre une bonne dizaine de minute. Ne voulant pas quitter son autre moitié, ils dormirent ensemble.

Le lendemain matin, alors qu'il avait fini de se préparer, il se dirigea vers la voiture, mais il entendit une voix :

Sophie : Robert, attends moi !

Robert : Sophie ! Pourquoi tu ne dors pas ? Il est cinq heures du matin..

Sophie : Je voulais te dire aurevoir avant que tu ne partes.

Robert : Sophie, t'es vraiment pas possible. (dit il en s'approchant d'elle et la prenant dans les bras)

Sophie : Je veux t'accompagner jusqu'à l'aéroport.

Il la regarda en souriant.

Puis main dans la main, ils s'avancèrent vers le véhicule. Pendant le trajet, la jeune femme posa sa tête sur l'épaule de son compagnon, qui lui conduisait.

Après avoir acheté son billet, il ne lui resté plus beaucoup de temps pour dire aurevoir à Sophie. La file d'attente pour Paris commencait à retrécir.

Il se mit à l'écart de la file, posa ses mains sur la hanche de la femme et se mirent front contre front.

Robert : Je vais devoir partir, même si je n'en ai pas vraiment envie.

Sophie : Alors reste !

Robert : Tu sais très bien que je ne peux pas. Tu dois rester avec ta famille pour rattraper le temps perdu. En plus, j'ai des conférences à faire dans mon pays , mais avant, je dois faire un détour pour aller récupérer mes affaires.

Elle baissa la tête. Avec l'une de ses mais, le professeur leva le visage de Sophie. Il vit des larmes sur ses jours. Il commenca à les essayer avec son pouce.

Robert : Hey, ne pleure pas.

Sophie : Je sais, mais c'est plus fort que moi.

« Les Passagers pour Paris doivent se rendre à la porte 14. »

Il posa son front contre le sien et chantonna :

« J'ai bouclé les bagages »

« Car je pars aujoud'hui »

« J'aime te regarder quand tu dors »

« Je n'ose pas te réveiller pour te dire aurevoir »

« Souris moi » (elle lui fait un sourire timide)

« Embrasse moi » (il lui donna un baiser sur les lèvres)

« Jures moi que tu seras toujours la »

« Serre moi dans tes bras »

Ils se prennent dans les bras comme si leurs vies en dépendaient et fini sa chansonette par :

« Comme pour me retenir » et ferma les yeux.

« Dernier rappel, les passagers pour Paris doivent se rendre à la porte 14 »

Robert : Je dois partir

Sophie : Attends

Elle prit son visage avec ses deux mains et l'embrassa passionnément.Ils s'étraignirent une dernière fois et avant de partir, il lui murmura :

« Je t'aime »

Il recula, traversa la porte tout en regardant Sophie, qui lui fit signe sur les lèvres :

« Moi aussi »