Disclaimer : Le mot « eucatastrophe » appartient à Tolkien.
Lisez si vous voulez, mais je vous jure que si vous êtes insensibles totalement à cette œuvre, et encore là je crois rester très modeste, alors vous n'avez pas de cœur…
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Fans de Lord Of The Rings seulement.
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Seul, brisé par la cruelle trahison,
Seul, si on oublie ce regret à ses côtés,
Abandonné pour la corruption,
Cette force qui pousse à oublier qui on est.
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Dans le regret et la déchirure,
L'autre regrette devoir garder l'ennemi.
Il doute, ne pourra jamais plus être sûr,
Car ce petit rien est venu à lui.
*
Bientôt les nuages crèveront, noirs;
Le premier guerrier désire le destin.
Mais il est plongé dans le désespoir,
Ne peut que toujours haïr ce bien.
*
L'ascension de la montagne, pénible et dure,
La créature sentant la flamme en elle.
Cette montée creuse pour le deuxième sa blessure,
Le roc terne lui coupe les ailes.
*
Maudit, toujours s'approcher du cratère;
Ce trou béant est l'espérance.
Le héros primaire n'en peut plus de cet enfer,
La force en lui est trop intense.
*
La tentation de l'abandon,
Mais le second s'est rendu au sommet.
Retournée, la bête lui donne le frisson,
Il sait que maintenant tout est regret.
*
L'autre arrive, désarçonne le tyran,
Cette larve immonde qui trahit son maître.
Mais l'animal a le plus important,
Il n'y a plus de raison d'être.
*
Terminés les jours de bonheur,
Parti, oublié le goût des fraises.
À jamais, dans nos cœurs la douleur,
Ne jamais plus respirer à son aise.
*
Destiné aux entrailles de la terre,
Ce fardeau doit être détruit.
Besoin, une seule chose est à faire;
De faire confiance à cet ami.
*
On pousse, on lutte, et le ver impur
Finit par disparaître au creux du feu,
Avec lui l'objet qui avait causé cette morsure.
Dès ce moment tout devait aller mieux.
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Dans la lave le trésor fond,
Et voilà réussie « l'eucatastrophe ».
Et c'est ainsi que sous l'émotion,
Plus rien désormais ne serait amorphe.
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Mais les blessures ne sont pas volatiles,
Bien que l'amitié fasse sourire,
De cette manière le deuxième s'en fut sur une île,
Pour n'en plus jamais revenir.
*
Le plus courageux dut pleurer
Tout en regardant les étoiles.
Semble-t-il que sa bravoure n'ait rien donné;
Son ami disparaît derrière des voiles.
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À jamais dès ce moment des larmes
Ont couru comme un torrent,
Mais au moins auront été déposées les armes,
Pour nous à jamais le soleil présent.
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J'espère que ça vous a plu… Même ceux qui n'aiment pas les poèmes.
Rewiewez seulement et uniquement si vous le voulez bien…
Mais je vous le dis j'ai peut-être d'autres poèmes
En réserve, pour ceux qui les lisent bien…
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Sam rules forever
*tite larme*
