Titre : Ne regarde que moi !
Epoque : ?
Résumé : Harry va se coucher, une silhouette féminine derrière ses paupières et seul. Il se réveille le lendemain dans le lit de la personne la plus éloignée de son fantasme actuel. Actuel ? Mais combien de temps avait-il dormi ?
Couple : HP/DM, et les autres… (Mais si, vous les connaissez à force !)
Disclamer : Bon, on le sait tous et je ne vais pas m'attarder dessus : La plupart des personnages de cette histoire appartiennent à Joanne K. Rowling. Mais je me suis permis de leur donner une autre destiné pour le bien de cette fic. Et je précise que je ne gagne pas d'argent sur mes écrits, et mon seul objectif est de vous faire plaisir !
Rating : M (… Heu on va dire que je mets M pour le langage ?)
Avertissement : À moins d'être maso, les homophobes n'ont rien à faire ici.
Note de l'auteur :
Avant toute chose: Bonne année 20017!
Comme je l'ai annoncé à la fin de "Marie-toi!"voici ma nouvelle fiction.
Je ne sais pas si je peux dire que la fiction vienne de moi. Certes, je suis l'auteur de l'histoire, mais la base de l'idée ne vient pas de moi mais d'une fiction Sterek "Occam's Razzor"de MissAnnThropic, traduite en français par Marykaly que j'ai lu (seulement les premiers chapitre, car je ne voulais pas faire de plagiat) et que j'ai voulu adapter dans le fandom HP. Au fur à mesure de la lecture, on oublie Teen Wolf, car je ne pense pas que je vais sur le même chemin.
J'y ai mit aussi un tout petit quelque chose des fics "Pour l'amour d'un père" et "Carnet secret" de Mayura Seno... que j'adore lire tout simplement et à qui je voulais faire un clin d'œil.
Cette fiction a été corrigée par Voracity666, que je remercie pour son travail et qui a bien voulu encore me suivre dans cette aventure. C'est aussi elle qui a écrit le résumé.
Elle a reçut aussi la lecture de Mayura Seno (que j'appelle May)qui l'a validée après m'avoir dit tout ce qu'il fallait que je change et qui a choisit le titre.
Elle est finit. (Pas de risque que je l'abandonne en cours de route ou que je sois victime du syndrome de la page blanche) Elle courte, comporte un prologue, 7 chapitres et un épilogue et elle fait environ 25 500 mots.
Je poste le prologue aujourd'hui, car samedi je ne me consacrerai à ma fiction « Au clair de lune ». À l'avenir, je posterai un chapitre toutes les semaines, à savoir le samedi.
Les personnages sont OOC (Il faut le précisez, car je ne veux pas recevoir des tomates de votre part.)
Voracity et May m'on fait la remarque que le début allait trop vite, mais c'est le rythme du texte qui est comme ça. Ça se ralentit par la suite pour se stabiliser à la fin. En espérant ne pas trop vous décevoir, je vous laisse découvrir le prologue.
Bonne lecture.
Prologue :
Harry Potter ouvrit doucement la porte de son dortoir et soupira de soulagement lorsqu'il constata que ses camarades étaient tous endormis. Il entra, toujours avec douceur, dans la pièce et alla s'allonger sur son lit, les yeux rivés au plafond. Il se mit à sourire en repensant à la merveilleuse soirée qu'il venait de passer. Il rougit lorsqu'il se rappela des baisers qu'il avait échangé avec la personne qu'il aimait plus que tout sur cette terre.
Pourquoi avait-il attendu tant de temps ? Être en couple était si… Merveilleux !
Il revit les douces mains qui caressaient son corps, en particulier son entrejambe, et poussa un gémissement lorsqu'il repensa à la bouche qui avait englobé son membre et à la sensation qui l'avait envahit lorsqu'ils s'étaient enfin unis… Par Merlin, il n'échangerait sa place pour rien au monde !
Son regard se porta sur son meilleur ami qui dormait et qui avait oublié de tirer les rideaux. Harry rougit de plus belle. Si Ron venait à savoir ce qu'il avait fait avec sa sœur, il n'était pas sûr que le rouquin le considérerait toujours comme son meilleur ami.
Mais, il ne regrettait pas. Il se battrait pour que Ginny reste à ses côtés. Elle le comprenait et l'aimait pour ce qu'il était réellement. Et pour couronner le tout, elle était très belle.
Son cœur se mit à battre plus fort lorsqu'il se mit à visualiser le corps de la jeune rouquine. Oh oui, il l'aimait !
Prenant la décision d'annoncer à Ron ce qui se passait entre sa sœur et lui le lendemain, il se leva afin de se mettre en pyjama. Il prit le soin de ranger la Carte des Maraudeurs – qu'il avait toujours avec lui lorsqu'il avait rendez-vous avec Ginny – dans sa malle, puis retourna dans son lit et tira les rideaux. Il pria Merlin de lui réserver encore des milliers de soirées comme celle qu'il venait de passer et s'endormit le sourire aux lèvres.
Ce fut le rayonnement du soleil qui le fit sortir du sommeil le lendemain matin. Il grogna en gardant les yeux fermés tout en maudissant Ron qui s'était amusé à tirer les rideaux de son lit. Il se retourna pour échapper aux rayons briseur de rêve et se blottit contre un corps chaud.
Un corps chaud ?
Il ouvrit brusquement les yeux et constata qu'il y avait effectivement une personne étendue dans son lit. Cette personne dormait à poings fermés sur le côté et Harry pouvait voir une partie de son corps qui n'était pas couvert par le drap.
Alors, plusieurs choses frappèrent Harry.
Premièrement, la personne qui dormait avait un torse aussi plat que lui. Deuxièmement, il était nu dans un lit avec un homme qui semblait être aussi nu que lui et, troisièmement, l'inconnu avait de courts cheveux fins blonds voir blancs, qui lui cachaient une partie du visage.
Et il ne connaissait qu'une seule personne de son âge à avoir cette couleur de cheveux.
Ayant peur de ses pensés, il secoua vivement l'endormi.
Celui-ci gémit un instant avant d'ouvrir les yeux. Il sembla chercher quelque chose et sourit lorsque son regard croisa celui d'Harry.
Le brun avala difficilement sa salive. Gris. Le blond avait les yeux gris.
— Bonjour Harry, dit celui-ci d'une voix endormie.
La réalité frappa alors le brun : non seulement, il était au lit avec Drago Malefoy, mais en plus ils étaient aussi NUS qu'un vers.
Alors, même si cela n'était pas très viril de sa part, il recula et hurla.
Voilà pour le prologue.
Merci de m'avoir lut, et je vous dis à la prochaine!
Bises,
donnaqueenly.