Coucou ^^
Voilà, je me lance dans du Arthur/Merlin. Ceci est donc ma toute première fic sur ce couple, j'aurais donc besoin de vos impression. Je me suis bien amusée à écrire cette première partie de ce Two-Shot. J'espère qu'elle vous plaira donc !
Dites-moi ce que vous en aurez pensé, bonne lecture à tous !
Merlin avançait lentement dans la forêt. Il avait décidé de partir seul, renforcé ses pouvoirs. De toute manière, ce n'est pas comme s'il était réellement important pour Arthur. Lorsque le brun l'avait vu embrasser Gwen, il avait ressenti une horrible douleur au niveau de la poitrine. Ses yeux étaient devenus presque vides et son teint pâle. Il avait alors pris la décision de partir. En ayant assez de marcher, il s'arrêta et s'exclama en langue de dragonnier :
-Grand Dragon, viens à moi !
Le dragon arriva quelques minutes après. Il se posa et dit :
-Que me veux-tu, jeune Sorcier ?
-Pourriez-vous m'amener jusqu'au lac d'Avalon, s'il vous plait ?
-Pourquoi cela ?
-J'ai besoin d'aller renforcer mes pouvoirs... j'ai besoin de m'éloigner... j'ai besoin... de... m'en aller, je ne supporte plus de rester là-bas... mais je promets de revenir, lorsque je serais devenu suffisamment puissant pour cela.
-Bien et veux-tu toujours combattre Morgana ?
-Oui, mais quand je serais assez puissant, pas avant...
-Bien, alors, monte sur mon dos.
Le jeune brun prit place sur son dos et regarda une dernière fois en arrière, un air mélancolique mais déterminé sur le visage. Le dragon partit à vive allure et en un instant ils se retrouvèrent au lac où Freya est morte mais reste tout de même plus ou moins vivante. Merlin descendit et remercia le dragon.
Après trois ans à s'entrainer sans relâche, Merlin avait accru son pouvoir avec acharnement et dévotion. Il s'apprêta donc, se sentant plus confiant qu'avant et ayant plus ou moins enfouit ses sentiments, en faisant fi. Il sourit en pensant à ses amis qu'il allait enfin revoir. Il appela le grand Dragon et une fois qu'il fut arrivé, monta sur son dos. Lorsqu'ils furent arrivés à l'endroit de la forêt où ils avaient l'habitude de se rencontrer. Le brun le remercia une nouvelle fois et continua à pieds, se rendant au château.
Lorsqu'il arriva, beaucoup de gens se tournèrent vers lui, d'un air pour le moins surpris, cela faisait tout de même trois ans qu'ils ne l'avaient pas vu. Il mit alors sa capuche et continua sa route. Quand il arriva devant les portes du château, il se retrouva, comme à son arrivée précédente à Camelot, devant la cible d'Arthur qui souhaitait qu'il se pousse. Il le lui fit bien sentir en lui hurlant :
-Mais pousse-toi, voyons, tu ne vois donc pas que j'essaie de tirer sur cette cible ?
-Oh mais bien sûr, Sir, je vais me pousser, mais dites-moi, je ne suis parti qu'un moment et c'est comme cela que je suis accueilli ? Je vais finir par croire que je ne vous ai pas manqué...
Sur cette phrase, il baissa sa capuche et son sourire s'agrandit sous le regard écarquillé de son roi... oui, car entre temps, celui-ci était devenu roi, après que son père ait lâché son dernier souffle. Arthur laissa tomber sa lance courte et s'approcha lentement de son ancien serviteur, n'en croyant pas ses yeux. Lorsqu'il arriva devant lui, il tenta de lui mettre son poing dans la figure mais, fut aussi vite repousser par Merlin. Il s'en retrouva surpris. Il lui toucha le visage, comme s'il n'en croyait pas ses yeux, puis lui fit une accolade joyeusement. Le brun y répondit le coeur battant la chamade et lui dit :
-Je vais vous laisser à vos occupations, Sir et je vais aller rejoindre Gaius qui doit se faire un sang d'encre quant à ma disparition.
-Tout d'abord, tu vas me dire pourquoi tu es parti... aussi longtemps.
-Pour me perfectionner, mais il n'y a que Gaius qui puisse réellement comprendre, ce que je veux dire.
-Te perfectionner ? En quoi, tu n'es bon à rien, s'exclama Arthur en plaisantant.
-Avez-vous accepter la Magie à Camelot ? Demanda Merlin en ignorant son ancien maitre.
-Oui, pourquoi cette question ?
Merlin prononça quelques paroles magiques et un saut d'eau tomba sur la tête du blond, faisant rire le brun. Le roi lui envoya un regard noir et s'enquit :
-C'est toi qui as fait cela, n'est-ce pas ?
-Bien évidemment...
-Tu es donc un magicien toi aussi ?
-Hum... c'est ce qu'il paraît...
-Et c'est à cela que tu as passé tes trois ans ? A t'entrainer à faire de la Magie ?
-Et bien, oui et non. Je suis né ainsi et je n'ai fait que me perfectionner dans cet art.
-Tu... tu as toujours été Sorcier ? S'étonna le roi.
-Oui, je l'ai toujours été.
-Comment se fait-il, alors, que je ne l'ait jamais su ? Après tout, tu ne sais pas garder un secret...
-J'ai souvent utilisé mes pouvoirs pour vous sauver, mais vous ne vous en n'êtes jamais rendu com...
-Merlin ! C'est bien toi ?
-Lancelot ! Comment vas-tu ?
-Je vais parfaitement bien, mon ami et toi ?
-De même, alors, qu'as-tu fait durant ces trois longues années d'absence ?
-Je me suis perfectionné...
-La Magie...
-Et oui, tu as visé juste, sourit le brun.
-Alors lui le savait et pas moi ? S'insurgea le roi.
-Excusez-moi, mon roi, mais je ne lui ai rien dit, il l'a découvert de lui-même, alors que je lançais un sort à sa lance pour qu'il puisse tuer le Griffon.
-Alors pourquoi moi, je ne m'en suis jamais rendu compte ?
-Vous êtes un crétin royal, voyons !
-Imbécile, fit le blond, réellement vexé et jaloux.
-Mais ne soyez pas tant vexé, si je suis revenu, c'est pour mettre fin aux agissements de Morgana, s'exclama sérieusement le jeune homme, et aussi pour remplir mon destin qui est de vous protéger, mon roi.
-Toi ? Me protéger, tu n'es même pas capable de te protéger tout seul !
-Détrompez-vous, Sir, répliqua Lancelot, il vous a sauvé à chacune de vos missions lorsqu'il était près de vous. Un exemple plus que flagrant étant le jour où Morgause est morte.
-Comment cela ?
-Il avait prévu de partir chercher la Coupe de Vie pour la vider, mais il y avait beaucoup d'immortels se jour-là, vous en souvenez-vous ?
-Bien sûr ! Nous nous sommes même demandé comment avions-nous pu les tuer malgré leur condition.
-La réponse est devant vous ! Merlin avait une épée qui a réussi à les tuer puis il a pris la Coupe mais Morgause est arrivée et a tenté de l'empêcher de la prendre. Gaius est alors arrivé et a lancé un sortilège à Morgause pour la dégager, elle a voulu répliquer mais Merlin l'a envoyée sur un poteau et elle s'est évanouie, puis... il a vidé la Coupe, cela a fait que les immortels sont morts et Morgana est arrivée, alors que Morgause, elle aussi, est morte. Puis... le lendemain, ce sacripant est parti, sans nous laisser de nouvelles, sans nous dire sa destination, sans rien !
-Hum... j'avais besoin de... réfléchir à certaines choses, d'autres, je n'arrivais pas à les supporter et j'avais besoin aussi de me perfectionner en Magie.
-Mais Merlin, mon ami, tu étais déjà si puissant !
-Mais à présent je le suis encore davantage et j'ai pu réfléchir... en paix, sourit le brun.
-Réfléchir à quoi, Merlin ? S'enquit Arthur, curieux.
-A l'avenir, à moi, à la Magie, à Morgana, à vous Arthur, à Gwen, à mes amis, au grand Dragon, aux différentes missions que nous avons faites ensemble, à tout, en somme...
-Et pourquoi cela ?
-J'en avais besoin, plus que tout, pour oublier... pour me reconstruire et pour me renforcer...
-Je comprends, mais trois ans, quand même ! S'exclama Arthur, comme énervé.
-Oui, mais j'en avais besoin, comme je l'ai dit...
-Et bien, bienvenu parmi tes pairs, mon ami ! S'écria bien fort Lancelot.
-Merci, sourit Merlin.
-Oui... bienvenu parmi nous, Merlin, reprit Arthur.
-Merci, mon roi... lui répondit le brun, se tournant vers lui et lui souriant presque tristement.
Il partit ensuite en direction de la maison de Gaius et le vit chercher quelques potions, ne l'ayant vraisemblablement pas vu entrer. Il se gratta la gorge et le vieil homme tourna la tête dans sa direction. Il sursauta et murmura :
-Merlin...
-En chair et en os !
-Mais, je pensais que tu ne reviendrais jamais !
-Non, je suis parti réfléchir et m'entrainer, soupira Merlin, de devoir raconter encore une fois ce qui lui est passé par la tête en partant.
-Pour l'entrainement je me doute que trois ans sont largement bénéfiques mais la réflexion, qu'est-ce qui t'a poussé à tant réfléchir ?
-« les deux faces d'une même pièce... »
-Alors, tu l'aimes vraiment, n'est-ce pas ?
-Vous l'aviez compris, quand ?
-Lorsque tu es arrivé et que tu te plaisais à travailler pour lui, tout en faisant semblant de râler...
-Depuis le début, en somme...
-Exact, bon, ne reste pas là, monte tes affaires dans ta chambre !
Merlin partit alors dans son ancienne chambre. Elle était restée pareille à quand il est parti. Le lit était à demi fait, les vêtements qu'il n'avait pas emportés trainer de-ci, de-là... Il se pencha pour soulever le morceau de sol qui recouvrait son livre et l'en sorti. Il le caressa de ses longs doigts fins d'un air purement mélancolique et le reposa sur son étagère. Il redescendit en laissa son sac à même le sol. Le brun sortit de chez Gaius et regarda l'entrainement des chevaliers et d'Arthur. Ce dernier lui avait tant manqué ! Il se secoua la tête, il ne devait plus penser à cela, maintenant que le blond était roi, il devait s'être marier à Gwen... celle qu'il aime. Cette pensée lui serra le coeur et ses yeux se firent vides. Gwaine qui passait par là, s'exclama :
-Et bien mon ami, tu as l'air... vide, qu'est-ce qui a bien pu t'arriver, toi qui est si extravagant à l'accoutumée ?
-Rien de grave, un petit chagrin d'amour sans importance, sourit-il faussement.
-A ce point ? S'étonna Gwaine.
-Pire...
-Et qui est l'heureuse élue t'ayant brisé le coeur ?
-Une personne qui n'était pas faite pour moi mais avec qui je partage un lien magique « les deux faces d'une même pièce... » répéta-t-il.
-Arthur ? Tu veux parler du roi ?
-Bien deviné, comment as-tu fait ?
-Lien magique et c'est le seul avec qui tu passais tant de temps pour le protéger... alors tu l'aimes ?
-Oui... mais lui aime Gwen, alors je me suis imposé durant ces trois années de l'oublier et finalement, j'avais réussi, jusqu'à ce que je le revois, là, je sais que j'ai échoué lamentablement... mais bon, je reviens pour vaincre Morgana et je repartirai vivre, là où j'étais jusqu'à aujourd'hui...
-Et tu vas finir par me dire où c'est, ou bien... ?
-Ou bien, rit-il.
-Ah, et pour ton information, Arthur et Gwen ne sont pas ensemble... Gwen est mariée à Lancelot, depuis un an et demi déjà et elle est enceinte de quelques mois.
-Comment cela ?
-Arthur a été désemparé quand il a découvert que tu étais parti, il ne mangeait presque plus, ne dormait pas plus et rien n'arrivait à lui remonter le moral. Gwen s'est vite tournée vers celui qu'elle aimait lorsque notre roi lui a avoué ne plus l'aimer depuis un moment. Elle lui a souri et est partie en l'embrassant sur la joue. Voilà, tu sais toute l'histoire...
-C'est... c'est vrai ?
-Oui c'est vrai, mais il n'était pas sensé te le dire, fit une voix froide, reconnaissable entre toutes pour Merlin.
-Désolé, Sir, répondit ironiquement Gwaine.
-Je voudrais te parler Merlin, dit Arthur.
-Je vous écoute...
-En privé, ajouta le roi.
-Bien, alors à bientôt Gwaine, cela fait plaisir de te revoir !
Après ces entrefaites, Arthur et Merlin partirent. Le brun les conduisit au point de rendez-vous qu'il avait avec le grand Dragon, de cette façon, ils pourraient être réellement tranquilles. Il se tourna ensuite vers son roi et lui demanda :
-Alors, de quoi vouliez-vous me parler ?
-Je voudrais déjà savoir pour quelle raison vous en êtes venus, toi et Gwaine à parler de moi...
-Et bien, je lui ai avoué la raison de mon départ et il m'a raconté ce qu'il était advenu de vous pendant ce temps..., répondit Merlin, en évitant de regarder le blond dans les yeux.
-Regarde-moi lorsque tu me parles ! Et dis-moi la vérité, ce sera plus convainquant ! Ordonna Arthur.
-Je n'ai pas envie d'en parler...
-Alors pourquoi l'avoir dit à Gwaine ? Ne fais-tu donc confiance à tout le monde, sauf à moi ? S'enquit le blond, la voix triste.
-Je vous fais confiance, là n'est pas le problème, Sir...
-Alors, quel est-il ? Hurla le jeune homme en plaquant Merlin contre un arbre et en appuyant de tout son poids sur lui.
-Je vous en conjure, lâchez-moi... murmura Merlin.
-Pourquoi ?
-Sinon je risque de faire quelque chose que je regretterai et que vous me ferez regretter...
-Si tu parles de me lancer un sort...
-Non, ce n'est pas cela, répondit Merlin, la voix hachée, j'ai tellement envie de...
-De quoi ? Chuchota le blond.
-De vous embrasshummm...
Il ne put finir sa phrase que les lèvres royales étaient déjà sur les siennes, le faisant gémir de plaisir. La langue d'Arthur vint quémander l'entrée de la bouche du brun, qui la lui accorda. Leur langue dansèrent l'une contre l'autre alors que Merlin nouait ses bras autour des épaules de son roi. Ce dernier pressa encore plus son corps contre celui du brun qui n'en gémit que davantage. Cependant, ils durent s'arrêter par manque d'air et Arthur posa son front contre celui de Merlin. Celui-ci reprit ses esprits et murmura doucement :
-Pourquoi avez-vous fait cela ?
-Cela fait une éternité que j'en ai envie mais que je n'ai pu le faire... alors, maintenant tu vas me dire pourquoi vous en êtes venus à parler de moi ?
-J'ai dit à Gwaine que j'avais besoin de réfléchir aux sentiments que j'avais pour vous... ah... s'exclama-t-il soudain, en sentant un genou d'Arthur se frotter à sa virilité. Et ensuite, je lui ai dit, que... hum... que je lui ai fait remarqué que vous... hn... vous aimiez Gwen... ah... et il m'a ensuite raconté ce que vous avez... oh... entendu... mais arrêtez bon sang...
-Non, tu es bien trop excitant, aussi rouge, poussant des gémissements, la virilité bien réveillée... pour moi... les yeux emplis de désir, les paroles hachées, et le fait que tu aies des sentiments pour moi... je ne peux résister à cela... sens-tu le désir que j'ai pour toi ?
-Oh que... hum... oui !
-Alors tu dois comprendre pourquoi je ne pouvais être avec Genièvre ?
-Je... je pense que... ah... oui...
-Tu es tellement dur Merlin, cela me donne une délicieuse sensation...
Sur cela, il baissa le pantalon du brun et s'agenouilla devant lui. Il regarda dans les yeux le magicien et lui sourit sadiquement. Il commença ensuite à lécher le gland doucement, arrachant ainsi des gémissements de pur plaisir à Merlin. Puis, il suçota autour et après quelques minutes de ce traitement, il enfourna la verge dans sa bouche et y fit de lents mouvements de vas et vient. Lorsqu'il sentit que le brun était près de l'extase, il se stoppa, sous les grognements de protestation de son brun. Il remonta pour l'embrasse, seulement, au moment où il allait le faire, il sentit un petit courant d'air. Le blond tourna la tête et fut surpris de se retrouver dans sa chambre. Il sourit au sorcier et l'amena à son lit. Il l'embrassa tendrement et finit de le déshabiller tout en faisant de même avec lui.
Quand ils furent nus, le blond poussa le brun sur son lit et se mit entre ses cuisses. Il le caressa partout, tout en l'embrassant et Merlin lui plantait ses ongles dans le dos, à cause des vagues de plaisir qu'il ressentait. Finalement, Arthur fit lécher trois de ses doigts à Merlin qui les suça lentement et sensuellement puis lorsqu'ils furent bien humides, le blond les dirigea vers l'intimité de son brun. Il en fit pénétrer un premier pendant qu'il descendait progressivement vers la hampe tendue et prit en bouche celle-ci en faisant des allers et venues dans l'intimité du magicien. Il réitéra le mouvement deux autres fois et quand Merlin fut prêt et donna le signal à Arthur, celui-ci enleva ses doigts, remonta vers lui pour l'embrasser et fit entrer sa virilité plus que dure lentement en Merlin qui grimaçait sous la douleur.
Dès qu'il fut entré jusqu'à la garde, il se stoppa et attendit que le brun s'habitue à sa présence, ce qui vint rapidement. Merlin donna un premier coup de rein qui en entraina beaucoup d'autres, donnés par Arthur qui s'enfonçait et ressortait vivement de Merlin. Les jeunes hommes hurlaient leur plaisir car Arthur n'avait pas mis longtemps à trouver le point si sensible en Merlin. Bientôt, celui-ci se cambra violemment et dans un cri qui ressemblait fort bien au prénom du roi, il éjacula. Sentant les chairs se refermées autour de sa hampe pour ensuite convulsées, Arthur ne tarda pas à faire de même dans un long grognement.
Le blond s'affaissa sur le brun et l'embrassa une fois encore. Il se retira ensuite et se coucha aux côtés de Merlin en prenant celui-ci dans ses bras, posant sa tête brune sur son torse. Finalement, avant qu'ils ne s'endorment, Arthur murmura :
-Tu m'as manqué, Merlin.
-Vous aussi, vous m'avez manqué.
Ils s'embrassèrent une dernière fois et s'endormir d'un lourd sommeil alors qu'il n'était même pas seize heures.
A suivre...
Merci d'avoir lu, dites-moi si cela vous a plu ^^. A bientôt et bonnes fêtes de fin d'année !
Je publierai la seconde partie la semaine prochaine...
