Bonjour à tous ! Me revoici avec un nouveau texte sur les Avengers. Cette fois, notre beau Captain a des sentiments pour l'ivrogne notoire, j'ai nommé Tony Stark ! Cette fiction est terminée, je publierai les chapitres à un rythme régulier. J'espère qu'elle vous plaira ! J'ai essayé de coller au plus aux perso et, bien sûr, pour les fans du Pepperony, je n'ai pas évincé Pepper dès le premier chapitre comme une vulgaire chaussette. Mais le gros de l'action se concentre entre nos petits super-héros.
Bonne lecture !
Disclamer : Avengers appartient à Stan Lee (ô soyez-vous béni !), mais ce texte m'appartient à moi, auteure pas encore reconnue.
Si les mots n'étaient que des mots...
"Tony !" cria une voix.
Mais il n'entendit pas la suite. Il ne s'évanouit pas, il le sentait. Mais il n'était pas conscient non plus des choses autour de lui. Sa vision devenait noire, ses oreilles s'emplissaient d'un bourdonnement sourd. Le pire, c'était sa respiration : saccadée, difficile. Voilà, il faisait une crise d'angoisse.
Pepper va venir m'aider, se dit-il. Mais Pepper était déjà là, près de lui. Et il ne la voyait pas, il ne la sentait pas. En revanche, une autre voix sembla briser sa carapace d'angoisse.
"Tony, Tony... Lâche pas, reste avec nous. Bordel, Tony, respire !"
Et, étonnamment, ce fut ce petit mot, ce gros mot en fait, si insignifiant, mais qui sonnait si faux dans sa bouche, qui le fit reprendre pied. Alors, lentement, il se calma. Sa vision lui revint, il perçut les voix autour de lui. Il contrôla sa respiration. Puis il vit Pepper, devant lui, les yeux remplis d'inquiétude. Et sans qu'il ne le réalise, elle le prit dans ses bras, heureuse, lui coupant le souffle. L'étreinte le soulagea, mais son regard fut attiré vers sa gauche. Alors il le vit, et il comprit.
Steve Rogers souriait bêtement en le voyant à nouveau conscient. Et Tony réalisa : son Captain avait bravé son propre interdit dans le désespoir de le perdre. Et il comprit aussi qu'il allait vraiment devoir faire quelque chose. Pour ses crises d'angoisse. Pour son cœur. Pour Pepper. Mais surtout pour Steve. Il ne méritait pas cet amour à sens unique que lui avait prédit Stark.
Ah, si les mots n'étaient que des mots...
A dans quelques jours pour le prochain chapitre !