Auteur :Isly (Bon pour la plupart d'entre vous c'est la première fois que vous voyez ce nom, mais peut-être pas la dernière...enfin j'espère ^-^)

Disclaimer :Tout les personnages de JK Rowling sont à JK Rowling, les autres sont à Tolkien... je ne possède donc rien de ce qui est écrit ici, sauf l'histoire, et je ne tire aucun profit avec .

Spoilers : Les 4 premiers tombes de Harry Potter et les livres du seigneur des anneaux.(Je sais que ça d'l'air bizarre comme ça, voir impossible, mais n'oublier pas que certains des personnages de Tolkien sont immortels ;-))

Genre : ¨Ça, je ne suis pas tout à fait sûre, mais pour l'instant je vais mettre, disons, mystery? Si vous êtes pas d'accord avec mon choix, fait-le moi savoir...



Le dernier rempart Chapitre 1 : Feuille verte



Il faisait sombre. En fait, tout était ténèbre. C'était tout à fait normal puisqu'il n'y avait aucune fenêtre et aucune source de lumière. On arrivait tout de même à distinguer une silhouette dans le noir. Un homme. Ou en était-ce vraiment un ? Difficile à dire... Il avait l'apparence et l'allure d'un adolescent, mais semblait beaucoup plus vieux, car il dégageait l'aura de quelqu'un de vieux et sage. Un peu comme le Professeur Dumbledore, mais en plus prononcé. Il était seul, mais plus pour longtemps...

Quelques minutes passèrent, puis une porte s'ouvrit. La lumière venant de l'extérieur était faible, seulement la lueur d'une torche, mais elle suffit à aveugler momentanément celui qui était à l'intérieur. Elle permit aussi de voir qu'il était enchaîné et qu'il ne pouvait plus bouger, ou alors au prix d'un terrible effort. Puis trois autres silhoutte encagoulé entrèrent. L'une d'elle était relativement petite par rapport aux autres. Alors un homme entra. Mais en était-ce vraiment un ? Oui, mais bientôt il ne serait plus humain. Quel différence? Il était horrible. Grand et frêle, mais il ne fallait pas se fier à son apparence car il était dangereux, très dangereux. Il avait les yeux rouge sang, deux fentes en guise de narine et une autre en guise de bouche. Il ressemblait étonnament à un serpent. Il n'y avait plus rien de bon en lui. Et le seigneur des ténèbres pris la parole de sa voix étrangement aiguë et sifflante : « Dis-moi seulement ce que je veut savoir et ...tu seras libre.

-Jamais! repondit le prisonnier d'une voix déterminer, mais claire et douce de par sa nature.

-Alors tu va souffrir...

-Et alors? Ce ne saura pas la première fois!

-Endoloris! »

Le prisonnier ne cria pas. Ce n'est pas qu'il ne souffrait pas. Bien au contraire. Il avait l'impression que chaques centimètres carrées de sa peau était transpersés par des aiguilles chauffé au blanc. Il souffrait de ce sortillège comme n'importe quel être. Cependant, il était suffisamment fort pour ne pas crier ou se tordre de douleur et bien trop fier pour le faire. Puis son geôlier leva sa baguette, interrompant le sortilège. Il voulait être sûr que son captif l'entende et le comprenne. Il reprit ,comme s'il parlait à un enfant particulièrement têtu : « Tut, tut, tut,tut,tut. Je ne sais vraiment plus quoi faire avec toi. J'ai tout essayé. Le veritaserum, l'Imperum... la torture. Pourtant, tu refuse toujours et encore de me répondre. Tu me déçoit... Tu n'as donc pas appris qu'il ne fallait jamais décevoir Lord Voldemort?

-Il y a toujours un prix à payer pour lutter contre les Ténèbres. Mais ce prix est recompensé, car on les retardent!

-Mais que tu me le dise ou non, Elles vont finir par arriver.

-Peut-être, mais l'Âge Noir ne reveindra pas comme il était à l'origine que dans plusieurs siècles ou peut-être jamais. Ce que vous avez installé, cette soit disant terreur que vous inspirez, n'est rien comparé au monde tel qu'il était à l'apogé de Son pouvoir. Et je me demande bien ce que vous avez à y gagner...

-Le pouvoir! Et je pourrais enfin me débarrassé de... Harry Potter»

Le prisonnier éclata de rire. Non pas d'un vrai rire, car celui-ci était dénuer de joie. Après s'être calmé, il reprit : « Pauvre fou... » C'était un erreur. Car Voldemort ne lui laissa pas le temps de souffler, il lui jeta le sort dans toute sa puissance : « ENDOLORIS »Cette fois-ci, le prisonnier cria.



À des milliers de kilomètres de là, un jeune garçon du nom de Harry Potter se réveilla en sursaut. Il ne s'était pas rendu compte qu'il criait ni qu'il avait les deux mains collé sur sa cicatrice avant que les ridaux de son lit à baldaquin ne s'ouvre sur ses camarades de dortoir. Un rouquin s'approcha, lui pausa une main sur l'épaule et l'interrogea du regard. Pour toute réponse Harry Potter se leva et dit : « Il faut allez voir Dumbledore, quelque chose de grave est en train de se produire... »



Pourtant, dans le cachot où se trouvait Voldemort et son prisonnier, les événements ne s'arrêtèrent pas là. L'être enchaîné refusait toujours et encore de parler. Voldemort aurait bien fait venir les Détraqueurs s'il n'y avait été que ce geste aurait tuer celui qu'il torturait depuis des mois. Et ça il ne le voulait pour rien au monde. Du moins pas avant que celui-ci disent se qu'il voulait entendre. Tout ça pour une phrase, une seule et unique phrase qui lui permettrait de plonger le monde dans les ténèbres. Son prisionnier était sa seul et unique chance de la connaître. Peut-être qu'il aurait finit par cracher le morceau si à se moment-là un Mangemort ne serait pas entrer pour dire qu'il se faisait attaquer. En effet, le vacarne qui résonnait au dessus d'eux en disait long sur la situation des hommes de Celui-dont-ont-ne-devait-pas-prononcer-le-nom: il ne faisait pas le poids. Puis sur le signale de leur maître, tout les Mangemorts, et Voldemort lui même, transplanèrent, abandonnant le prisonnier. Peut importait, il avait réussit à le capturer une fois, pourquoi pas deux? Quelques secondes, à peine, après leur départ, la porte s'ouvrit à nouveau sur deux sorciciers. L'un deux avait l'air épuiser, tandis que l'autre ressemblait à un évadé de prison. En voyant le captif, le premier sortit sa baguette et s'approcha de lui. L'homme enchaîné eu un mouvement de recule à cette vue. Le sorcier arrêta net son geste et dit d'une voix rassurante : «Ne t'en fait pas, je ne te veux aucun mal. Je veux juste te libèré... Alohomora.

-Tu vas être capable de marcher? »demanda le second sorcier.

Il fit mine de se lever mine de se lever, puis s'écroula. Il était rester trop longtemps immobile et la torture l'avait affaiblit. Il fit signe que non. Alors les deux sorciers s'approchèrent pour le soutenir. Puis l'un d'eux, celui qui lui avait demandé s'il pouvait marcher demanda : « Sais-tu transplanner ?» À nouveau le prisonnier fit signe que non. « Alors accroche toi bien... »Puis les trois hommes disparrurent...

Ils réapparurent quelque seconde plus tard dans le village de Pré-au-lard. Constantant que leur rescapé reprennait des forces, l'un d'eux se détacha pour se transformer en chien. Il ne fallait pas qu'on le voit. Le second observa celui qu'il venait de libéré. C'est alors qu'il constata que celui- çi ne pouvait pas être humain. D'abord, il se remettait beaucoup trop rapidement, et ce seulement en regardant le ciel. La pleine lune approchait. Remus aurait pu penser qu'il s'agissait peut-être d'un loup- garou s'il n'avait pas eu ses oreilles pointues...



Entre temps, Harry et Ron était arrivé face à la gargouille et récitait le nom de tout les sucreries qui leur passaient par la tête. Les autres avaient voulu les accompagnés, mais il était inutile de se faire remarquer, en était à cinq, en dehors du dortoir à deux heures du matin. Il n'avait pas eu de problèmes pour sortir de la salle commune car, pour un raison obscure, Harry n'avait réveillé que les garçons de sa chambre. Ils en étaient arriver aux sucreries Moldu lorsqu'il entendirent des pas se rapprocher dans le couloir.



Remus s'était remis de sa surprise et reconduit cet être vers le château de Poudlard à la suite de patmol, sous sa forme de chien. Mais plus ils se rapprochaient du château, plus Lunard trouvait que l'ancien prisonnier de Voldemort était étrange. Il était si silencieux, même pour ses oreilles de loup-garou, qu'il aurait aussi bien pu ne pas être là et ça ne ferait pas de différence. Et puis, sa peau pâle semblait dégager une étrange lueur dans le noir, comme la lueur de la lune. Il avait l'air d'un adolescent avec son visage jeune et son corps vigoureux mais semblait beaucoup plus vieux. Et ça, Lunard aurait été incapable d'expliquer pourqoi. Depuis qu'ils l'avaient libéré, il n'avait pas prononcé un seul mot. Remus était donc dans l'incapacité de dire qui il était et ce qu'il était. Ils entrèrent à l'intérieur du château et se dirigeaient vers le bureau du directeur. Il y avait maintenant un certain moment que celui qui les accompagnait pouvait marcher seul. Il les suivait, sans poser la moindre question. Il devait sans doute se sentir plus en securité. Ils approchaient du bureau. Au prochain tornant il verrait la gargouille. Mais lorsqu'il y arrivèrent, la gargouille n'était plus seule. « Harry, s'exclama Remus, mais qu'est-ce que tu fait là?

-Il faut que je vois le directeur, Professeur.

-À propos?

-D'un rêve qui nous à réveiller, Professeur, repondit Ron d'un ton plus sérieux que d'habitude.

-Et... on a pas encore trouver le mots de passe...continua Harry.

-Dans ce cas, je ne croit pas qu'il y ait de problème... ''Esquimau au citron''. »

Et la gargouille fit place à la porte. Il se dirigèrent vers les escaliers magiques et montèrent vers le bureau du directeur. Ils entendirent un Ron perplexe demandé '' Mais où est-ce qu'il va chercher des idées pareilles ?''à un Harry qui ne connaissait pas la réponse.

Arriver à l'interrieur du bureau, chaqu'un réussit à se trouver une place et Sirius reprit sa forme initiale. C'est alors que Harry remarqua pour la première fois celui qui accompagnait son parrain et son professeur de Défense Contre les Forces du Mal. L'homme de son rêve. Dumbledore se tourna vers Harry, signe qu'il devait prendre la parole. Alors il s'exécuta : « J'ai fait un rêve. En réalité j'ai été de nouveau en contact avec Voldemort. Mais je ne suis pas le mieux placé pour vous en parler. Car j'ai vu ce qu'à vécu cet homme, et je doit avouer que je n'ai pas tout compris... »

Dumbledore tourna un regard perplexe vers celui qui était entre les mains de Voldemort quelques minutes plus tôt, puis lui demanda : «Je ne sais pas ce que Voldemort vous veux, je ne sais pas non plus qui vous êtes, mais il va sans doute vouloir vous récupéré. Je ferait tout ce qui est en mon pouvoir pour vous protèger, mais avant nous pourrions peut-être faire connaissance?

-Ce qu'il me veut, c'est connaître la solution au dernier rempart qui empêche le retour de l'Âge Noir sur terre. Tant qu'à moi, je me nomme Legolas Greenleaf.



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Bon , ça c'est le premier chapître de ma première fic(envoyé). Si vous l'aimer et que vous voulez que je la continue, envoyer moi des reviews ;-)