Bon alors suite aux menaces de mort sur ma personne faites par Za' (non c'est pas vrai, elle me l'a juste vivement conseillé !) j'ai décidé de publier mon premier mini OS!
Alors, les personnages sont pas à moi et bla bla bla...
J'attends vos nombreuses critiques, hésitez pas à me donner des conseils!!
Bonne lecture!! (...ou pas!)
Harry ne savait pas pourquoi il faisait ça, pourquoi tous les soirs, inlassablement il s'y dirigeait, pourquoi tous les soirs il montait ses marches, pourquoi il frappait à cette porte, et pourquoi lorsqu'elle s'ouvrait, il pénétrait dans cette pièce en laissant la porte se refermer derrière lui. Il se retrouvait alors couper du monde, couper de la réalité, de cette réalité qui faisait de lui l'élu, celui sur qui tous les espoirs résident, comme si juste lui pouvait finir cette guerre qui commençait à peine.
Alors oui, l'élu, tous les soirs avait besoin rien qu'un temps de ne pas être vu comme celui qui les sauverait tous mais comme un homme, un homme qui avait quelque chose à offrir de facile, son corps.
Tous les soirs, il avant besoin de se sentir humain et pas seulement une arme pour les forces du bien qui une fois sa mission accomplie n'aurait plus aucune fonction.
Cette pièce, cette chambre était celle de son « ennemi » de Poudlard, Draco Malfoy. Qui mieux qu'un ennemi peut vous faire vous sentir vivant. De plus, Draco avait fini par le connaitre avec ces six ans de confrontations, cela faisait bien longtemps qu'il savait qui était le véritable Harry.
C'est pour ça qu'Harry était une fois de plus dans cette chambre où des choses peu avouables c'étaient et allaient se passer. Draco Malfoy allait profiter de lui, de sa détresse bien sûr mais surtout de son corps et cela convenait parfaitement à Harry.
Sans un mot il commença à se dévêtir, enlevant d'abord sa chemise, la déboutonnant bouton après bouton, la faisant glisser sur ses épaules et terminant sa couse sur le sol. Puis, d'un geste rapide il retira chaussures et chaussettes. Vint alors le tour de son pantalon et pour finir son boxer suivit le chemin du reste de ses vêtements.
Alors, Draco, comme averti, sorti de sa salle de bain, nu, prit la main d'Harry pour le conduire à son lit. Tout cela sans un mot, avec un milimétrisme qui semblait étudié.
Ils se couchèrent et ce pour quoi Harry venait tout les soirs, inlassablement, commança.
