Bonjour à tous et à toutes, si par hasard il y a du monde évidement xp.
Ceci est le première fanfic que je publie.
J'espère que l'histoire vous plaira.
En espérant bientôt lire vos avis.
Je vous retrouve en bas.
Clarke marchait seule dans les rues de New York, la nuit était tombée depuis plusieurs heures déjà mais elle ne parvenait pas à trouver le sommeil.
Elle ne saurait pas dire pendant combien de temps elle avait déambulée dans les boulevards sombres et combien de kilomètres elle avait tracé.
Mais de toute façon elle s'en fichait, elle n'avait qu'une envie se vider la tête.
Du haut de ses 18 ans elle n'appréciait plus la vie…
Du haut de ses 18 ans elle ne voulait plus vivre…
Elle avait déjà pensé maintes fois au suicide mais à chaque fois elle n'avait pas eu le courge de se porter le coup final.
Sa vie n'avait plus de sens, et visiblement la mort ne voulait pas d'elle. Adepte de sport tel la chute libre ou la moto-cross, elle savait ce que c'était que prendre des risques.
Depuis son plus jeune age ses parents l'avaient toujours encouragée à apprendre différents sports elle était donc passé par toute sortes de disciplines que ce soir gym, parkour, systema, escalade et plus encore.
Mais elle avait même perdu le goût des frissons et de l'adrénaline que lui procurait chacune de ces pratiques qu'elle maîtrisait toujours mais qu'elle n'utilisait plus.
C'était dimanche, et cela signifiait qu'elle allait devoir assumer cette sortie dans quelques heures quand le soleil se lèvera pour l'accompagner à son début de semaine de cours.
Son année de terminale avait bien commencé en ce qui concernait ses études, mais tout le reste tournait mal et cela n'allait pas en s'arrangeant.
Élève au Queens High School of the Science, plus communément appelé QHSS, pour sa troisième année de science, elle ne pouvait plus attendre d'avoir son diplôme et de partir dans une université loin de New York, et surtout loin d'Elle.
Clarke sortit de ses pensées et regarda sa montre, quand elle vit l'heure qui y figurait elle sentit son ventre se nouer. 02:17… Elle n'avait pas vu le temps passer et elle ne s'était pas attendu à ce que la nuit soit aussi avancée.
Ce fut presque la terreur qui la gagna quand elle fit demi tour pour revenir de la ou elle était partit.
Elle couru à toute jambes à travers New York, ne calculant même plus les ivrognes qui lui adressait la parole tellement elle était apeurée.
Elle priait silencieusement pour qu'Elle se soit endormie, heureusement elle n'était pas allé trop loin, elle n'était même pas sortie de son quartier du Queens, Jamaica estates.
Elle continua de courir et son stress montait à une vitesse fulgurante. Elle n'avait plus qu'une centaine de mètres pour voir sa maison.
Un énorme soulagement la gagna quand elle vit que les lumières d'intérieures de cette dernière étaient éteintes.
Elle ralentit la cadence jusqu'à marcher et reprit son souffle, elle se sentait stupide de s'être affolée pour rien. Sa maison était individuelle, comme quasiment toutes celles du quartier et possédait un petit jardin d'entrée et un terrain à l'arrière parsemé d'arbres. La maison en L était relativement grande et comportait un étage. La jeune femme vivait depuis 1 ans maintenant.
Elle emprunta le sentier de terre et gravit le pavillon en toute discrétion, elle sortit la clé de sa poche et retint sa respiration quand elle l'inséra dans la serrure, ou du moins elle essaya. Elle ne parvenait pas à rentrer un millimètre de clé. Après plusieurs tentative elle abandonna.
Elle fit le tour de la maison, regardant toute les fenêtre dans l'espoir que l'une d'elles soit ouverte mais aucune ne lui offrit ce qu'elle voulait.
Elle revint devant la bâtisse et laissa couler une larme. Ce n'était pas un hasard si la clé était encore dans la serrure alors qu'Elle ne laissait jamais traîner son trousseau… Elle l'avait volontairement enfermé dehors.
Clarke pouvait dire adieu aux quelques heures qu'elle avait espéré passer dans son lit.
De plus elle était persuadé qu'elle ne pourrait même pas aller chercher ses affaires de cours.
A quoi bon rester ici devant une maison qui de toute façon resterait close, autant continuer de marcher.
Pendant plusieurs minutes Clarke déambula dans son quartier, elle commençait à avoir froid mais n'osait pas demander l'hospitalité à ses voisins. Elle croisa les bras pour tenter de se réchauffer un peut, elle se demanda ce qu'elle pouvait bien faire de nuit et seule dans le froid.
Ma vie est vraiment merdique !
S'écria elle pour elle même, elle était à bout et si le froid ne la forçait pas à avancer pour créer de la chaleur elle se serait déjà écroulé en pleurs.
Ses pas la menèrent tout seuls hors du quartier et vers un bar ouvert. Sans plus réfléchir elle poussa la porte et entra dans la pièce lumineuse. Elle se fit rapidement envelopper dans la chaleur bienvenue de la pièce.
Le pub était quasi désert, seulement trois personnes étaient présentent. Clarke se dirigea vers le barman qui séchait un verre.
- Que puis-je pour vous mademoiselle ?
Demanda il poliment et avec le sourire en posant son verre et son torchon pour consacrer toute son attention à la jeune femme qui s'accouda au bar. Clarke lui sourit en retour, cela lui faisait du bien de voir enfin une personne avenante, avant de répondre.
- Un verre de Vodka s'il vous plais.
L'homme la regarda avec étonnement, il scruta le visage fatigué de sa cliente avant de dire.
- Je veut bien vous le servir ce verre, mais il me semble que vous avez cours aujourd'hui, êtes vous sure que ce soit une bonne idée ?
Clarke fronça les sourcils, elle n'avait pas l'habitude que quelqu'un fasse attention à elle de cette manière, le garçon en face d'elle devait vraiment être quelqu'un de bien. Elle objecta toutefois en se penchant vers le jeune homme.
- J'ai vraiment besoin de ce verre.
Le barman hésita un instant avant de hausser les épaules et de se saisir la bouteille de Vodka et de remplir un shooter avant de le tendre à la blonde qui but cuit-sec sous les yeux effarés du jeune homme. Elle apprécia l'effet de chaud que lui procura presque instantanément l'alcool et sourit encore une fois.
Quel que soit le hasard qui l'avait mené dans ce bar elle se dit qu'elle ne pouvait pas assez le remercier.
Elle ne savait pas à quel point elle avait raison et à quel point elle se trompait en même temps.
Cela faisait une demi heure que Clarke enchaînait les shots et elle était un peu éméchée. Elle était maintenant assise à une table seule et ruminait bruyamment les mésaventures de sa nuit. Soudain, la coupant dans ses pensées, la porte du bar s'ouvrit et laissa rentrer un couple.
Clarke n'y prêta pas attention et continua à bouder dans son coin. Jusqu'au moment ou elle entendit son nom. Ce ne fut pas ce qui la choqua. Non, ce fut le grain de voix qui s'en chargea. Son corps frissonna et elle releva la tête. Ses craintes furent confirmée quand elle le vit. Finn. Son ex, qui l'avait trompé deux semaine plus tôt après plus de deux ans de relation se tenait devant elle, immobile et visiblement tout aussi choqué qu'elle, au bras de sa pupute.
Tout était parfait chez cette dernière, que ce soit son maquillage, ses habit ou ses cheveux, mais le pire était son regard plein de jugement qu'elle portait à l'ex de son petit ami.
Finn sortit de sa torpeur et fit quelques pas vers Clarke, celle ci ne se leva pas et se contenta de le dévisager. Il la dégoûtait.
- Clarke (répéta-t-il) Je … je peut m'asseoir.
Les deux jeunes femmes firent une grimace, bien que pour des raisons différentes, aucune des deux ne voulait que Finn prenne place sur cette chaise. Mais il le fit tout de même sans attendre de réponse.
- Tu vas bien ?
Clarke ricana, elle n'avait aucune envie de parler à ce garçon qui avait brisé la seule attache qu'elle avait encore à ce monde.
- Non, pas depuis que tu est là… Et toi ?
Le jeune homme ne réagit pas à la pique et fit comme si de rien n'était en répondant naturellement.
- Je vais plutôt bien, comment se passe ta vie depuis… enfin… tu vois ?
Dans d'autres circonstances Clarke serait partie sans demander son reste, mais à cet instant l'alcool et la fatigue aidant elle cracha ces paroles.
- Dit le ! Assume ! « Comment se passe ta vie depuis que je t'ai salement trompé avec la première salope du coin » !
Finn se fit tout petit face au dures propos de son ex. Par contre ce fut l'autre blonde qui réagit, elle s'approcha de Clarke et la regarda de haut.
- Qui est ce que tu traite de salope !?
S'énerva elle en rapprochant son visage de celui de Clarke.
- ÇA SUFFIT !
Cria le barman en voyant que le situation allait dégénérer, mais personne n'écouta et Clarke répliqua.
- Excuse moi… si pouffiasse te parait plus appropri…
Elle se fit stopper dans sa phrase par la main de la blonde qui s'abattit avec force sur sa joue, faisant pivoter sa tête et laissant le goût métallique du sang envahir sa bouche.
Elle n'eus pas le temps de se redresser qu'une main saisit sa nuque et plaqua son visage à la table, elle entendit un murmure tout près de son oreille.
- Retourne à ta misérable vie avant de retrouver ton père en enfer.
Si elle avait pensé a se débattre, cette idée l'avait abandonné au moment ou son père avait été évoqué. Seule une immense tristesse l'anima.
Elle se laissa faire, complètement soumise au bon vouloir de cette fille.
Mais, d'un coup, elle senti la pression sur sa nuque disparaître, elle se redressa curieuse et vit que quelqu'un lui était venu en aide, ce n'était pas le barman... c'était une femme.
Et elle semblait assez imposante pour faire reculer la fille sans avoir ni a parler ni à la toucher.
Finn se leva pour affirmer sa virilité et protéger sa petite-amie, mais la femme, dont Clarke ne pouvait distinguer que le dos mais qu'elle respectait déjà, le saisit par le col et dit.
- Je vous conseille de quitter ce bar… tout de suite !
Elle eu à peine le temps de finir sa phrase que se firent entendre des coups de feu, rapidement suivi par le fracas de vitres brisées et de cris.
Clarke eu tout juste le temps de comprendre qu'on tirait sur le bar qu'elle sentit une vive douleur puis plus rien.
Clarke reprit connaissance pendant un court instant, la douleur était si forte que sa vue en était brouillée. Elle se sentait ballottée, quelqu'un la portait, mais ou ? Et surtout pourquoi ?
Puis ce fut le noir total.
La première chose que Clarke sentit fut son son bras, puis sa tête commença à la faire souffrir.
Elle dut se concentrer pour ouvrir les yeux. Elle les referma aussitôt quand la vive lumière blanche agressa ses pupilles.
Elle refit l'effort de rouvrir les paupières mais du toutefois les battre plusieurs fois pour s'habituer à la clarté, elle ne vit rien pendant quelques secondes, puis des formes indistinctes, et un son parvint enfin à ses oreilles, son qu'elle ne put identifier.
Lentement sa vue revint à la normale, elle entendait des voix mais le sifflement incessant dans ses oreilles couvrait les paroles.
Elle ne voyait qu'un plafond blanc. Elle commença à paniquer, ou était elle ? Elle n'en savait rien. Pourquoi son corps entier la faisait souffrir ? Très bonne question. Que c'était il passé durant son inconscience ? Et pourquoi avait elle été inconsciente ?
Dans ce flot de questions, seule la dernière la fit prendre conscience des événements passés. Le bar, Finn, sa petite amie qui l'avait blessé, la fusillade… Qui avait tiré ? Pourquoi ? Et visant qui ? Comment avait elle pu en sortir vivante ? Un détail lui revint soudainement.
La jeune femme qui avait fait battre en retraite Finn et son affreuse compagne. Qui était elle ? Et surtout pourquoi était elle venue à son aide ? Ou était elle maintenant ?
Tant de question qui restait sans réponses, Clarke commençait sérieusement à avoir peur, très peur.
Un visage apparu dans son champ de vision, la faisant sursauter ce qui lui provoqua une grande douleur.
La personne, une femme, au dessus d'elle la regardait avec un grand sourire et commença à bouger les lèvres. Au bout de quelques secondes d'incompréhension, Clarke entendit vaguement ses paroles.
- Comment… sentez-vous ?
Comment vous sentez vous ? Devina Clarke, soulagée, elle ferma les yeux et tenta de parler mais le seul son qui sortit de sa bouche fut un souffle rauque.
- De l'eau ?
Clarke hocha lentement la tête, c'est ce dont elle avait besoin. Elle rouvrit les yeux et constata que le visage avenant de la femme avait disparu. Elle revint moins d'une minute après.
- Vous pouvez vous redresser ?
Demanda elle, Clarke sourit intérieurement, ses oreilles semblait revouloir fonctionner correctement. Et répondit encore d'un hochement de tête, elle avait mal mais elle avait envie de voir ou elle était. Elle s'assit lentement, aidée de la femme, les dernières peurs de la blonde s'envolèrent quand elle reconnu une chambre d'hôpital, l'infirmière ne tarda pas à lui présenter un verre d'eau. Clarke leva le bras pour le saisit mais son bras la fit soudainement souffrir. Elle vit alors un bandage qui recouvrait tout son avant bras, elle eu un moment d'inquiétude, quels étaient les dégâts ?
- Vous avez été blessé durant la fusillade, dont nous ne savons toujours qui sont les responsables, la blessure est peu profonde et relativement superficielle, vous aurez une cicatrice mais rien de plus.
La rassura la femme à ses cotés. Clarke, apaisée, prit de verre de son autre main et but la totalité du liquide rafraîchissant.
Elle le rendit à la soignante, celle ci recommença à parler.
- Vous vous souvenez de tout ?
Sa voix ne lui faisant plus défaut, Clarke répondit par l'affirmative, oui, elle pensait se souvenir de tout. Soudain une question la frappa, si elle avait survécu qu'en était il des autres ?
- Et les autres ?
S'empressa de demander Clarke, la réponse sembla mettre une éternité a arriver.
- Deux morts sont à déplorer ( la blonde avala sa salive, la peur au ventre) un client et le barman ont perdu la vie, une fille de votre age environ à été légèrement touchée au ventre son petit ami n'a rien eu ainsi qu'un autre clients qui est en train de témoigner en ce moment.
Clarke serra les dents, elle ne connaissait quasiment voire pas du tout le barman, mais il avait l'air d'un type bien. Elle se surprit à être soulagée que Finn n'ai rien. L'infirmière reprit.
- Puis il y avait cette jeune femme…
Sa phrase resta en suspens, Clarke tourna la tête vers elle, la priant silencieusement d'en dire plus. La femme sembla hésiter.
- Qui était-ce ?
Demanda Clarke, la poussant à continuer. La docteur fronça les sourcils, elle semblait confuse.
- Je… je pensait que vous auriez pu me le dire.
Dit elle. Ce fut au tour de Clarke de tomber dans l'incompréhension, pourquoi pensait elle cela ? Elle avala sa salive et répondit.
- Il ne m'a pas semblé connaître cette femme, je l'ai à peine vu dans le bar.
L'infirmière se saisit d'une chaise et s'assit à coté du lit, elle chercha ses mot quelques secondes, mais ces dernières semblèrent durer des heures pour Clarke.
- Elle était à vos cotés lorsque les secours vous ont trouvé, quand vous nous avez été amené en urgence, elle à attendu tout le long de votre opération dans le couloir et resté dans la chambre lors de votre sommeil, c'est là que j'ai remarqué qu'elle avait une sévère blessure à l'épaule, elle avait reçue une balle, pourtant elle n'a pas voulu que nous la prenions en charge, elle est partit lorsque vous avez ouvert les yeux.
Clarke ne comprenait pas, pourquoi être resté à ses coté, qui plus est blessée, pour partir au moment ou elle reprenait connaissance ? Comportement étrange pour une inconnue.
Comment devait elle l'interpréter ? Une multitude de question se chamboulèrent dans sa tête.
-Elle était comment ? Elle à parlé ?
Ne put elle pas s'empêcher de demander la blonde. La soigneuse répondit aussitôt.
- À peu près la vingtaine, assez grande, 1m75 peut être, long cheveux bruns et légèrement ondulés, plutôt jolie… voir extrêmement belle, un gabarit fin mais athlétique, des yeux vert et un regard qui vous glace le sang.
Clarke buvait ces paroles, elle chercha dans ses connaissance qui pourrait répondre à ces critères mais elle ne trouva pas… elle ne connaissait manifestement pas cette femme. L'infirmière reprit.
- Elle n'a quasiment pas ouvert la bouche, elle a parlé une fois au téléphone mais à part pour nous dire qu'elle se chargerait de sa blessure elle n'a rien dit.
Clarke était choquée, une parfaite inconnue qui avait tout du profil de la bombe que tout les garçons convoitent, l'avait aidée et accompagné durant sa guérison et était partie sans rien dire.
Clarke resta interdite durant une petite minute, elle fronça les sourcils.
Non, cela ne lui convenait pas, elle voulait savoir qui était cette personne aussi mystérieuse qu'étrange et pourquoi elle l'avait aidé. Elle voulait savoir son nom. Connaître son visage. Croiser son regard. Lui parler…
Sans plus réfléchir elle sortit ses jambes du lit et se mit debout avant que l'infirmière n'ai pu intervenir.
Tentant de la retenir, la femme s'offusqua.
- Vous ne pouvez pas vous en allez tout de suite, vous êtes encore trop faible, ou sont vos parents ? Aucun d'eux n'est venu.
Clarke avala sa salive, mais se força tout de même à sourire et à répliquer le plus calmement possible.
- Il se trouve que j'ai 18 ans, mes parents ne viendrons pas de toute façon donc… je pense que je vais m'en aller.
Elle illustra aussitôt ses propos en marchant vers ses vêtement qui avaient été posé sur une chaise voisine, elle s'en saisit, et se dirigea vers les toilettes sous le regards emplis d'inquiétude de l'infirmière.
Clarke s'habilla en faisant attention à sa blessure et ressortit des WC. L'infirmière lui donna des instructions pour qu'elle s'occupe de son bras.
Clarke n'écouta qu'à moitié, elle voulait sortir de cet hôpital, elle se fichait d'être blessé ou non, elle se sentait totalement bien.
Son bien être fut de courte durée quand elle vit qu'a la sortit du bâtiment se tenait des dizaines de journalistes qui devaient sans doute attendre les miraculés de la fusillade.
Elle même en était une… elle avait du mal à y croire, elle ne savait pas comment cela avait été possible.
Elle regarda le monde amassé devant les portes et les médecins qui l'imploraient de rester plus longtemps.
Elle n'avait ni envie de traverser cette foule qui n'attendait qu'elle ni envie de rester une seconde de plus ici, elle avait d'autre choses a faire.
Comme aller en cours… combien de temps avait elle raté ?
Elle regarda sa montre qui affichait 14:56, elle n'écouta pas les médecins, ouvrit une porte et fonça dans la foule ou elle se fit assaillir par des micro et un vacarme de question.
Elle se fraya un passage à travers la petite foule et parvint à s'en détacher. Elle se dépecha de rentrer chez elle, de plus le temps se couvrait et elle n'avait pas vraiment envie d'être mouillé.
Elle passa à la pharmacie acheter ce dont elle avait besoin pour se soigner et reprit la route qu'elle connaissait bien qui menai jusqu'à chez elle.
Cette fois ci quand elle glissa la clef dans la serrure, celle ci fut docile et elle entra, le silence et les lumières éteintes la laissa penser qu'elle était seule. Elle traversa la cuisine, pris l'escalier pour monter au premier et ouvrit la porte de droite.
Elle était enfin dans sa chambre, elle décida de ne pas aller en cours ce jours la et se coucha.
Clarke se réveillait doucement, elle avait dormis à peine une demi heure mais elle n'était pas fatiguée. Elle se redressa lentement sur son lit et regarda sa chambre. Un lit deux place, un bureau, une armoire et une salle de bain constituaient ce petit espace qui était le sien.
Elle se leva du lit, elle devait retrouver cette femme, pour la remercier au moins.
Elle fit la moue, comment allait elle s'y prendre ?
Ce ne fut qu'a ce moment là qu'elle sentit un objet dans sa poche, elle le sortit, intriguée, et constata que c'était une morceau de papier plié.
Sure de ne pas avoir laissé quoi que ce soit dans ses poches, elle déplia le papier, le cœur battant.
Sur la feuille était joliment écrit en lettres minuscules.
Pour ton propre bien,
ne tente pas de me retrouver.
Clarke tremblait presque, sa sauveuse lui avait laissé un mot, et bien que ce ne soit pas ce qu'elle avait espéré c'était déjà énorme.
Elle sourit, la jeune inconnue tentait encore de l'aider, ou alors il s'agissait d'un simple stratagème pour qu'elle la laisse tranquille. Mais peut importe, bien qu'infime, elle avait une piste.
Si ces mots auraient pu dissuader certains de continuer, ils donnaient à Clarke une envie encore plus dévorante d'en trouver l'auteure.
Voila le premier chapitre, j'espère que ce début vous aura plu.
Toutes les critiques seront acceptés, qu'elles soit positives ou négatives.
En espérant vous retrouver pour le chapitre 2
Fast Indigo.
