Auteur : JCM-EFD (Jes Cullen-Malfoy et Emmoirel-For-Drarry)

Titre : Une journée pas comme les autres

Rated : M

Couple : Draco et Harry

Genre : Romance / Humour

Disclaimer : Voir fin du chapitre


Note commune des auteures : Juin 2011 : Nous avons repris cette histoire pour la corriger de fond en comble (du moins on a essayé ^^) Le deuxième chapitre, qui était trop long, à été coupé en deux. Et en bonus, une vidéo Youtube a été créée pour plus de facilité (mais aussi notre plaisir). Il y aura donc, dans cette republication, la minute correspondant à la vidéo pour les passages concernés. Mais attention, ne vous reposez pas uniquement sur la vidéo, Emmoirel n'ayant pas pu tout mettre à chaque fois, pour cause de temps limité par Youtube.

La première image correspond à l'ancien titre de la fiction, mais tout le reste est toujours lié à la fic ^^

Voici le lien (n'oubliez pas d'enlever les espaces dans l'adresse ^^)

http : / / www . youtube . com / watch?v=kjDDB5hx4fc


Note d'Emmoirel For Drarry : Rien à dire, gros délire, lol.

Note de Jes Cullen-Malfoy : Je me teste à l'humour. Vous m'en direz des nouvelles (^-^). Juste un petit conseil, ne vous fiez pas à cette impression juste d'un gros délire, il y a une vrai histoire derrière.


Chapitre 1


Je sortais de ma salle commune, en ce matin, et sans m'y attendre, tombais sur une scène des plus inédites. Je voyais mes deux chiens de garde chanter, se rendant ridicules, devant quelques Serpentards et Serdaigles.

Mais qu'est-ce qu'ils chantaient au juste ?

Je m'avançai en jouant des coudes et quand je fus devant tout le monde, j'entendis un élève de Serdaigle s'exclamer :

- Refaites-le !

Et pour la plus grande honte de ma maison, « mes amis » rechantèrent leur chanson tout en mimant les paroles :

C'est moi Goyle
C'est toi Crabbe
C'est toi le gros et moi le petit
C'est moi Goyle
C'est toi Crabbe
Et nous sommes de bons amis

Quand un y va, l'autre le suit
Toujours ensemble, toujours unis
On se dispute mais qu'est-ce qu'on rit
Nous sommes Goyle et Crabbe

*0m09, mais pas entière*

Quand ils eurent fini, je devais être blanc comme la mort. Et surtout, j'étais mort de honte.

Je me fondis, en toute hâte, dans la masse d'élèves et je pris la direction des escaliers. Je devais absolument me défaire de ces deux abrutis car là, ils venaient sans conteste de me faire descendre dans l'estime de ma maison, car même si je ne leur parlais pas, ils étaient constamment à mes côtés.

Je me stoppai soudain et me dis que l'on devait me faire une immense blague. J'étais en train de passer devant le bureau de mon parrain, Severus, quand j'entendis cette chose qu'il chantait.

Je m'approchai, curieux et choqué, et entrouvris la porte.

Je crus défaillir en le voyant chanter, avec un sourire niais plaqué sur le visage, comme s'il était devant une personne :

Neville je t'aime
Neville je t'aime
Vraiment c'est bien toi le plus joli
Neville je t'aime
Neville je t'aime
Et je sais que tu es mon âme sœur

Neville je t'aime
Neville je t'aime
Mon rayon de soleil c'est toi
Neville je t'aime
Neville je t'aime
Même dans mes sombres cachots

*0m15*

Je n'en croyais pas mes oreilles.

En plus de voir l'impossible, c'est-à-dire, voir mon parrain chanter pareille chanson, j'apprenais qu'en plus, il aimait la calamité en potion, nommée Londubat.

Une nausée de honte pour tout ce qui m'entourait monta et ce fut d'un pas rapide que je me dirigeai vers la grande salle, pour tenter de voir des gens normaux.

Une fois les doubles portes ouvertes, je soufflai de soulagement car aucun élève ne chantait. Je pris la direction de ma table mais à mi chemin, le pire dans ma vie arriva. Le directeur grimpa sur la table devant lui et commença, sans aucunes explications, à chanter lui aussi :

Et je mange, mange, mange ces bonbons qui me plaisent
Et je suce, suce, suce c'est ma façon d'manger
Ces bonbons citronnés jusqu'au bout de la nuit
Réveille en moi le tourbillon d'un vent de folie

Et je mange, mange, mange ces bonbons qui me plaisent
Et je suce, suce, suce c'est ma façon d'manger
Ces bonbons citronnés jusqu'au bout de la nuit
Réveille en moi le tourbillon d'un vent de folie

*0m39*

Il fut suivi de près, comme dans un cauchemar, par McGonagall qui se mit elle aussi sur la table, brandissant sa baguette et mettant toute sa hargne dans ses paroles :

McGonagall GO! Baguette magique en action
McGonagall GO ! Va accomplir ta mission
Dans l'infini
Des sortilèges
Poursuis ta lutte infernale
Du bien contre le mal

McGonagall GO !
McGonagall GO !

*0m55*

Ne pouvant plus et ne voulant plus entendre une autre personne chanter, je fis demi-tour et, sans aucune grâce, courant en prenant mes jambes à mon cou, je me dirigeai vers le parc, ayant soudain besoin de prendre l'air.

Je me demandais aussi pourquoi tout ces gens se mettaient à chanter comme ça. Et ces chansons inconnues, quelles étaient-elles ?

Certainement des trucs moldus !

Un frisson me remonta en me remémorant McGonagall brandissant sa baguette telle une épée. Merlin, elle devenait sénile, elle devait peut-être penser à se faire interner à Sainte Mangouste, en embarquant le vieux directeur avec elle par la même occasion.

Me rendant compte que mes pas m'avaient mené près de la serre, je pris place sur un banc à proximité et fermai les yeux. Je devais être en train de faire un mauvais rêve et j'allai me réveiller.

Ou bien, Vous-Savez-Qui avait fait boire une potion délirante à toutes ces personnes. Mais pourquoi, dans ce cas là ?

Je me massai les tempes pour oublier toutes ces horreurs quand une autre voix, chantante, pour ne pas changer, se fit entendre. Voulant voir par curiosité qui poussait la chansonnette maintenant, je me levai et suivis la voix.

Je tombai sur « l'élu du cœur » de mon parrain, qui fredonnait en passant dans les allées de plantes :

Dites-lui que j'ai peur pour lui
Dans les cachots quand il fait noir
Quand j'entends ces paroles acerbes
Oh, je veux crier mon désespoir
Dites-lui que je pense à lui
Dans une grande serre de Mandragores
Et que si toutes les fleurs sont belles
Elles crient souvent, dans mes oreilles
Des Mandragores par centaines
Des Mandragores comme autrefois
Je ne sais plus comment faire
Les Mandragores sont toujours là

*1m26*

Ne voulant plus entendre cette voix si niaise, je courus, pour la deuxième fois de la journée, vers le lac, espérant y trouver le calme.

Une fois arrivé au bord, je pris place sur un rocher et jetai un caillou dans l'eau. Je l'entendis ricocher mais une voix assez déprimée remplaça le bruit de mon caillou sur l'eau :

Harry, je m'appelle Harry
Je suis un sorcier
comme les autres

Harry
J'ai mes joies, mes peines
Elles font ma vie
Comme la votre
Je voudrais trouver l'amour
Simplement trouver l'amour

*2m20*

Cela ne pouvait être que Potter et je ne savais pas comment réagir.

Aller à sa rencontre pour me moquer de lui ou fuir cette énième chanteur de la journée ?

Je choisis l'option la plus Serpentarde et pris la fuite. Ne regardant pas où j'allai, je fus choqué de me rendre compte que mes pas, dans la précipitation, m'avaient conduit aux abords de la forêt interdite. J'allai faire demi-tour et revenir dans les limites du parc quand derrière un énorme tronc, je me figeai.

Il y avait devant moi, Vous-savez-Qui, ma tante et cette bonne femme rose bonbon. Je ne savais pas comment réagir une fois de plus.

Et puis, pourquoi étaient-ils là ? Une attaque était-elle prévue ?

Je n'eus pas à me poser la question, car le Mage Noir ouvrit la bouche et entama :

Oui, je suis Voldemort
(Horreur)
Je suis un lord, je suis en vie
(Horreur, malheur)
Oui, oui, oui, je vis dans l'obscure
(Horreur)
Je pue la sueur et la luxure

Je tue, j'étripe, j'ai tous les vices
Et je tuerai, c'maudit survivant
Je vous déteste, je vous maudis
J'suis complèt'ment pourri

*2m57*

Quand il laissa la parole à ma tante, je pris peur. Merlin, cette femme ferait peur à n'importe quel homme, alors si en plus elle se mettait à chanter !

Oui, c'est moi Vampirella
(Horreur)
Malheur à ceux qui ne m'aiment pas
(Horreur, malheur)
Oui, oui, oui, mon cœur est en pierre
(Horreur)
Je fais l'amour comme une panthère

Mes amants, j'les écorche vifs
Et je les fouette, je les doloris
J'fais des trucs cochons avec des chaînes
Aux moldus des cachots

*Pas présent sur la vidéo*

Après les paroles si... troublantes de ma chère tante, je voulus fuir avant d'entendre l'autre garce vêtue de rose, parce qu'il était inévitable qu'elle aussi aller pousser la chansonnette, mais elle commença avant que je puisse être assez loin pour ne pas entendre sa voix s'élever :

Oui, je suis l'inquisitrice
(Horreur)
J'suis vieille, j'suis moche, j'suis une mégère
(Horreur, malheur)
Oui, oui, oui, sur mon balai maudit
(Horreur)
J'aime bien faire mal aux tous petits

Je fais bouillir des mains de pendus
J'mange des crapauds, des rats tout poilus
J'fais des potions pour séduire les hommes
Puis j'les mords quand ils dorment

*Pas présent sur la vidéo*

Je voulais retourner dans ma chambre et me rendormir pour oublier tout ce que j'avais entendu depuis ma sortie de la salle commune.

Afin de m'éloigner de ces trois mangemorts, je me mis à courir comme un fou à travers la végétation et je fus heureux quand je remis les pieds sur l'herbe du parc. Seulement, je m'en étais éloigné plus que je ne l'aurais cru, vu que je me rendis compte qu'au lieu d'être dans le parc en lui même, j'avais atterri près du terrain de Quidditch.

Je me mis à marcher, lentement, ne voulant pas que les élèves qui assistaient à l'entrainement me voient courir. Cela n'était pas digne d'un Malfoy.

Je m'assis même dans les gradins de ma maison, pour observer la fin mais surtout pour me remettre du choc. Je venais tout de même de voir le Mage Noir. Mon cœur battait vite et je devais être plus blanc que d'habitude.

Ce fut les applaudissements qui me firent revenir au présent et je vis avec bonheur mon meilleur ami descendre et poser les pieds au sol. Je me levai alors en vitesse et allai vers lui. Je devais lui expliquer tout ce qui m'était arrivé !

- Blaise, criai-je.

Au lieu de me répondre, il posa son balai au sol et commença à faire ce que je ne voulais surtout pas qu'il fasse par Salazar !

Il se mit à chanter, tout en tournant autour de moi, en balançant ses hanches de façon très prononcée :

T'es un chaud gars
Tu danses un peu bancal mais c'est bon
Mouvement de hanche
Mouvement bangala

Ambiance secousse
Ambiance de la brousse
Ambiance de l'amour
"A tous les Griffy et tous les Serpy"

Saga Africa
Ambiance de la brousse
Saga Africa
Attention les secousses

*2m23, mais pas entière*

Pendant ce temps là, regardant le ciel devant cette fatalité, je pus voir Madame Bibine sur son balai, qui s'était mise à chanter elle aussi. Elle survolait le terrain en se dirigeant vers le lac :

Voyage, voyage
Plus loin que l'terrain de Quidditch
Voyage, voyage
Dans le ciel, sur mon nimbus 2000
Voyage, voyage
Survolant l'eau du lac de Poudlard
Voyage, voyage

*3m38*

Mais qu'elle y aille faire son voyage, et qu'elle arrête de me casser les oreilles avec sa chanson, en plus elle chantait faux.

Blaise toujours dans sa dance… africaine, ne se rendit pas compte que je partais en le laissant là. Mais à peine avais-je fait trois pas, que je reçus un cognard derrière la tête.

Le choc avait dû être rude, car je me retrouvai dans une cellule d'Azkaban avec mon père. Ce qui n'était bien sûr pas possible.

Et là, pour mon plus grand malheur, mon père chanta lui aussi, en regardant à travers les barreaux de sa cellule :

Le lundi au soleil
C'est une chose que je n'verrai plus jamais
Chaque fois c'est pareil
C'est quand je suis derrière mes barreaux
Que j'moisi là que le ciel est beau
Qu'il doit faire beau sur les plaines
Le lundi au soleil

*4m02*

Voulant sortir d'ici et ne plus entendre une seule personne chanter, je ruai la porte en fer de coups et je fus heureux quand elle s'ouvrit. Sans attendre, je sortis de cette cellule. Mais je fus troublé et complètement paniqué, car j'avais atterri non pas dans un couloir sombre, mais dans la chambre à coucher de mes parents, au manoir, où je voyais ma mère se regarder dans un miroir.

A mon grand désespoir, elle se mit aussi à chanter :

Belle
C'est un mot qu'on dirait inventé pour moi
Quand je danse et que j'met mon corps à jour, tel
Un phénix qui étend ses ailes pour s'envoler
Alors je sens l'enfer s'ouvrir sous mes pieds

Belle
Malgré mes grands yeux bleus qui vous ensorcellent
Moi, demoiselle serais-je donc encore pucelle ?
Quand mes mouvements vous font voir monts et merveilles
Sous mon jupon aux couleurs de serpentard

*4m22*

Quand elle eut fini, je pris un vase qui était à côté de moi et le balançai sur le sol. Il explosa et moi aussi :

- J'EN AI ASSEZ DE TOUTES CES PERSONNES QUI CHANTENT ! JE VEUX QUE CELA CESSE !

Sans attendre, je sortis de la chambre et courus à travers les couloirs du manoir, dévalant les marches comme un fou.

Arrivé à la fin, j'en ratai une et quand je me relevai, je fus paniqué, du fait que je ne me trouvai plus dans le hall de chez moi, mais juste devant les portes de Poudlard.

Je devenais complètement fou ! Je devais absolument retrouver ma chambre et réfléchir à tout ce qu'il se passait.

Je poussai les portes, dans un grand fracas et ce fut, avec l'envie de pleurer, que j'entendis et vis ce sale cracmol pousser la chansonnette :

Mais quand Miss teigne,

Qu'est une bonne chatte,

Me lèche les orteils
Ca me gratouille,

Ca me chatouille,

Ca me donn' des idées
J'fais qu'des bêtises,

Dans les couloirs
J'peux point m'en empêcher
Merlin m'pardonne,

J'suis la bonne de Dumby

*5m11*

Finalement, je décidai de me rendre à la bibliothèque, pour voir si je ne pouvais pas trouver de réponse à mon problème dans un grimoire. Quelqu'un avait dû lancer un sort sur Poudlard. Je ne voyais pas comment expliquer que toutes les personnes que je croisais chantent. Ou alors c'était à moi que l'on avait lancé un sort ?

Toujours est-il qu'en arrivant à la bibliothèque, je tombai sur Granger et Théo, installés à une même table, dans la même situation que les personnes que j'avais croisé. Leur chanson à eux était :

Qui a eu cette bonne idée
Un jour d'inventer l'école

Qui a eu cette bonne idée
Un jour d'inventer l'école
C'est ces sacrés fondateurs
Sacrés fondateurs

Participe passé
4 et 4 font 8
Leçon de potion
De métamorphose
Que de, que de travail
Sacrés, sacrés, sacrés

Sacrés, sacrés, fondateurs

*5m29*

Mais le clou de l'humiliation dans cette scène, fut Weasley. Il chanta, tout en regardant sa copine Miss-je-sais-tout et mon ami Théo. Il avait un air désespéré et chantait à qui voulait l'entendre :

C'est quand même bien un roux
Les roux comptent pas pour des Scroutts.

On a du caractère, et dans nos artères
C'est du sang chaud qui coule
On la joue pas cool.
Attention aux roux
Les roux comptent pas pour des Scroutts.

On a plus d'idées, que les peroxydés
C'est sûr qu'on en jette
Plus que les blondinets
On a plus d'éclat, que ces pauvres gars-là
Et puis voilà.

*5m59*

Je fis demi-tour, en ayant assez entendu pour toute une vie, et décidai de me rendre dans le seul endroit où j'étais sûr de n'entendre personne chanter.

Je montai tous les étages le plus vite possible. Une fois arrivé tout en haut, j'eus envie de me jeter dans le vide. Une autre personne chantait et cette personne était la prof de divination :

Un jour, mon Prince viendra,
Un jour, on s'aimera,
Dans son château, heureux, s'en allant
Goûter le bonheur qui nous attend !

*6m35*

Décidant que je devais plutôt trouver de l'aide, je pris le chemin de la grande salle.

Une fois arrivé, le souffle court, ce fut pour me voir, moi, m'avancer pour m'arrêter devant un Potter figé. Mais qu'est-ce que c'était que ce bordel ? Pourquoi je me voyais ?

Ca me déplairait pas, que tu m'embrasses
NA NA NA
Mais faut saisir ta chance, avant qu'elle passe
NA NA NA
Si tu cherches un truc pour, briser la glace
BANANA BANANA BANANA

C'est le dessert
Que sert
L'abominable prince des glaces
A l'abominable survivant
Qui est un amour de dessert
BANANA NA NA NA NA BANANA SPLIT

*7m01*

J'étais figé, outré, honteux mais terriblement excité par la situation. Je me voyais faire des propositions indécentes, à travers les paroles de la chanson, à Potter. A Potter !

Et ce petit con avait l'air d'être plus que tenté par lesdites propositions. Il rougissait et regardait mon double avec des yeux affamés. Il se léchait même les lèvres, se rapprochant de plus en plus de mon double. Mais arrivé à sa hauteur, il se tourna face à moi, mon vrai moi, et me dit :

- Draco, je suivrai le prince de glace volontiers, pour faire tout ce qu'il veut, mais avant j'ai quelque chose à te dire. Du moins nous avons tous, ici, quelque chose à te dire.

Et là je vis tous les élèves et professeurs se lever, enfin tous ceux présent dans la grande salle, et ils se tournèrent vers moi.

Et pour quoi ? Pour chanter !

Personne dans le monde, ne marche du même pas
Et même si la Terre est ronde, on ne se rencontre pas
Les apparences et les préférences
Ont trop d'importance, acceptons les différences

C'est vrai
Faut de tout, tu sais
Faut de tout, c'est vrai
Faut de tout pour faire un monde

Personne dans la vie ne choisit sa lignée
L'important c'est d'écouter son cœur
Moldu ou sang-mêlé ou sang pur, très bien !
C'est la sienne, tu as la tienne et j'ai la mienne
Alors tendons-nous la main

Tu sais
Faut de tout pour faire un monde
Oui c'est vrai, tu sais
Faut de tout pour faire un monde

*7m20, mais pas entière*

Je me réveillai en sursaut, le cœur battant. Je fus heureux de constater que tout ceci n'avait était qu'un cauchemar.

- Qu'est ce qu'il se passe mon ange ?

Je me tournai vers la gauche et vis le regard inquiet de la personne qui avait volé mon cœur.

- Rien, répondis-je, j'ai juste fait un terrible cauchemar.

- Raconte-moi, me dit-il en me prenant dans ses bras.

Je lui racontai tout, sans rien oublier et quand j'eus fini, il me dit :

- Tu voudrais bien me montrer ce que le prince de glace voulait me proposer comme dessert ?

Je me dis qu'avec tout ce que je venais de lui dire, il n'avait retenu que ça. Quel pervers !

- Tu... tu n'as retenu que ça ? ! Demandai-je dans l'espoir que cela n'était pas le cas.

- Non, mais c'est ce qui m'a semblé le plus important. Car c'est une partie de ton cauchemar que tu peux transformer en rêve, maintenant, si tu le souhaite, me dit-il avant de m'embrasser.

Je me laissai embrasser et après un petit moment, je pris le dessus et me plaçai à califourchon sur lui, en lui demandant, avec mon air innocent :

- Que veux-tu que je te fasse exactement Harry ?

- Et bien dans ton cauchemar je te proposai apparemment de faire tout ce que tu voulais de moi. Alors je te laisse faire. De toute façon ça ne pourra être que bien, vu que c'est toi, l'homme que j'aime, qui le fera.

Je le fis taire par un baiser et commençai à rouler des hanches. Mon cauchemar s'éloignait de moi, ne laissant que lui, mon Harry, dans mon esprit et cela pour le reste de la nuit.


Disclaimer : L'univers Harry Potter appartient à JKR, et les chansons à leurs auteurs et interprètes. Elles sont classées par ordre de passage dans l'OS.

« Laurel et Hardy », interprété ici par Crabbe et Goyle.

« Juliette je t'aime », interprétée ici par Severus.

« Nuit de folie », interprétée ici par Dumbledore.

« Goldorak go », interprétée ici par McGonagall.

« Magnolia forever », interprétée ici par Neville.

« Hélène », interprétée ici par Harry.

« La salsa du démon », interprétée ici par Voldemort, Bellatrix et Ombrage.

« Saga africa », interprétée par Blaise.

« Voyage, voyage », interprétée ici par Bibine

« Le lundi au soleil », interprétée ici par Lucius.

« Belle », interprétée ici par Narcissa.

« La bonne du curé », interprétée ici par Rusard.

« Sacré Charlemagne », interprétée ici par Hermione et Théodore.

« Les brunes comptent pas pour des prunes », interprétée ici par Ron.

« Blanche-neige », interprétée ici par Trelawney.

« Banana split », interprétée ici par Draco

« Arnold et Willy », interprétée en chorale.


Note d'Emmoirel For Drarry : Moi j'aimerai bien avoir votre avis. Quelle est la chanson modifiée de ce chapitre que vous préférez ?

Note de Jes Cullen-Malfoy : Comme Emmoirel, je me demande qu'elle chanson est ou sont vos préférées. Bisou et merci d'avoir lu.


(^-^) Jes Cullen-Malfoy

ET

Emmoirel-For-Drarry and Emmoirel-For-Snarry


**Doublement « Yeux de chat Potté »**

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