Salut !
J'ai lu le dernier tome des Héros de l'Olympe et franchement... je n'arrive pas à croire que c'est déjà fini ! ( et d'ailleurs j'ai vu que je n'étais pas la seule à être "euuuuhhhhh ?" devant cette fin, non mais c'est quoi ça ? Ce n'est pas une fin c'est... une sorte de... d'invention d'Héphaïstos le genre jamais terminé et qui fonctionne pas ( j'arrive pas à trouvé autre chose pour illustrer ça). Franchement Ricky t'as osé nous faire ça... à nous !)
C'est pas juste ! Parce que je surkiffe les Héros de l'Olympe et Percy Jackson. Alors, dans mon coin j'ai voulu créer une petite fanfic qui prendrait la suite pour me consoler et consoler les personnes de mon avis.
Comme Nico Di Angelo est mon personnage préféré. J'ai voulu créer l'histoire autour de lui parce que mis à part le fait qu'il a une orientation sexuelle différente et qu'il est né dans les années 40, qu'il a une sœur et une mère décédées, qu'il est le fils du grand Hadès, qu'il peut faire apparaître des zombis et ben on en connaît pas tant que ça !
Autre chose, le moment où Zeus disait qu'il allait punir Apollon a tout de suite éveillé ma curiosité et j'ai voulu savoir ! Je. Veux. Savoir ! Donc je me suis un peu imaginé différentes façons de punir un dieu des arts et des prophéties !
Surtout que Python est encore à Delphes et que personne ne s'en est occupé ! Oui je sais que c'est pour ne plus avoir à être préoccupé par ces prophéties ! Mais moi je ne veux rien savoir ! Parce que les prophéties ne font qu'énoncer un avenir proche ou lointain, au choix et c'est grâce à elles qu'on évite les GROS problèmes genre Gaïa ! Car elles anticipent le futur !
Puis d'autres morts sont resté à la surface ! Vous vous rappelez tous ceux que la Mère Terre a fait revenir pour qu'ils puissent exercer leur vengeance ! Donc pour vous lecteurs et lectrices, j'ai inventé ce qui pourrait bien être la suite ! Alors régalez vous bien ! Et comme on le dit chez Nico ! Buon appetito !
1. Nico
Il marchait d'un pas très rapide sans trop faire attention à ce qu'il l'entourait. Droit devant lui, il continuait son chemin sans prendre de directions différentes.
La rue était presque déserte autour de lui. Ce qui lui parut étrange car il était pourtant dans une ville et toutes les conditions étaient là pour que la rue soit pleine.
C'était un beau temps pour sortir même si personne ne semblait le remarqué mis à part lui. Le peu de personne se trouvait comme noyé dans un ennui profond. N'ayant pour beaucoup, aucunes occupations digne de ce nom. Certaines se trouvaient devant des boutiques à faire du lèche vitrine. D'autres restaient sur des bancs à nourrir les pigeons.
On était en plein après midi. Le soleil était chaud, un peu trop à son goût.
Celui-ci se reflétait sur les maisons à ses côtés dont les couleurs tournaient autour du gris métal et du blanc. Elles étaient toutes identiques comme les émissions que les chaînes aimaient bien mettre en boucle à la télé. Parfois elles alternaient avec des hauts grattes ciels qui montaient pour certains dans la cinquantaine de mètre. La vue n'en valait vraiment pas la peine !
Il avait voyagé dans tellement d'endroit. Vu des paysages plus somptueux les uns que les autres, que ce morne décor n'éveilla pas du tout son attention.
Il détestait la ville. Pourtant il était né dans l'une d'entre elles. Il y avait vécu un certain moment. Mais c'était à une autre époque. Depuis, tout avait changé. La solidarité qui était empreinte autrefois dans chacun des habitants s'était désagrégée plus on avançait dans le temps. Une société du chacun pour soit avait pris place peu à peu, pendant la guerre. Après tout, tout le monde cherchait à sauver sa peau. On ne pouvait plus faire confiance à qui que soit car dans tous les cas la personne vous trahissait à la fin.
Alors que l'Italie était dirigé par la dictature. Sa mère, sa sœur et lui avaient subi la même chose.
Bianca et lui étaient des demi-dieux, des enfants d'Hadès. En temps réel, ils ne pouvaient faire confiance à personne. Sachant que tout le monde était peut-être de mèche avec le Duce qui avait mis en place un mouvement nazis.
En plus de cela, les troupes de soldats n'étaient pas composé tout le temps de simples mortels. Les monstres pouvaient se retrouver recrutés parfois par l'armée, ne se doutant pas une seule seconde de la nature de leur soldat. Mais durant ces années, il n'y avait pas besoin d'être un vrai monstre pour en être un.
Les monstres s'amusaient alors à traquer les demi-dieux, sans trop de soucis, puisse qu'ils étaient couverts par la dictature. Il faillait donc pour les demi-dieux une prudence bien plus grande.
Alors qu'il tentait de faire profil bas, les enfants d'Hadès attirant beaucoup l'attention à cette époque. Plusieurs de ces créatures s'étaient mises à leur trousse.
Il se rappelait encore du visage paniqué de sa mère. Elle ne se sentait jamais en sécurité, jamais à l'abri d'une quelconque attaque. Nico à ce moment, ne savait pas que sa mère voyait des choses. Qu'elle voyait bien mieux que n'importe quel mortel. Le seul moment où elle se sentait à l'abri. C'était quand son père était présent.
Il se rappelait qu'ils avaient dû se déplacer maintes fois avant de se poser à un endroit plus calme. Ils étaient arrivés dans un vieil hôtel délabré plus lugubre à l'intérieur qu'à l'extérieur. Cet hôtel était repoussant assez pour éloigner les curieux.
Ces curieux étaient pires que les monstres eux même. Par leur faute ils avaient bien failli mourir. On pouvait les qualifier de "mouchards".
Autrefois on était au courant des moindres faits et gestes de l'armée, et du coup de qui était poursuivi par les troupes du Duce. Ils s'étaient faits "moucharder". Pourtant ils étaient restés enfermer dans cet hôtel pendant plus d'une semaine, essayant de ne donner aucun signe de vie. Mais ça n'avait pas marcher.
Les gens mouchardaient souvent afin d'attirer les faveurs des soldats et espéré faire ami-ami avec qu'eux. "C'est bon ! T'es mon ami maintenant ! Alors tu pourrais éviter de tuer ma mère et de violer ma sœur". Sauf que vous vous doutez bien que ça ne fonctionnait pas.
Les soldats avaient attaqué pendant la nuit alors qu'ils dormaient paisiblement. Ils avaient d'abord entendu les bruits causés par le carnage que faisaient les monstres dans l'hôtel pour les trouver. Leur mère courut vers sa sœur et lui, complètement paniquée. Mais ils ne pouvaient pas s'enfuir. C'était trop tard ! Ils étaient cernés.
Elle les attira alors sous le lit afin de se cacher.
Ce fut le pire moment de sa vie. Les coups sur la porte étaient tellement forts qu'à chaque coups Nico sursautait. Sa sœur à coté de lui, sanglotait en silence. Sa mère, elle, disait des prières en italien, les yeux fermés.
Soudain on entendit plus un seul bruit. Un silence de mort régna dans la pièce. Il vit à coté les deux personnes qui comptaient le plus pour lui, qui retinrent leur souffle. Ce qu'il faisait sans s'en rendre compte. Les minutes qui suivirent, furent les plus longues de sa vie.
Quand le silence fut brisé par un hurlement d'horreur. Puis plus rien.
Sa mère sortit alors de la cachette bloquant le passage à Bianca qui la suivait.
- Restez ici ! ordonna t-elle.
Leur mère se dirigea vers la porte et s'engouffra dedans. Quand il ne la vit plus. Il commença à angoisser et alla se blottir auprès de sa sœur. Elle n'était pas plus effrayé que lui sans doute pour qu'il évite de s'inquiéter. Il se sentit rassuré. Voir qu'il était aimé suffisamment pour qu'elle cache ses sentiments pour lui, lui faisait de l'effet. La chaleur de sa sœur était douce et réconfortante. Sa respiration contre lui, lui rappelait qu'il était encore vivant. Il adorait sa sœur et n'aurait jamais voulut qu'elle parte. L'amour fraternel était bien plus important que n'importe quel amour pour lui.
Leur mère revint quelques minutes plus tard pour les chercher.
Quand il sortit. Le spectacle qui s'offrait à lui était atroce. Il y avait des éclaboussures de sang absolument partout. Les corps, eux, Nico ne préféra pas les regarder. Puis ils sortirent enfin de l'enfer que représentait cet hôtel.
A présent, il savait que c'était à son père à qui il devait ça. Il tenta de penser à autre chose que des souvenirs comme cela.
Il continuait à marcher étouffé par l'air irrespirable qui flottait autour de lui.
Il se dit pendant un court instant qu'il aurait pu le comparer à celui du Tartare. Mais se rendit compte qu'il y manquait les odeurs nauséabondes. A la place, des effluves de parfum naviguaient dans l'air, se mélangeant aux fumées des cheminées et des pots d'échappement des voitures. La cause de cette pollution était due à la chaleur qui régnait dans cet après midi et le manque d'arbres de cette ville.
Les grattes ciels donnaient l'effet d'une prison d'air qui ressemblait à l'amphore de bronze, sans le ciel, sans les maisons et les immeubles, sans les trottoirs, sans les boutiques... Bon ça ressemblait pas tant que ça à l'amphore de bronze. Mais l'air que l'on y respirait, sì, car il était dur et sans pitié.
Il avait de quoi provoqué une asphyxie et il n'y avait même pas ce bref courant d'air frais pour soulager le tout. Il y avait été enfermé pendant six jours si ses souvenirs étaient bons.
Sans savoir pour quelle raison, il se souvint de Venise, sa ville natale. Il revit les rues étroites, l'humidité qui était présente dans l'air. Les maisons de pierres abimés à cause de la brume envoyée par les canaux. Les canaux ruisselant entre les maisons, les barques naviguant sur l'eau et le soleil lourd caractéristique des pays méditerranéens.
Tout cela lui manquait un peu. Même si il savait parfaitement qu'il pouvait y retourner quand il voulait. Il avait une bonne raison. Il ne voulait remuer davantage ses souvenirs passés. Un peu plus jeune, il avait voulu les retrouver mais il l'avait regretté. Parfois savoir, impliquait une plus grande responsabilité, le lourd fardeau de la vérité.
A présent tout ça était derrière lui !
Il stoppa toutes ses pensées, tous ses souvenirs. Il n'y avait plus de quoi remuer davantage les eaux.
Il avait promis qu'il resterait à la colonie des Sang-mêlé. Mais en ce moment lui aussi était dans un ennui profond. Il avait décidé de s'aérer car la déco de son bungalow avait de quoi faire peur.
Pourquoi associait t-on forcement les enfants d'Hadès à des vampires ? Il ne comprenait vraiment pas. Ca le dépassait complètement. Il n'avait rien de commun à un vampire.
En parlant de ça ! Il trouvait débile la fixette que les filles faisait sur eux. Ils avaient traversé presque quoi... un siècle ! Et tous les "vampires" qu'ils avaient rencontré n'avaient vraiment rien d'attirant ni de ressemblant au (beau) célèbre Edward. Il trouvait ça assez pathétique.
Il avait alors donc entreprit de réaménager tout ça à la façon Di Angelo et avait donné des instructions précises à Albert. Pour ce qui était de ce qu'il attendait. Depuis le temps qu'il avait ce zombi offert par son père, celui-ci avait su faire ses preuves, plus d'une fois et se montrait très serviable. Au moins il ne servait pas uniquement à conduire des voitures.
Il avait alors ensuite décidé de faire quelques petits achats, histoire d'aérer aussi sa garde robe et son intérieur.
Lorsqu'il se trouva face à un énorme complexe.
C'était pour ça, qu'il avait marcher depuis tout ce temps, sous ce soleil d'août. Le bâtiment était énorme. Il avait appris que les américains aimaient voir grand et que ce grand complexe n'était pas leur première exemple. Il avança droit devant lui, déterminé à entrer.
C'était un immense centre commercial, les couleurs primaires étaient le métal et le gris encore... Pour l'ambiance, morbide cette ville gagnait en tout point.
Il entra par des portes coulissantes dans lesquelles se faufilaient d'autres personnes. Quand il passa enfin il arriva dans une salle presque aussi lumineuse que l'extérieur. Il cligna des yeux plusieurs fois tentant de s'habituer à la luminosité intérieure.
Le lieu avait l'air moins désert que les rues dans lesquelles il avait marché jusqu'à maintenant. Devant lui se dressait plusieurs magasins vendant tout et n'importe quoi. Il y en avait pour tous les goûts. Mais aucun n'attira son attention. Ils avaient tous une sorte de déco de noël alors qu'on y était absolument pas. Comme-ci tous les magasins s'étaient trompés de mois.
Les guirlandes de lumière étaient accrochées partout. Plusieurs décorations décoraient les vitrines des magasins. Il ne savait pas trop où il était. C'était un des innombrables inconvénients du vol d'ombre. Il n'avait pas précisé l'endroit où il voulait aller. Il avait simplement pensé à un centre commercial et les ombres l'avaient déposés à cet endroit.
Il déambula dans le grand hall d'entrée encore plus guirlandé que tous les autres magasins, cherchant à trouver le magasin de ses rêves. Quand il tomba nez à nez devant un supermarché nommé Walmart.
Nico avait beau vivre depuis quatre ans en Amérique. Il avait vraiment du mal à se faire aux habitudes américaines qui ne ressemblaient pas du tout à celles de son pays natal.
Mais ce supermarché aurait vraiment pu habiter les rêves les plus profonds de Percy car il était fait entièrement en bleu. En passant par les caddies, les caisses, les étagères, les gilets des caissières, il y en avait absolument partout. A tel point que Nico n'aurait pas été étonné s'il voyait les caissiers peint en bleu. Il savait à quel point son ami était fou de cette couleur.
Il s'avança vers les rayons où étaient disposés divers produits et commença à se promener entre les différentes parties du magasin. Ce magasin était vraiment la parfaite image d'un supermarché. Il y ressemblait à tout ce qu'il y avait de plus normal.
Il y avait une atmosphère plutôt calme qu'il se surprit entrain de penser que les monstres lui manquaient. Il détestaient le calme.
Oui ! D'ailleurs pourquoi était-ce aussi calme ?
Pourtant le magasin aurait du être plein à craquer vu la foule qui se trouvait à l'entrée. Alors que là, il n'y avait pas un chat.
Il continua à parcourir les rayons quand son regard se posa sur une personne qui le dévisageait bizarrement. Il continua son chemin sans faire attention à elle. Mais discrètement, il regarda derrière lui et vit qu'elle le suivait.
Il avait l'habitude de se faire dévisager par les mortels mais là, à se faire suivre. Soit il devenait parano soit elle voulait un autographe soit cette personne n'était tout simplement pas ce qu'elle prétendait être.
Il pencha plutôt pour la dernière option.
Son poursuivant était un garçon. Il devait avoir à peu près la trentaine. Il avait un look à la cowboy, c'est à dire chapeau, ceinture et bottes intégrées. Sa ceinture retenait un jean coupé droit dans lequel était rentré une chemise à carreau rouge. Son visage était sévère démarqué par des pommettes hautes. Il ressemblait au indien qu'on voyait dans les films. Il avait leur regard farouche. Le fait qu'il le fixait ne rassurait pas du tout Nico.
Il pensa à Piper qui avait selon elle des origines amérindiennes. "Quel scoop !"
Il décida de le semer. Il accéléra alors le rythme puis tourna bon nombre de fois à différents endroits. Alors qu'il vérifia derrière lui, s'il avait réussi à semer son poursuivant. Il percuta quelque chose. Quand il se trouva nez à nez avec un vendeur. Une volute surchargée d'eau de Cologne lui parvint aux narines.
- Bonjour je m'appelle Trevor, dit le vendeur un grand sourire au visage. Puis je vous aider ?
A semer un gars qui veut ma mort ! Oui ! Avec joie, pensa Nico.
Le vendeur qui se trouvait devant lui était petit, même du haut de sa taille d'enfant de quatorze ans. Nico le dépassait. Il avait toujours ce sourire aux lèvres qui mettait en valeur ces dents ultra blanches ( sans doute grâce à elles qu'il l'avait décroché ce poste). Ses cheveux étaient plaqués en arrière comme dans les années 40. Les soldats étaient coiffés de la même façon à l'époque.
Il portait un gilet bleu où était inscrit derrière " Puis je vous aider ?". Son regard était rivé sur Nico ce qui le mit mal à l'aise. Il détestait l'idée que quelqu'un puisse le regarder aussi fixement. Surtout que ces yeux paraissaient ne jamais s'être fermé. Comme-ci il ne connaissait pas ce que voulait dire "cligner des yeux". A tel point qu'ils étaient rouge et irrité.
- Non c'est bon ! décida t-il de répondre.
Alors qu'il allait passer son chemin et s'en aller. Le vendeur revint à l'attaque.
- Demandez-moi ce que vous voulez ? continua le vendeur.
Dis donc, il est lourd celui-là !
- Ecoutez ! commença Nico, en regardant derrière lui, guettant l'arrivé imminente de son traqueur. Je n'ai pas trop le temps. Il faut que je parte. Et je suis sûr que vous avez des clients qui ont plus besoin de votre aide que moi.
Le vendeur fronça les sourcils pas du tout convaincu par ce que venait de dire Nico. Nico non plus n'était pas convaincu par ce qu'il venait de dire car le supermarché était quasiment vide.
Les seuls clients qui s'y trouvaient était lui et le cowboy furax.
Mais par Hadès ! Nico n'avait jamais vu de vendeur aussi collant. Il décida de ne pas s'éterniser ici. Il partit en arrière. Mais le vendeur l'accompagna dans sa fuite désespérée. Nico pouvait carrément dire qu'il s'était mis deux personnes à dos.
Il commençait vraiment à flipper et comprit pourquoi il n'y avait personne ici. Les personnes qu'il rencontrait se mettaient à le poursuivre dans tout le magasin. Lorsqu'il vit qu'ils les avaient semé. Il se cacha en dessous d'une table où était exposé des légumes et des fruits frais à moins 50% qu'il n'aurait jamais acheter.
Il ne voulait pas se battre, pas ici. Il fallait qu'il sorte maintenant et vite. Il regretta tout de suite de s'être plaint de l'absence des monstres.
Il détestait avoir l'impression d'être de la nourriture pour monstres sur patte. Cette cachette n'allait pas resté longtemps une cachette. Le plan était donc très simple: courir très vite jusqu'à la sortie en faisant gaffe à ne pas sortir d'ici mort.
Il pouvait dire adieu à ses petites emplettes tranquille.
Il entrouvrit le rideau qui le gardait caché sous la table. Il cherchait à voir si les deux étaient dans les alentours. Ne voyant rien, il sortit d'un bond et se mit à courir plus vite que ses jambes le permettaient.
Voilà ! J'ai arrêté le chapitre pile poil au bon moment. Là où le suspense est le plus présent. Va t-il réussir ? Va t-il leur échapper ? Mais que va t-il se passer, nom de Zeus !
Bon maintenant c'est à votre tour d'écrire pour que je puisse profiter de vos talents d'écriture en terme de reviews. Faites-moi rêver ! Dites-moi ce que vous pensez et j'écrirais alors la suite. Allez ! A la prochaine ;{ (smiley moustachu vous salut !)
