Bonjour à tous ! ^^ Voila, une toute nouvelle et surtout toute première fic, une grande première pour moi ! Pour l'instant je n'ai écrit que le prologue que vous avez sous les yeux mais je me suis déjà mis à la confection du premier chapitre, là où les choses sérieuse commencent, si je puis dire ! ^^ Bon avant toute chose, un peu de blabla habituel pour bien commencer et sur ce, je vous souhaite une bonne lecture !

Disclamer : Est-ce bien utile que j'informe les éventuels lecteurs que tous les personnages de Naruto ne m'appartiennent pas ? Bon, on est bien d'accord !

Little Warning : Cette fic n'est surtout pas pour les âmes sensibles, je préfère prévenir mais bon... Sérieusement, qui prend les avertissements au sérieux ici ? Personne ? C'est bien ce que je pensais. Bon, pour faire rapide : Violence puis sûrement quelques scène pas très catholiques, je pense surtout à des lemon et, sans vouloir spoiler, peut être quelques allusions à des viols, encore que c'est pas sûr. Et surtout, du YAOI !


Prologue : Trop, c'est trop !

- Trop, c'est trop ! Trois fois en seulement deux semaines, tu te rends compte ?! Naruto continuait de jouer à déchirer un morceau de papier, s'amusant, tout ça pour oublier que son parrain était en train de lui faire la morale depuis plus de cinq minutes. Il leva prudemment les yeux vers l'homme qui posa sur lui un regard plein de reproches.

- Combien, Ô combien de fois t'ais-je dis d'arrêter tes bêtises ?! Tu n'écoutes dont vraiment rien ?! Tu es irrécupérable ! Et écoute moi quand je te parles Naruto ! Lança-t-il d'une voix qui appelait à l'obéissance, un discours de bonne conduite pathétique Naruto connaissait sur le bout des doigts...

- Ce n'est pourtant pas l'éducation que tu as reçu que je sache, puise que c'est moi qui t'ai élevé ! Non mais tu as vu la réputation que tu me fais dans le cartier ? Tout le monde...

- Tout le monde ne parle que de moi, je sais..., finit-il, excédé, et surtout lassé d'entendre encore et toujours la même rengaine.

- Ne te permets pas de prendre cet air contrarié ! Tu m'entends ?! C'est ta vie sociale que tu fous en l'air, imbécile ! Le blond se leva, soupirant d'agacement, en rangeant la chaise sur laquelle il était précédemment assis sous la table.

- C'est ça, dans ta chambre... Et que je ne te revois plus avant nouvel ordre... Fit-il dans un souffle, en saturation totale. Il se pinça l'arrête du nez, complètement dépassé, alors que l'adolescent prenait dors et déjà le chemin de sa chambre.

Il y entra comme un courant d'air, soufflant d'une légère colère, avant de la claquer derrière lui et de s'y enfermer à clé, histoire d'avoir la paix un moment. Il grinça des dents en envoyant un violent coup de poing dans son armoire déjà amochée, sûrement à force de subir ce genre de traitement. Il jura à voix basse avant de se laisser tomber sur son lit, prenant un oreiller et le serrant contre lui. Les volets étaient fermés et seul et trait de lumière venait corrompre la parfaite obscurité.

Naruto fixa un instant le lampadaire clignotant par la fente verticale avant de se tourner face au mur en inspirant profondément. Il ferma les yeux une seconde pour écouter les nombreux bruis de cette grande ville, plus particulièrement de ce quartier populaire qui était devenu son territoire. Ici tout le monde le connaissait. Mais pas pour de bonne raisons...

Il était connu de tous pour ses nombreux méfaits. Et ce jour là, une fois de plus, il avait été ramené par les forces de police jusqu'au poste où il avait passé ce qu'on peut appeler un sal quart d'heure. Il avait été accusé d'avoir commis un vol dans un magasin, ce qui était justifié puise qu'il en était en effet l'auteur. Puis Jiraya était arrivé, s'interposant entre lui et le policier furieux qui était sur le point de le cogner. Le pire c'est que personne n'aurait rien dit... Personne ne semblait le comprendre, mais lui tout ce qu'il voulait c'était un peu d'attention... Au début ça semblait marcher, tout le monde riait en parlant de Naruto le petit chapardeur mais avec les années, on à commencer à vraiment le considérer comme un voleur...

Quand il ne se faisait pas prendre, ça allait, mais lorsqu'il était pris sur le fait... Il savait que ça allait faire le sujet d'une méga dispute avec son tuteur... Comme ça avait été le cas ce soir. Ni les psychologues, ni les assistantes sociale, si n'importe qui n'avait jamais réussit à comprendre ce qui pouvait passer par la tête de ce garçon qui ne pouvait pas s'empêcher de faire des bêtises à tout bout de champs, des bêtises de plus en plus grosses, et sur lesquelles ils ne pourraient bientôt plus fermer les yeux. Au fond de lui, et il ne savait absolument pas comment, il était sûr que ce coup-ci était celui ce trop... En apprenant sa, son assistante sociale allait débarquer comme une fleur en beuglant comme la vache qu'elle était que ce n'était pas si dur de se tenir à carreaux, tout de même !

Une fois de plus il allait l'envoyer balader, comme il le faisait toujours... Mais il était persuadé que cette fois ci ça ne se passerait pas comme ça... M'enfin, le lendemain le lui dirait... Il ferma les yeux une bonne fois pour toute et s'endormit, sans même prendre le temps de se déshabiller, toujours recroqueviller sur lui même, comme un enfant incompris... C'est peut être ce qu'il était au fond... Mais il refusait de se l'avouer, voilà tout...

Ce sont les coups durement frappés à la porte d'entrée qui firent office de réveil, le lendemain matin. Il grogna en soulevant les paupières. 10 heures ? Ouais... Autant dire qu'il avait eu la flemme de se sortir du lit plus tôt, pour pas changer. Il posa les pieds par terre en baillant, puis s'aperçu qu'il portait toujours son sweet bleu ciel et son jean, et que ses cheveux blonds rebelles étaient en bataille sur sa tête. Il l'ouvrit mollement la fenêtre d'un air excédé pour voir qui venait troubler son profond et apaisant sommeil. Il jura mentalement. Merde, la vieille bique !

Il regarda un instant l'extérieur avant de lâcher un "Oui" à contre cœur en soupirant. Son assistante sociale, cette vieille peau... Elle était bien à sa porte... Il descendit les escaliers, une grimace se dessinant sur son visage à demi endormi. Ca devrait être interdit de sortir les gens du lit, surtout quand on sait que ceux-ci n'ont absolument pas envie de nous voir... Mais apparemment la vieille ne voyait pas ça comme ça. Naruto ouvrit la porte et sans même qu'il l'autorise à rentrer, elle passa le pas de la porte. Il referme cette dernière derrière la femme en appréhendant ce qui allait suivre.

- Mademoiselle Tsunade... Quelle joie... Ironisa-t-il avec un semblant de sourire.

- Suffit. J'ai été mise au courant de tes derniers exploits vois-tu... Et j'ai pris une décision Naruto. Cela fait bien trop longtemps qu'on te pardonne tes fautes. Il est temps que tu te responsabilise, tu es assez grand. J'ai cru comprendre que tu avais arrêter d'aller au lycée ? (sans même attendre la réponse, qu'elle connaissait déjà, elle continua sur sa lancée) Parfait. J'ai obtenu l'accord de Monsieur Jiraya ton tuteur, et nous avons conclu.

- Conclu quoi...? Risqua le garçon qui s'attendait déjà au pire. Ils allaient l'envoyer où Exactement ? parce qu'il était presque sûr qu'ils allaient lui faire comprendre par la manière forte cette fois ci...

- Nous ne voulions pas en arriver là crois moi mais tu ne nous en laisse pas le choix... Tu vas partir en pensionnat pour une période indéterminée. Tu y suivras des cours cinq jours par semaines comme un garçon normal de ton âge. Et ! (Elle le coupa alors qu'il allait répondre) Aucune négociation n'est possible, tout est définitif, je t'ai même déjà inscrit. Il resta figé un moment, le temps d'assimiler l'information. "Pensionnat". Un pensionnat...?! Elle parlait bien de cette endroit où on envoie tous les gosses dont on veut se débarrasser, non ?

Jamais de sa vie il n'irait dans un trou pareil ! Ca ressemble en général plus à une prison qu'à autre chose... Ca ne lui disait franchement trop rien. Ils ne pouvaient pas le forcer tout de même, si...? Si, ils en étaient capables. Il secoua la tête et se repris, avec un ton surpris mêlé d'une certaine colère, sans doute qu'ils aient fait leurs petites affaires sans demander son avis, ce qui l'agacer profondément...

- Ca va pas ?! Jamais j'irais dans un trou pareil !

- On ne t'en laisse pas le choix, riposta-t-elle d'un ton posé mais sévère. L'ordre était sans appel. Elle sortit de l'appartement et referma la porte derrière elle dans un éco désagréable. Naruto resta planta là, sans savoir quoi faire. Il entendit la voiture de la femme démarrer et s'éloigner. Il serra les poings et les dents à s'en faire mal.

Il remonta dans la chambre plus énervé que jamais et balança un coup de pied si puissant dans la porte de son armoire que celle-ci s'enfonça. Il laissa ainsi libre cours à sa rage pendant plusieurs minutes avant de se laisser retomber sur son lit en reprenant sa respiration. Peu importe ce qu'il devrait faire pour éviter de se retrouver là bas, il le ferait. Après tout il n'était plus à une ou deux fugue près...

Et... Si ça se trouve... Il n'avait vraiment pas le choix... Il allait être obligé d'aller s'enterrer dans un pensionnat où il serait surveillé comme du lait sur le feu 24h/24... Il ne le supporterait jamais... Mais il savait que quand la vieille avait quelque chose dans la tête, elle ne l'avait pas ailleurs... Autrement dit, il allait devoir se faire à l'idée qu'on lui prenait sa liberté, ou du moins ce qu'il en restait... Et puis c'est tout.


Bon, comme je m'appelle pas Crésus et que j'ai pas un correcteur d'orthographe intégré, si vous voyez des fautes vraiment immondes je vous demanderais de me prévenir, ça serait cool, en attendant je vais peut être me chercher une bêta-lectrice... Bref, j'espère que mon Prologue vous aura plut et que le premier chapitre à venir vous plaira tout autant ! Bien sûr rien ne vous empêche de commenter ce que vous en pensez ^^ Bye ! :3