IMPORTANT : Suite de « Sex and love and guns light cigarette » lire la première partie avant celle la pour plus de compréhension !

/!\ Ce qui peut être dit dans ce chapitre n'est en aucun cas le reflet de mon jugement ou mes mots, je ne fais que retranscrire un univers qui aurait pu faire du patron ce qu'il est à nos yeux !

Coucou les filles ! Bon binh à la fin j'ai pas tenu un mois xD ! Ici commence une nouvelle aventure 4 ans après l'épilogue de la partie 1 !

MERCI A MA SUPER BETA DE SUBSTITUTION SWEET INKSANITY NNYYAAHHH 3

« It's like you're my mirror »

PROLOGUE :

Décembre 1990 :

« Maman ? »

Le silence.

« Maman ? T'es où ? »

Le petit garçon ouvrit porte après porte dans le but de retrouver sa mère.

« Maman ? J'ai besoin de toi, pour un exercice de... »

Le garçon stoppa son discours en arrivant devant la porte de la chambre à coucher de ses parents, des bruits qu'il ne pouvait interpréter pour son jeune âge s'échappaient de la pièce close. Il attrapa la poignée, trop curieux de savoir pourquoi sa mère ne lui répondait pas et ouvrit cette dernière.

Il n'osa pas faire un pas de plus quand son regard rencontra les deux corps nus entrelacés sur le lit, le corps dévêtue de sa mère chevauchant un homme qu'il ne connaissait pas en soufflant des syllabes qui n'avaient aucun sens.

Il n'arrivait pas à ouvrir la bouche le spectacle qui lui était offert le subjuguant complètement, à vrai dire le pauvre garçon ne savait pas s'il fallait fuir comme son corps lui criait de faire ou rester là, à observer les deux corps se mouvoir.

Il était fasciné par la peau laiteuse de sa mère où la lumière tamisée de la lampe de chevet créait des ombres orangées et accentuées sur les monts et vallées de sa féminité.

Il n'avait jamais vu le corps nu d'une femme. Du haut de ses 6 ans et demi, sa mère ne lui avait jamais permis de l'apercevoir nue, bien trop pudique pour cela, enfin c'est ce que le petit garçon pensait jusqu'à cette fameuse nuit. Néanmoins, cette nuit-là le petit garçon comprit qu'il vouerait sa vie à la beauté du corps féminin.

Dans un dernier cri, la silhouette tout en courbe de sa mère tomba sur le corps grassouillet de l'inconnu.

« Maman...je... » bafouilla le petit garçon toujours troublé par la nudité des deux protagonistes enlacés sur le lit.

Sa mère ouvrit brusquement les yeux.

« Putain de merde ! Octave qu'est-ce que tu fais là ? »

« Merde, tu m'avais dit qu'il n'y avait personne dans la maison quand je t'ai payé, pétasse ! »

Sa mère ne releva pas, se contentant de se soulever brusquement du corps du client sur lequel elle était encore allongée et d'attraper le peignoir en satin sombre au bord du lit, avant d'attraper le petit Octave par la main en jurant contre son « putain de gosse ».

Le traînant jusqu'à la cuisine, Octave entendit cependant l'homme quitter le petit appartement dans le 19eme arrondissement de Paris en claquant avec fermeté la porte miteuse.

Sa mère finit par le lâcher en l'obligeant à s'asseoir sur la petite chaise de jardin dépareillée avec la petite table récupérée dans le bar en face de l'immeuble, puis se dirigea vers la minuscule fenêtre à côté de l'évier en attrapant son paquet de clope mentho tip au passage et d'en allumer une en la portant à sa bouche.

Une douce odeur de menthe et de tabac se répandit dans la pièce étroite.

« Pas un mot à ton père Octave, c'est compris ? » souffla-t-elle avec anxiété en observant toujours l'extérieur enneigé.

Le petit Octave, leva ses yeux de ses genoux, toujours gêné par ce qu'il avait vu dans la chambre et porta son regard sur sa mère.

Elle avait l'air fatiguée, elle avait perdu son sourire et ses jolies joues roses, depuis maintenant plusieurs mois, depuis que son père avait perdu son boulot et qu'il ne rentrait plus à 18 heure comme avant. Cependant sa mère restait l'une des plus belles femmes qu'il avait eu la chance de voir dans sa courte vie, aucune des mères de ses amis n'arrivaient à la cheville de la sienne, même maintenant. Elle gardait sa sublime chevelure flamboyante d'un roux des plus vifs et ses yeux étaient aussi bleus que les océans qu'il avait pu voir sur la télé microscopique grésillante dans le salon.

Mais aussi bleus que les siens, on lui avait souvent dit qu'il ressemblait à son père, pourtant personne ne pouvait contester qu'il avait les yeux de sa mère.

« Promis je ne dirais rien, Maman. »

« Bien. »

Elle ne se tourna pas vers lui, continuant à tirer sur la cigarette bientôt terminée. Elle disparut juste après pour aller changer les draps et prendre une douche.

Octave avait depuis longtemps oublié ses devoir alors que le manque d'affection se faisait de plus en plus ressentir, avant sa mère le regardait, elle lui souriait même... Elle lui faisait des câlins et le couvrait de baisers comme toutes les mamans, mais plus depuis la perte d'emploi.

Octave détestait son père pour ça... Et pour autre chose aussi.

En parlant de lui, la porte s'ouvrit brusquement.

Son père rentra dans la pièce en titubant se rattrapant de justesse au canapé troué.

Sa mère réapparu aussitôt, habillée et lavée plaquant sur son visage le plus charmant des sourires, le plus factice des sourires.

Elle se précipita vers son mari, attrapant le pack de bière qu'il avait à la main pour le mettre au frigo pour revenir directement lui délasser ses chaussures et lui apporter un verre d'eau avec une aspirine.

« C'est pour ton mal de tête, amour »

Intonation fausse dans ce monde de mensonge dans lequel ils étaient tous enfermés.

Son père ne répondit pas se contentant, d'attraper le verre pour en boire une gorgée avant de le jeter au sol violemment.

« C'est dégueulasse, je veux pas de cette merde ! » laissa-t-il échapper de sa voix pâteuse et désagréable, son haleine empestant l'alcool.

« Excuse-moi Octave, je ne t'en donnerai plus. »

Oui, le petit garçon portait le même prénom que son père, il y a quelques temps encore il en était fier à présent il ne rêvait que d'une chose en porter un autre.

La jeune femme s'agenouilla pour ramasser le verre brisé, ses doigts délicats laissant échapper le sang sous le verre tranchant.

Rouge sur blanc, à vomir.

Son père profita de l'inattention de sa femme pour se lever et la poussa d'un coup de pied violant, pour dégager le chemin.

Octave baissa les yeux sur ses mains, qui serraient avec force son jean trop large alors qu'un glapissement de douleur sortait des lèvres ourlées de sa mère.

Le verre cassé avait entaillé ses genoux délicats.

On entendit un grand « boom » retentir de la chambre où son père avait disparu quelques instants plus tôt.

Et là...

Le cauchemar recommença.

« CHRISTINA BOUGE TON CUL DE SALOPE ET VIENS VOIR CE QUE JE VIENS DE TROUVER ! » Brailla-t-il de sa voix bourrue.

Le corps de sa mère au sol se figea.

Comme pétrifiée, elle leva le regard vers son fils toujours assit dans la cuisine ouverte sur le salon en aussi piteux état.

Elle pleurait. Il n'avait jamais vu sa maman pleurer.

Elle se leva alors doucement, craintive, son père la traitant toujours de tous les noms dans la pièce d'à côté perdant patience. Pourtant elle se dirigea d'abord vers son fils, s'accroupissant pour lui faire face sur la chaise basse.

« Je suis désolée, chaton... »

Elle le prit dans ses bras, en l'embrassant avec force, comme si c'était la dernière fois qu'elle posait ses lèvres sur ses cheveux comme elle avait l'habitude de le faire quelques mois auparavant.

« Tellement désolée... »

Puis elle le laissa là, seul, rejoignant son mari dans la pièce qui faisait face au garçonnet, fermant la porte derrière elle.

Comme pour cacher au monde les horreurs qui se déroulaient dans cette pièce, mais surtout à son fils.

Octave ne bougea pas de cette chaise pendant des heures.

Présent sans vraiment l'être dans la pièce des malheurs, grâce aux bruits...

Oui, les bruits... les meubles jetés à travers la pièce se brisant contre les murs, les hurlements, les supplications, les pleurs et les cris d'effrois et enfin les suffocations, avant le silence.

La porte s'ouvrit enfin, laissant son père sortir de la pièce les jointures de ses mains blanche a l'extrême comme s'il avait forcé sur quelque chose, jusqu'à la rupture.

Perdu, il regarda son fils qui lui faisait face, sans dire un mot, complètement dessoûlé tout d'un coup.

« Octave, prends tes affaires on se casse de cette putain de baraque ! »

Son père récupéra sa veste en cuir sur le porte manteau à l'entrée.

« Putain octave grouille toi ! »

Le petit garçon complètement sonné n'avait pas esquissé un geste.

« Putain de gosse à la con ! » gueula-t-il dans l'appartement silencieux.

Il fonça sur le gamin apeuré l'attrapant avec violence au poignet et le traîna hors de l'immeuble avant de le jeter sur le siège arrière de la vieille voiture.

« Attache ta ceinture on se casse de là gamin ! »

Il enclencha le moteur, démarrant en trombe, faisant crisser les pneus presque lisses sur le verglas et la neige grise par la pollution.

« Père, où est ce qu'on va ? »

Il ne l'avait jamais appelé papa.

« Je sais pas Gamin... »

« Et... Maman... »

« Ta putain de mère ne vient pas avec nous. »

« Pourquoi ? »

Un ricanement las et sans substance.

« Elle ne peut pas. »

La voiture roulant à toute vitesse disparue sur l'autoroute, imperceptible entre les autres véhicules et la neige qui recouvrait de son manteau blanc et pur, la saleté de ce monde pendant un temps.

Juillet 1999, Dans le sud de la France :

Octave porta la cigarette à sa bouche, tirant une latte longue, presque indécente avant d'embrasser la jeune femme blonde qui lui faisait face, partageant le goût du tabac sur leurs langues entremêlées, la fumée embaumant l'espace clos de leurs corps à moitié nus sur le lit, léchant leurs nez avec lenteur et érotisme.

« Putain Joh, je vais te baiser jusqu'à ce que tu n'en puisse plus ! »

La dite Joh, gémit dans la bouche de l'adolescent ténébreux qui l'embrassait avec ardeur... Seigneur jamais un homme ne l'avait embrassée comme ça.

Octave poussa la jeune fille contre le matelas en laissant courir ses mains sur le corps pulpeux s'attardant sur les formes généreuses avec lascivité, s'imprégnant de la chair dessinant de ses doigts le corps alanguis contre lui qui le suppliait d'aller le plus vite.

Il ne voulait pas aller plus vite, il aimait trop le contact de la chair sous ses doigts pour arrêter, la chaleur qui en émanait et le parfum suave de leur excitation mutuelle laissant un arôme musqué sur sa langue.

Laissant sa langue dériver sur la poitrine émergente du corset à moitié défait, il titilla la peau pâle de multiples suçons.

Perdu dans son monde de sensations Octave n'entendit pas la porte dans l'entrée s'ouvrir puis se refermer brusquement !

« PETIT CON TU SAIS PAS DANS QUELLE MERDE TU M'AS FOUTU ! »

La voix qu'il connaissait par cœur et l'écœurait au plus haut point, retentit dans tout l'appartement.

Il se releva en prenant son temps, retirant son perfecto en cuir noir pour le porter sur les épaules de l'adolescente. Il récupéra sa clope encore allumée sur la table de chevet et tira dessus avant d'enfin se diriger vers le salon.

« Quoi ? »

« COMMENT CA QUOI ? C'EST TOI QUI A DIT A ANTOINE DE NE PLUS ME SERVIR D'ALCOOL OU PAS ? »

« Oui, c'est moi. J'en ai ras le cul de venir payer ta putain de caution de merde au commissariat à cause de tes bastons dans les bars, connard. »

Octave ne se permettait ce genre de langage avec son père que depuis peu.

A vrai dire depuis qu'il avait comprit...

Lorsque son père l'avait entraîné dans un road trip interminable de plus d'un an, dépensant toutes leurs économies dans l'essence, l'alcool et la bouffe discount, Octave avait été tenu pour responsable, de tout, absolument tout .

« C'est de ta faute si elle est morte crevard de bâtard ! »

Le coup de pied se porta sur le corps frêle et amaigrit de l'enfant de 7 ans allongé au sol et couvert de bleu.

« Je suis désolé Papa » pleurait-il dans une supplique déchirante espérant que son père arrête cette torture devenue presque constante au cours de l'année qui c'était écoulée.

L'adulte cracha sur le visage dissimulé sous les petites mains écorchées.

« Tu n'es qu'une merde tu m'entends une pauvre merde ! »

Alors il le frappait jusqu'à ce que le gosse s'évanouisse et ne perçoive plus la douleur.

Après ce voyage interminable son père s'était arrêté à Marseille, enchaînant petit boulot sur petit boulot, ne les gardant jamais bien longtemps à cause de ses problèmes d'alcool, multipliant les prêts et donc les taxes qu'il n'arrivait pas à rembourser, obligeant Octave à faire des petits boulots au noir après l'école pour au moins garder le taudis dans lequel ils vivaient.

« PARLE MOI SUR UN AUTRE TON GAMIN SANS MOI TU NE SERAIS PAS LA PUTAIN ! »

Octave ne répondit rien se contentant de regarder son père ivre mort déblatérer des conneries sans aucun sens.

Johanna, enfin Joh, sortit de la chambre alertée par les cris. S'approchant d'Octave elle s'accrocha à son t-shirt noir.

Le père, laissa tomber le combat de regard avec son fils pour se concentrer sur l'adolescente qui avait surgit de la chambre.

« Oh regarde-moi ça ! Tu te tape des petites putes pendant que je me tue à la tâche pour te faire bouffer sale mioche ! » Cracha-t-il avec dédain.

« Cependant Gamin, je veux bien te pardonner si tu me laisse me la taper un coup, t'es d'accord ? »

Octave fit lâcher son t-shirt a la jeune fille en lui disant de sortir de l'appartement avec discrétion. Ce qu'elle fit.

Un ricanement gras, à vomir.

« Voilà que tu joues les princes charmants mon garçon, tu sais ça ne changera rien, si tu veux la baiser tu n'as qu'à la frap... »

L'homme n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'un coup de poing le fit tomber au sol.

« Putain de fumier de fils de pute ! Je devrai t'appeler plus souvent comme ça gamin, après tout ta mère n'était qu'une putain, une sale pute » ricana-t-il en enlevant du dos de sa main le sang qui coulait de sa bouche écorchée.

Octave hurla en se jetant sur son père, le frappant de toutes ses forces à plusieurs reprises, cassant nez et mâchoire sans pouvoir s'arrêter.

L'homme sous lui n'arrêtant pas de rire, comme libéré, l'énervant au plus haut point.

Les coups continuaient à pleuvoir, toujours plus forts toujours plus violents alors que son père avait arrêté de se débattre, complètement défiguré sous la violence de son fils.

Violence destructrice.

Aveuglé par la colère, la violence et la détresse, la peau du visage de son bourreau de toujours étant trop à vif pour être encore frappé, il attrapa la tête au niveau des oreilles avant de la projetait violemment contre le sol.

Un craquement morbide. Le sang ruisselant entre ses doigts.

Octave s'écarta brusquement du corps immobile qui faisait face.

Putain...

Il porta ses mains à son visage et bloqua un cri dans sa bouche en sentant le liquide chaud et poisseux recouvrir ses joues.

Des spasmes violents lui coupèrent la respiration alors qu'il rendait tout ce qu'il avait dans l'estomac près du corps sans vie.

Putain qu'avait-il fait ?

Tournant décisif, dans un univers déjà souillé, par la violence et la haine.

Il se rappela alors quelque chose que sa mère avait tant essayé de préserver en fermant cette satanée porte.

De longs doigts fins, surmontant une main délicate couverte de coupures, inerte sur le sol salle de la chambre parentale, visible derrière le corps crispé de son père meurtrier.

Alors, Il Hurla.

Septembre 2014, Paris :

« PUTAIN TATIANA OU EST-CE QU'ELLE EST ? »

La prostituée ne répondit pas.

Recroquevillée contre un mur, elle n'osait bouger de peur que les coups reprennent.

« Je suis tellement désolée Patron... je ne voulais que votre bien, le votre et celui des filles. »

Il balança le fauteuil hors de prix sur le mur à côté d'elle.

« FOUTAISES PUTAIN ! »

Elle glapit en essayant de confondre son corps avec le mur froid.

Octave croyait devenir fou.

Il l'avait enfin trouvée... cette chose qu'il avait tant cherchée...

Cette chaleur qu'il désirait plus que tout, qu'il avait goûté du bout des doigts il y a de ça si longtemps qu'il n'arrivait même plus à en rêver.

« TU VIENS DE TOUT DÉTRUIRE CONNASSE TU T'EN RENDS COMPTE HEIN ? »

Frénétique et incontrôlable, il se dirigea vers le boudoir, ce boudoir où elle avait été si belle, si femme, un corps qu'il avait voulu chérir où il aurait voulu s'oublier...

Ouvrant le tiroir, il attrapa le flingue chargé, en ne contrôlant plus les tremblements de ses doigts.

Tatiana pleura de plus belle en l'apercevant, elle rampa jusqu'à son maître et lui attrapa l'ourlet de son pantalon.

« Je t'en prie... je t'aime ne me fais pas ça, j'ai fait ça pour nous elle allait tout détruire... mon amour »

« NE M'APPELLE PAS COMME CA ! »

Il repoussa la prostituée d'un coup de pied, avant de braquer l'objectif meurtrier sur cette dernière.

« Tu n'aurais jamais dû me défier... »

Un dernier cri, une balle se logeant au centre des yeux marins.

La porte s'ouvrit brusquement alors que plusieurs de ses filles pénétraient dans la pièce. Elles crièrent et pleurèrent en essayant de réveiller leur sœur.

Mais rien elle n'était plus.

Le patron ne dit plus rien, se contentant de les congédier à leurs taches habituelles d'un mouvement de main.

Comme toujours personne ne protesta... à quoi bon protester, ce n'était qu'un animal, une bête sans cœur ni âme tuant de sang-froid et frappant sans peine, à l'image du monstre qui l'avait engendré...

Un monstre ne pouvait créer qu'un monstre après tout...

Il contacta quelqu'un par texto, ne se souciant même plus du corps mort, ni du sang coulant jusqu'à ses chaussures vernies... bientôt elle ne serait plus là.

Il avait quelque chose de plus important à faire...

La retrouver, la faire revenir -même contre son gré-, et la posséder à nouveau.

Lui faire comprendre qu'elle n'appartenait qu'à lui une fois pour toutes.

Draw était sa propriété, sa muse, sa lumière son idylle, sa perte...

C'est pour ça qu'il la retrouverait même si cela lui prenait des années...

Elle était son miroir, son reflet celui qu'il était, avant d'avoir été endommagé...

« Cause I don't wanna lose you now
I'm lookin' right at the other half of me
The biggest! that sat in my heart
Is a space that now you hold
Show me how to fight for now
And I'll tell you, baby, it was easy
Comin' back into you once I figured it out
You were right here all along
It's like you're my mirror
My mirror staring back at me
I couldn't get any bigger
With anyone else beside me
And now it's clear as this promise
That we're making
Two reflections into one
Cause it's like you're my mirror
My mirror staring back at me, staring back at me »

Justin Timberlake-Mirror

A suivre...