Auteur
: Akira a.ka Onigiri -
Titre
: DreamLess Night
Groupe : The Gazette
Genre:
oula…triste je dirais… et song fic aussi
Disclaimeur
: DLN et Les gazette s'appartiennent entre eux mais ils ne
sont pas à moi --'
Déclaration
de l'auteur : Chui vraiment accro à cette chanson pis
en voyant la traduction j'ai eu envie d'écrire une fic dessus,
voila ce que ça donne. Désolé c'est cours mais
ya des chance que il y est une suite . Bonne lecture o
DreamLess Night
Allongé sur son lit, il regarde les aiguilles avancées lentement sur le cadran de son horloge. Il l'aimait bien cette horloge avant, souvenir conservé de la sortie de NIL. Elle n'est pas vraiment ancienne, mais pas vraiment neuve non plus…elle est hors du temps. Un peu comme lui a cet instant préçis. Il est tourné vers la porte de sa chambre et la regarde. Elle elle est posée sur une étagére, dans le salon. Il l'a mise à cet endroit préçis pour qu'on puisse la voir de n'importe quel endroit de l'appartement.
Elle lui rapelait tant de chose…c'est cuirieux comme les objet accumulent les souvenirs…
Allongé sur son lit il ne bouge pas. Il pourrait être mort on ne s'en paercevrait même pas. Il reste immobile mais pourtant attentif. Il l'attend, il a l'impression de toujours l'attendre. Mais l'autre ne vient pas…il ne reviendra pas avant que la petite aiguille ait atteint cet endroit préçis…quelques part entre le 3 et le 4…
Combien de fois s'était il retenu de se lever et d'avancer lui-même les aiguille, dans l'espoir que le temps s'accélére.Pas une seule larme ne coulent sur ses joues alors qu'il le sait…il sait ce que l'autre fait en ce moment même. Il bouge, danse sur cette piste sur laquelle ils ont été si souvent ensemble. Il sait qu'il n'est pas seul, il sait que ils sont avec lui, contre lui. Il sait aussi que l'autre aime ça c'est pour ça qu'il recommence chaque soir. Il le sait et il l'accepte…Il sait aussi que lorsqu'il rentrerait, il s'excuserait pour les probables larmes qu'il lui aurait fait versées. Il sait que ses lévres seraient douce et que sa peau contre la sienne le ferait frissoné.
Hajime kara wakatteta dakara kanashiku wa nai
sukoshizutsu
sukoshizutsu kazu wo kazoeru mitai ne
Il savait
qu'il était comme ça, c'était son temparement,
son caractére. Mais quelque part au fond de lui il avais
espéré qu'il changerait à son contact.
Malgré
tout il accetait qu'il agisse ainsi, il savait qu'il reviendrait
toujours vers lui. Ils avaient trop besoin de la présence de
l'autre pour se sentir entier. Ils étaient un seul être
divisé en deux corps. Des âmes sœurs en quelques sorte,
mais leur lien lui semblait encore plus profond, incomprehensible
pour d'autre qu'eux…Ils
s'aimaient et se haissaient à la fois. Ils se dévoraient
l'un l'autres, se détruisait, mais ils avaient besoin de ça
pour vivre…
Kusaki no kareru iro ga boyake kisetsu no owari ga wakaranai
Il
décrocha son regard de la pendule dont l'aiguille restait
ferment pointé vers le 1.
Chaque
soir il se demandait si il perdrait patience un jour. Il redoutait ce
jour et ceux qui le suivrait. Il ne voulait pas se retrouver seul, il
n'y survivrait pas.Il ferme
les yeux un instant, mais le sommeil ne viens pas, il n'était
jamais venu jusqu'ici. Il était trop inquiet pour lui pour
dormir.Il se leve
brusquement et avance droit devant la pendules. Il ten la main et
finalement arréte son mouvement. Un sourir triste étire
ses lèvres et une larme coule sur sa joue. Il l'essuie d'un
geste sec et va vers la cuisine. Revenant dans le salon avec un grand
verre d'eau, il laisse son regard se promené, tout en evitant
de regarder la pendule qui semble le nargué.Il cherche
le moindre signe de ce qui était l'autre. Un vétement,
un CD qui traine, une photo sur une étagére… une
simple trace de vie laisser dans cet appartement…une empreinte
indélébile…
Ashiato wo nazoru hi wa ashiato wo kiku hi wo yondeiru wa
Se retenir
de pleurer, toujours. Ne pas laisser aparaitre cette pein qui lui
enssairait le cœur. Avant, il espérait que l'autre lui
propose de sortir avec lui mais jamais rien ne venait. Il terminait
de manger en silence puis il partait sans dire un mot. Seule la porte
se refermant séchement derniére lui lui indiquait qu'il
était sortit…encore.
Maitenant,
il voulait juste que l'autre rentre…qu'il ne le laisse pas seul…
La masquarade continue toujours, elle s'étire jour après jour…
Nozomi mo shinai watashi ni ashita wa kaerarenai mono
Son regard
se pose sur une une fleur. Il lui a offerte quelques jour avant, pour
leur anniversaire. Une rose si sombre qu'elle en semblerait noire…
Noire
comme la nuit qui l'engloutit, comme le gouffre dans lequel il sombre
lorsqu'il est parti…Il l'avais
laisse mourir dans son vase remplit d'eau. Il avais laisser fané
la fleur des amoureux…était ce un signe? Non il refusait de
croire que ce pouvait en être un….juste une coincidence…
Beaucoup trop sombre…Beacoup trop…morte.
Kusaki ga kareru oto wo tadori kisetsu no owari wo kanjiru
hana
ga irodzuki sakihokoru goro watashi ni wa nani ga nokoru no
Il prend
la fleur et la serre entre ses doigts se blessant légérement
avec les épines. Il regarde la fine goutelette de sang se
former la ou la pointe a transpérçé la chaire.
Il reste indiférent à cette douleur tellement minime
par rapport à celle de son cœur.
Il la jéte
sans qu'aucun regret ne viennent lui rapelé d'où il
tenit cette fleur. Il sait qu'il l'a regrettera lorsque le jour se
sera levé et qu'il ne verra pas sa tendre couleur de sang
s'épanoiuir dans un mince rayon de soleil sur la table.Il
retourne dans le salon une nouvelle fois. Ses soirées ne sont
faite que de ces aller retours incessant. Il se sent comme un lion en
cage. Un lion aprivoisé, incapable de se retourner contre son
maitre…Il
s'assoit dans le canapé et son regard se perd par la fenétre.
Dehors aucune étoile ne brille, caché par la couche de
pollution qui plane au dessus de la ville. Seule la lune arrive à
faire parvenir ses minces rayons jusqu'à la terre…
Tsuki ga KAATEN wo tojiru demo taiyou ga watashi wo terasu no
hajime kara wakatteta dakara kanashiku wa nai
Doucement le temps passe. Il sens ses yeux se fermé, il ne veut pas dormir mais le sommeil est plus fort. Il sent ses paupiéres devenir lourdes, et le silence se fait plus profond encore…et puis tout devient noir.
Me ga same yoru ga owaranakute mo soko ni kagayaku hoshi ga nakute
mo
machi wo irodoru akaritachi ga subete kiete mo...
Il rêve. C'est un songe merveilleux ou il n'est pas seul tout
les soir. Un fantasme qu'il espére chaque nuit ne plus faire
mais qui reviens sens cesse. Fantome envoutant de ses joies passées,
du temps où ils s'aimaient d'un amour jeune et veritable.
Le temps révolu où ils étaient inséparables…
Le temps fait fané les sentiments, même les plus fort.
Il désagrégent les relation. Il érode les cœurs…Il le voit dans ce rêve, il le voit et il l'aime. Toujours plus
fort, toujours plus pur.
Il grandit et l'angloutit.L'autre est rayonnant dans ce rêve, il lui murmure des mots
qu'il ne lui a plus dt depuis bien longtemps, même durant ces
longues fins de nuits qu'ils passaient enlacés une fois qu'il
était rentré.Il voudrait rester dans ce rêve ou leurs lèvres se
répondent. Il voudrait s'endormir et ne pas se reveillé,
resté enfermé dans ce cocon soyeux créer par son
subconscient et dans lequel il est heureux.Il ne sait
que trop bien qu'il devrait faire cesser cette masquarade. Mais il ne
peu pas. Il préfére souffrir en silence avec lui plutôt
que de le quitter. Peutt être qu'un jour il craquera mais
sûrement pas tout de suite. Pour l'instant il savoure ce qui
lui reste…même si ce n'est pas grand-chose.
Mamoru beki hito no yorokobu kao mo ai shita hito no saigo mo
Juupun na hodo mitekureta kara mou ii no
Il ouvre
les yeux, il a entendu le bruit de la clef dans la serrure. Il se
tourne vers la porte et le voit s'approché doucement du canapé
ou il est assis. Il se penche et l'embrasse…ses lèvres sont
douces…
La main de
l'autre se perd quelques part entre la peau et le tissus qui la
recouvre…il frissonne…
Une légére
larme coule, invisible sur sa joue.
Manége inchangé, chaque soir recommencé…
Song of the sheep in dark long night
