Disclaimer : Les personnages sont ceux de J.K. Rowling. Pas les miens. Et cette fic n'est pas à but lucratif.

Genre : UA. Romance. Drame ?

Raiting : M, sans aucun doute. Même si ils ne vont pas se sauter dessus dans le premier chapitre è.é

Note de l'auteur Je m'excuse tout d'abord pour les fautes d'orthographe. J'espère qu'elle plaira, comme elle est, l'histoire. C'est une fiction à caractère homosexuelle. Peu importe que ça plaise ou pas. Ici, on aime et on s'aime par derrière. Et c'est bien sûr, un HPDM.

Bonne lecture.

Merci à ma bêta, Roxanne33, d'avoir corrigé ce chapitre.


Mon cœur ne peut pas se briser. Parce qu'il n'était même pas entier au départ.

Harry James Potter. Un nom pour deux fantômes. Pour un garçon de dix-huit ans, c'était bien trop. Pourtant, il y avait pire comme vie. Harry possédait plein de choses, compensant ce qui lui avait été enlevé. Il avait de l'argent. Des amis. Une apparence à se damner. Une popularité sans fin.

Il avait presque eu une enfance normale. Presque. À 13ans, il s'habillait mal. Pas forcément aimé, souvent charrié à cause d'affreuses lunettes rondes. À15ans, il s'était légèrement arrangé. Son entrée au lycée avait fait de lui le Golden Boy du riche petit quartier pavillonnaire Est de Londres. Toutes les gourdes du lycée gloussaient en voyant le grand brun, les cheveux mi-longs ébouriffés avec classe, ses longs cils bruns encadrant ses grands yeux comparables à deux émeraudes, son teint naturellement bronzé, sa carrure parfaite, son visage fin, sa présence réconfortante et son charme naturel.

Il jouait dans l'équipe de Base-ball et était de loin le meilleur. Il était gay, mais ça, seules les personnes de son orientation, au lycée, le savaient ne me demandez pas comment ça ne s'était pas ébruité. Harry était bon dans tout ce qu'il entreprenait; le sport, les études, et le sexe. En fait, non. Il n'était pas bon en amour. Il avait déjà aimé, une fois. Il l'avait mal fait. Mais ça, c'était une autre histoire.

S'il n'y avait pas ces fantômes, si sa mère n'avait pas été avec un salaud, Harry aurait eu une vie parfaite. Avec des "si", on pourrait refaire le monde. Lui, avec, se contentait de refaire sa vie.

Harry commençait tous les lundis matins avec deux heures de cours avec Snape. Que voulez-vous, quand on était maudit, on l'était jusqu'au bout.

En arrivant au lycée, il trouva vite Hermione, Ron et Dean sur un banc, l'attendant tranquillement. Dès qu'Harry fut dans leur champ de vision, Hermione s'élança vers lui pour l'étouffer dans une accolade fraîche. Harry laissa un sourire naître sur ses lèvres; il était franchement heureux d'être là. De ne plus être obligé d'entendre les cris de sa mère nuit et jour. Quand sa meilleure amie le lâcha enfin, il put saluer ses deux amis. Harry ne l'avouerait jamais, mais il leur en voulait d'être tous partis pour les vacances de Noel. Ron, le rouquin, son meilleur ami, lança une blague débile, tandis qu'Hermione, sa petite amie, l'admonestait pour son imbécilité.

Quand la sonnerie retentit, Hermione leur hurla d'aller à leurs cours avant de disparaitre vers son cours de droit. La routine. Quand il entra dans le bâtiment, il entendit ses admiratrices glousser bêtement, et quelques-unes osèrent même le draguer.

Il entendit Dean marmonner un "bonne chance" avant de lui-même partir vers son cours de philosophie, tandis que Ron et lui pénétrèrent dans leur cours de mathématiques. Pour une étrange raison, ils n'étaient pas en retard. Harry alla s'asseoir à sa place, sentant des regards insistants se poser sur lui.

Un homme d'une cinquantaine d'années aux cheveux gras et à l'apparence aride entra dans la classe. S'il y avait bien une personne qu'il n'aimait pas, c'était bien lui. Mais Harry savait aussi que c'était réciproque. Snape posa son regard dur sur la classe, avant de sortir de sa voix nasillarde parfaitement exaspérante :

« Nous accueillons deux nouveaux élèves. Qui viennent d'Australie. »

Harry se fichait bien de nouveaux élèves. C'était pour cela que son regard n'avait pas quitté son cahier une seule seconde. Mais des chuchotements se firent entendre dans la classe par centaines, alors la curiosité lui fit lever son regard d'un vert profond.

Son regard se figea face aux deux adolescents à côté du professeur. Le premier était un noir. Son visage était masculin, viril, dur et carré. Il avait de grands yeux noisette au-dessus de son nez massif. Il n'était pas mal du tout, il fallait le reconnaître. Et il était presque aussi musclé qu'Harry. Il avait un air amusé dans ses yeux, ainsi qu'un sourire poli accroché à ses lèvres pleines. Mais ce n'est pas celui là qui cueillit l'intérêt du beau brun. Non, c'était l'autre.

Un jeune homme un peu plus petit que le noir, mais juste légèrement, possédant un visage aux angles durs et un menton pointu. Des airs aristocratiques. Des lèvres tellement fines face à celles d'Harry. Il y avait ses yeux, aussi. Ceux d'Harry étaient trop verts. Trop expressifs. Trop doux. Ceux du blond étaient trop froids. D'un gris froid. D'un gris polaire pouvant faire fondre le soleil. Des yeux de glaces indéchiffrables. Et puis des cheveux blonds aux reflets blancs, coiffés en peigne par une masse de gel menaçant de tuer un ours polaire. Deux uniques mèches encadraient son visage d'une perfection presque vexante.

Les regard des autres allaient et venaient d'Harry à eux, semblant réfléchir au plus beau. Finalement, personne ne se décida, et les regards alternèrent simplement. Harry détourna vite son regard émeraude des australiens, reportant son attention sur les cours précédents. Bien sûr, Snape donna la charge de faire visiter le lycée aux australiens à Harry. Quel con.

Harry attendait les arrivants devant la porte. Le lycée était tellement grand qu'il doutait de pouvoir manger. Il savait que Snape ne l'aimait pas, mais là, c'était un coup-bas. Un raclement de gorge le ramena sur terre. Le beau mulâtre posa ses yeux noisette sur lui. Une lueur d'amusement brillait dans ses grands yeux, semblant constamment présente.

« Moi, c'est Blaise. Blaise Zabini. Lui, c'est mon meilleur ami, Draco. Draco Malfoy. »

Harry attrapa la main qu'on lui tendait, tandis que le magnifique blond le regardait avec lassitude et ennui.

« Harry. Harry Potter. Enchanté, Blaise. »

Son ton était enjôleur, et il vit avec satisfaction la lueur dans les yeux de Blaise s'agrandir. Il ne mentionna pas le blond tout simplement, car ce dernier ne semblait lui montrer aucun intérêt. L'ego d'Harry en avait pris un coup, alors il lui rendait seulement la donne. Il se dit que Blaise ne devait pas être si hétéro que ça, sinon il aurait mal réagi à son ton. Franchement, faire visiter le lycée…

« Tu sais, je peux te montrer autre chose que le lycée, Blaise. » lança Harry d'une voix aguicheuse.

Il vit un sourire se dessiner sur les lèvres pleines et charnues du brun, tandis qu'un grognement franchissait la barrière des fines lèvres rosées du blond. Harry en profita pour le détailler de haut en bas. Il n'y avait pas que son visage, qui était magnifique. Un mètre soixante-quinze environ, plutôt frêle et fin. Des hanches pas bien épaisses, de longues jambes fines. Il était à croquer. Mais Harry se contenterait du beau mulâtre.

« Tu peux venir aussi, si tu veux, Draco... »

Sa voix était traînante, racoleuse, et il appuya de manière provocante sur son prénom. Harry vit avec contentement et satiété les joues du blond rosir légèrement, avant que ses joues ne redeviennent aussi blanches qu'avant. Harry ne put s'empêcher de se demander ce que donnerait la peau porcelaine et laiteuse de Draco sur la sienne, qui au contraire était dorée, tandis que les yeux orageux de ce dernier lui lançaient des éclairs.

« Pour toi, Potter, ce sera Malfoy. »

Il ne leur lança pas un regard, avant de s'éclipser dans le couloir d'une démarche droite, froide et hautaine. En passant près de lui, la tête haute, ses yeux froids d'une couleur peu commune se plantèrent dans les siens. Ils affichaient une expression de pur dégoût qui lui était entièrement destinée.

Une fois parti, Harry reposa son attention sur Blaise, et lui offrit un sourire moqueur.

« Agréable, ton ami. Allez, on va chez moi. »

Il se retourna, entendant les pas du noir le suivre. Arrivé à son Audi toute neuve, il afficha une courbette avant d'ouvrir la portière à un Blaise amusé.

Harry n'était pas facilement approchable, c'était une vérité. Pourtant, il l'aimait bien. Il n'aurait su dire pourquoi, mais il l'aimait bien.

Pendant le trajet, Harry laissa une main se poser sur la cuisse de Blaise, la caressant du bout des doigts. Ils arrivèrent vite, et ils sortirent précipitamment de la voiture, comme s'ils étaient pressés. Ils ne s'étaient pas touchés, pourtant ils étaient tous deux excités. Harry glissa les clés dans la serrure avec vitesse. Une fois la porte ouverte, son regard se stoppa sur un corps inerte, au sol.

Son cœur rata un battement, comme à chaque fois. Comme toujours. Il s'approcha doucement de sa mère, couverte de sang. Ses yeux ne le regardaient pas. Ses grands yeux verts, similaires aux siens, écarquillés, regardaient un vide invisible, tandis que ses cheveux roux masquaient son visage. Il la traîna dans la salle de bain, oubliant totalement la présence de Blaise. Elle semblait étrangement plus lourde et ne bougeait aucunement.

« Maman… »

Harry lâcha soudain sa mère au sol, devant la salle de bain. En général, sa mère le rassurait. Comme si c'était lui qui était blessé. Elle lui disait que tout irait bien. Il sentit une main sur son épaule.

Il venait de traîner une morte jusqu'à l'autre bout de la maison. Car oui, sa mère était morte. Ces yeux vides n'étaient pas ceux chaleureux de sa mère. Cette pensée le fit sursauter, tandis que son corps se mit à trembler sauvagement. Deux bras hésitants mais puissants l'enveloppèrent. Il sentit les larmes quitter la barrière de ses yeux, rouler sur ses joues pour mourir dans son cou.

Harry avait déjà eu mal. De nombreuses fois. Mais il sentit son cœur se serrer, une fois de plus. Un troisième. Un troisième fantôme. Un de plus sur la conscience. Il aimait sa mère, il l'aimait plus que tout. Plus que n'importe qui. Pourtant, il l'avait laissé mourir.

Soudain, son corps se contracta et il repoussa violemment Blaise. Il s'assit à côté de sa mère, et lui asséna une claque majestueuse. Puis il se mit à hurler. À hurler des paroles qui le détruisaient de l'intérieur.

« Salope ! Tu n'avais pas le droit ! PAS AUJOURD'HUI ! Mercredi, mais pas aujourd'hui. Je comptais sur toi pour le gâteau. Pour acheter une bougie. Tu as taché les murs, Maman, j'en ai marre de nettoyer. Tu aurais dû être là, demain, plus que jamais... »

Sa voix se brisa lamentablement, tandis que son corps se secouait en un violent sanglot.

« Dégage... VAS-T'EN ! »

Harry voulait être seul, et à sa plus grande surprise, Blaise le laissa en paix. Lui, sa culpabilité, ses larmes et un corps inerte.

Blaise attrapa les clés sur le comptoir, et monta rapidement dans la voiture du brun. Il se souvenait à peu près de la route, bien qu'Harry l'ait quelque peu distrait. Il roula aussi vite qu'il put, essayant d'évacuer la boule lui montant dans la gorge.

Il n'avait jamais vu un mort. Mais il y avait aussi un drôle de sentiment, lui enserrant le cœur. Voir Harry enserrer le corps sans vie de sa mère, comme si elle était vivante, était tout simplement une affreuse vision. Il ne prit pas le temps de recracher cette tristesse pour un inconnu quand il arriva au lycée.

Il chercha le rouquin avec qui il avait vu Harry échanger des sourires. Harry lui plaisait bien. Il était carrément indécent. Et magnifique. Et il avait l'air si… fort, au premier regard. Alors, le voir à terre, pleurant, l'avait étrangement blessé. Il était bien trop gentil et ouvert pour son propre bien.

Draco se mit à lui courir après, mais il ne lui prêta pas attention, cherchant toujours le roux à travers les couloirs bondés de Poudlard.

« Alors, c'est un bon coup ? »

La voix de son meilleur ami était froide et tranchante, pour une raison qui lui était complètement inconnue. Il s'en soucierait plus tard. La voix de Draco était lointaine, comme une musique d'ascenseur au second plan. Une fois qu'il repéra le rouquin, accompagné d'une jolie brune et d'un mignon petit métis aux fossettes marquées, il s'arrêta enfin.

« Vous êtes des amis d'Harry ? »

Sa voix était hachée il contenait mal la bile dans sa gorge. Il sentit un mal de tête le prendre. Il avait vu une morte. En sang. Dieu…

« Qu'est ce qui se passe ? » demanda le métissé d'une voix inquiète.

« On allait chez lui… et sa mère... elle est... morte. Puis il s'est mis à pleurer. Il a parlé de demain, de gâteau, et d'une bougie… »

Les trois adolescents qui lui faisaient face pâlirent à vue d'œil. La jolie brune, livide, demanda d'une voix mal assurée :

« Il a parlé de gâteau et de bougie ? »

« Il va faire une connerie. »

Il n'avait pas eu le temps de répondre à la question de la jeune fille que le métis l'avait coupé. Il lança un léger regard au roux, dont le regard bleuté était vitreux.

Blaise ne comprit pas pourquoi ils ne bougeaient pas, restant immobiles. Il entendit un grognement de mécontentement de la part du joli petit minois.

« Vous allez rester là ? Ta gueule, Hermione. Ne dis pas que tu y arrives pas. Ne lui refais pas ça. Toi aussi, ta gueule, Ron. Vous êtes lâches, ce n'est pas de l'amour. Sinon, vous supporteriez sa douleur. Vous ne voulez juste pas qu'elle vous atteigne. »

Blaise sentit le regard de l'homme sur lui.

« Je n'ai pas le permis, tu m'emmènes ? »

Blaise allait répondre à l'affirmative, mais avant qu'il puisse dire quoi que ce soit, il sentit un malaise le prendre. Il se mit donc à courir aux toilettes les plus proches afin de régurgiter son petit déjeuner. Quand il revint, on lui apprit que le joli petit métis s'appelait Dean. Et que Draco l'avait conduit là-bas.

Harry ne pensait pas. Son regard vert si intense dépourvu de toutes émotions fixait le corps meurtri et vide de sa mère. Son âme s'était envolée. Elle aussi, était partie.

Les larmes avaient déjà trop coulé. Son cœur saignait bien trop pour que de simples larmes coulent. Il aurait pu le dire, à la police, à une association, que sa mère se faisait frapper par son beau-père. Mais elle lui avait dit de rien dire.

Il le haïssait, cet homme. Car, il avait tué déjà deux personnes importantes pour Harry. Il lui avait fait peur. Car cet homme aimait sa mère. Et pourtant, il lui faisait mal. Mais ça, encore, c'était une autre histoire. Matt s'en voulait. Il avait pris ses affaires et avait disparu, mais il avait laissé les deux Ford. Et un tas d'argent sur le lit. De l'argent sale, certes. Comme s'il pouvait lui pardonner d'avoir tué sa mère avec des bouts de papier. Il entendit la porte d'entrée claquer, mais son regard resta concentré sur sa mère. Il attendait un signe, n'importe lequel. Une main au sommet de son crâne le fit sursauter.

« Ne me touche pas, Dean. »

Il se doutait que Ron et Hermione ne viendraient pas. Après tout, ils disaient qu'ils l'aimaient trop pour le voir souffrir. Ils lui avaient déjà fait le coup. Mais Dean venait toujours.

« Ne me touche pas. Regarde ce qui leur arrive. Déteste-moi. Fais en sorte que je te déteste… ou tu vas finir comme eux... »

Dean partit dans un rire jaune, sonnant atrocement faux.

« T'es con. Moi, Hermione, Ron, Molly, Fred, Seamus… on t'aime. Arrête tes conneries, Harry. Ce n'est pas toi qui les tues. »

Harry voulait hurler. Hurler pour qu'il arrête de mentir. Il avait tué sa mère. Il avait tué son père. Il avait tué son premier et seul amour. Il était maudit. Il se répugnait. Il voulait se vomir. Vomir ce mal. Vomir cette douleur.

Il sentit une présence étrangère, dans cette pièce puant le sang. Il releva la tête pour voir Draco Malfoy. Il était toujours aussi impassible. Pas dégoûté, c'était déjà ça. Il le fixait avec une expression non identifiable. Harry reposa son regard sur sa mère, n'ayant pas la force de virer ce petit con arrogant.

Une question trottait dans sa tête depuis un moment, elle franchit la ligne de ses lèvres sans qu'il le veuille vraiment.

« Tu crois qu'il l'a fait exprès ? Pour son anniversaire... »

Un silence rougeoyant lui répondit. Sa mère avait les yeux ouverts et la bouche scellée pour l'éternité.

« Harry, il n'y a pas d'anniversaire de mort. Tu n'as pas tué ton père. Il s'est tué en voiture en allant te chercher des couches quand tu avais deux ans. Ne soit pas plus idiot que tu ne l'es déjà. Tu n'as pas tué ta mère. C'est son amour qui l'a tué. Non, il n'a pas fait exprès. Il ne voulait pas la tuer. Et tu le sais. »

Harry se raidit, il ne pensait pas avoir encore plus mal. Mais apparemment, si. Son cœur le serrait à l'en étouffer. Pouvait-on mourir de tristesse, de désespoir ?

« Mais je l'ai tué, lui… »

Il sentit la main de Dean caresser ses cheveux, avant qu'il reprenne d'une voix blanche;

« Tu as eu un mauvais exemple d'amour toute ton enfance, Harry. C'était normal que tu aies peur. Que tu l'aimes mal. Tu ne l'as pas tué. »

Il n'eut pas le temps de répliquer, qu'il sentit deux bras puissants le relever avec force. N'ayant plus la force de riposter, ou même de le vouloir, il se laissa traîner jusqu'à sa chambre tel un pantin. Son cœur semblait fatigué. Fatigué de vivre, de battre.

Son regard vert se posa sur le beau blond, se trouvant toujours près de la porte. Son regard de glace était encore sur lui. N'exprimant aucune émotion. Pourtant, il afficha un pâle sourire. Un sourire de pure compassion. Harry l'ignora avec superbe, et Dean l'installa dans son lit. En une journée, sa vie avait considérablement basculé.

Comment autant de merde pouvait arriver dans sa pauvre vie ? Étrangement, avant de s'endormir, sa dernière pensée fut pour le blond au regard froid.


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