Salut tout le monde !

Je suis un peu stréssée à l'idée de publier ma premiere fanfiction. Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographes ou de grammaire. J'èspere que ce premier chapitre vous plaira et j'attend avec impatience vos reviews :)


CHAPITRE 1: pathétique banalité . Point de vue-Leyla

Je me promenais tranquillement dans mes rêves quand soudain, la sonnerie retentit.

J'émergeai de mon sommeil et sortit de la classe en mettant la quatrième vitesse : j'etais pressé de sortir de ce tandis qui me servais de lycée. Enfin sortie, j'éprouvai un sentiment de liberté. Enfin le weekend ! Une fois arrivée chez moi, je me faufilait dans ma chambre. Je détestais être aperçue. Je m'affalai sur mon lit et fermai mes paupières. Malheureusement, ce temps fut de courte durée. Mon petit frère débarqua dans ma chambre en poussant des bruits insupportables.

- Salut !me fit mon frère gaiement

-Dégage ! tu vois pas que j'ai besoin de calme la ?

J'étais de mauvaise humeur...comme souvent.

-Mais viens jouer avec moi !

- Non ! Tu me gaves ! Sort de ma chambre avant que je t'explose le crane contre le mur !

Mon frère sortit en pleurant de ma chambre. cette méthode n'était pas la plus douce mais au moins elle était efficace.

Alors que je pensais avoir trouver la paix, ma mère débarqua dans ma chambre.

-Mais... mais combien de fois je t'ai dit de ne pas parler méchamment à ton frère !

- j'en sais rien mais sors avant que je m'énerve.

- Alors déjà tu me parles sur un autre ton sinon...

-Sinon quoi ? Tu vas m'envoyer en pension ?

Elle ne répondit pas et s'executa . Je sais que j'ai mal parler a mon entourage mais je suis dans une période difficile : j'ai perdu mon meilleur ami. Il était décédé dans un incendie en colonie de vacances cet été . Si j'avais pu être là pour le sauver , mon âme aurait pu être apaisée et mon ami serait sauvé. Je m'en veut de pas avoir été la pour lui alors que lui à toujours été là pour moi. Charlie et moi étions ennemis et puis vers le primaire on s'est rapprochés et on est devenu inséparables .

A table, il y eu un silence de mort. Le contact était rompu avec ma famille. Mon père qui ne supportait pas le silence s'éclaircit la voix:

- Alors , il fait beau en ce moment non ?

- Il fait froid et il neige, rétorquais-je sèchement.

- Oui mais la neige c'est magique, lança mon frère.

- Non c'est naturel.

- Non c'est Jack Frost qui la fait tomber !

- Ah ouais ? Et comment tu peut en être aussi sûr ?

- Maman me l'as dit.

Dans mon élan de méchanceté, je me tournai vers ma mère.

- Et donc tu lui dira que plus tard que le père Noël, la fée des dents, le marchand de sables, le lapin de Pâques et Jack Frost ne sont que des conneries ! Tu vas lui enlever toute la magie en laquelle il croit comme tu l'as fait avec moi. Tu es cruelle ! Écoute Lucas, il n'existe pas et tu ne risque pas de les voir !

Il y eu un gros blanc et soudainement mon frere explosa en sanglots.

- Si ils existent tous ! Cria mon frère.

J'ai été trop loin. Mon père tanta de calmer mon frère et ma mère me dévisagea comme si j'étais un monstre. Je me précipitai dans ma chambre et l'enferma dans celle-ci à double tour. Mon enfance avait été parfaite. J'avais des rêves pleins les yeux. Je voulais être l'assistante du Père Noël . Je passais mes journées à jouer, à rire et à rêver.

Mon enfance s'est brusquement arrêtée lorsque j'avais 10 une violente dispute avec mes parents, je ne sait pas pourquoi mais j'eu l'impression d'être bousculée dans la vie d'adulte. Tous mes rêves se sont brisés et j'ai cessé de croire au légende La vie sans la magie et la joie de vivre que j'avais avant n'existait plus. Désormais je vivais une vie de bourgeoise pathétique et banale. Mais un monde sans légende réelle et sans magie ne peut exister. Soudain je me perdit dans mes pensées. peut-être qu'il était temps de me glisser sous mes draps le temps d'un voyage onirique. Un fois propre et mon pyjama enfilé, je me me mit au lit. Mon rêve affichait 23h30. A cette heure, beaucoup de gens de ma classe sont à la fête organisé en l'honneur du départ du prof de physique. Bien sûr, je n'ai pas été invitée.

Avant de m'endormir, je fis un état des lieux de ma chambre. Les murs violets, une bibliothèque en Plexiglas pleine à craquer, un bureau "bordélique", ma table de nuit en bois laqué et mon lit confortable.

je fermai mes yeux et me laissai glisser dans mes songes.