~ From Autumn To Ashes ~
Disclamer : Les perso' appartiennent à Square et à Tetsuya Nomura :D Le pauvre, s'il savait ce que je vais leur faire vivre... xD
Pairing : Lisez, vous verrez; pairings multiples~
Raiting : T pour le langage :)
Résumé :Axel est riche; Axel est beau; Axel à tout. Jusqu'au jour son avidité va se porter sur quelque chose d'inaccessible. L'argent ne ferrait donc pas autant le bonheur qu'il le croyait ?
"J'avais tout; j'avais toujours été habitué à tout avoir. Mais à chaque fois je voulais plus; toujours plus. Jusqu'au jour où je tombais sur l'inaccessible; mais j'allais finir par l'avoir, j'en avais la conviction."
Bonjouuuur ~
Premièrement, merci d'avoir cliqué sur ce lien. Vous venez donc d'attérir sur le preview de ma première fic' "sérieuse" (tout dépend de ce que vous entendez par là xD), et encore une fois je vous en remercie.
Bonne lecture, et n'hésitez pas à reviewer, que vous trouviez cela bon ou mauvais; il n'y a que commme ça qu'un ,,auteur'' peut s'améliorer ! :D
Tout cela était de loin la chose la plus immorale qui n'avait jamais effleuré mon esprit avide de tout. De tout, oui, car j'avais tout. Tout de chez tout, et si il y avait quelque chose que je n'avais pas, je me le procurais toujours dans les minutes suivant mon envie. J'étais héritier d'une riche famille irlandaise, diplômé d'Harvard ou bien d'Oxford, je n'ai jamais prêté attention à ce genre de détail singulier; on m'avait gracieusement offert pour la fin de mes ennuyeuses études un loft situé en plein Manhattan, avec d'imprenables vues sur l'Empire State Building et non loin de Times Square, j'avais une voiture de sport dernier cric, des amis appartenant à la jet-set du monde entier, des vêtements de marques, des chemises Calvin Klein, les dernières nouveautés de chez Luis Vuitton, mon loft était équipé des toutes dernières collections de chez Ikea; à moi les canapés à $3200, le home cinéma à $7000, avec le meuble INREDA au même prix, la cuisine suréquipée et dessinée spécialement pour moi par un grand designer new-yorkais, le lit mezzanine à contenance huit personnes pour moi tout seul, la pièce la plus sophistiquée en matière d'informatique en guise d'ordinateur tactile ! J'étais aussi d'une beauté remarquable, des yeux d'émeraude contrastant magnifiquement avec ma masse de cheveux flamboyants relativement imposante, j'avais un sourire digne d'une pub pour le plus efficace des dentifrices, le visage fin aux traits mesquins, un corps de rêve; et ce qu'il fallait là où il le fallait. Autant dire que les gens se retournaient en grand nombre sur mon passage. J'avais tout. De l'argent, la beauté, un cocon douillet, du luxe, et une carrière prometteuse en tant que PDG d'une grande firme patronale. Malgré tout, il me manquait quelque chose. Quelqu'un.
A suivre ...
