Titre: L'homme à fleurs

Auteur: BoOnfire

Rating: T

Pairing: Harry PotterXDrago Malfoy

Avertissement: Slash/Yaoi. Homophobes passez votre chemin

Disclaimer: Les personnages appartiennent à notre déesse à tous, J.K.Rowling.

Petit mot de l'auteur :

Tadaaaaaam. Voila mon nouveau One-Shot. Que dire? Merci à toutes les reviews qui me sont tombées dessus. C'est super chouette surtout pour un premier OS (rappelez-vous, "un dimanche matin foireux" ...) Bref. Celui-ci, j'ai trouvé l'inspiration en allant acheter des plantes. Ouaip je sais je fait pitié. Mais quoi.

Ahem. Le fait est que j'espère que ça va vous plaire

Sur ce : ENJOYYY

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L'homme à fleurs

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D'apparence modeste, la petite boutique de fleuriste regorgeait autant des plantes les plus rares et exotiques, que des plantes les plus communes. Elle n'avait certes pas le monopole du marché floral, mais on venait de tout Londres pour acheter ses fleurs ici tellement la renommée de la boutique avait fait de bouche à oreille. En entrant, on tombait nez-à-nez avec un étalage de fleurs surélevées, afin d'éviter aux clients de se baisser. A gauche, se trouvaient, cloués et pendus à même l'étagère les graines et les bulbes que l'on devait commander en caisse. A droite, les plantes en pots, c'est à dire les arbres et les arbustes, étaient posés à même le sol, leurs étiquettes nominatives bien visibles.

Une jeune femme brune s'occupait de la caisse au fond du magasin. Elle récitait mentalement ses cours de psychiatrie tout en emballant machinalement le pot qu'on lui avait tendu. Ce job à temps partiel allait parfaitement avec ses horaires d'étudiante alors, bien que les fleurs ne soient pas sa passion, elle avait postulé.

Elle se retourna vers l'entrée en entendant la cloche tinter, signifiant l'arrivée d'un nouveau client potentiel.

En premier lieu, elle crut que c'était un ange. Elle réalisa son erreur en remarquant que l'inconnu portait malheureusement des vêtements.

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L'attention de Drago fut attirée par le bruit d'un pot de terre cuite brisé. La moldue qui tenait la caisse avait laissé l'arbuste en pot dont elle s'occupait s'éclater contre le carrelage. Il savait que son physique s'approchant dangereusement de la perfection pouvait surprendre mais de là à détruire volontairement sa production de dépit, il n'avait encore jamais vu ça.

Drago couru proposer son aide. Après tout s'était en parti sa faute si elle s'était déconcentrée. Le visage du blond se déforma d'une grimace. Il n'ignorait pas que les moldus pouvaient être laids mais là, c'était son tour d'être surpris.

Après tout, ce n'était pas sa faute à cette pauvre fille si ses parents s'étaient mal choisis. Elle était grande et approchait le mètre quatre vingt. Son nez trop long, sa bouche trop petite, ses yeux trop ronds, son front trop grand et autres contribuaient largement au jugement de Drago. La seule chose qui aurait pu être attirante chez cette jeune femme, c'était ses cheveux. Longs, raides et bruns aux reflets roux.

Une fois que les dégâts qu'il avait engendrés indirectement furent nettoyés, le blond se détourna pour aller choisir les fleurs de son bouquet.

Potter.

Il s'était décidé à aller lui rendre une petite visite à l'hôpital. Le Survivant était en convalescence depuis son combat contre Vous-Saviez-Qui. L'héritier Malfoy avait donc jugé les circonstances adéquates à ce qu'il aille essayer cette petite fleuristerie qu'Hermione lui avait conseillé... ... Ok ... Les choses s'étaient déroulées dans un ordre différent. Il avait décidé d'aller voir Harry et ensuite avait demandé où est-ce qu'il pouvait trouver un bouquet de fleurs potable.

Drago avait choisi un bouquet bicolore. Etant donné qu'il n'y connaissait pas grand chose en langage des fleurs, son père ayant jugé inutile de le lui enseigner, il allait faire avec le langage des couleurs.

Il avait mit du temps à choisir mais c'était décidé pour du jaune et du vert. Jaune comme la joie dont Harry aurait certainement besoin tandis qu'il serait cloué au lit et Vert pour l'espoir. Qui a sous-entendu "mélange Serpentard-Gryffondor" qu'il se fasse Avakadavériser sur le champ?

Le blond eu soudain un mouvement de recul. Lui qui avait eu tant de mal à choisir deux couleurs regardables, il avait oublié que les fleurs vertes n'existaient pas. Try Again

Finalement, Drago se décida pour du blanc et du rouge. Un blanc pur et un rouge courage. Il choisit des roses, les autres fleurs ne lui disant rien.

Il passa à la caisse où la brunette l'accueilli avec un sourire timide.

- Très bon choix monsieur. Avec des fougères je suppose?

- Si cela suffit à vous faire plaisir.

Elle s'en alla quelques instants dans l'arrière boutique et revint le bouquet prêt.

- J'espère qu'elle les mérite, dit-elle un petit sourire en coin, vous payez ...

- Par carte banc... euh bancare? Bon disons par carte..., dit il luttant pour sortir ce minuscule petit bout de carton moldu ; et c'est "Il" ; jugea-t-il bon de préciser.

Elle resta un moment interloquée. Cette annonce était décidément une grande perte pour la gente féminine mais qu'y pouvait-elle après tout ?

- Hey bien je vous souhaite beaucoup de bonheur avec votre homme à fleurs ; dit-elle, un grand sourire déformant son visage déjà enlaidi

Il éclata de rire en sortant de la boutique. Lui et Potter. C'était décidément très fort. Il se promit néanmoins de ne plus jamais remettre les pieds dans cette boutique. Pour qui se prenait-elle, cette moldue, pour interférer dans la vie privée des gens ?

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Pendant la guerre, Drago avait eu le meilleur rôle. Agent double. Quadruple. Sextuple. Ou Octuple. Mais que des chiffres pairs sinon cela ne marchait pas. Bref. Il était au centre, pour personne, contre tout le monde. Il avait son propre parti, son propre point de vue. De façon à ce que, quelque soit l'issue de la guerre, il s'en sorte respectable ment.

Drago n'avait jamais pu rallier les idées de Vous-Saviez-Qui. Le seigneur des ténèbres n'était bon qu'à conquérir le pouvoir. Qu'en aurait il fait après cela ? Cependant, le blond n'avait jamais pu rejoindre Dumbledore. Le romantisme dégoulinant de guimauve typiquement Gryffondor, ça n'était vraiment pas sa tasse de thé. Mais il n'avait pu se résoudre à rester passif. Alors il avait joué l'espion.

L'héritier Malfoy avait eu une très nette tendance à avantager "le côté pur de la force" comme lui avait dit son intermédiaire. Il n'avait jamais saisi l'expression mais comme elle lui avait plu, il l'employait toujours. Précisons que les informations qu'il transmettait à cet intermédiaire arrivaient directement à Harry Potter. Conclusion, Drago Malfoy et Harry Potter avaient travaillé main dans la main pendant la guerre.

Drago avait mis plusieurs jours avant de s'en remettre. Son intermédiaire le lui avait annoncé 3 mois avant la fin de la guerre. A la suite de cela, Drago avait demandé à parler à Harry en face à face. Il avait eu du mal à ne pas lui reprocher toutes les erreurs qu'ils avaient commises. La seule chose qui l'en avait empêché, c'était la lueur de détresse qu'il y avait dans les yeux du brun.

Le blond le revoyait encore, dans l'encadrure de la porte, les traits tirés par la fatigue et son corps allégé d'une dizaine de kilos. Le Survivant n'avait jamais été musclé ni quoi que ce soit approchant, mais là, ce n'était plus de la minceur, il était d'une maigreur terrifiante. Le brun avait les cheveux longs, attachés négligemment et sales. Et lorsque Drago le lui avait fait remarquer, le Gryffondor lui avait demandé d'aller lui payer une séance chez le coiffeur une fois que "tout ça" serait fini.

Depuis cette simple remarque, une étrange complicité était née entre eux. Bien souvent ils repensaient à comment le monde aurait pu être si ils avaient étés amis. Mais les bruits des combats les ramenaient sur terre beaucoup trop radicalement. A d'autres moments, quand une bataille tournait mal et qu'ils étaient tous sous pression, ils se battaient et ces semi-combats finissaient inlassablement en sanglots partagés.

Sans même s'en rendre compte tellement il était perdu dans ces pensées, Drago s'était assis sur un banc, dans un parc; non loin de l'hôpital. L'endroit était grand, les bancs disposés en cercle autour des jeux pour enfants. Les murs qui définissaient les frontières du parc étaient camouflés par de la vigne vierge et des buissons qui à cet époque de l'année étaient en fleur. Les fleurs ...

Il se rendit soudain compte de combien il était ridicule. Il avait du faire piètre figure, les yeux dans le vague, la mine triste à ressasser des souvenirs qu'il aurait aimé oublier et surtout avec un bouquet de fleurs à la main. Drago comprit mieux pourquoi les jeunes mères chuchotaient en lui lançant des regards compatissant, leurs visages semblant hurler "mais quelle conne, pourquoi elle t'a largué ?"

Un cri fit tourner toutes les têtes. Un enfant venait de tomber au sol et pleurait. La première pensée de Drago donnait quelque chose du genre :" C'est étrange, la taille et l'amplitude des décibels de ces petites choses n'est absolument pas proportionnel ..." Et soudain il comprit. Dieu, il devait vraiment être sublime aujourd'hui pour que cette mère laisse son enfant sans surveillance. Oui c'est cela le revers de la médaille.

Il couru proposer son aide. A peine fut-il arrivé que le sale mioche, ahem, l'adorable petit bambin lui dit:

- Meussieur, meussieur; c'est vrai que votre copine elle vous a plaqué pour un autre ? Parce que sinon vous devriez les lui filer ses fleurs ...

Adorable petit bambin vraiment.

- Adam, enfin ! On interfère pas dans la vie des gens ainsi voyons ! Le réprimanda sa mère.

- Mais maman, c'est toi qui l'as dit ! Se défendit l'enfant sans se soucier de la rougeur des joues de sa mère.

Drago sortit un rouleau de sparadrap de nulle part et l'appliqua sur le genou du petit garçon. Ce dernier avait les cheveux châtains, les yeux marron clairs, presque dorés. Il tenait la couleur des yeux de sa mère, cette dernière s'activait à nettoyer le sang qu'il avait perdu.

- Primo c'est un "il" pas un « elle ». Secundo ta maman a raison, mêle toi de ton ... disons ton genoux. Tertio ... Non pas de tertio finalement.

Décidément, la virilité d'Harry ne cessait d'être mise à mal ces temps ci... et il se ferait un plaisir de lui annoncer. C'est dans ce but qu''il prit la direction de l'hôpital St Mangouste d'un pas rapide, laissant derrière une mâchoire éclatée contre la surface du sol dont la propriétaire était en état de choc.

XoXoXoXoXoXo

Drago entra doucement dans la chambre d'hôpital, son bouquet de fleurs à la main. La pièce était petite mais son occupant avait l'avantage d'être seul, et de ne pas supporter les sarcasmes d'une quelconque vieille dame. Mais après tout, l'occupant en question était Harry Potter, et on avait décidé de lui attribuer une chambre isolée. Le carrelage et les murs d'un blanc immaculé n'exprimaient aucune chaleur, et l'odeur sous-jacente habituelle dans les hôpitaux ne créaient absolument aucun sentiment d'intimité.

Au centre de la pièce, Harry était allongé sur son lit d'hôpital. Drago avait oublié combien il était beau et s'en rappela à sa vue. Bien qu'il ait conscience que ce style de pensée n'avait pas sa place dans sa tête, il les laissa vagabonder en paix.

Le brun avait tout juste pris 5 kilos depuis leur dernière entrevue, avant la fin de la guerre, mais il avait bien meilleure mine. Il s'autorisa même un sourire, une étincelle de joie brillant dans ces prunelles émeraude.

- Salut ..., dit Drago d'une voix rauque

- Salut, lui répondit Harry son petit sourire toujours en place.

Un silence gêné s'installa. Chacun évitait le regard de l'autre en fixant un coin de la pièce. Le blond sentit soudain son bouquet de fleurs lui glisser des mains. Ce dernier tomba au sol sans pourtant s'abimer. Mais cet incident eu le mérite de faire rire Harry et de détendre ainsi l'atmosphère.

- Alors tu va à un rendez-vous après être passé me voir? J'espère qu'elle est jolie au moins !

-Ne t'inquiète pas, ton sex appeal n'a rien perdu de sa grandeur malgré la guerre, dit Drago d'un ton râleur en faisant apparaître un vase rempli d'eau sur la table de nuit et en y plongeant les fleurs.

Harry rougit à ces paroles et ce fut au tour de Drago de rire.

- Tu sais que 2 moldues m'ont fait la même réflexion durant cette journée?

Harry émit un grognement en guise de réponse.

- Je la revois encore, la demoiselle à la caisse de la boutique de fleuriste en train de me faire un compliment pour mon choix de fleurs ... Elle était laide comme une Doxy. Absolument atroce, je t'assure. Elle m'a dit un truc du style " Bonne chance avec votre homme à fleurs" Drôle non ?

Harry était aussi livide que le carrelage de la pièce, son regard fixé sur ses pieds.

- Et puis sinon c'était une mère de famille. Je t'explique. Avant de passer te voir je me suis assis dans un parc. Et là, un mioche s'éclate par terre. Moi, en tant que gentleman professionnel (Harry leva les yeux à cette remarque) J'ai couru l'aider, tu me connais. Quand j'arrive, le gamin me dit : "Vous vous êtes vraiment fait larguer par votre copine ? C'est maman qui l'a dit" Et ensuite il me conseille d'aller lui donner mes fleurs. Vraiment ces moldus, ils sont très forts !

Harry détourna le regard et le silence qui s'installa devint pesant.

- Désolé, dit le blond d'un ton piteux, je pensais ...

- Drago, le coupa le Survivant avec une voix éraillée que Drago trouva infiniment sexy. Il devait vraiment chasser ses pensées, il en allait de sa santé mentale.

- Oui?

- Je ..., Harry planta ses émeraudes assombries dans celles aciers de Drago, Tu crois que ce serai possible ? Je veux dire, toi et moi ?

Drago resta un instant interloqué. Il faut comprendre, ce n'est pas tout les jours que Harry Potter propose à Drago Malfoy de sortir avec lui. Par la barbe de Merlin, qu'allait-il répondre à ça? Il ne pouvait pas dire non. Ca n'était pas imaginable. Mais il n'allait pas non plus dire oui, il aurait tellement de problème dans ce cas. Cela faisait longtemps qu'il n'avait eu de relation durable avec quelqu'un alors s'engager dans une voie sans en savoir la destination avec Harry Potter, il n'était pas absolument pas prêt.

Drago allait ouvrir la bouche lorsqu'une autre se posa dessus.

L'échange était un peu rugueux, un peu maladroit, et ne dura que quelque secondes, mais permit à Drago de sentir que les lèvres de Harry avaient un gout de ... de Harry. Puis il s'aperçu que pour un convalescent, le brun avait de l'énergie. Un peu trop même. Mais pour le moment, le Gryffondor se mordillait les lèvres, la mine piteuse, semblant attendre le jugement du blond.

- Eh bien..., commença ce dernier,

- Je suis sincèrement désolé. Je sais, j'aurai du attendre, le coupa Harry, mais j'en avais pas la patience. Tu me connais, je suis un Gryffondor. Je sais, on aurait du commencer par un cinéma ou quelque chose dans le même genre, enfin je vois même pas pourquoi je te dis ça, tu dois me détester! J'aimerais vraiment que tu me pardonnes. S'il te plait oublie tout ça, si tu veux on fait semblant que rien ne s'est passé ou même tu peux repartir chez toi et ...

Drago le prit par la nuque et l'embrassa. Il avait été touché par l'empressement d'Harry à se faire pardonner. Après tout, des soucis, il en avait déjà assez alors un de plus ou un de moins, il n'était pas près d'en voir la fin de toute façon.

Harry resta sans réaction, les yeux grands ouverts pendant quelques instants mais se reprit lorsqu'il sentit Drago mordiller sa lèvre inférieure et quémander doucement l'entrée de sa bouche. Le brun plaça sa main sur la joue du Serpentard et l'approcha doucement de lui.

Tandis que Drago tentait d'approfondir encore plus si cela était possible leur baiser en passant sa main dans la nuque d'Harry, il fut stoppé net par un enchevêtrement de nœuds dans les cheveux du Survivant. En effet, ce dernier ne s'était apparemment pas peigné ni lavé les cheveux depuis belle lurette. Drago posa ses deux mains de part et d'autre du visage d'Harry et le repoussa.

- D'abord une séance chez le coiffeur ..., dit-il, puis les clefs de mon appartement ...

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Epilogue

Pendant qu'elle passait le balai, la grande brune rêvassait doucement. Cela faisait 2 semaines qu'elle avait eu ce boulot à temps partiel, elle avait perdu son emploi précédent il y a 3 semaines. Elle avait été renvoyée parce qu'à chaque fois que la clochette d'entrée tintait, elle lâchait tout ce qui se trouvait dans ses mains, espérant revoir l'ange blond malheureusement homosexuel qu'elle avait un jour croisé.

Aujourd'hui, elle s'occupait donc du nettoyage d'un coiffeur. Elle n'appréciait pas particulièrement les cheveux mais bon. Au moins, il n'y avait pas de clochette pour la faire sursauter.

La porte s'ouvrit à la volée. Elle lâcha son balai. Encore un ange ...

Harry entra en trombe chez ce coiffeur juste en face de l'hôpital, à peine 3 minutes après sa sortie officielle. Besoin urgent de se faire couper les cheveux. Il tomba nez-à-nez avec une moldue qui venait de faire tomber son balai. De peur supposa-t-il. Alors il lui ramassa et en se relevant lui dit en souriant :

- Excusez-moi, mais pourriez-vous me couper les cheveux s'il-vous plait ?

Silence radio. Bug dans le système, veuillez repasser d'ici quelques instants.

- Mais bien entendu, lui répondit la vieille dame qui coiffait et qui par la même occasion sauva la brunette de l'arrêt cardiaque, Asseyez-vous ici, nous allons vous faire patienter.

- Non. Non je ne vais PAS patienter. Vous allez prendre vos ciseaux, couper toute cette masse à cette longueur ci, dit-il en désignant la longueur voulue, et avant ça si vous pouviez me laver les cheveux j'apprécierai...

La vieille dame resta sans voix.

- C'est que l'homme de ma vie m'attend, alors si vous pouviez faire vite ...

Et la pauvre fille au balai tomba évanouie.

XoXoXoXoXoXo

Petit mot de l'auteur(bis): Rassurez vous, Rassurez vous. Il y aura une suite. (Question: Alors pourquoi c'est un One-Shot ? réponse: je sais pas.) Bref. Je sais, ce O-S est incomplet. On ne sait pas ce que Harry pense. C'est pour ça que je fais une suite avec la réaction d'Harry. Si j'ai le courage de la faire XD.

Dis, tu vois le bouton, là en bas à gauche; où ya écrit O.K. Tu pourrais Cliquer dessus ? Histoire de me dire ce que t'en pense...
Vous pouvez aussi jeter des pierres, j'ai le pare-pierre de sorti .