Dimanche, 28ème jour de la 4ème lune de l'an 2010

Cher journal,

Voilà bien deux jours que je n'ai pas couvert tes mignonne petite pages violette de mes pattes de mouches. Non pas que je t'ai perdu ou oublier, la vie m'a juste donnée tant de bonne et mauvaises nouvelles que je n'ai point pus me confiées à toi.

Quand je me suis endormis, jeudi soir, après avoir crayonné ma haine sur tes pages, je pensée pas que j'aurais droit a une aventure aussi doucereuse. Finalement, j'ai bien fait de préparé une valise, mon père m'a encore présenter un de mes prétendant, tu sais, un des ces blancs becs mal dégrossis, qui espère en m'épousant, pouvoir monter sur mon trône et gouverner mon pays. Mon père, cette ordure, compte bien me marier à un de ces adolescents superficiels et immatures, avide de pouvoir.

Après tout, n'es-ce pas comme cela qu'il est monté sur le trône lui aussi ? En épousant une adolescente, une jeune princesse romantique qui croyait en son amour. Mais malheureusement pour mon paternel, je ne ressemble en rien à ma mère. La beauté royale et sa délicatesse se sont perdues dans mes gènes et j'ai tiré mon caractère de ces plus mauvais côté. Ces grands yeux bleus océan doux et innocent, ont été battus par un regard noir d'oiseau de proie, dur mais emplis de malice. Sa chevelure, faite de longueur ondulé et blonde, se percuta au gène des cheveux noir comme les ténèbres, court et lisse.

Je n'ai rien prit de son caractère doux, je suis une guerrière, dominatrice, tenace, indépendante et rusé. Là où mes amies portaient jupons à dentelle et robe de soie et velours, je chausser mes éperons, et nouer à ma taille le fourreau d'une épée d'acier.

Alors bien évidement, épouser un petit guerrier, me taire et rester dans mon coin, ce n'est vraiment pas pour moi. Excéder par la pression de mon père, je me suis lever de table sans plus de cérémonie et j'ai quitté le château, sur ma brave « Etoile du Sud », en tenue d'homme, ma valise sous le bras. Bien sur le lendemain, j'étais capturé par un jeune homme que je n'avais jamais vu.

Mon père avait proclamé que celui me retrouverais et me ramènerais aurait le droit de m'épouser, et donc deviendrai roi. Kadaj m'avait donc capturé pour le pouvoir, mais je dois avouer que l'épouser été déjà une idée plus plaisante que celle de me fiancée à un des mes prétendants. Déjà, il accepter mon caractère, pire, il était mon homologue masculin, froid et tenace, un peu cruel sur les bords, un dirigeant plutôt tyrannique.

Bien sur, capturé au crépuscule, je dus dormir dehors, en plein hiver… au début je rester très loin de lui, un peu comme si il avait la peste. Je le toisai de l'autre coté du feu. Il était beau, il faut être honnête. La vingtaine, grand, fin, avec des cheveux argenté coupé au menton et des yeux opalins, fendu comme ceux des félins.

En pleine nuit j'ai finis par allez me coller à lui, les nuits sont froides, et très humide, alors allez lui voler un peu de chaleur été une idée très alléchante.

Mais ce que j'ai le plus apprécier, c'est la tête de mon paternel quand mon « chevalier sauveur » lui a annoncé, qu'il ne souhaiter pas monter sur le trône. Alors il est reparti, sans rien dire. Je dois te dire, qu'il me manque beaucoup…

Mais aujourd'hui j'ai reçut une lettre de Vincent, Avalanche a besoin de moi. Selon lui trois fous, copie génétique de Sephiroth aurait en tête de détruire le monde.

Bien sur, je t'emmène avec moi, ainsi que la photo de Kadaj, que j'ai discrètement prise avec mon portable… J'en suis presque amoureuse. Mais il se fait tard, et mon bateau part tôt demain.

Tu auras bientôt de mes nouvelles.

Yuffie, princesse d'Utai