Pairing: Thominewt (Thomas x Minho x Newt)
Type : Univers Alternatif
Disclaimer : L'histoire originale et les personnages appartiennent à James Dashner (notre maître à tous /BUS/) Seule la fic en dessous m'appartient.
Hellow ! C'est la première fanfic que j'écris et que je poste ici, je suis un peu nerveux omg. .
Donc voilà, une petite fic sur The Maze Runner que j'avais en tête depuis un petit moment, je ne sais absolument pas comment ça va évoluer mais une chose est sûr, elle va être longue (quand je dis longue, c'est au moins 4 chapitres xD).
Vu que c'est ma toute première fic, il y a surement des fautes, des incohérences etc, du coup n'hésitez pas à me laisser une review pour me dire ce que vous en pensez etc.
Je ne fixerais pas de dates de sorties étant donné que je n'écris qu'au gré de mon inspiration et uniquement quand j'ai du temps (ce qui est rare avec les cours hahaha...). Et d'autres fanfic sortiront sûrement en même temps que celle-ci (étant donné que j'ai pris la vilaine habitude de travailler sur plusieurs fic en même temps)
Enfin bref, fin de ce racontage de vie, enjoy !
Chapitre 1 : First Day
Après avoir passé trois mois entiers enfermé dans un hôpital miteux, avec pour seule compagnie une plante verte et une infirmière qui passait de temps en temps pour s'assurer que tout allait bien, Thomas allait enfin quitter sa chambre d'un vert délavé qu'il trouvait horripilant pour redécouvrir le monde qu'il avait délaissé.
Thomas Murphy, 19 ans, était le seul survivant d'un violent accident de voiture, suite à quoi il était devenu amnésique. Ses parents et son frère, un dénomé Chuck, avaient péris. Le jeune homme n'était pas triste pour autant. Il n'était pas sans cœur, loin de là, mais il trouvait difficile d'être triste pour des personnes dont il ne se souvenait plus.
Quelques jours avant sa sortie d'hôpital, un homme était venu lui rendre visite. Un homme qui ressemblait plus à un rat dans un costume blanc qu'à un humain. Apparemment lui et Thomas n'avaient aucun lien de parenté, il était juste une connaissance de la famille, comme aucun parent ne pouvait l'accueillir, c'était l'homme-rat qui allait s'occuper de lui jusqu'à la fin de ses études.
A peine avait-il passé cinq minutes à parler avec lui, durant lesquelles Thomas apprit qu'il s'appelait Janson et qu'il était déjà chercheur en neuroscience, que le jeune adulte le trouvait extrêmement chiant et insupportable.
Il sortit de l'hôpital en pleine soirée, un 4x4 noir l'attendait dans le parking. Le jeune homme ouvrit la portière et s'installa sur la banquette arrière tandis que Janson le réprimandait pour son retard. Thomas poussa un soupir et lâcha un « Désolé » las.
Tandis qu'une ville inconnue défilait devant ses yeux endormis, le jeune homme se demandait comment son « premier » jour de cours allait se passer, comment il allait réagir si une personne qu'il connaissait autrefois venait lui parler et qu'il ne savait pas quoi lui dire… Des milliers de questions se bousculaient dans sa tête, sans qu'il trouve une réponse pour aucune d'elles. Thomas sentait une petite douleur au niveau de sa poitrine, son rythme cardiaque s'était accéléré. Il redoutait son premier jour autant qu'il l'attendait avec impatience.
Enfin, la voiture s'arrêta devant une grande maison marron et blanche, que Thomas identifia directement comme sa nouvelle prison. Il détestait Janson et tout ce qui se rapprochait de peu ou de loin à lui.
« Thomas ! Au lieu de rêvasser, dépêches-toi de sortir tes affaires de la voiture et de rentrer ! » hurla ce dernier.
En trainant des pieds, Thomas s'exécuta. Il entra dans la grande maison et l'homme-rat lui désigna le grand escalier de marbre qui se trouvait juste en face de l'escalier.
« Ta chambre est juste en face de l'escalier. Tu ne peux pas te gourer, y'a écrit ton prénom sur la porte. Révise bien tes cours, je les ai mis sur ton bureau, tu reprends dans 3 jours. »
Et sans laisser le temps au jeune homme de répliquer quoi que ce soit, il partit vers le salon et allumant une cigarette.
Après un énième soupir, Thomas monta les marches, heureusement qu'il n'avait qu'une petite valise avec ses vêtements dedans. Une fois dans sa nouvelle chambre, il commença d'abord par ranger ses affaires dans une armoire en ébène puis se retourna pour détailler un peu la pièce.
Elle était spacieuse, les murs étaient beiges et le sol couvert de parquet, il y avait un grand lit dans le coin gauche de la chambre, une grande fenêtre avec une vue sur le jardin faisait face à la porte et juste devant était placé un bureau sur lequel se trouvait un PC portable, un smartphone, une carte avec un post-it sur lequel on pouvait lire « itinéraire pour aller à l'université depuis la maison de Janson » un itinéraire tracé en rouge et les fameux cours qui formaient une tour massive juste à côté du téléphone.
Derrière la porte de sa chambre était accroché ce qui semblait être son emploi du temps.
Thomas vit ensuite une grosse commode à côté du bureau, tout près de l'armoire en ébène.
Il se dirigea vers cette dernière et y trouva des sous-vêtements etc., ainsi qu'une lettre à son nom.
Prit de curiosité, il l'ouvrit.
« Cher Thomas,
Nous sommes navré pour ton accident et la perte des membres de ta famille. Nous sommes au courant pour ton amnésie et en sommes très tristes. Ton grand-père et moi avons fait notre possible pour que tu sois le plus à l'aise possible dans ta nouvelle maison. Tout ce qui se trouve actuellement dans ta chambre t'appartenait autrefois.
On t'as aussi laissé de l'argent de poche.
Au revoir Thomas, ta grand-mère. »
Un petit « Merci… » s'échappa des lèvres de Thomas, un sentiment agréable l'envahit, le sentiment d'être apprécié, chose qu'il n'avait pas une seule fois ressentit depuis qu'il s'était réveillé dans cet hôpital.
Il rangea soigneusement la lettre après avoir sorti l'argent de l'enveloppe. Il regarda l'heure sur l'horloge au-dessus de la porte. 20h35… La faim commençait à se faire sentir dans le corps de Thomas, il sortit de la chambre et descendit les escaliers. Janson était en train de sortir.
« J'ai oublié de te prévenir, je suis rarement à la maison, alors débrouilles-toi comme un grand, je suis sûr que t'es plus intelligent que t'en a l'air. »
Une fois de plus, l'homme-rat fila.
« Tant mieux, j'avais pas envie de voir ta sale gueule plus longtemps. » murmura le jeune homme.
Il explora la maison, quelques minutes après, il le connaissait déjà comme sa poche. Il se fit un petit sandwich et fila se laver avant de réviser un peu ses cous et d'aller dormir.
oOo
Trois jours s'étaient ainsi écoulés sans que Thomas ne voit une seule fois Janson à la maison. Qu'est-ce-qu'il pouvait bien faire ? Bah peu importe, il s'en fichait de toute manière. Moins il le voyait, mieux il se portait.
Il était 8h, l'heure de partir en cours. Avant de sortir de chez lui Thomas sentait que son estomac était en train de se nouer. Il était anxieux.
Finalement le jeune homme sortit de la maison et ferma la porte à clef derrière lui.
Quinze minutes plus tard, il se trouvait devant son université. Un bâtiment imposant lui faisait face et semblait le dominer de toute sa hauteur.
Le jeune brun déglutis bruyamment, un sentiment d'inquiétude et de peur s'immisça dans ses muscles. Il resserra sa prise sur son sac, dans l'espoir de calmer les battements précipités de son cœur quand soudain une main se posa sur son épaule et le fit sursauter.
Il se retourna pour voir de qui il s'agissait. Deux garçons, qui semblaient être de son âge le regardait et semblaient aussi surpris que lui. L'un était asiatique, avec une musculature assez développée et des cheveux plein de gel, il portait un jean noir et un t-shirt bleu clair.
L'autre était blond, il avait un corps assez longiligne et fin et portait une chemise blanche avec un pantalon noir. Ils avaient tous les deux un visage familier.
Soudainement, le blond se jeta au cou de Thomas et le serra contre lui.
« Tommy ! Tu nous avais tellement manqué… ! On s'est tellement inquiétés pour toi ! Tu ne répondais pas aux messages, ne venait plus en cours et n'était pas chez toi ! On a carrément appelé la police… ! On nous a dit que tu étais hospitalisé… ! » Thomas posa une main sur son torse, le repoussant doucement.
« Excusez-moi, mais qui êtes-vous ? »
