Si différent
Disclaimer : Les personnages et les lieux ne m'appartiennent pas, tout revient à J.K.Rowling et je ne suis pas payée pour écrire cette fanfic.
Rating : PG
Partie 1
Il fait froid, normal c'est la nuit. À cette heure je devrais comme tout étudient de mon âge être à mon dortoir en train de faire un beau rêve où tout semble merveilleux et sans souci, mais il est vrai que aujourd'hui la réalité se rapproche de près à ce tableau. Détrompez-vous, je ne vous raconte pas n'importe quoi sans savoir de quoi je parle. Voldemort, ce monstre infecte et abject est disparu pour toujours.
Grâce à qui? À moi. Cela fait déjà trois mois que je l'ai détruis, les mangemorts enfermé au ministère où ils sont bien gardé, les détraqueurs détruis, je les ai tous réduis en cendre jusqu'au dernier. Ils ne méritaient que cela, ils étaient tous comme Voldemort, la noirceur et les ténèbres incarnés, ils méritaient amplement de mourir.
Qui je suis vous demandez-vous? Et bien je suis celui en qui on reposait tous ses espoirs. Je suis un garçon qui à maintes reprises auraient pu s'effondrer, abandonner, mais qui toujours s'est relevé. Je détiens plusieurs noms. Je suis Leiden, le survivant et avant tout je suis Harry Potter. Comment un adolescent qui n'avait que seize ans à bien pu détruire le seigneur des ténèbres? À cela je vous répondrai que c'est mon secret.
Aujourd'hui j'ai dix-sept ans et je suis le sorcier le plus puissant que cette terre puisse porter. Bien que la guerre soit terminé, Dumbledore veut me parler, seul. Je suis mes pieds, ils connaissent le chemin. Je l'ai si souvent emprunté. Dans les couloirs ils n'y a aucun bruit. Je n'entend même pas le son que devrait produire mes pieds sur les pierres froides. Je semble flotter au dessus du sol. Impossible me direz-vous? Rien n'est impossible avec la magie. Mais peut-être est-ce du au fait que je ne sois pas humain? Oui peut-être est-ce l'explication. Que suis-je alors? Et bien je vous répondrez que je suis la lumière. Une lumière qui brille dans l'obscurité.
Je regarde devant moi. Je me trouve devant une paire d'ailes entrecroisées. C'est l'entrée du bureau de Dumbledore. L'ancienne gargouille de pierre qui gardait son entrée a été détruite. Nous avons du la remplacer. En me voyant, elle me libère le passage. Cela fait un an que je n'ai plus utilisé de mot de passe. C'est aussi bien comme cela. Je monte les marches et je cogne à la porte en bronze. La vieille porte en chaîne à elle aussi été détruite.
Je n'ai aucune réponse donc j'entre silencieusement. Le directeur n'est pas encore arrivé. Je prend place dans une chaise pour attendre le directeur. Mon regard voyage sur la pièce. Toujours fidèle à elle-même, rien n'a bougé, enfin presque. Une chose est différente. L'épée de Griffondor ne s'y trouve plus. Normal vu qu'elle est en ma possession. Le directeur n'arrive pas, je ne suis pas de nature patient alors je me lève et je me promène en travers les rayons de la bibliothèque personnel de Dumbledore.
Ses ouvrages son nombreux et varié. Je les ai déjà lu pour la plupart d'entre eux . Je laisse les recettes culinaires au directeur. Mes yeux se posent sur un ouvrages qui semblent différent à mes yeux. Pourtant ce n'est qu'un vieux livre recouvert de poussières, mais je le prend dans mes mains.
J'enlève avec ma main droite la fine couche de saleté qui recouvre sa couverture. Il n'est pas écrit en anglais. C'est une langue non-humaine. Étrangement j'arrive tout de même lire ce qui y est écrit. « Un monde à l'autre» . Le nom de l'auteur n'est pas inscrit. Je l'ouvre à la première page et je commence à lire ce qui semble être en italique.
«Tio, das umfasst , seine Wörter weißt, daß andere man Bedürfnisse deiner Hilfe. In sein lieus kannst du nicht scheitern, denn du kennst schon ein wenig seine Vergangenheit. Und kommt nur einmal geht dein vollendetes Schicksal zurück weg oder geht ta Tod, der nur ungewollt sein darf.»
Traduction : «Toi qui comprend ces mots sache que d'autres ont besoin de ton aide. En ses lieux tu ne pourras échouer car tu connais déjà un peu son passé. Va et ne reviens qu'une fois ton destin accompli ou part ta mort qui ne devra que d'être involontaire.»
Les lettres se mirent alors à briller d'une couleur argenté qui miroitait fluide comme l'eau d'une cascade. Je sentis mon corps quitter le sol et des couleurs les unes plus brillantes que les autres m'agressèrent les yeux. Je les fermai et me laissai emporter par cette force contre laquelle je me trouvait impuissant.
Durement, j'atterris sur le sol. L'éclairage est redevenu normal donc j'essais de me lever malgré que je sois un peu sonné. J'entend du bruit, des chuchotements pour être exacte. Je fini tout de même par me remettre sur pied et je regarde où je me trouve. Le bureau du directeur, mais je ne suis pas seul.
Vers moi sont pointé cinq baguettes magiques. Je regarde le directeur fronçant les sourcils. Pourquoi semble t-il avoir peur de moi. Je la voix dans ses yeux, la peur , la haine, la colère, le dégoût, la pitié. Je ne comprend pas pourquoi il me regarde comme cela. Qu'ai-je fais? Je tourne mon regard vers les cinq autres occupant de la pièce et là je crois bien que mon c?ur s'est arrêté de battre pendant quelque instant.
J'ai droit au groupe des maraudeurs réunis au grand complet en face de moi. Même Peter est là et étrangement personne n'amorce de geste pour l'étrangler, non mon parrain est juste à côté de lui! Que se passe-il? Je ne comprend vraiment plus rien. Du calme, respire. Au moins ils n'amorcent aucun gestes d'attaques, pour l'instant du moins. Je voudrais bien savoir ce qui arrive, mais les mots me restent coincés dans la gorge et tout ce dont j'arrive à faire est de les regarder bêtement.
Certes je dois avoir l'air pitoyable en ce moment. Je dois me ressaisire, je ne suis pas le plus puissant sorcier pour rien! Je me racle un peu la gorge pour reprendre contenance et je me tourne vers le directeur.
-Que se passe-t-il Albus? Lui demandais-je doucement.
Leur regard change. Je les vois froncer légèrement les sourcils, mais ils rabaissent légèrement leur baguette. Je vois de l'incompréhension dans leur regard. Je ne dois pas être bien loin d'eux en ce moment. Moi non plus je ne comprend pas. Il semblerait que le directeur ne sache pas quoi répondre. Je vois dans ces yeux qu'il est en train de réfléchir et qu'il doit être très loin de son bureau à l'heure qu'il est donc il n'entend pas James, mon père, me répondre d'une manière un peu sec à sa place.
-Que fais-tu ici monstre? Me grogna-t-il.
Monstre? Moi? Alors là je suis complètement perdu. Et bien contre ma volonté je ne pu m'empêcher de lui répondre de façon un peu brusque : « Je ne suis pas un monstre! » Ils me regardèrent l'air complètement scandalisé. Qu'ais-je dis de mal? Il est vrai que je ne suis pas un monstre, bien au contraire! Pensais-je malicieusement. J'analyse rapidement la situation. Nous sommes dans une impasse. Personne ne semble comprendre et moi qui suis menacé par leur baguettes. Je me mord nerveusement la lèvre. C'est ce que j'ai tendance à faire lorsque je suis nerveux.
Finalement il semblerait que Dumbledore soit revenu d'on ne sait trop où dans ses pensées et il me regarda. Ce regard scrutateur qui vous donne l'impression d'être à nu devant le vieille homme. À mon plus grand étonnement, il me pose la question à laquelle je ne me serais pas attendu de toute ma vie. Une vrai blague!
-Qui êtes-vous? Me demande-t-il tout à fait sérieusement à mon plus grand effarement.
Je le regarde les yeux probablement aussi gros que des balles de golf. Il n'est pas sérieux là. Il ne me reconnaît pas! Il est amnésique ou quoi? Me demandais-je scandalisé. Comment peut-il ne pas me reconnaître, moi Harry Potter, moi avec qui il a combattu Voldemort. J'ai le cerveau qui commence à fonctionner à cent à l'heure, il doit bien y avoir une explication. Le livre, je l'avais complètement oublié. Je le tien toujours dans mes mains. Je le regarde. Les autres suivent mon geste et je vois les yeux de Dumbledore commencer à pétiller.
Je n'aime pas ça! Que va-t-il me sortir encore. Gentiment il me repose sa question. La voix un peu rauque je lui répond que je me nomme Harry Potter. Des flammes semblent animer désormais les yeux du directeur. Il semblerait que Albus comprend quelque chose mais moi je nage en plein mystère et jetant un regard sur les autres occupants de la pièce je vois que je ne suis pas le seul.
-Et bien il semblerait que nous ayons un voyageur parmis nous. Dit il d'un ton moqueur.
-Que voulez-vous dire par là professeur? Demanda mon parrain.
-Et bien je veux simplement dire que ce Harry Potter n'est pas celui que nous connaissons. Si je ne m'abuse ce jeune homme viendrait d'un autre monde se rapprochant du notre. Qui sont vos parents? Me demanda-t-il.
-James et Lily Potter. répondis-je pris au dépourvu.
Je vis les maraudeurs sursauter légèrement. C'est bien beau tout ça, mais moi ça ne me satisfait pas comme explication. Pour qui me prennent-ils? Un voyageur? C'est vrai que ça expliquerait bien des choses. Comme comment cela se fait que mon père soit vivant et que Peter soit dans la même pièce que Sirius en un seul morceau. Je veux des réponses, maintenant!
-Excuser moi professeur, mais pourquoi m'a t-on traité de monstre? Demandais-je un peu maladroit. Je ne comprend pas voyez-vous.
-Harry vois-tu si je ne me trompe pas la situation entre ton monde et notre monde est selon moi identique, mais comporte un grand changement. Tu m'as dit que James était ton père n'est-ce pas? Et bien ici ce n'est pas tout à fait pareille, mais pour en être sur il faudrait que tu me parle un peu plus de toi, après tout tu as été envoyé ici par le livre pour nous aider. Ajouta-t-il malicieusement.
Je suis complètement largué. Différent. J'accroche sur ce mot. Qu'elle différence est-il arrivé pour que je suscite de telles réactions. Néanmoins, je leur raconta tout de même la majeur partie de ma vie en omettant un petit détail, mais en avouant que je suis belle et bien l'héritier de Griffondor. À la fin de mon récit, il n'y avait plus la moindre baguette pointée vers moi, mais je n'avais toujours pas eu de réponses à MES questions. Je lançai un regard au directeur qui voulait en dire long.
-Oui, tu veux des réponses n'est-ce pas? me demande-t-il me regardant par dessus ses lunettes en demi-lune. Bien que notre histoire risque de se montrer moins longue que la tienne, je te conseillerais de t'asseoir.
Heureux à l'idée d'avoir enfin les réponses que je voulais, je me confirmai à la demande du directeur. Les maraudeurs eux aussi se rassir et le directeur entama son histoire.
-James et Lily s'aimaient. Commence-t-il. Nous savions qu'il y avait un traître parmis nous et si dans ton univers il s'agit de Peter, ici ce n'est pas le cas. Continua-t-il prudemment. Notre couple tout comme pour toi ce sont marié et Lily est tombé enceinte du Harry Potter d'ici. La vie à continuer, tu as grandi, tu as eu un an et un soir, le 31 octobre.
Flash Back
James et Lily Potter se reposaient sur le divan devant la massive cheminer qui dominait tout leur salon. Lily tenait dans ses bras un petit bambin de un an, nommé Harry Potter. James était très nerveux depuis que le sortilège de fidelitas avait été pratiqué. Il avait confiance en Peter, mais il y avait un traître, mais personne ne savait de qui il s'agissait. L'ambiance dans la pièce était donc plutôt tendu. Même Harry était silencieux.
Quelque chose d'important allait ce produire et un sentiment d'impuissance grandissait dans le c?ur de James. Frustré de se silence pesant, il se leva et alla voir à la fenêtre. Dehors il faisait noir. Le vent froid d'automne faisait voler les feuilles qui était tomber des arbres du jardin, mais même à l'extérieur il n'y avait aucun bruit. Cependant l'attention de James fut attirer par une forme noir qui se déplaçait de manière fantomatique.
Il la vit lentement approcher de la grille de sa maison et il pu reconnaître les contours d'une robe de sorcier. Un seul sorcier au monde pouvait se déplacer ainsi, sans bruit, comme un mort. Lord Voldemort. Il avait retrouvé sa trace, donc Peter avait trahi. James se tourna vert Lily son visage de plus en plus blanc. Sa femme le regarda attendant une explication. Lorsque James recouvrit sa voix qu'il avait sur le coup perdu, il ordonna à Lily de prendre Harry et de se sauver.
Cependant à sa grande horreur il vit un sourire se former sur les lèvres de son épouse. Pas un sourire chaleureux, ni encourageant, mais un sourire froid et cruel qui aurait pu rivaliser avec celui de Voldemort en personne. À ce moment il compris. Ce n'était pas Peter qui venait de les trahir, mais Lily sa femme, son amour. Il avait l'impression que son monde s'écroulait autour de lui.
Il la regarda et avec le courage qui lui restait, il lui demanda pourquoi, pourquoi elle lui faisait ça. Lily le regarda avec son air suffisant et s'avança de manière provocante vers lui. Elle tenait toujours Harry dans ses bras lorsqu'elle lui adressa la parole.
-Pourquoi je t'ai fait ça me demandes-tu? Dit-t-elle sèchement. C'est très simple. Continua-t-elle en décrivant des cercles autour de James. J'ai fait cela pour la personne que j'aime et malheureusement, ce n'est pas toi. Vois- tu il m'a été pénible de vivre avec toi pendant tout ce temps. Oh! Mais ne me regarde pas ainsi, j'ai été aimable avec toi pendant tout ce temps. Non? Vois-tu si j'ai du jouer cette mascarade c'est pour Harry. Je voulais un fils et j'allais en avoir un.
Au fur et à mesure du récit de Lily on voyait les couleurs de James le quitter peu à peu. Ce dernier n'avait même pas remarqué que lord Voldemort était entré dans la maison et qu'il observait la scène avec une lueur d'amusement dans les yeux. Pendant ce temps Lily continuait ses explications.
-Tom, ne peut pas avoir d'enfant et si je demandais un enfant de quelqu'un autre que toi cela allait devenir suspicieux et Dumbledore ne m'aurait probablement jamais laissé faire, donc il me fallait une personne dont personne ne se douterait et c'est toi était tout désigné. Mais maintenant tu ne met plus utile donc je pourrai te tuer. Ne t'inquiète pas pour Harry, poursuivi-t-elle, son vrai père pourra s'occuper de lui. dit-elle en déposant l'enfant dans les bras de Voldemort.
Sous le choc de ses révélations, tout ce que le cerveau de James pu produire fut la question suivante.
-Son père? Dit-il la voix tremblante et sèche.
-Et oui, Harry bien qu'il ai ton apparence, n'est pas ton fils. Sans que tu ne le sache nous avons fait sur Harry un transfère de gène de sorte qu'il ne garde rien de ton héritage de Griffondor et de ta personnalité, donc Harry est bien le fils de Tom. Dit-elle amusée. Bon maintenant je dois te tuer, j'ai suffisamment perdu de temps. Dit-elle en sortant et pointant sa baguette magique vers James.
Je m'arrête ici et vous aurai la deuxième partie plus tard. Au départ c'était destiné à être une fic à chapitre unique, mais je trouvait que ce serait bcp trop long donc je la sépare en plusieurs partie. En tout Harry restera à Poudlard à peine une semaine si vous voulez une petite idée.
Review svp si vous voulez la suite!
Disclaimer : Les personnages et les lieux ne m'appartiennent pas, tout revient à J.K.Rowling et je ne suis pas payée pour écrire cette fanfic.
Rating : PG
Partie 1
Il fait froid, normal c'est la nuit. À cette heure je devrais comme tout étudient de mon âge être à mon dortoir en train de faire un beau rêve où tout semble merveilleux et sans souci, mais il est vrai que aujourd'hui la réalité se rapproche de près à ce tableau. Détrompez-vous, je ne vous raconte pas n'importe quoi sans savoir de quoi je parle. Voldemort, ce monstre infecte et abject est disparu pour toujours.
Grâce à qui? À moi. Cela fait déjà trois mois que je l'ai détruis, les mangemorts enfermé au ministère où ils sont bien gardé, les détraqueurs détruis, je les ai tous réduis en cendre jusqu'au dernier. Ils ne méritaient que cela, ils étaient tous comme Voldemort, la noirceur et les ténèbres incarnés, ils méritaient amplement de mourir.
Qui je suis vous demandez-vous? Et bien je suis celui en qui on reposait tous ses espoirs. Je suis un garçon qui à maintes reprises auraient pu s'effondrer, abandonner, mais qui toujours s'est relevé. Je détiens plusieurs noms. Je suis Leiden, le survivant et avant tout je suis Harry Potter. Comment un adolescent qui n'avait que seize ans à bien pu détruire le seigneur des ténèbres? À cela je vous répondrai que c'est mon secret.
Aujourd'hui j'ai dix-sept ans et je suis le sorcier le plus puissant que cette terre puisse porter. Bien que la guerre soit terminé, Dumbledore veut me parler, seul. Je suis mes pieds, ils connaissent le chemin. Je l'ai si souvent emprunté. Dans les couloirs ils n'y a aucun bruit. Je n'entend même pas le son que devrait produire mes pieds sur les pierres froides. Je semble flotter au dessus du sol. Impossible me direz-vous? Rien n'est impossible avec la magie. Mais peut-être est-ce du au fait que je ne sois pas humain? Oui peut-être est-ce l'explication. Que suis-je alors? Et bien je vous répondrez que je suis la lumière. Une lumière qui brille dans l'obscurité.
Je regarde devant moi. Je me trouve devant une paire d'ailes entrecroisées. C'est l'entrée du bureau de Dumbledore. L'ancienne gargouille de pierre qui gardait son entrée a été détruite. Nous avons du la remplacer. En me voyant, elle me libère le passage. Cela fait un an que je n'ai plus utilisé de mot de passe. C'est aussi bien comme cela. Je monte les marches et je cogne à la porte en bronze. La vieille porte en chaîne à elle aussi été détruite.
Je n'ai aucune réponse donc j'entre silencieusement. Le directeur n'est pas encore arrivé. Je prend place dans une chaise pour attendre le directeur. Mon regard voyage sur la pièce. Toujours fidèle à elle-même, rien n'a bougé, enfin presque. Une chose est différente. L'épée de Griffondor ne s'y trouve plus. Normal vu qu'elle est en ma possession. Le directeur n'arrive pas, je ne suis pas de nature patient alors je me lève et je me promène en travers les rayons de la bibliothèque personnel de Dumbledore.
Ses ouvrages son nombreux et varié. Je les ai déjà lu pour la plupart d'entre eux . Je laisse les recettes culinaires au directeur. Mes yeux se posent sur un ouvrages qui semblent différent à mes yeux. Pourtant ce n'est qu'un vieux livre recouvert de poussières, mais je le prend dans mes mains.
J'enlève avec ma main droite la fine couche de saleté qui recouvre sa couverture. Il n'est pas écrit en anglais. C'est une langue non-humaine. Étrangement j'arrive tout de même lire ce qui y est écrit. « Un monde à l'autre» . Le nom de l'auteur n'est pas inscrit. Je l'ouvre à la première page et je commence à lire ce qui semble être en italique.
«Tio, das umfasst , seine Wörter weißt, daß andere man Bedürfnisse deiner Hilfe. In sein lieus kannst du nicht scheitern, denn du kennst schon ein wenig seine Vergangenheit. Und kommt nur einmal geht dein vollendetes Schicksal zurück weg oder geht ta Tod, der nur ungewollt sein darf.»
Traduction : «Toi qui comprend ces mots sache que d'autres ont besoin de ton aide. En ses lieux tu ne pourras échouer car tu connais déjà un peu son passé. Va et ne reviens qu'une fois ton destin accompli ou part ta mort qui ne devra que d'être involontaire.»
Les lettres se mirent alors à briller d'une couleur argenté qui miroitait fluide comme l'eau d'une cascade. Je sentis mon corps quitter le sol et des couleurs les unes plus brillantes que les autres m'agressèrent les yeux. Je les fermai et me laissai emporter par cette force contre laquelle je me trouvait impuissant.
Durement, j'atterris sur le sol. L'éclairage est redevenu normal donc j'essais de me lever malgré que je sois un peu sonné. J'entend du bruit, des chuchotements pour être exacte. Je fini tout de même par me remettre sur pied et je regarde où je me trouve. Le bureau du directeur, mais je ne suis pas seul.
Vers moi sont pointé cinq baguettes magiques. Je regarde le directeur fronçant les sourcils. Pourquoi semble t-il avoir peur de moi. Je la voix dans ses yeux, la peur , la haine, la colère, le dégoût, la pitié. Je ne comprend pas pourquoi il me regarde comme cela. Qu'ai-je fais? Je tourne mon regard vers les cinq autres occupant de la pièce et là je crois bien que mon c?ur s'est arrêté de battre pendant quelque instant.
J'ai droit au groupe des maraudeurs réunis au grand complet en face de moi. Même Peter est là et étrangement personne n'amorce de geste pour l'étrangler, non mon parrain est juste à côté de lui! Que se passe-il? Je ne comprend vraiment plus rien. Du calme, respire. Au moins ils n'amorcent aucun gestes d'attaques, pour l'instant du moins. Je voudrais bien savoir ce qui arrive, mais les mots me restent coincés dans la gorge et tout ce dont j'arrive à faire est de les regarder bêtement.
Certes je dois avoir l'air pitoyable en ce moment. Je dois me ressaisire, je ne suis pas le plus puissant sorcier pour rien! Je me racle un peu la gorge pour reprendre contenance et je me tourne vers le directeur.
-Que se passe-t-il Albus? Lui demandais-je doucement.
Leur regard change. Je les vois froncer légèrement les sourcils, mais ils rabaissent légèrement leur baguette. Je vois de l'incompréhension dans leur regard. Je ne dois pas être bien loin d'eux en ce moment. Moi non plus je ne comprend pas. Il semblerait que le directeur ne sache pas quoi répondre. Je vois dans ces yeux qu'il est en train de réfléchir et qu'il doit être très loin de son bureau à l'heure qu'il est donc il n'entend pas James, mon père, me répondre d'une manière un peu sec à sa place.
-Que fais-tu ici monstre? Me grogna-t-il.
Monstre? Moi? Alors là je suis complètement perdu. Et bien contre ma volonté je ne pu m'empêcher de lui répondre de façon un peu brusque : « Je ne suis pas un monstre! » Ils me regardèrent l'air complètement scandalisé. Qu'ais-je dis de mal? Il est vrai que je ne suis pas un monstre, bien au contraire! Pensais-je malicieusement. J'analyse rapidement la situation. Nous sommes dans une impasse. Personne ne semble comprendre et moi qui suis menacé par leur baguettes. Je me mord nerveusement la lèvre. C'est ce que j'ai tendance à faire lorsque je suis nerveux.
Finalement il semblerait que Dumbledore soit revenu d'on ne sait trop où dans ses pensées et il me regarda. Ce regard scrutateur qui vous donne l'impression d'être à nu devant le vieille homme. À mon plus grand étonnement, il me pose la question à laquelle je ne me serais pas attendu de toute ma vie. Une vrai blague!
-Qui êtes-vous? Me demande-t-il tout à fait sérieusement à mon plus grand effarement.
Je le regarde les yeux probablement aussi gros que des balles de golf. Il n'est pas sérieux là. Il ne me reconnaît pas! Il est amnésique ou quoi? Me demandais-je scandalisé. Comment peut-il ne pas me reconnaître, moi Harry Potter, moi avec qui il a combattu Voldemort. J'ai le cerveau qui commence à fonctionner à cent à l'heure, il doit bien y avoir une explication. Le livre, je l'avais complètement oublié. Je le tien toujours dans mes mains. Je le regarde. Les autres suivent mon geste et je vois les yeux de Dumbledore commencer à pétiller.
Je n'aime pas ça! Que va-t-il me sortir encore. Gentiment il me repose sa question. La voix un peu rauque je lui répond que je me nomme Harry Potter. Des flammes semblent animer désormais les yeux du directeur. Il semblerait que Albus comprend quelque chose mais moi je nage en plein mystère et jetant un regard sur les autres occupants de la pièce je vois que je ne suis pas le seul.
-Et bien il semblerait que nous ayons un voyageur parmis nous. Dit il d'un ton moqueur.
-Que voulez-vous dire par là professeur? Demanda mon parrain.
-Et bien je veux simplement dire que ce Harry Potter n'est pas celui que nous connaissons. Si je ne m'abuse ce jeune homme viendrait d'un autre monde se rapprochant du notre. Qui sont vos parents? Me demanda-t-il.
-James et Lily Potter. répondis-je pris au dépourvu.
Je vis les maraudeurs sursauter légèrement. C'est bien beau tout ça, mais moi ça ne me satisfait pas comme explication. Pour qui me prennent-ils? Un voyageur? C'est vrai que ça expliquerait bien des choses. Comme comment cela se fait que mon père soit vivant et que Peter soit dans la même pièce que Sirius en un seul morceau. Je veux des réponses, maintenant!
-Excuser moi professeur, mais pourquoi m'a t-on traité de monstre? Demandais-je un peu maladroit. Je ne comprend pas voyez-vous.
-Harry vois-tu si je ne me trompe pas la situation entre ton monde et notre monde est selon moi identique, mais comporte un grand changement. Tu m'as dit que James était ton père n'est-ce pas? Et bien ici ce n'est pas tout à fait pareille, mais pour en être sur il faudrait que tu me parle un peu plus de toi, après tout tu as été envoyé ici par le livre pour nous aider. Ajouta-t-il malicieusement.
Je suis complètement largué. Différent. J'accroche sur ce mot. Qu'elle différence est-il arrivé pour que je suscite de telles réactions. Néanmoins, je leur raconta tout de même la majeur partie de ma vie en omettant un petit détail, mais en avouant que je suis belle et bien l'héritier de Griffondor. À la fin de mon récit, il n'y avait plus la moindre baguette pointée vers moi, mais je n'avais toujours pas eu de réponses à MES questions. Je lançai un regard au directeur qui voulait en dire long.
-Oui, tu veux des réponses n'est-ce pas? me demande-t-il me regardant par dessus ses lunettes en demi-lune. Bien que notre histoire risque de se montrer moins longue que la tienne, je te conseillerais de t'asseoir.
Heureux à l'idée d'avoir enfin les réponses que je voulais, je me confirmai à la demande du directeur. Les maraudeurs eux aussi se rassir et le directeur entama son histoire.
-James et Lily s'aimaient. Commence-t-il. Nous savions qu'il y avait un traître parmis nous et si dans ton univers il s'agit de Peter, ici ce n'est pas le cas. Continua-t-il prudemment. Notre couple tout comme pour toi ce sont marié et Lily est tombé enceinte du Harry Potter d'ici. La vie à continuer, tu as grandi, tu as eu un an et un soir, le 31 octobre.
Flash Back
James et Lily Potter se reposaient sur le divan devant la massive cheminer qui dominait tout leur salon. Lily tenait dans ses bras un petit bambin de un an, nommé Harry Potter. James était très nerveux depuis que le sortilège de fidelitas avait été pratiqué. Il avait confiance en Peter, mais il y avait un traître, mais personne ne savait de qui il s'agissait. L'ambiance dans la pièce était donc plutôt tendu. Même Harry était silencieux.
Quelque chose d'important allait ce produire et un sentiment d'impuissance grandissait dans le c?ur de James. Frustré de se silence pesant, il se leva et alla voir à la fenêtre. Dehors il faisait noir. Le vent froid d'automne faisait voler les feuilles qui était tomber des arbres du jardin, mais même à l'extérieur il n'y avait aucun bruit. Cependant l'attention de James fut attirer par une forme noir qui se déplaçait de manière fantomatique.
Il la vit lentement approcher de la grille de sa maison et il pu reconnaître les contours d'une robe de sorcier. Un seul sorcier au monde pouvait se déplacer ainsi, sans bruit, comme un mort. Lord Voldemort. Il avait retrouvé sa trace, donc Peter avait trahi. James se tourna vert Lily son visage de plus en plus blanc. Sa femme le regarda attendant une explication. Lorsque James recouvrit sa voix qu'il avait sur le coup perdu, il ordonna à Lily de prendre Harry et de se sauver.
Cependant à sa grande horreur il vit un sourire se former sur les lèvres de son épouse. Pas un sourire chaleureux, ni encourageant, mais un sourire froid et cruel qui aurait pu rivaliser avec celui de Voldemort en personne. À ce moment il compris. Ce n'était pas Peter qui venait de les trahir, mais Lily sa femme, son amour. Il avait l'impression que son monde s'écroulait autour de lui.
Il la regarda et avec le courage qui lui restait, il lui demanda pourquoi, pourquoi elle lui faisait ça. Lily le regarda avec son air suffisant et s'avança de manière provocante vers lui. Elle tenait toujours Harry dans ses bras lorsqu'elle lui adressa la parole.
-Pourquoi je t'ai fait ça me demandes-tu? Dit-t-elle sèchement. C'est très simple. Continua-t-elle en décrivant des cercles autour de James. J'ai fait cela pour la personne que j'aime et malheureusement, ce n'est pas toi. Vois- tu il m'a été pénible de vivre avec toi pendant tout ce temps. Oh! Mais ne me regarde pas ainsi, j'ai été aimable avec toi pendant tout ce temps. Non? Vois-tu si j'ai du jouer cette mascarade c'est pour Harry. Je voulais un fils et j'allais en avoir un.
Au fur et à mesure du récit de Lily on voyait les couleurs de James le quitter peu à peu. Ce dernier n'avait même pas remarqué que lord Voldemort était entré dans la maison et qu'il observait la scène avec une lueur d'amusement dans les yeux. Pendant ce temps Lily continuait ses explications.
-Tom, ne peut pas avoir d'enfant et si je demandais un enfant de quelqu'un autre que toi cela allait devenir suspicieux et Dumbledore ne m'aurait probablement jamais laissé faire, donc il me fallait une personne dont personne ne se douterait et c'est toi était tout désigné. Mais maintenant tu ne met plus utile donc je pourrai te tuer. Ne t'inquiète pas pour Harry, poursuivi-t-elle, son vrai père pourra s'occuper de lui. dit-elle en déposant l'enfant dans les bras de Voldemort.
Sous le choc de ses révélations, tout ce que le cerveau de James pu produire fut la question suivante.
-Son père? Dit-il la voix tremblante et sèche.
-Et oui, Harry bien qu'il ai ton apparence, n'est pas ton fils. Sans que tu ne le sache nous avons fait sur Harry un transfère de gène de sorte qu'il ne garde rien de ton héritage de Griffondor et de ta personnalité, donc Harry est bien le fils de Tom. Dit-elle amusée. Bon maintenant je dois te tuer, j'ai suffisamment perdu de temps. Dit-elle en sortant et pointant sa baguette magique vers James.
Je m'arrête ici et vous aurai la deuxième partie plus tard. Au départ c'était destiné à être une fic à chapitre unique, mais je trouvait que ce serait bcp trop long donc je la sépare en plusieurs partie. En tout Harry restera à Poudlard à peine une semaine si vous voulez une petite idée.
Review svp si vous voulez la suite!
