Coucou tout le monde, j'ai décidé de faire une histoire en deux ( peut être trois chapitres ) sur notre petit geek préféré.
Je tiens à vous prévenir que cette fanfic va comporter des scènes violantes et un peu choquantes pour certain.
Et je précise que Mathieu Sommet est à lui même et que ses personnalité sortent de son esprit fertile et non du mien.
Bonne lecture:)
Ils me prennent pour un gamin sans importance mais ils se trompent. Je suis plus dangereux qu'eux tous réunis. Depuis des années, ils me maltraitent en me prenant pour un idiot, me considère comme un indésirable bon à être chassé. Je suis leur souffre douleur. Mais je vais me venger. Ils vont me le payer tous autant qu'ils sont ce qu'ils m'ont fait subir.
Ces années d'isolement m'ont été utiles. J'ai établi un plan afin de me débarrasser d'eux. Un par un. Mes idées s'accroissant au fil que leur estime et leur respect envers moi diminuait. Enfin, depuis le temps que j'attends ce moment, la partie va pouvoir commencer. Et cette fois ci, c'est moi le maître du jeu.
Le panda, je l'appréciais jusqu'à ce qu'il prenne la grosse tête à cause de ce web show débile et commence à me traiter comme un moins que rien. Avant, il prenait ma défense même si cela lui valait un regard noir ou une expression cinglante des autres. Mais ils a changé depuis. Maintenant au lieu de grogner lorsque le patron me faisait pleurer ou m'humiliait, il rigolait avec lui. Parfois même il me lançait des piques. Mais je ne répliquais pas. Je pense qu'il a juste été influencé par les autres. J'ai décidé d'être clément avec lui. Une mort rapide. Je me rendis alors dans sa grotte avec un sourire innocent et la tête légèrement abaissée en signe de soumission.
Geek, c'est pas le moment là j'ai du travail à finir. Je n'ai pas le temps de jouer avec toi. Vas-t'en, me dit-il d'un air exaspéré.
Oh attention pensais-je, monsieur panda sors les griffes ! Mais je ne lui répondis rien et continua à m'avancer jusqu'à lui faire face. Ma mimique innocente se transforma en sourire tordu et malsain. Je pus voir avant de le tuer ses yeux s'emplir de peur. Pendant une fraction de seconde, il devint le petit Geek que j'avais toujours été : seul, apeuré et triste. Cette expression dura jusqu'à ce je lui plante mon couteau dans la gorge. Son sang gicla sur moi, l'odeur emplit mes narines et ce goût... oh oui ce goût si acre mais doux à la fois. Je ne m'en lasserais jamais. Je remarqua alors qu'il avait giclé sur tout mon t-shirt le collant à ma peau :
Oh non, mais quand vas-tu apprendre à être propre petit panda ? Dis-je de la même manière que l'on dispute un enfant.
Tant pis, je m'occuperais de ce détail plus tard. Et un en moins.
Passons au Patron. Ah ce cher patron. Cet affreux personnage, vicieux pervers et dévergondé. L'homme qui fait ressembler mes pires cauchemars à un doux baiser. Depuis des années, la nuit à une heure du matin précisément, il venait faire un petit tour dans ma chambre afin de me faire crier. Maintenant c'est à mon tour.
Je me rendis dans sa cave. Je savais qu'il était là, ses cris de bête en rûte raisonnant jusque dans le salon. Je décida de ne pas attaquer de front, ayant une moins bonne forme physique que lui, je serai aussitôt désavantagé. Je rentra par la porte sans faire de bruit et comme je m'y attendais, il était de dos en plein coïte avec une femme blonde. Si belle avec de si gros... mais non ce n'est pas le moment de penser à ça. Je pris alors une grosse pierre qui traînait parterre, m'approcha lentement de l'homme que son activité rendait apparemment sourd et lui donna un premier coup sur le crâne, puis un deuxième et enfin un troisième. C'est bon il était K.O. A ma grande surprise, la femme ne fut pas choquée de ce qu'elle vit, elle ne broncha même pas. Elle enfila seulement une blouse et partit d'un pas , je n'aurai pas besoin de la tuer comme ça. Je ne suis pas méchant après tout. Je me dépêcha de traîner le patron jusqu'à une table chirurgicale, je ne voulais même pas connaître la raison de sa présence, quel horrible personnage. Le posa dessus et l'attacha. J'attendis qu'il se réveille en jouant avec ma DS. J'étais à un boss final lorsque je fus interrompu par sa voix rauque : -Putain mais qu'est ce que fous là moi ? Ah t'es ici gamin, aide moi donc à me libérer et je te ferai pas trop de mal.
Je lui lança un regard excédé et lui dit :
Putain ! Tu m'as fait rater mon niveau ! T'es vraiment quelqu'un de méchant !
Le patron ne répondit pas, sceptique mais son visage changea du tout au tout lorsque mon masque de pauvre petit Geek tomba. Son sourire lubrique se transforma en une grimace de peur. Mon cœur se gonfla alors de joie. Que c'était bon ! Le Patron avait peur du Geek ! Le loup s'enfuyait la queue entre les jambes devant l'agneau !
Non, gamin fais pas ça ! Putain je savais que t'étais tordu mais pas à ce point là !
Je ne lui répondis pas. Je me contenta juste de m'approcher de lui, un briquet a la main et lui dit :
C'est méchant ça ! Je ne suis pas fou ! C'est toi qui est méchant. A cause toi, tous mes rêves son marqués par ta sale face et ils deviennent des cauchemars ! Alors moi aussi je vais te marquer mais pas de la même manière.
Oh non ! Merde gamin c'est plus marrant ! Relâche moi !
Je lui souris. Un sourire semblable à celui qu'il portait avant qu'il ne me fasse du mal. Un sourire de dominant. Mais cette fois c'était moi qui l'affichait. J'allumai le briquet et fis chauffer la lame jusqu'à ce qu'elle rougisse et commença mon travail. Je posais la lame qui grésilla au contact de sa peau. J'entendis le patron gémir de douleur. Lorsque que je trouva que la lame avait bien marqué sa peau je la retira, un peu de peau resta collée dessus, me forçant à tirer plus fort. Le Patron ne dit rien, courageux pour un agneau. Je continua mon travail jusqu'à ce que l'amas de chair brûlée forme le mot Geek.
Voilà dis-je avec entrain, maintenant toi aussi tu es marqué ! Dis-moi,tes yeux, pourquoi ils sont cachés derrière ces lunettes toutes noires ?
Il se contenta de serrer les dents sans répondre. La colère monta en moi. Pour qui se prenait-il ? Pourquoi ne me répondait-il pas ? Depuis le temps que je le connaissais, il n'avais jamais retiré son accessoire.
Oh tu ne veux pas répondre ? C'est méchant ça !
Je lui fit ma tête de chaton afin de le faire craquer mais il ne lâcha pas un mot. Mes sourcils se froncèrent. J'enfonçais alors mon coteau dans son bras, si fort que lorsque j'atteignis l'os, la force avec laquelle je l'avais poignardé retentit dans ma main et remonta jusque dans mon épaule. Un cri déchira le silence qui avait envahit la pièce depuis peu. Heureusement qu'elle était insonorisée. Une fois dans sa vie, le patron avait fait quelque chose qui me rendait service, sans le faire exprès mais, quand même. J'essayais de retirer le couteau de son bras mais en vain. Mince, il avait du s'enfoncer trop profondément dans son os. Tant pis, j'en avais d'autres.
Putain de merde saloperie de Mioche ! Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? Je risque de crever là ! Dit-il avec de la panique retentissant dans sa voix.
Mais c'est pas gentil ça ! C'est de ta faute à toi ! Tu n'avais qu'a me dire ce qui se cachait derrière tes lunettes.
D'un geste de rage, je lui donna une claque monumentale au visage qui fit s'envoler ses lunettes. Je vis alors ce qu'il cachait depuis des années. Des yeux rouges.
C'est tout lui dis-je ? Tu me déçois. Je m'attendais à mieux. Je vais faire en sorte que tu aies une meilleure excuse pour les cacher.
Le patron essaya de se débattre mais il fut vite arrêté dans son élan par le couteau planté dans son bras. Je fis alors ce que j'avais prévu. Je pris deux aiguilles que je fis chauffer à blanc :
Ça c'est pour pas que tu aies d'infections, ce serait bête tout de même tu ne penses pas ?
Lorsqu'elles furent assez chaudes pour être stérilisées je posa mon briquet et enfonça les deux aiguilles dans ses globes oculaires vermeille. Je fis attention à ne pas trop les enfoncer afin de ne pas le tuer, comme j'avais vu sur internet. Ses yeux grésillèrent un bruit semblable à celui du bacon en train de frire. Tiens, cela me fit penser que j'avais faim. Je m'en occuperais plus tard, c'est pas grave. Le nouveau cri qu'il lâcha, plus aigu cette fois me fit sortir de mes rêves de nourriture. Il criait trop à mon goût et ne parlait pas assez cela devenait lassant. Je retira les deux aiguilles et admira le résultat. A la place de ses yeux, je vis deux trous béants et sanguinolent. C'était laid, très laid mais cela lui donnait un petit côté ange de la mort, comme ceux de mes RPG. Le patron avait arrêté de couiner. Il s'était évanouit. Il doit être éreinté le pauvre. Je vais le laisser se reposer et lorsqu'il sera de nouveau réveillé on pourra continuer. Je remis en place ces lunettes sur son nez et continua le jeu là où j'avais été interrompu.
Hey ! Alors la première partie de cette histoire vous a plu ? J'attends avec impatience vos reviews. J'écrirais la seconde partie de l'histoire demain. Ce sera d'ailleurs, sûrement la dernière. A bientôt ! Et n'oubliez pas de se méfier de l'eau qui dort... ou dans ce cas là, du petit Geek qui farme.
