Bienvenue à vous !
Je tiens à vous informer que cette fiction ne sera peut être jamais finie... Pour l'instant, je ne manque pas d'inspiration, mais je risque très rapidement à manquer de temps...
Donc, je ne vous promets rien, mais je ferais de mon mieux pour la porter aussi loin que possible, ainsi d'essayer de répondre à vos reviews. Je tiens à m'excuser d'avance pour tout les fautes de frappe, ou encore celles d'orthographe, j'essayerais d'en faire le moins possible, ça m'exaspère autant que vous quand je lis une fiction. De plus, j'accepte volontiers vos critique tant qu'elles sont constructives, afin d'améliorer cette fiction au maximum !
Tout d'abord, je tiens à dire que le monde de Tolkien, ainsi que ses personnages, créatures, blablabla... ne m'appartiennent pas. Par contre, mon héroïne oui ! (ainsi que quelques autres personnages dont je ne dévoilerait pas l'identité). De plus, il va me falloir quelques chapitres pour pouvoir bien mettre l'intrigue en place, avant que certains personnages essentiels apparaissent et avant que la quête pour détruire l'anneau Unique ne commence !
Bon je pense avoir tout dit, je ne vous dérange pas plus longtemps. Bonne lecture !
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Cette histoire commence un matin de février, quand l'aurore commençait à teinter l'horizon de couleurs rose, doré, et orange, quand le ciel commençait à tirer sur le violet, le rose pour finalement devenir bleu pastel. Il avait fait extrêmement froid cette nuit là. Il avait donc par conséquent gelé, et on aurait dit que les environs étaient recouverts de cristal, à une nuance près. Ce cistal là était rouge vermeil.
Quand les elfes de Fondcombe firent leur première patrouille de la journée ce matin là, ils trouvèrent une étrange enfant à la frontière de leur royaume, les yeux pleins de larmes et les vêtements ensanglantés.
Cette nuit avait été particulièrement atroce. Sauron, pour marquer les esprit, ainsi que pour assoir son pouvoir, avait envoyé une horde d'Orques dans les landes d'Ettor, non loin de Fodcombe, la cité elfique, pour assoir sa domination. Durant toute la nuit, les elfes s'étaient battus pour protéger leurs frontières, mais n'avaient pas pu sauver les villages des hommes qui se trouvaient aux alentours. Ceux-ci avaient envoyé désespérément des messagers chez les elfes, leur suppliant de leur venir en aide car ils ne pourraient pas repousser les monstres pendant très longtemps.
En effet, après avoir tenté de les empêcher de pénétrer dans les villages qui étaient sommairement protégés avec quelques bariquades faites de bottes de pailles de sacs de chauds ou encore de tas de gravas, les plus courageux avaient essayés de les abattre avec de simples fourches ou encore des couteaux de boucher, tandis que les autres étaient partis se cacher dans leur maison. Malheureusement, il y avait peu d'hommes qui savaient se battre dans ces petits villages, et encore moins qui savaient se servir d'une arme. De plus, les armes coûtaient trop cher et il n'y en avait pratiquement pas dans ces endroits là, on se croyait à l'abri de ces forces qui devenaient de plus en plus importantes dans tout le pays. Ces pauvres bons hommes courageux périrent en ayant comme bonne action de faire descendre légèrement le nombre d'Orques qui allaient pénétrer dans le bourg.
Quand à ceux qui avaient eut l'idée de partir se mettre à couvert dans les taudis à l'intérieur du village, ils n'avaient fait que repousser l'heure de leur mort. Car quand les monstres pénétrèrent dans le village, après avoir écrasé tout espoir de victoire, ils se dirigèrent vers toutes les portes de la ville, qu'ils enfoncèrent les unes après les autres. Ils entrèrent dans les maisons, et tuèrent les enfants, violèrent les femmes qu'il y trouvèrent, et égorgèrent les anciens. Et lorsqu'ils eurent finit leur labeur, ils pillèrent tout le village, puis y mirent le feu. En quelques heures, ces joyeux villages se transformèrent en abominables bains de sang.
Cependant, il y en avait quelques uns qui avaient eut la bonne idée de s'enfuir. Pour ceux qui ne furent pas rattrapés par les Orques, ils mourrurent quelques kilomètres plus loin dévorés par les loups, ou périrent de faim, ou encore de froid. Quand les elfes envoyèrent des éclaireurs pour essayer de sauver les quelques survivants, ils n'en trouvèrent aucun.
Très vite, la nouvelle fit le tour de la Terre du milieu. Les hommes en retirent trois choses : que l'espoir n'était plus, que les elfes étaient sans cœur, peureux et orgeuilleux et ne les aideraient en aucun cas, et que personne n'était à l'abrit de l'ombre qui grandissait.
Cependant, ce que les Hommes ne savaient pas, c'était que les elfes avaient receuillit la seule survivante de ce massacre.
